Harry Potter, mage gris? Livre 1: L'école des sorciers

Disclaimer : Tous les personnages appartiennent à J.K.Rowling. Aucun argent n'est fait sur cette histoire, celle-ci a pour but que de divertir.

Cette fic a pour base les 6 tomes de Harry Potter. Elle contiendra donc des informations sur le tome 6. Si vous n'avez donc pas lu ce livre, et que vous ne voulez pas savoir certaines choses, je vous déconseille de lire cette histoire.

Laissez moi une petite review, cela fait toujours plaisir.

NDA: Amis lecteurs, voici ma nouvelle potterfiction inspiré des oeuvres fabuleuse de JKR. Je vous promets que cela n'affectera en rien mon autre fic en cours d'écriture, Harry Potter et la chasse aux Horcruxes. Cette nouvelle histoire parlera d'un Harry bien différent des livres et couvrira les sept livres de JKR, c'est un peu les sept livres à ma manière. Un Harry s'intéressant à la magie noire, à la magie blanche et à l'amour et détestant par dessus tout Voldemort et le vieux fou de Dumbledore. Je vous laisse avec deuxième chapitre.

Bonne lecture :

Mellon

Résumé du chapitre précédent : Harry, 10 ans, vient de découvrir un don merveilleux, il peut contrôler les Dursley rien qu'avec sa voie. Le jour de l'anniversaire de Dudley, Harry va au zoo, il se découvre un nouveau don : il peut parler au serpent, grâce à cet découverte, il se lie d'amitié avec Dûr anor, un serpent qui lui fait découvrir la communauté magique. Pétunia lui donne la lettre de Dumbledore, qui l'a abandonné au pied de la porte. Sa haine se tourne sur Dumbledore et Voldemort. Au moment d'acheter ses affaires, il fait la connaissance de Draco Malefoy avec lequel il devient ami. Il continue ses coures et achète un magnifique oiseau qu'il appelle Mellon. Il se fait placé à Serpentard où il revoit Draco et fait la connaissance de ses deux gardes du corps, Crabbe et Goyle, de Pansy Parkinson et de Millicent Bulstrode. Draco lui promet de lui prêter les quelques livres de magie noire qu'il possède. Il fait ensuite la rencontre du professeur Rogue qu'il trouve aussitôt sympathique, contrairement à la vieille chouette de McGonagall, il fait un tour dans le bureau du directeur puis apprend d'Hagrid que son parrain, Sirius Black est enfermé dans les geôles d'Azkaban pour haute trahison sur la famille Potter.

Chapitre 4 : Rencontres :


Ils finirent de manger puis repartirent vers leur salle commune et leur dortoir. Harry alla se coucher bien après Draco, il avait commencé à lire le livre que Draco lui avait prêté et il était très, très intéressant. Il se coucha donc, plein de sorts de magie noire plein à la tête. Il avait hâte de les essayer…
Il était terriblement fatigué, ce n'était pas une si bonne idée, en fait de lire si tard le livre de magie noire de Draco, surtout quand ce dernier lui avait crier dans les oreilles :

- DEBOUT ! GROS FLEMMARD !

Harry grogna quelque chose d'incompréhensible, envoya un coup de poing dans le ventre de Draco et retourna se coucher en fermant les rideaux ; tout ça sans avoir ouvert les yeux. Draco quant à lui se mit à jurer, Harry avait frappé vachement fort. Il se décida à utiliser la manière forte et s'en alla dans la salle de bain, prit le pommeau de douche et le mit juste au dessus de Harry en l'accrochant à un montant du lit. Il l'ouvrit l'eau froide et s'en alla en courant dans la salle commune. Harry sentit aussitôt l'eau froide sur son corps et hurla :

- NOM DE DIEU ! QUEL CRETIN A OSE ! MALEFOY ! JE VAIS TE TUER !

On l'avait entendu de la salle commune et tout le monde éclata de rire. Draco décida de redescendre dans la chambre, pensant, à tort, qu'il n'y avait plus aucun risque. C'est un Harry, armé du pommeau de douche qui l'accueilli. Harry avait préféré l'eau brûlante. Ils redescendirent tous les deux dans la salle commune, Draco, la peau rouge feu et Harry frissonnant. Aussitôt qu'ils furent sortit de la salle commune, Crabbe et Goyle se mirent aux côtés de Harry et Draco et c'est ainsi accompagné qu'ils se dirigèrent vers la grande salle. Ils passèrent devant le Gryffondors sans leurs adresser de regards et se dirigèrent vers la table des Serpentards.

- Alors, demanda Harry, tu as réussie à passer ton balai.

- Ouais, dommage qu'on ne puisse l'utiliser au cours de vol, ça aurait été marrant de voir la tête de Weasley. Vivement l'année prochaine.

- J'ai hâte de voir Granger sur un balai, confia Harry à Draco, c'est une fille de moldue, elle n'a jamais dû monter sur un balai.

- Tiens ! Tiens, je n'y avais pas penser, dépêchons-nous, je ne veux pas manquer ça, répondit Draco. Au fait, tu sais que cet été, en essayant mon nimbus, j'ai failli être happé par une grosse machine volant avec quatre bouts de métal.

- Mais bien sûr, je te crois, dit Harry, moqueur. Tiens, les hiboux arrivent, voyons voir si ton père t'a envoyé quelque chose.

En effet, un bruit monstrueux s'était fit entendre et maintenant, plusieurs hiboux volaient en faisant de grands cercles, cherchant leurs maîtres. Harry vit l'hibou grand-duc de Draco descendre vers eux à toute vitesse pour se poser sur l'épaule de Draco qui détacha la lettre et le colis puis le laissa boire dans son goblet. Il décacheta la lettre qui était fermé par un sceau, portant le blason des Malefoy. Harry lut par-dessus son épaule.

Draco,

Ta mère et moi sommes très contents que tu sois répartie dans la noble maison de tes ancêtres. C'est déjà plus une surprise pour ton ami, Mr Potter qui sont tous allés chez les traîtres, souhaite lui bonne continuation dans sa nouvelle maison. Ta mère t'envoie quelques bonbons ainsi qu'un stock généreux de bombabouses qui pourra servir contre ceux qui gêneront la tranquillité de notre famille.

LM

Ils ouvrirent le colis où une bonne dizaine de bombabouses et un sac de chocolat se trouver. Harry prit quelques bombabouses sous l'œil amusé de Draco et les fourra dans une poche de son pontalon. Ils se levèrent et se rapprochèrent de la table des Gryffondors, ou plutôt près d'un garçon qui tenait dans sa main une grosse boule pas plus gros qu'une boule de pétanque et contenant une fumée transparente. Harry piqua la boule sans demander la permission en se demandant ce que c'était, il se tourna vers Draco. Ron et Dean s'étaient levé sans grande discrétion, les poings déjà en l'air.

- C'est un rapeltout, c'est pour les gens qui ont des pertes de mémoires, dit-il d'un ton méprisant en regardant Londubat qui alla presque se cacher sous la table.

- Que se passe t-il, demanda McGonagall, que Harry avait tout de suite reconnue.

- C'est Potter qui m'a pris mon rapeltout, gémit Neville.

Harry renifla et rajouta que c'était juste pour combler sa curiosité puis fit rouler le rapeltout sur la table. Ils partirent ensuite vers les cachots pour rejoindre la salle commune. Ils avait toutla matinéede libre et Harry décida qu'il était temps pour lui d'envoyer Mellon à la rencontre des Weasley mais avant, il préféra aller voir Hagrid. Il partit des cachots et remonta à l'air libre, il traversa le parc qui était ensoleillé même si un vent froid claquait. Il alla s'asseoir au même endroit que la dernière fois et attendit Hagrid qui ne tarda pas.

- Encore là, dit-il d'une voix bourrue.

- Oui, je vous trouve sympathique, répondit Harry en regardant Hagrid s'asseoir à ses côtés.

- Merci Harry, tu es aussi gentil que ta mère.

- Que faisiez vous à la banque Gringott's le premier juillet, une commission de Dumbledore peut-être, s'exclama Harry sans préambule et surprenant Hagrid.

- Comment tu sais, dit Hagrid d'une voix revêche, seul Dumbledore et Nicolas Flamel est au…. oublie tout ça...

- Vous pouvez me raconter comment étaient mes parents, dit Harry en changeant complètement de sujet et laissant Hagrid surpris. Harry était content de lui, il était très facile de dire des choses à Hagrid.

- Ton père te ressemblait beaucoup mais avait les chevilles un peu enflées. Il était attrapeur en son temps et faisait beaucoup de blagues avec Peter Pettigrow, Remus Lupin et ton parrain sous le nom de groupes Les maraudeurs. On le surnommait pour je ne sais quelles raisons Cornedrue. Il est sortit avec ta mère en fin de sixième année et ce fut l'amour fou. Lily était un peu comme toi au niveau psychologique, c'était la seule qui venait me voir, comme toi et était très gentille avec tout le monde. Elle passait aussi beaucoup de temps dans la bibliothèque et avait les meilleures notes de son année.

- Merci beaucoup Hagrid, dit Harry, content de savoir des choses sur ses parents autres que ceux qu'il avait lu dans des livres. Il alla ensuite dans une salle d'étude, écrivit un mot aux jumeaux, leurs disant que Harry Potter voulait les voir le plus tôt possible. Il alla s'enfermer dans une classe vide et siffla une note aigue, cinq minutes plus tard, Mellon apparut et se posa sur une table devant lui.

- Va donner ça aux jumeaux Weasley et reste tout le temps invisible, je ne veux pas qu'on te reconnaisse.

L'oiseau baissa la tête, disparu et s'en alla par la porte grande ouverte, il monta les étages jusqu'à la porte des Gryffondors et se posa sur une balustrade, juste devant la porte. Il attendit patiemment et enfin, un grand type roux, portant un badge préfet ouvrit la porte et Mellon se faufila discrètement. Il tourna plusieurs fois dans la salle avant de repérer les destinataires qui était assis loin des autres et contemplaient un bout de parchemin. L'oiseau se posa sans faire de bruit sur le bout de la table, jeta lemessage de son maître sous les yeux des jumeaux qui sursautèrent en voyant apparaître un parchemin venant de nulle part. Un des garçons prit le parchemin, le déplia et le lut, il le passa à son frère et se mirent à sourire, ils allaient bientôt être quatre, comme les célèbres maraudeurs même si c'était un Serpentard mais quel Serpentard ! Ils écrivirent une réponse rapide et le mit là où il était apparut. Mellon, qui était toujours là le prit dans son bec (ce qui a pour effet de le faire disparaître), surprenant ainsi les deux jeunes garçons et s'envola, créant une bourrasque de vent qui fit s'envoler le parchemin sur la figure du plus grand. Il sortit en même temps qu'une petite fille qui portait un gros tas de bouquin et s'en alla vers la salle où Harry attendait toujours la réponse des jumeaux Weasley. L'oiseau réapparut en entrant dans la pièce et jeta le parchemin que Harry attrapa adroitement de la main droite. Il lut.

Rejoins nous à la salle des trophées dès que tu auras reçu notre réponse.

F&G.W

Il était juste a côté, il n'avait qu'à traverser le couloir. Il rejoignit donc la salle où de nombreuses médailles, coupes et blason occupait la pièce. Il commença à lire les inscriptions et vit avec bonheur une liste où était marquée le nom de son père et le poste qu'il occupait. Il vit aussi qu'un certain Tom Elvis Jedusort avait reçu une médaille pour services rendu à l'école il y'a 49 ans. Soudain, Harry entendit des pas dans le couloir et il se retourna et vit que c'était les jumeaux Weasley qui arrivait.

- Alors Harry, méchant Serpentard qui terrorise notre frère, que nous veux tu, demanda un des frères.

- C'n'est pas de ma faute si il ne sait pas jeter un sort et apprendre son livre de potions, répliqua Harry.

- Dix points pour Mr Potter, dit l'autre en imitant le professeur Rogue. Alors que nous veux tu ?

- J'ai entendu parler de vous, commença Harry, vous êtes très impressionnants. Les blagues contres les professeurs Rogue et celui de DCFM, la nourriture qui apparaît de nulle part, vous êtes très impressionnants. C'est quoi vos noms ?

- Lui c'est Fred et moi George. Sinon, j'avoue que je n'ai toujours pas compris comment tu as fait pour faire apparaître le parchemin dans notre salle commune.

- Si je vous le dis, vous me dîtes comment vous faîtes pour la nourriture, dit Harry.

- Oh mais dis moi Fred, c'est que c'est un petit rusé le petit, s'exclama George.

- Tout à fait mon cher frère, répondit Fred, prenons garde ou ce petit Serpentard nous perdras.

- Alors c'est d'accord, demanda Harry en souriant.

- Ok, sur la tête des maraudeurs, dirent en même temps Fred et George.

- Mellon, murmura Harry, tu peux apparaître. Les jumeaux virent avec stupéfaction un oiseau apparaître de nulle part en haut d'une vitrine. Je vous présente Mellon, de la race des Dirico et qui a la capacité de se rendre invisible.

- Magnifique, on peut le caresser.

- Bien sûr Fred, répondit Harry, et tu as le droit aussi, George.

- Comment tu nous as reconnue, demanda George en caressant Mellon qui était descendu de la vitrine. Même notre mère n'y arrive pas.

- L'observation, répliqua simplement le petit brun. Et pour la nourriture, ajouta Harry, ne perdant pas le nord. Les deux jumeaux se regardèrent un moment puis Fred dit :

- Suis nous, ce sera plus simple pour toi. Je crois qu'elle n'est pas loin de votre salle commune.

- C'est partit ! S'exclama George et ils sortirent de la salle.

Ils prirent de nombreux couloirs et de nombreux passages secrets (que Harry inscrivit au fer rouge dans sa mémoire.) et arrivèrent un temps record devant le mur de la salle commune des Serpentards. Ils prirent ensuite un couloir un peu plus bas que les autres et George et Fred durent se baisser un peu, ils débouchèrent dans un cul de sac mais Harry ne s'en étonner pas car on était à Poudlard après tout. Le cul de sac était décoré par un simple tableau qui décrivait une coupe de fruit. Fred chatouilla la poire et le fruit se mit à se trémousser. Une poignée apparut soudainement à la place de la poire et Fred entra en poussant le tableau. La pièce était très haute et avait les mêmes mensurations que la grande salle. Cinq tables était disposées de la même façon que dans la grande salle. Harry en déduisit qu'il était donc sous la grande salle. Etant donné qu'on approché l'heure de midi, des petits êtres aux grande oreilles se déplaçaient à toutes vitesses, portant de lourdes marmites. Des elfes de maisons.

- Voilà, tu sais maintenant où nous pêchons notre nourriture, je te présente les cuisines de Poudlard.

- C'est immenses, murmura Harry, mais comment vous faîtes pour vous procurer les boissons, je ne pense pas qu'ils ont des bièreaubeurre tout le temps ici.

- Ca, c'est à Pré-au-Lard que nous allons, au trois ballais, on t'y emmènera bientôt si tu veux, répondit George.

- On vous laisse y'aller, s'étonna Harry.

- Non, disons que nous passons par des chemins inconnus du concierge, dit Fred en souriant. Tu es vraiment très intelligent pour ton âge Harry.

- Merci.

Harry était retourné dans son dortoir, affolé, il avait complètement oublié Dûr Anor, son serpent, qui dormait sous son lit. Il dit rapidement le mot de passe et descendit dans son dortoir où il n'y avait personne. Il se jeta à plat ventre et vit avec soulagement que son serpent était toujours là, endormi. Harry siffla :

« Eh ! On se réveille, la belle au bois dormant » Le serpent siffla dangereusement et ouvrit un œil, puis un autre.

« Vous voilà enfin, j'ai faim et je sens qu'il y'a une grande étendue d'arbre pas loin. Emmenez moi près de la lisière que je puisses chasser. »

Harry le fit donc grimper par son bras, sortit du dortoir puis de la salle commune et emprunta les passages secrets que lui avaient montré les jumeaux Weasley un peu plus tôt, il sortit du château et déposa le serpent à la lisière.

« Je viendrais te chercher à minuit ce soir, fait attention à toi » murmura Harry. Il partit ensuite dans la grande salle pour aller manger avec le reste de l'école qui devait déjà être attablé.

Ensuite, les Serpentards de l'année de Harry sortirent dans le parc en prévision du cours de vol donné par Mrs Bibine et se placèrent chacun devant un balai qui étaient posés au sol. Les Gryffondors arrivèrent juste avant la sonnerie et Mrs Bibine. Elle avait des cheveux courts et gris et des yeux jaunes comme ceux d'un faucon.

- Alors, qu'est-ce que vous attendez les Gryffondors ? Aboya-t-elle. Mettez vous chacun devant un balai. Allez, dépêchez vous ! Harry jeta un œil aux balais et vit que la plupart n'étaient pas aux temps de leur première jeunesse.

- Tendez la main droite au dessus de votre balai et criez debout ! Ajouta Mrs Bibine.

Quand ils eurent criés debout, le balai de la plupart des Serpentards, comprenant Draco et Harry, sautèrent aussitôt dans la main du propriétaire. Ce fut moins brillant du côté Gryffondor. Weasley se prit le balai dans sa tête, celui de Granger ne bougea pas d'un centimètre et celui de Neville fit un petit looping avant de se reposer par terre. Une fois que tout le monde réussit enfin à faire venir l'engin, le professeur passa devant chaque élève pour corriger leur position. Apparemment, Granger et quelques autres ne savait pas se tenir sur un balai.

- Vous allez maintenant voler à une distance généreuse de moi à mon coup de sifflet.

Londubat ne devait pas être du même point de vue car il s'éleva doucement du sol. Il ne contrôlait pas du tout son balai et s'élevait de plus en plus haut. Il devait être à 4 mètres. Il commença à paniquer à une hauteur de 6 mètres et il eut la mauvaise idée de regarder le plancher des vaches. L'attraction fit le reste. BAM ! Neville venait de passer d'une hauteur de huit mètres à une hauteur de zéro mètres en faisant une étape entre les deux. Il avait en effet essayé avec courage de s'accrocher à une barre en fer qui dépassait du mur d'enceinte. Ca avait eu le mérite de ralentir légèrement sa chute. Mrs Bibine s'approcha de lui à grand pas et murmura un « poignet cassé ». Elle fit face aux restes de la classe et cria :

- Je l'emmène à l'infirmerie, interdiction de voler sans ma présence, dans le cas contraire, vous serez dans le Poudlard express et chez vous ce soir, c'est compris.

Elle s'éloigna sans attendre de réponse, Londubat geignant à ses côtés. Une fois suffisamment éloigné, Draco éclata de rire.

- Même Granger doit être meilleur sur un balai, s'exclama-t-il. Tiens, le rapeltout de Londubat. Il le ramassa puis le soupesa ; il haussa des épaules et le balança aux pieds de ses camarades de Serpentard.

Un garçon, teint hâlé, les yeux bleus mais se rapprochant plus du violet, les cheveux châtains et assez grand pour son âge se pencha et ramassa la petite boule.

- Qu'en penses-tu Potter, moi je crois que je vais aller le déposer dans un endroit inaccessible. Sur le toit de la tour d'astronomie peut-être. Il avait dit ça d'une voix froide et assez aigre, elle ressemblait un peu au corbeau.

- J'en pense rien du tout, Moon, répondit Harry. Mais rien que pour t'embêter, je t'en empêcherais sûrement.

- Tu te crois intelligent, sang-mêlé, répliqua Moon d'une voix froide. Plusieurs Serpentards et Gryffondors ricanèrent. Harry leurs jeta un long regard noir qui en disait long et cria un :

- LA FERME ! Le silence revint aussitôt. Bien pratique ce don décidemment mais Harry vit tout de suite qu'il n'avait pas la même emprise sur Moon que sur son Oncle. Le don était donc limité aux personnes faibles alors, dommage. Moon le regarda, une leur de défit dans les yeux. Il prit son balai et s'envola droit vers la tour d'astronomie. C'était décidé, il l'en empêcherait rien que pour l'embêter. Il enfourcha son balai et murmura à Draco.

- On va voir ce que ce balai a dans le ventre.

Harry ne mis pas longtemps à rattraper Moon qui devait tenir son balai que d'une main, l'autre tenant le rapeltout. Harry sentit le vent frappant son visage et il se sentait extraordinairement libre. Il adorait voler. Il fit un coup d'épaule à Moon qui le fit vaciller un peu mais pas assez pour tomber. Harry décida de passer sous le balai de Moon et de se relever de toute sa hauteur, le choc fut violent et Moon fit une légère embardé. Harry était bon pour quelques bleues. Moon, voyant que Harry volait mieux que lui abandonna et balança de toutes ses forces la boule. Harry vit la boule s'élevait dans les airs puis retomber. Il se pencha aussitôt en avant, abaissa le manche de son balai et poursuivit la boule à très grande vitesse. Il rattrapa la boule à cinquante centimètres du sol et redressa son balai pour atterrir sur la pelouse de Poudlard. Draco, Crabbe, Goyle et Pansy vinrent l'entouré et le félicité de sa prouesse. Soudain Draco se mit à blêmir et une voix s'éleva.

- Mr Potter. Suivez-moi.

Harry se retourna lentement et crut apercevoir un mini sourire sur les lèvres de son professeur de potions, il crut car il disparu quand Harry voulu regarder de plus près. Avant de partir, il put voir le sourire de Weasley et de Moon.

« On pourrait croire qu'ils sont dans la même maison » pensa Harry.

Harry suivit son professeur dans le dédale de couloirs menant aux cachots et plus précisément au bureau du Pr. Rogue. Il marchait lentement mais très silencieusement, il aurait été invisible qu'Harry n'aurait pas su où il était. Il ouvrit enfin une porte qu'il referma derrière lui. Harry alla s'asseoir dans une chaise devant le bureau et devant son professeur.

- Je vais pas passer par 4 chemins, il manque à l'équipe de Serpentard un attrapeur, vous êtes très doué, on peut donc facilement faire le lien. Je suis même prêt à oublier ce que vous avez fait toute à l'heure.

- J'accepte, dit Harry, ravit. Cette fois-ci, il eut le temps de contempler le sourire de son professeur.

- Parfait, je m'arrangerais avec le directeur, je vous laisse le soin de commander votre balai.

Il alla rejoindre Draco dans le dortoir. Il s'écroula sur son lit qui se trouvait en face de celui où Malefoy était allongé.

- Alors, demanda celui-ci.

- Je suis le nouvel attrapeur de l'équipe de Serpentard, à part ça, pas grand chose, répondit Harry.

- Merde !jura Draco. Il va falloir que je me trouve une nouvelle place. J e voulais devenir attrapeur l'année prochaine.

- Je sais qu'il y'a un poste de poursuiveur qui se libère l'année prochaine. Il ne reste plus qu'à t'entraîner, dit Harry.

- Oui ; alors Monsieur lenouvel attrapeur le plus jeune depuis un siècle, dit Draco. Que pensez-vous d'aller manger avec ma faible compagnie. Harry fit un petit sourire et répondit.

- Allons-y.

Harry se leva et ils remontèrent dans la salle commune qui était bondée. Harry préféra taire sa nouvelle situation d'attrapeur et dit à Draco de faire de même. Harry voulait réserver une petite surprise à Moon et aux Gryffondors. Ils sortirent de la salle commune, toujours flanqué de Crabbe et Goyle. La plupart des premiers et des deuxièmes années les suivez. C'est donc avec un groupe de Serpentard assez nombreux qu'ils entrèrent et s'installèrent à la table de Serpentard. Moon était assis juste en face de lui et dit en le regardant méchamment.

- Alors, c'est ton dernier repas Potter ? Quand est ce que tu retournes chez tes moldus ?

- Au prochaine vacance Moon, répondit Harry, sûrement celle de noël et je reviendrais pour te souhaiter une bonne année. Moon vit rouge et répliqua :

- Tu te crois fort Potter, mais tu n'es qu'un sale sang mêlé quidégrade notre maison. Surtout que tu es un Potter, une famille pro Gryffondors et ayant comme mère une sale sang de bourbe.

Pour Harry, l'insulte sur sa mère était de trop. Il lui balança en pleine figure deux sorts de ses deux baguettes. Un sort de pousse boutons et un sort de désarmement qu'il avait lu dans un livre il y'a pas très longtemps. Le résultat fut spectaculaire. Moon avait plein de bouton sur le corps et avait volait pour s'écraser sur la table des Serdaigles. Il dégoulinait de soupe et par bonheur, les professeurs n'avaient pas vu qui avaient tiré les deux sorts. Le professeur Rogue lui conseilla d'aller récupérer à l'infirmerie. Il repassa devant Harry et lui dit.

- Je te prends quand tu veux en duel.

- Mais, le duel a déjà eu lieu et désolé de te rappeler des mauvais souvenirs mais c'est moi qui t'aie fait voler et pousser de jolis boutons sur ta figure. Moon lui jeta un regard furieux et s'en alla, son ami Nott courrant après lui.

- C'est un sang pur Moon ? demanda Harry.

- Oui mais une très jeune famille. Ils n'ont que 500 ans de vieillesse contrairement au Malefoy ou au Potter qui sont à plus de mille ans.

Après cette page d'histoire sur les vieilles familles de sorciers, ils rentrèrent dans leur salle commune en parlant de Weasley et Granger ; Justement, ils se croisèrent à la sortie de la grande salle.

- Laisse passez les personnes importantes, Weasley, dit Harry, où sinon, je fais la même chose à toi à ce que j'ai fait à ton copain Moon.

- Alors c'est toi qui a fait ça. Selon le règlement interne de l'école, chapitre sept, tiré 147, alinéa 3, la pratique de la magie… commença-t-elle d'une voix supérieur.

- On t'a demandée de réciter le règlement Granger, coupa Draco d'une voix froide. Si Harry a envie de faire voler dans la salle un de nos condisciples, ça ne regarde pas les sales Gryffondors.

- Mais c'est interdit… recommença Granger.

- La ferme Granger, les règlements sont fait pour être brisé, coupa Harry duremet. Alors Weasley, on ne sauve pas sa demoiselle en détresse, ajouta Harry en voyant qu'il serrait des poings.

- TU VAS ME LE PAYER POTTER ! Et Weasley s'élança sur Harry pour lui mettre un bon coup de poing. Le problème est qu'il fut arrêter par Crabbe et Goyle qui s'étaient interposé et avait attraper Weasley par les épaules et le ramenaient déjà en arrière. Un autre problème arriva sous le nom du professeur Rogue.

- 40 points en moins pour Gryffondors, Mr Weasley, et vous écopez d'une retenue. Vous lavez ce soir toutes les coupes de la salle des trophées, façon moldu, il en va de soit. Il se retourna vers Crabbe et Goyle. Je donne 10 points chacun pour avoir protéger un de vos camarade de classe et maintenant, circulez. Une fois rentré dans la salle commune et s'être écroulés sur les fauteuils près du feu. Draco s'exclama :

- On a déjà 80 points d'avance, cette année, la coupe sera aux Serpentards.

- Ouais, sinon, tu veux m'accompagner dans le parc, je dois aller chercher mon serpent, ça sera l'occasion de vous présenter.

- Je suis partant, on y va à quelle heure, demanda Draco.

- Le plus simple est de partir avant le couvre feu, dit Harry. Je dois aller le chercher à minuit. On en profitera pour se promener dans le parc et d'aller voir le terrain de Quidditch où je vais faire de magnifiques prouesses. C'est qui le capitaine ?

- Marcus Flint, répondit Draco.

- Je pense que l'on peut prendre nos balais, il fait nuit noire et personne ne nous reconnaîtra, je pourrais enfin essayer mon balai, dit Harry.

- Mais on fait comment pour les sortir sans se faire repérer, rétorqua Draco.

- Reste là, je reviens.

Harry partir à grandes enjambés et descendit dans le dortoir. Il en revint 5 minutes plus tard et dit qu'on pouvait y aller. Ils traversèrent des couloirs et Harry montra plusieurs passages secrets à Draco. Ce fut quand ils arrivèrent près de la porte que les choses se compliquèrent car Rusard commencer déjà ses rondes. Harry piqua un casque à une armure proche de lui et le balança dans le couloir le plus éloigné sous les yeux incompréhensif de Draco. Le bruit que fit le casque en tombant fut terrible et Rusard et Miss Teigne se précipitèrent vers l'origine du bruit. Harry et Draco en profitèrent pour passer la grande porte en courrant et se cacher dans la noirceur de la nuit. Ils partirent ensuite tranquillement vers le terrain de Quidditch qui brillait sous un quart de lune. Au milieu du terrain reposé deux nimbus 2000.

- Je vois, dit Draco, ne me dit même pas comment tu as fait et enfourchons ces merveilles.

- Je suis tout à fait d'accord avec toi. Harry jeta un œil à sa montre et rajouta qu'il avait une bonne heure devant eux.

Harry fut époustouflé, le balai répondait à la moindre pression et se dirigeait à la perfection. La vitesse était monstrueusement inquiétante mais Harry s'en fichait. Il fit un tour de terrain en moins de trente secondes, des piqués, des remontés en chandelles tout ça sous l'œil appréciateur de Draco. A un moment Harry avait mal calculé sa trajectoire et allait se prendre une des tribunes mais il vit avec surprise que ses pieds étaient entourés d'une bulle bleue. Il décida de tenter le diable ; Il sauta de son balai, ne le gardant qu'entre les mains et marcha à l'horizontale sur le mur sur une distance de quelques mètres puis se remit sur son balai et reprit aussitôt de la hauteur. Ses pieds n'avait rien et ses chaussures étaient en parfaite état. Il regarda sa montre et vit qu'il était temps, il se posa donc par terre en même temps que Draco.

- Tu voulais mourir ou quoi, non mais tu te crois pour qui, un samouraï sur un balai, lui dit Draco quand ils furent redescendu.

- J'aimerais bien être un samouraï, répondit Harry d'une voix rêveuse.

- Ca y est, tu viens de perdre les derniers neurones qui te rester mon pauvre Harry, je t'avais dis de faire attention mais tu ne m'écoute jamais.

- Oh, tais toi le grand martyre, répliqua d'une voix froide Harry, et puis on dois y aller, on va se mettre en retard si on continues dans cette voie. Il était en effet minuit moins dix. Ils passèrent assez loin de la cabane de Hagrid dont les fenêtres étaient éclairées, ils allèrent ensuite à l'orée de la forêt et Dûr Anor apparut, rampant rapidement et sifflant un « j'ai bien mangé, j'ai bien bu, j'ai le bout du ventre bien tendu ». Harry secoua la tête tendit que Draco cria :

- Ah ! UN SERPENT ! SAUVE MOI HARRY ! Harry secoua une nouvelle fois la tête, s'accroupit et laissa son serpent monter le long de son bras et loger sa tête sur le cou de Harry. Harry qui avait décider qu'il n'était pas encore temps que Draco sache qu'il était fourchelangue.

- Harry, t'es dégelasse, s'exclama Draco. Comment tu peux le laisser monter sur toi.

- Ho ! Draco, si j'avais su que tu avais peur de l'emblème de NOTRE maison, je ne t'aurais pas emmené, répondit Harry en appuyant sur le « notre ».

Draco se tue et ils repartirent vers Poudlard, quand ils furent arriver aux grandes portes, il était minuit trente. Harry jeta un coup d'œil dans le couloir et entra. Lui et Draco avaient à peine touchés la première marche qui menait au sous sol qu'une lanterne apparut en bas de l'escalier, ils attendirent quelques instants et voyant que Rusard montait toujours, ils s'enfuirent au première étage, silencieusement mais rapidement mais il fallait avouer que la chance n'était pas avec eux car ils virent une lumière au bout du couloir, sortant d'une baguette. Ils durent montés le deuxième étage et s'enfuirent en enfilant plusieurs couloir qu'ils n'avaient jamais utilisés.

Soudain, Draco buta sur le sol inégal et fit tomber une armure dans un bruit terrible, la réponse fut rapide car déjà, la lanterne réapparaissait à leurs droite et la baguette magique qui projetait toujours une lumière de leurs gauche, ils étaient encerclés. Harry fit un tour sur lui-même et repéra une porte qui dégageait sur un nouveau couloir. Ils prirent la première porte qui venait et débouchèrent sur un couloir qui n'était pas éclairé. La magie se présenta et des torches s'allumèrent d'elles même, au fond du couloir, une grande porte se profilait, ils essayèrent de l'ouvrir mais elle était fermée, Harry lui balança un sort d'ouverture et ils purent enfin se reposer à l'intérieur. Harry, par mesure de sécurité lança un sort pour refermer la porte.

- Euh Harry, demanda Draco d'une voix chevrotante ce qui n'était pas du genre d'un Malefoy.

- Oui, Draco, répondit Harry sans se retourner.

- On a un petit problème. Harry se retourna et vit un grand chien à trois tête commençant à se relever et se lèchent les babines.

- Merde ! Jura Harry, un cerbère de l'enfer.

Harry ne perdit pas de temps et fit imploser la porte avec un sort de magie noir. Normalement, ce sort était utilisé contre les êtres humains mais il marchait très bien pour les portes gênantes. Ils s'enfuirent et le cerbère resta coincer, la porte étant trop petites. C'est avec soulagement que Harry et Draco passèrent le mur de la salle commune.

- C'est la dernière fois que je t'accompagne en excursion, non mais ils sont malades, un cerbère dans une école, cela prouve que Dumbledore est aussi fou que je le pensais, quand père va être au courrant… dit Draco, furieux.

- Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de révéler cette affaire, barbe blanche nous demanderez comment on a fait pour découvrir cette information.

- D'accord, il faut rester calme, dit Draco en soufflant.

- Au fait, le chien garde quelques choses, il y'avait une trappe en dessous de ses pattes, je crois que tout est lié. Hagrid qui va chercher quelque chose sur l'ordre de Dumbledore qui est en étroite collaboration avec Nicolas Flamel. Il faudrait que j'aille voir qui est ce bonhomme.

- Nicolas Flamel, c'est l'alchimiste le plus connu au monde, même les moldus le connaisse, c'est le seul à avoir réussi à fabriquer la pierre philosophale, elle a la propriété de transformer tout matériaux en or et prolongeait la vie pour celui qui la boit. Ce type a 665 ans, encore un an et il sera sous le signe du diable.

- Il est né quand ? demanda Harry.

- Un six juin, il devait bien aimé les six, répondit Draco en souriant.

- Alors le cerbère doit garder la pierre philosophale, murmura Harry…

TO BE CONTINUED…

VERY IMPORTANT

Note de l'auteur : On peut pas dire que je suis un rapide n'est-ce pas, sinon, j'aimerais dire que j'ai eu mon brevet avec un … 61,5/120. C'est juste, n'est ce pas. Le problème revient au math mais je sens que je m'améliore, je viens d'avoir un 11/20. Le problème est que mes parents ont décidé de me laisser l'ordinateur que le mercredi et le week-end, ce qui restreint mes possibilités d'écrire, ils lèveront sûrement la sanction quand ils sauront que mes notes sont en hausses. J'espère que ce chapitre vous a plu, il est un peu plus long que le chapitre précédant et possède peut de dialogues direct.

Pour la chasse aux Horcruxes, je vais essayer de l'écrire assez rapidement mais comprenez que le deuxième trimestre est le plus important et que j'ai pas du tout envie de redoubler, surtout que si je redoubles, pu d'ordinateur, ce qui serait dommage pour vous. J'espère que vous avez réussi à me lie jusque là.

Merci

Mellon.

PS : Et oui c'est encore moi, je voulais rajouter que le artemis fowl Opale deception tient toutes ses promesses et je conseil vivement à ceux qui l'ont pas lu de le lire car ce livre est super bien comme les trois précédents.