Merci par toutes vos reviews. Et votre lecture. Ce chapitre est le dernier.


Je reponds à une question qui m'avait été posée: Pourquoi Eileen semble ne pas aimer les moldus, lorsque son mari en est un? Et bien, Eileen, est, pour moi, quelqu'un de pas facile. Elle n'aime pas les moldus mias pense que 'c'est pas la faute de Tobias de l'etre'. Un peu tordu, ouias, j'accorde.

III

Mérope agita la tête en regardant Eileen. Elle pleurait toujours.

.-Vous ne comprenez pas. Je l'aimais, comme je n'ai jamais aime personne je l'adorait, c'était tout pour moi. Je lui ait donnée tout….tout….tout….et il ne mais jamais aimé. Personne m'a aime ! Vous savez ce que c'est ça ? Que lorsque vous serez mort tout le monde s'en fichera. Que jamais quelqu'un m'a donne un baiser par propre volonté. Je donnerais ma vie pour recevoir, ne fut ce qu'un baiser…un…un volontiers.

Et des pleurs, et des sanglots.

C'était pathétique. La vague de solidarité maternelle lui était passée. La clocharde lui réapparaissait comme un spectacle risible. Comme ce qu'elle ne serait jamais. Elle retira sa main.

.-Vous n'êtes pas ambitieuse.- Dit Eileen avec un sourire.

.-Non, je ne voudrais, que ça. Que ça dans ma vie.

Eileen balança la tête, Elle était folle. Ça tombait bien, les fous lui plaisaient beaucoup a vrai dire.

.-Par qui voudrez vous être embrassée Mérope ?

Elle n'avait jamais pensé tellement cela lui paraissait impossible.

.-N'importe qui…N'importe qui…

Elle avait en air absent en murmurant ses moments. Ses lèvres bougèrent longtemps après qu'elle se soit tue.

Eileen eut une idée, une mauvaise idée, elle savait. Plus que mauvaise, méchante. Elle aimait beaucoup être méchante lorsqu'elle pouvait.

.-N'importe qui Mérope ? Etes vous sure de cela ?-Demanda, doucement Mrs. Snape.

Mérope baissa la tête, comme honteuse de sa déclaration. Eileen ne bougeait pas, les yeux fixés sur elle. Attendant la réponse.

Cette jeune fille, décidée et normale ne pouvait pas comprendre. Pas comprendre du tout. Pas comprendre que Mérope mourirrait comme un chien, sans avoir rien connu de vrai dans sa vie. Mais surtout, surtout, en ayant abandonné son fils. Elle ne comprenait pas non plus ce qu'était avoir eut l'Amour. Et puis le perdre d'un coup.

Elle opina doucement.

Eileen s'approcha de Mérope, elle regarda autour d'elle. C'était quatre heures et demie et il faisait sombre. Elle devrait rentrer à sa maison. Arranger les choses avec Tobias, faire le dîner et laver la vaisselle du déjeuner.

Elle regarda Mérope.

Lui approcha encore.

.-Je dois m'en aller.

La mendiante hocha la tête, oui, elle avait une vie.

.-Merci de m'avoir écoute jeune fille.

Elle hésita. Si elle le faisait, Mérope la poursuivrait ?

Non, sûrement pas.

Était-ce censé, normal ?

Ce n'était qu'une blague, elle faisait souvent avec des filles à Ploudlard. Depuis quand elle avait aussi de conscience ?

Ce qui embetait Eileen était, qu'au fond, elle ne voulait pas faire du mal. Que ce baiser serait pour rendre cette femme heureuse plus que pour la nuire.

.-Au revoir.

Et tout à coup Eileen se pencha sur elle, comme pour lui faire un baiser sur la joue. Mérope ne s'attendait pas a cela. Encore moins lorsque ses lèvres touchèrent ceux de la jeune fille.

Eileen ne bougea pas, ce contentant de laisser sa bouche se reposer dans ce lit inusuel. Et elle compris pourquoi elle avait accompli la volonté de la mendiante. C'était elle. Mérope lui rapellait elle-même, et on voulait toujours ce faire plaisir. Mrs. Snape était, avant tout, égoiste.

La jeune s'éloigna doucement.

Mérope rougit, ouvrit la bouche pour respirer, comme si elle souffoquait. Elle trembla un peu, puis leva les yeux. Eileen souriait. D'un coup elle se retourna et Mérope sentit ses cheveux dans le visage. La jeune fille disparut en trottinant.

Mérope trébucha, elle se laissa tomber contre un mur puis glisser jusqu'au sol. Elle avait le cerveau bloqué et ne pouvait penser a rien. En dehors des lèvres chaudes et fines de cette étrange inconnue. Mérope sourit, sourit, mais eut envie de pleure. Elle voulait un baiser, un vrai, un avec amour, pas ce baiser par pitié.

Cela la rendait heureuse tout de même. Cette jeune fille l'avait fait par bonté. Avec douceur. Par première fois…

Ce départ précipité ne l'avait pas choquée. C'était mieux ainsi. Mérope sourit, mais elle pleurait. Car cela prouvait d'avantage que jamais ce baiser. Celui qu'elle voulait viendrait.

Eileen transplana. A deux rues de sa maison. Elle rit de son aventure. Ce genre de folies lui ressemblait. Elle rit. Oui, embrasser une mendiante c'est du Miss Snape tout craché. Mais la folie avait terminée. La maison raisonable se dressait à moins de dix mètres.Avec l'homme si peu raisonnable dedant viviant avec elle, l'amoureuse de la folie, et l'enfant grandi entre hurlements . Cela la rendait brusquement a la réalité.

Elle entra. Mit sa face entre les mains pour cacher tout signe de bonheur. Elle massa ses yeux pour les rougirs. Balança violement ses cheveux, pour les désordonner. Prit son air sérieux, de femme forte et aigre. Blesée et furieuse. Á grands pas, elle gagna le salon.

.-Je suis là.- Annonça t-elle.

Severus lui approcha doucement.

.-Bonsoir maman.

Elle l'ébouriffa les cheveux avec un sourire en guise de réponse. L'enfant sourit doucement. Quelqu'un descendait les escaliers.

.-Eileen, mon amour, tu est lá.-Demanda t-il d'un voix douce.

Elle lui lança un regard noir.

.-Ne m'embete pas Tobias.-Se retourna vers son enfant- Dit a ton père quand tu auras faim. J'irais prendre un bain.

Sur ces mots elle monta les escaliers. Droite et digne. Arrivée a la salle de bain elle ferma la porte derrièr elle. Et sourit. Car avec la nuit viendrait la paix. Elle pourrait biensur jouer les difficiles, mais elle n'avait pas envie.

Le baiser donne a Mérope, lui avait plu.

Et elle en voulait d'autres.

Fin


Note finale:

Eileen et Mérope non pas encore été expliotés comme personnages. J'aimerias voir plus de fincs sur elles. Je me suis beaucoup attaché a cette histoire. On m'á demande pourquoi ici, Eileen n'est pas la victime douce et summise de son mari. Je trouve l'imagine plutot en femme forte. Mérope est censée etre folle, je ne sais pas si j'ai bien reussi a donner cette impression. Espere que vous aayes aimé.

A bientot, j'espère.