Salut à tous! "évite les cailloux et jets de lumière verte" Bon, en effet vous avez raison, ça fait un bout de temps que vous n'avez pas eu de nouvelles... occupée et encore occupée... vous aussi me direz vous? Alors je compatis, car traduire au milieu de tout ça... sans perdre le fil... mais rassurez-vous! Je ne perds pas le fil même si je prends parfois mes aises!

Je n'oublie pas de tous vous remercier pour vos reviews et votre soutien, ça me fait toujours très plaisir! Un grand merci à Funnygirl0531 , Panthere, 666Naku, Greg83, Spirit w.w, popov, Zaika, Egwene Al 'Vere, FloOo'z et tout les autres LOVE YOU ALL!

En parlant de traduction, j'ai trouvé quelque chose qui devrait faire plaisir à Panthere: allez voir dans mon profil! Car j'ai beau essayer de mettre l'adresse ici, impossible ;-(

Il y a pas mal d'autres histoires qui méritent d'être lues, et vous verrez aussi que j'ai pris quelques libertés par rapport à la VO (notamment pour la description des lieux et des perso), et j'espère sincèrement que vous ne m'en tiendrez pas rigueur.

N/A: traductions latines approximatives:

"locus of unus per vox" : lieu de celui qui détient le pouvoir

"deliquesco" : disparaître ou s'évaporer

"adflictatio" : souffrance ou torture

""Surgi des ténèbres""

""

"

5. Que le jugement commence.

Les jours suivants passèrent sans qu'aucun auror ne puisse déceler le moindre indice. La seule chose visible et dont la communauté magique semblait avoir conscience, était la brusque interruption des raids du Lord noir. Ceux-ci ne passaient généralement pas inaperçus. Or depuis un certain temps, les mangemorts ne donnaient signe de vie, pas d'attaques violentes contre le ministère ni de destruction de village, pas de disparitions mystérieuses ou encore de têtes mises à prix. Aucunes de leurs activités habituelles n'avaient été signalées et le bureau des aurors affichait complet ce mois-ci, chose qui relevait à présent de l'exploit.

Aussi curieusement que cela puisse paraître, il régnait inquiétudes et interrogations au sein de la communauté magique. Toutefois, personne n'allait s'en plaindre, sorciers et sorcières quels qu'ils soient soupiraient juste de soulagement devant ce moment de répit.

Dumbledore, qui avait connu des jours meilleurs, prévoyait d'organiser un meeting réunissant les sorciers importants du Magenmagot et de l'Ordre du Phénix. Le mystère qui planait autour de l'auteur de cette folie destructrice devait être élucidé, quoiqu'il en coûte. Et tous allaient se retrouver au ministère dans ce but précis.

L'homme décida donc d'attendre ce meeting avant de tenter quoique ce soit. La majorité des sorciers influents dans le monde magique s'y tiendraient, ce sera sans doute l'un des plus important meeting jamais organisé entre les deux groupes, depuis la première guerre contre Voldemort. Il avait donc passé son temps libre à se distraire avec les mangemorts.

Et quelle distraction puisqu'ils remplissaient leur rôle à la perfection. Il n'en avait tué aucun, ne voulant pas mettre fin au jeu et prolonger son plaisir de les voir souffrir jusqu'à l'extase. Un sourire se dessina sur ses lèvres. Il se souvenait encore du merveilleux cri de Goyle lorsqu'en se réveillant, il découvrit un énorme loup se dresser devant lui. Qui aurait pu croire que cette brute sans cervelle savait hurler comme une fille ?

Oui maître, ce fut très amusant. Et ça me plairait beaucoup de recommencer. Il n'y a rien de mieux que de jouer avec sa proie avant de l'achever, s'exclama Osor avec amusement.

Pas à ma connaissance non, répondit l'homme dans un grand sourire.

Attendez-vous ce meeting avec impatience ? Le loup entendit un ricanement s'élever dans son esprit, aussitôt suivit par un doux murmure :

Oh oui... j'imagine déjà la peur qu'ils vont éprouver et ce, pas plus tard qu'aujourd'hui. Les meilleurs proies vont nous être servies sur un plateau d'argent et tu pourras t'amuser à les torturer comme bon te semble mon ami. Rien ne pourra nous arrêter. Notre mission s'achèvera bientôt et nous trouverons enfin une paix éternelle.

J'ai si hâte... répondit Osor avec un grognement d'impatience.

L'homme se pencha au niveau de son loup pour l'enserrer d'une étreinte délicate. Il comprenait son désir de pouvoir enfin éprouver bien être et sérénité, des sentiments que les sorciers de ce monde ne lui avaient jamais accordé. Mais cela ne pouvait se produire avant l'aboutissement de leur mission. Une mission qu'ils n'auront toutefois aucun mal à remplir.

Tapis dans les ténèbres, l'homme surveilla du regard l'entrée de chacun des sorciers. Il sentit une colère incontrôlable le submerger lorsqu'il aperçut la plupart de ces traîtres. Et sa main caressante, toujours posée sur la tête de son loup, se crispa. Ce fut au tour d'Osor de le résonner. Calmez-vous maître. Ils auront bientôt l'occasion d'expérimenter votre colère et payer pour leur trahison.

Celui-ci prit une profonde respiration pour se détendre et acquiesça. Son attention se porta sur Albus Dumbledore qui avançait déjà pour prendre la parole. Une proie de choix pensa t-il, avec laquelle je vais adorer me distraire.

"Sorciers et sorcières, membres du Magenmagot et de l'Ordre du Phénix, je vous ai aujourd'hui réuni dans l'espoir d'éclaircir le mystère sur l'individu responsable de la destruction d'Azkaban", commença le directeur d'une voix forte.

A la mention de cet évènement, l'assemblée à présent silencieuse, fut parcourue d'un frisson de terreur.

En seulement quelques heures, et maintenant quelques semaines, ce personnage était devenu aussi craint que Voldemort lui-même. Mais c'était une crainte sans visage et sans nom, dont l'étendue des pouvoirs restait encore inconnue. Dumbledore reprit sévèrement:

"C'est un être maléfique mais qui pourrait nous servir à mettre fin au règne de Lord Voldemort. Nous ne connaissons pas vraiment ses intentions, mais pouvons tenter de le rallier à notre cause, du moins pendant un certain temps. Après quoi bien entendu, il nous faudra trouver le moyen de le mettre hors d'état de nuire. Vous avez tous le souvenir de la souffrance qu'il est capable de causer, et un pouvoir d'une telle envergure se doit d'être maîtrisé."

Bien sûr, ce qu'il omet de dire, c'est qu'une fois Potter, Voldemort et le 'mystérieux individu' mis sur la touche, il deviendra par la même occasion le plus puissant sorcier qui soit. Le monde magique n'aura plus qu'à se laisser guider comme un troupeau de gentils moutons. A l'ainsi de tous, le vieux fou se retrouvera tout puissant, ricana l'homme.

Ces imbéciles sont trop aveuglés pour comprendre quoique ce soit, je ne plus attendre Osor... Il sentit aussitôt l'approbation de son loup à travers leur lien.

"Albus, comment allons nous trouver cette personne ?" demanda Minerva McGonnagal.

"Je pense qu'un sort de localisation serait approprié à la situation. Nous devons nous focaliser sur sa signature magique, qui doit être assez puissante pour quelqu'un capable de détruire Azkaban." expliqua calmement Dumbledore.

"Mais professeur, que ce passera t-il si cette signature est masquée de façon à ce que personne ne puisse la débusquer ?" demanda une autre voix.

"J'allais y venir justement, ajouta t-il, un brin agacé. Le sort de localisation est assez particulier et sa puissance s'en retrouve décuplée s'il est lancé en même temps, par plusieurs sorciers de haut niveau. A ma connaissance, aucune signature n'a pu résister bien longtemps."

Plusieurs personnes hochèrent la tête en guise d'accord. C'était censé. Le professeur McGonnagal appela l'assemblée au vote, qui fut unanime comme toujours. Puis elle se retourna vers le directeur : "très bien Albus, quand est-ce que nous pouvons procéder ?"

Celui-ci leva sa baguette en direction d'un sac posé au centre de la table, et en retira plusieurs objets. "J'ai apporté les cinq cristaux nécessaires pour le sort, en espérant trouver votre accord. Chacun d'entre eux incarne le symbole d'un des éléments, l'eau, la terre, l'air et le feu. En ce qui nous concerne, le cinquième est le plus important : l'essence magique. J'aurai également besoin de l'aide de cinq puissants sorciers." expliqua t-il.

"Choisissez."

"Très bien. Minerva McGonnagal, Severus Rogue, Remus Lupin, Hermione Granger et Alastor Maugrey, si vous voulez bien vous avancer au centre de la pièce, nous allons commencer."

Tous se dirigèrent alors vers la table où le directeur avait déplié une carte du monde magique et disposé les cinq objets. Il indiqua ensuite la place exacte de chacun, puis leur fit signe de se préparer. A son signal, ils pointèrent tous leur baguette vers le cristal central et leurs voix s'élevèrent à l'unisson : "Locus of unus per vox". Elles se firent de plus en plus fortes à mesure que le cristal se déplaçait sur la carte. Quelques secondes s'écoulèrent encore avant qu'il ne s'arrête complètement et ne se brise en éclats scintillants. Le lien était à présent rompu.

Le sort avait nécessité une grande concentration de magie, et tous semblaient exténués. Le sorcier en question s'était bien caché, mais ils avaient réussi à détruire sa protection, du moins le pensaient-ils. Après s'être reprit, Dumbledore reporta son attention sur la carte et ses yeux s'agrandirent de stupeur.
Minerva, qui avait noté le regard alarmant du directeur, se pencha à son tour et demanda : "Albus ? Que se passe t-il ?"

"Le sorcier... se trouve ici, dans cette même pièce." répondit-il en scrutant les alentours.

Ces paroles provoquèrent un bouleversement général. Tous se levèrent, baguette en main, mais personne ne bougea d'un millimètre, ne sachant que faire ou quelle attitude adopter.

Puis comme surgissant de nulle part, un claquement de main se fit entendre, aussitôt suivit d'une voix affreusement moqueuse. "Bien joué professeur. Magnifique distraction je l'avoue. Vous avez très brillamment brisé ma protection. Mais est-ce réellement le cas ?"

"Que voulez-vous dire ?" demanda Dumbledore avec précaution. Il ne pouvait voir l'endroit d'où émanait la voix.

"C'est simple, avez-vous brisé ma protection ou ai-je consenti à vous laissez m'atteindre ?" reprit la voix.

"Vous n'avez pas pu nous stopper. Aucune protection n'est assez forte pour résister à six puissants sorciers", affirma Dumbledore avec certitude.

La voix se fit plus proche. "Vraiment ? Je suppose donc qu'il n'y a aussi aucun espoir pour que je détruise Azkaban ? Oh mais attendez ! C'est déjà fait. Mon pauvre Dumbledore, je me tenais dans cette pièce avant même le début de ce stupide meeting. J'aurai pu vous arrêter mais je trouvais l'idée assez amusante... voir quelle serait votre réaction en me sachant ici parmi vous." Le rire cruel et glacial accompagnant ces dernières paroles fit trembler la pièce.

"Deliquesco", murmura ensuite la voix. Toutes les baguettes présentes dans la pièce disparurent des mains de leurs possesseurs. Une brise froide se fit sentir avant que les portes ne se verrouillent brusquement, et des champs de protection ne s'élèvent. Les sorciers étaient maintenant tous piégés, sans défense et personne ne pouvait rien tenter pour s'échapper.

"Bien, maintenant, n'est-ce pas plus amusant et convivial ? Sachez que vous avez tous votre importance ici. Qu'adviendrait-il du monde magique si vous veniez tous à mourir ? Pensez au chaos général ! Et ce cher Lord en serait sans doute ravi, aucun obstacle pour contrer sa conquête du pouvoir," se moqua la voix.

"Je le savais ! Vous n'êtes qu'un de ses lèches bottes de mangemorts ! Traître ! Vous méritez d'être tué ! s'écria Ron Weasley en jetant un regard frénétique aux autres sorciers.

"Tss" répondit la voix. "Vraiment Dumbledore, ne pouvez-vous pas tenir vos chiens en laisse ? Je n'ai pas de journal sous la main, donc je crains devoir être obligé d'improviser. Adflictatio", dit-il sévèrement. Weasley fut violemment projeté au sol, se tordant dans tous les sens sous l'effet de la douleur. Hermione qui voulut se précipiter vers son ami, ne pouvait cependant bouger d'un pouce. "J'ai bien peur que tu ne puisses rien faire pour lui. Le chiot doit connaître sa place," entendit-elle murmurer froidement à son oreille.

Le reste des personnes présentes ne pouvaient détacher leur regard horrifié du roux, qui commençait déjà à cracher du sang. La voix reprit : "Oups ! Ce fut légèrement trop long. Finite. Et maintenant, le larbin sera t-il bien se tenir ?" demanda l'homme de son air le plus doucereux, à faire pâlir un Rogue de jalousie.

"Dis moi petit chiot, tu ne voudrais pas me mettre à nouveau en colère, n'est ce pas ? Tu ne réponds plus ? Tu n'as peut être rien à dire ? Et tu n'es plus amusant du tout," ajouta la voix avec un air faussement déçu.

Tous sentirent l'air de la pièce se fendre alors que les blessures de Weasley disparurent.

"Je suis loin d'en avoir fini avec toi. Mais avant..."

L'assemblée entière fut prise d'un sursaut incontrôlé. Aussi soudainement que la mystérieuse voix s'était fait entendre, la silhouette d'un homme se détacha des ténèbres. Son apparence dissimulée derrière une longue cape noire restait cependant un mystère. "Que cela serve de leçon à tous dans cette pièce." L'aura de puissance se dégageant de cet être se faisait ressentir.

A ses pieds se tenait également un loup, dont les pupilles rouges brillaient d'un air féroce. D'anciennes runes de couleur verte luisaient étrangement sur le haut de son front. Tous le fixaient avec effroi, osant à peine respirer de peur de se faire remarquer. Se sentant plus observé qu'il ne le faut, le loup émit un grognement sourd et des cris de panique s'élevèrent aussitôt dans l'assemblée.

"Ah tant de choses à faire et si peu de temps devant nous. Très bien, passons donc aux choses sérieuses ", s'exclama la silhouette d'un air réjoui.

"Severus Rogue, veuillez vous approchez."

Le maître des potions se leva si brusquement à l'annonce de son nom, qu'il en renversa sa chaise. Pâle comme un linge, celui-ci luttait tant bien que mal pour dissimuler la peur qu'il ressentait et les tremblements qui traversaient son corps. Après tout, il n'était pas espion pour rien. La silhouette lui désigna une chaise et l'invita à prendre place.

"Très bien Severus, puis-je vous appeler Severus ?" demanda t-il un sourire aux lèvres. Rogue savait pertinemment que l'homme pouvait même lui faire danser la valse s'il lui prenait l'idée. Il essayait juste de tester son sang froid, et le maître des potions ne savait jusqu'où ce jeu allait le mener. Ne voulant pas perdre le contrôle de lui-même devant autant de sorciers, il acquiesça.

"Heureux de l'apprendre, Severus. Vous êtes ici le principal qualifié dans l'art subtil des potions, est-ce vrai ?" continua t-il toujours avec autant d'amusement.

Rogue hocha à nouveau la tête et répondit froidement, "O-oui, monsieur."

Le sourire de l'homme s'agrandit. "Allons allons, pas de ça avec moi voulez-vous. Appelez-moi Prodo. Donc comme étant le plus qualifié, votre habileté à réaliser les potions les plus complexes compte énormément, n'est-ce pas ? Peut-on réellement compter sur leur fiabilité ?"

Rogue, qui ne voyait pas où l'étrange individu voulait en venir, répondit non sans cacher sa fierté : "en effet, plusieurs potions de haute qualité et dont l'usage est impératif me sont demandées par le ministère, et sont exclusivement préparées par mes soins."

"Comme c'est intéressant... et quelles potions exactement ?" demanda curieusement Prodo.

"Plusieurs filtres de guérison, des poisons, ou du véritaserum..." répondit-il d'un air hésitant. Les choses commençaient à devenir plus claires dans son esprit. Il en avait trop dit.

"Excellent ! Et je ne doute pas qu'en expert averti, vous disposez de certaines de ces potions à portée de main. Allez donc me chercher le véritaserum je vous prie."

Voyant l'air effaré de Rogue, celui-ci ajouta : "je vous le demande gentiment, mais je peux employer la manière forte si vous préférez. Rien ne vaut une petite séance de torture pour faire plus ample connaissance. Qu'en dites-vous ?" Son air curieux avait totalement disparu, et relevait à présent plus de la menace que d'autre chose. "Ne vous en faites pas cher Severus, ce filtre est destiné à un autre. Des secrets bien plus intéressants méritent d'être dévoilés..." Son regard s'attarda sur le directeur, dont l'anxiété monta d'un cran.

Le maître des potions s'exécuta sans plus attendre et fouilla dans la poche de sa robe. Il en retira une fiole transparente et la lui tendit en ricanant intérieurement. Il semblerait que le directeur allait devoir se soumettre à un petit interrogatoire.

Prodo s'empara de la fiole, son éternel sourire suspendu aux lèvres puis l'ouvrit afin d'examiner son contenu de plus près. Mieux valait pour Rogue qu'il ne se risque pas à mentir. Puis jetant un regard pénétrant au maître des potions, il ajouta d'un air mauvais: "Oh et Severus, j'ai menti. C'est pour vous. Le vieux fou ne vous a-t-il donc pas appris à vous méfier des mystérieux inconnus ?"

D'un geste de main, Rogue fut immobilisé sans qu'il ne puisse rien faire, si ce n'est le scruter de ses yeux ébahis. Prodo lui fit avaler trois gouttes de véritaserum et observa l'effet produit sur le professeur, à mesure que l'élixir se mêlait à son sang. Celui-ci continuait à le fixer, mais cette fois-ci, le regard vide.

"Commençons," s'exclama malicieusement Prodo. " Quel est votre nom ?"

"Severus Rogue", répondit le professeur d'une voix exempte de tout sentiments.

"Votre profession ?"

"Professeur de potions à Poudlard."

"Votre date de naissance ?"

"9 Janvier 1959," continua Rogue du même ton.

"Bien, très bien. Nous allons vite voir si la potion fait réellement son effet, ou si ce cher Severus ose nous mentir. Qu'en dites-vous Dumbledore ?" demanda Prodo en se retournant vers un directeur plus pâle que jamais.

Dumbledore, qui essayait tant bien que mal de retrouver son calme légendaire, répondit lentement : " je ne vois vraiment pas l'intérêt d'interroger Severus, ni son utilité pour vous."

Prodo eut un rire machiavélique qui suffit à le faire blêmir davantage. " J'en doute voyez-vous. Mais votre illustre intelligence va vite vous permettre de comprendre..."

TBC...