Disclamer: C'est pas mes persos mais je remercie J.K. Rowling de ne pas nous attenter un procés à chaque fois que nous écrivons sur ses personnages, surtout de la façon dont nous le faisons!
Notes: Suite à un défis sur un LJ qui m'a beaucoup inspiré, j'ais décidé de courts OS sur le théme de Voyage, avec comme perso principal, Ron (mais pas toujours)
Toujours est-il que bonne lecture à tous!
Voyages
Mes pieds quittent terre mais je reste lucide, je ne vole pas. Enfin peut-être… je ne sais pas. Tout ça me donne envie de rire. Et toi aussi ça te fait rire. Tu me tire la langue. Merlin, elle brille comme de l'argent, ta langue et surtout ta petite boule, qui vient me chatouiller le palais. Je passe ma main sur tes dunes de sables. Tout s'effrite sous mes doigts, mais toi tu restes entière, à moi, pour moi. Je ne savais pas que tu venais du Japon, ma petite fée…
Si je te jure ! Tu es douce comme de la soie. Ma main glisse sur ta peau de pêche… c'est moi, ou tu es sucrée comme elle aussi ? mais comme Madame la pêche aussi voyons !
Je reprends de ton verre… c'est pas le tien ? C'est pas grave, ce qu'il y a dedans est tout aussi bon que ce qu'il y a dans le tien. Tu es reproduite en mille, mon unique. Je te vois au kaléidoscope et tes yeux me rendent riches de mille joyaux.
Je me rappelle de ce voyage en Egypte. Je ne souviens plus de quand il date… mais je revois le soleil qui me caresse doucement les cheveux, les cris et les chants des vendeurs et vendeuses des marchés moldus… non, laisse moi finir, je t'expliquerai plus tard ma tendre. A l'ombre d'une tente, nous prenions un thé à la menthe, fumant. Puis un soir, nous sommes montés sur le sphinx. Nous dominions la vallée de vos rois.
Je revois le thé fumant… regarde, il est là ! Bon d'accord, la tasse est conique mais c'est du thé ! Regarde, là il y a la menthe !
Bien sûr que non que c'est pas la première fois que j'en prends ! Ah ça ! Non. On ne m'avait jamais expliqué pareil merveilles moldus… laisse moi finir, je te dit que je vais t'expliquer. Laisse couler ets cheveux de grenadines. J'aime cette couleur. C'est comme le feu que tu a en toi et qui me réchauffe les nuits. Toutes les nuits depuis qu'on s'est connu dans ce pub de Camden Town.
J'avais peur de toi… ouh, tu me fais peur encore… mais là, je ne me souviens plus pourquoi. J'ais juste envie d'entendre ton rire…
C'est quoi cette musique ? c'est pas de la musique ? Ah c'est lui qui parle… il parle si bien. Viens. Je veux goûté de ta parole. Si fort si dure… tu es un dieu, n'est-ce pas ? Un dieu ou un héros grecque. Si tes longs cheveux noirs de corbeaux. Tes yeux colbat sont comme la mer que dût affronter Ulysse afin de revoir sa bien aimée et ta voix au lyre d'Orphée qui, hélas, perdit sa femme dans les Enfers. Et tes muscles de marbre qui croule sous ton charme. Embrasse moi.
Embrasse moi… j'ais mal de plaisir. Le plaisir me brûle la peau. Tes baisers me brûle… et toi , ta langue me chatouille encore, mais plus le palais. Tu dis que j'ais le goût de chocolat ? C'est bien la première fois !
Embrassez moi tous, mes déesses, mes nymphes, mes Dieux et mes Hommes.
Embrassons nous.
Et faisons de ce voyage, le plus beau des paradis artificiels...
