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Chapitre 45 : Dead End
J'ai pas franchement eu le temps de comprendre tout ce qui se passait vers la fin. Ç'a été… trop vite. Beaucoup trop vite !
On est rentrés de nos « vacances » à Utai pour mieux repartir à la recherche d'AVALANCHE après. Quand on les a localisés, cinq jours plus tard à peu près, ils étaient dans un petit village paumé dans le grand nord ! C'est moi qui y suis allée. J'étais pas mal remontée contre eux…
J'avais demandé à Reno plus de détails sur ce qu'il s'était passé avec Tseng au Temple des Anciens – il avait d'abord fallu le temps qu'il se calme. Il m'a dit qu'il avait été blessé après mon départ et que Cloud et sa bande l'avaient laissé agoniser sur le pavé. Enfin, Vincent, Cait et cette fille, Yuffie, l'avaient un peu aidé, eux, mais il était déjà trop tard. Dire qu'Aerith était passée et qu'elle n'avait rien fait ! J'étais furieuse. Tseng l'avait quasiment élevée, non ? Et… Et elle l'avait laissé mourir ? …Salope. C'était comme s'ils avaient tué Tseng…
J'étais donc là, à Icicle Inn, face à Cloud, Tifa et Nanaki. Furieuse.
-T'en a du culot pour avoir tué notre chef ! sifflai-je à l'adresse de Cloud.
-Quoi ? Mais non…
-Silence !
Imbécile !
Je levai la main d'un geste menaçant. Il ne broncha pas et je le giflai avec force. Il me regarda d'un air aussi surpris que moi.
-Tu aurais pu esquiver facilement, pourquoi n'as-tu pas évité ?
Il ne répondit pas. J'étais un peu refroidie. J'aurais sans doute préféré qu'il sorte les armes pour se venger. Ça me mettait mal à l'aise cet espèce de calme qu'il avait. Je fis enfermer le groupe dans une maison abandonnée et ordonnai aux soldats m'accompagnant de les empêcher de sortir du village si l'envie leur en prenait.
Cloud était étrange. J'ai compris pourquoi quand j'ai appris la nouvelle. Aerith avait été tuée par cet espèce de faux Sephiroth qui avait également blessé mortellement Tseng. Au fond… bien fait pour elle.
°°°
J'avais rarement vu Reno aussi joyeux. Et pourtant, il n'y avait vraiment pas de quoi ! Il s'était passé un truc étrange à cause de cette materia qu'AVALANCHE avait obtenu au Temple des Anciens (la materia était le Temple lui-même d'après ce que j'avais compris). On avait eu du mal à avoir les explications mais Rufus nous les avait tout de même données : il était allé au cratère Nord, accompagné de Heidegger, Scarlet et… Hojo. Il était réapparut celui-la ! Il était revenu de lui-même pour vérifier ses théories. D'après ce que j'ai compris, au fond du cratère se trouvait Sephiroth. Le VRAI Sephiroth ! Son corps se régénérait là depuis cinq ans car son âme ne s'était pas fondue dans la Rivière de la Vie comme le veut le cycle de la vie. Si Tseng avait su… Si Tseng avait su que Sephiroth avait été créé par Hojo, qu'il avait du Jénova en lui en une quantité pas permise…
Si Tseng avait su que Sephiroth était réellement un monstre…
Cloud a donné la Materia Noire à Sephiroth, la Planète s'est sentie en danger et a réveillé des monstres immenses qui dormaient là, au fond du cratère, et leur envol a provoqué l'effondrement de tout – ceux qui se trouvaient là n'ont eu que le temps de s'enfuir (excepté Cloud qui serait tombé dans la Rivière de la Vie). Tout cela on me l'a raconté et expliqué sans quoi je n'aurais rien compris.
Sephiroth, en possession de la Materia Noire, a commencé à invoquer le Météore, le sort de Magie Noire ultime (encore plus ultime que le sort ultima) et depuis pas mal de jours maintenant, la petite planète invoquée est visible dans le ciel….
°°°
-Ils vont passer par ici.
Je m'appuyai nonchalamment contre un mur du tunnel. L'endroit était loin d'être propre. De toute façon, on ne le lui demandait pas. Ce n'était jamais que le tunnel où passaient les trains reliant les Taudis à la Plaque.
Nous avons ordre d'arrêter AVALANCHE coûte que coûte. Quel ordre stupide. Nous avons des comptes à régler avec eux, c'est vrai, mais en ce moment, tout le monde essaye de sauver le monde, non ? Que ce soit AVALANCHE, ou la Shin-Ra, peu importe tant que la vie est préservée, non ? Enfin, personnellement, je m'en fiche un peu. Je ne demande que ça, moi, mourir.
On va tous crever. C'est sûr. Face à ces monstres… les Armes, Sephiroth, JENOVA… Ne parlons même pas du Météore… Nous n'avons aucune chance d'en réchapper et c'est tant mieux. Il s'est passé vraiment beaucoup de choses…
Les Armes se sont envolées. Rufus a décidé de faire exécuter publiquement deux boucs émissaires pour calmer le peuple – deux membres d'AVALANCHE. C'était sur conseil de Heidegger. Scarlet devait s'occuper de l'exécution – ça se déroulait à Junon. Mais tout a échoué à cause de l'attaque d'une Arme, Sapphire Weapon. A l'aide de Sister Ray, l'immense canon qu'ils ont construit à Junon il y a plusieurs années, ils l'ont tuée mais AVALANCHE s'est enfui avec un aérostat. Après, le groupe de rebelles n'a eu de cesse de tout faire pour contrecarrer les plans de la Shin-Ra. L'idée était de récupérer de la materia superpuissante fabriquée dans certains réacteurs Makô et de l'envoyer s'écraser contre le Météore via une fusée. Mais AVALANCHE a récupéré toute la materia.
Je les ai laissés faire. Ils avaient retrouvé Cloud dans une clinique à Mideel, un village paumé dans le sud… Ce type a une chance pas croyable.
Ils ont foutu une raclée à Rude pour récupérer la materia déjà chargée dans la fusée. Manque de bol ils se sont envolés avec. Je ne sais même pas comment ils ont survécu. La fusée s'est écrasée contre le Météore et ça ne lui a pour ainsi dire rien fait.
HAHAHAHAHA !
Hojo est venu me voir assez souvent. Il avait besoin de quelqu'un comme moi. J'ai accepté de l'aider. Je me fichais totalement de ce qu'il me ferait. Allez, qu'il continue donc ses expériences si ça l'amusait… Ce fou. Ce fut douloureux. Tout du moins les fois où il ne m'anesthésiait pas. Ça ne me dérangeait pas de souffrir…
Et puis là, on se retrouve dans une putain de situation bordélique au possible. Une Arme – Crystal Weapon, a attaqué Midgar. Il semblerait qu'elle ait été tuée comme prévu à l'aide de Sister Ray (qui a été déménagée de Junon à Midgar et connectée aux huit réacteurs Makô). Mais. Rufus dirigeait les opérations depuis le 70ème étage de la Shin-Ra. Et l'Arme a eu le temps de raser les étages supérieurs de la Tour... Je ne pense vraiment pas que Rufus aie survécu.
-Reno, ils arrivent, je crois.
-Mmh.
Je me redressai et me plantai au milieu du chemin. Cloud ne tarda pas à arriver, escorté de Vincent et Nanaki.
-Nous avons pour ordre de t'arrêter, l'informai-je.
-Je ne tiens pas à me battre…, répondit-il.
-Mmh ? Je vois… Moi non plus. …Vous pouvez passer.
-Reno ? s'écria Elena.
-C'est la fin de la Shin-Ra et ce sera bientôt la fin du monde. Nous avons mieux à faire, non ?
Qu'est-ce que tu aurais fait à ma place, Tseng ? Honnêtement… je crois que tu leur aurais cédé le passage comme je vais le faire. Tu l'as dit toi-même. Il y a longtemps que tu ne crois plus en la Shin-Ra. Tu n'y a d'ailleurs jamais réellement cru. Tu attendais juste ton salaire à la fin du mois.
…Et on leur céda le passage.
°°°
En fin de compte, Reno avait raison. C'était bel et bien la fin de la Shin-Ra. D'abord Rufus, tué par Crystal Weapon. Puis Heidegger et Scarlet, tués par AVALANCHE. Puis… Hojo, tué par AVALANCHE également. Reeves avait changé de camp depuis un bon moment déjà. Et nous quittions le navire. Oui, c'était bel et bien fini. Reeves nous a demandé de profiter de la vie comme nous le pouvions. La fin du monde approchait à mesure que le Météore grossissait, là-haut dans le ciel, se faisant toujours plus gros, se dessinant plus nettement, obscurcissant le ciel…
On s'est installés à Kalm pour un temps. Nous faisions pas mal d'aller-retour entre la petite ville et Midgar, emmenant parfois des gens avec nous. Nous essayions de persuader les habitants de fuir cette ville comme la peste. C'était là que s'écraserait le Météore. Il me semblait que Reno ne s'était jamais senti aussi bien à Midgar. J'avais intérêt à garder un œil sur lui.
°°°
Et puis ce fut l'Apocalypse. Nous y étions donc arrivés… Nous nous tenions tous les trois à la sortie de Kalm. De là où nous étions, nous pouvions voir Midgar au loin. Et le Météore, achevant sa descente.
Nous allions donc mourir ? Un léger bruit de moteur attira mon attention et je levai les yeux vers le ciel. Une sorte d'avion étrange venant du nord… Il me faisait assez penser à cet aéronef qu'utilisait AVALANCHE. Ces fous étaient partis combattre JENOVA et Sephiroth au fond du cratère. En étaient-ils ressortis vivants ? Je tournai mon regard vers Rude et Reno. Et je dû me faire à l'évidence. Ils n'étaient plus là.
°°°
Rude me donna un coup dans le dos, me sortant de mes songes. Je levai les yeux et contemplai avec un sourire quelque peu triste le Météore achevant sa descente infernale. Ça y était. L'Apocalypse, la fin du monde… On y était enfin arrivés. …Tant mieux après tout. Que pouvait encore m'offrir la vie ? Rien.
La Tour Shin-Ra s'effondrait dans un concert d'explosions et d'étincelles, ses fondations pourries cédaient les unes après les autres. L'arrogance et l'orgueil des hommes se pliait face à l'astéroïde, symbole de l'inexorable fin nous attendant. Je quittai des yeux l'effroyable spectacle un instant pour regarder la terreur gravée sur les visages de Rude et Elena. Je ne les avais jamais vus ainsi. Ils regardaient la Mort en face. Leurs yeux étaient fixés sur cette scène apocalyptique, hypnotique, horrifique. Et moi j'étais là avec mon sourire béat, détendu comme je ne l'avais encore jamais été. Je marchai un peu, foulant l'herbe sombre et finis par m'arrêter et m'étendre sur le tapis végétal, les yeux à nouveau rivés sur l'Épouvantable. Midgar s'écroulait dans la pourpre du sang et des flammes. Quelle ironie… Un léger rire s'échappa de mes lèvres pour rapidement se transformer un rire fou et nerveux. Je me relevai, essuyai une larme de rire me brouillant la vue et me retrouvai aveuglé par un vif éclat de lumière.
Impossible...! Non !
Je me frottai les yeux espérant faire ainsi disparaître cette vision, mais en vain. Je savais ce que c'était. Le Sacre.
Pourquoi diable était-il apparut ?
« Le Sacre est le sort de Magie Blanche ultime en opposition avec le Météore. Aerith possédait la materia pouvant l'invoquer, la Materia Blanche. Elle priait pour invoquer le Sacre quand « Sephiroth » l'a tuée » C'est ce que nous avait rapporté Cait Sith.
…Pourquoi ! Je retombai à genoux et frappai le sol du poing. Une colère indicible commença à faire surface, prenant possession de mon être. Je hurlai ma rage au Sacre, dégainai mon revolver et tirai vers Midgar. En vain, je le savais, mais… j'avais besoin de passer mes nerfs sur quelque chose au plus vite pour étouffer le feu attisant ma haine et ma colère. Je me mis à courir en direction de Midgar sans me soucier de Rude, derrière moi, m'appelant et m'ordonnant de m'arrêter. Impossible. C'était à présent la folie qui guidait mes gestes…! Je butai dans un corps et me retrouvai face à un loup. Il avait l'air paniqué et montrait les crocs, hérissant ses poils autant qu'il le pouvait. Un rire nerveux m'échappa à nouveau et à mon tour je montrai les crocs, grondant et prenant l'air le plus menaçant possible. Complètement déboussolé, l'animal se mit à reculer un peu, les oreilles rabattues en arrière et continuant à gronder. Je me jetai sur lui, frappai, mordit… Je réussit à grimper sur son dos et passer un bras sous son cou. Je resserrai mon étreinte, lui arrachant des gémissements étouffés. Il s'écroula en haletant. Encore un peu et je le tuais. Sans savoir pourquoi, je relâchai soudainement la pression et m'effondrai sur la bête, la tête posée contre son flanc comme s'il s'agissait d'un oreiller. Un sourire se dessina sur mes lèvres. Il était déjà trop tard pour que le Sacre arrête le Météore… Mon loup émit un grognement et tourna son regard vers le nord. Je l'imitai et vis. La Rivière de la Vie au secours du Sacre, au secours de la Planète. Je fermai les yeux. Il n'y aurait pas de fin du monde.
-Hé… le loup… Rends-moi un service, tue-moi…, murmurai-je.
Je me couchai juste à côté de lui, le cou près de sa gueule, offert à ses canines acérées. Il semblait hésitant, reniflant ma chair avec méfiance.
-Tue-moi bordel… Tue-moi ou c'est moi qui te tuerai…, gémis-je.
Un coup de feu retentit et mon loup s'écroula, saignant abondamment de la tête. Je sautai sur mes pieds et me tournai vers Rude, revolver en main.
-Pourquoi tu l'as tué ! hurlai-je.
-Il allait te tuer toi…
-C'était ce que je voulais… J'ai plus aucune raison de vivre ! La Shin-Ra n'existe plus, je n'ai plus d'employeur et j'ai pas envie de changer de métier. Et la vie sans Tseng n'a aucun sens pour moi. J'ai besoin de lui pour vibrer… Je le détestais, je faisais tout pour l'énerver… C'était ma manière à moi de l'aimer… Rude… Tue-moi… ou c'est moi qui te tuerai.
Il braqua son revolver sur moi et pressa la détente.
J'allais enfin pouvoir reposer en paix…? Non… La balle alla se loger dans mon poignet droit, me faisant lâcher mon arme. Rude tira une deuxième fois, dans mon poignet gauche cette fois, pour m'empêcher d'utiliser une quelconque arme…
°°°
-Elena, tu sais où est Reno ?
Je me retournai vers Rude avec l'air surprise.
-Non… Il ne t'as pas dit où il allait ? Il te dit pourtant tout, d'habitude, non ?
-…Merde !
Il prit une chaise et se mit à réfléchir intensément, tentant sans doute de deviner où avait pu aller Reno. Je continuai à ranger le bordel se trouvant sur la table.
-Qu'est-ce que c'est que ce papier ? murmurai-je pour moi même en avisant un post-it.
Je le pris et lu. « suis parti à Utai, ne reviendrai pas, j'espère ne pas trop vous manquer, vous étiez une famille pour moi ».
-Rude… il est parti à Utai. Je ne sais pas où exactement mais il dit qu'il ne reviendra pas… On dirait qu'il veut couper les ponts.
°°°
Couper les ponts ? Oh non, Lena ! Pas les ponts ! Les veines !
°°°
« Tu m'as ordonné de vivre. Sais-tu dans quel enfer tu m'as plongé ? Je ne saurai jamais dire combien je t'aimais. L'amour ne se compte de toute façon pas, ne se mesure pas non plus… L'amour n'a pas de poids, pas de taille matérielle… L'amour n'est qu'un sentiment qui anime le corps et l'esprit. Combien de fois le seul fait d'être près de toi a-t-il fait battre mon cœur à la chamade ? Combien de fois ai-je dû détourner les yeux pour que tu ne me voies pas rougir ? Combien de prétextes ai-je prit pour te serrer dans mes bras et t'embrasser ? …Je n'en sais foutrement rien.
L'amour n'est qu'un sentiment qui anime le corps et l'esprit. Il peut donner une intensité fabuleuse à la vie. Ou lui ôter toute consistance…
Je t'aimais. Il m'a fallut du temps et de l'aide pour le réaliser, l'admettre, l'assumer… Mais très vite après, j'ai compris que je ne pouvais pas vivre sans toi. J'ai compris ce que signifie « dérober le cœur de quelqu'un ». Tu avais dérobé le mien et sans lui je ne pouvais pas vivre. Sans toi je ne peux vivre. Je t'aimais et je t'aime encore.
Tu m'as ordonné de vivre, tu m'as jeté dans une impasse. Tu ne pouvais m'infliger pire punition. Nous sommes tous des morts en sursit. Mon sursit s'est écoulé en même temps que le tien. Tu nous as quitté et tu as emporté mon cœur avec toi… tu as emporté mon âme avec toi…
Je t'aimais et je t'aime encore.
Pardonne-moi mais je ne peux vivre sans toi. Permets-moi au moins de te
rejoindre là où tu es. Ne m'en veux pas, comprends-moi… Je t'aime juste.
Tseng.
« Je suis en état continuel de
t'aimer »
comme j'aurais aimé t'entendre me le dire un jour en utaien…
Aishiteru. »
Je pose mon pinceau avec lenteur et jette un dernier regard à cette lettre écrite à l'encre rouge. Mon regard glisse sur mon poignet gauche maculé de sang. Je me lève avec lenteur. J'ai un léger vertige malgré tout… J'essuie le sang sur la lame et lacère mon poignet droit d'un geste vif. Ma main gauche lâche le couteau. Je n'en aurai plus besoin à présent. J'ouvre le paravent donnant sur le jardin zen. L'odeur de la pluie vient aussitôt se mêler avec celle de l'encens qui se consume en volutes bleutées. Quelle harmonie enivrante… Je passe le seuil et descend à pied nus dans les graviers. La pluie a effacé les cercles concentriques autour des pierres… Je m'effondre au milieu du jardin. Le ciel au-dessus de moi est d'un superbe gris sombre, presque noir, monochrome, et ses larmes se mêlent au miennes. Je tourne la tête vers mon poignet droit pour contempler la rivière pourpre qui s'en échappe à chaque pulsation de ce cœur implorant la mort depuis trop longtemps déjà. La rivière se mue en fleuve et se jette dans une mer aux flots d'un beau rouge se diluant dans les pleurs de ce ciel en deuil… Je ferme les yeux. Mes lèvres s'étirent en un sourire serein. Mon corps se glace peu à peu. Je peux enfin dire adieu à cette non-vie…
Tseng… Ne m'en veux pas. C'est toi que j'aime.
Fin
NdVixen : ...voilà. Court ce chapitre, hein ? Et c'est le dernier. Désolé. Je voulais finir sur un nombre multiple de 5. 45 chapitre, c'est assez, non ? Je n'en pouvais plus de me torturer l'esprit pour écrire. Mardi 23 août 2005, 2h09 du matin (enfin de la nuit), ça y est, je l'ai terminée cette fic. Enfin presque. Restent les dialogues à aller rechercher dans le jeu (fait chier), eh oui, je ne les connais pas encore tous par cœur (s'il y avait des voix nul doute que je les connaîtrais déjà, mais bon… qui sait… dans FF7 version PS3 peut-être ?). Dès que je peux je les recopies et je les apprend par cœur. Ensuite, si j'en trouve le courage, je recopierai tous les dialogues du jeu. (j'avais commencé à le faire pour FF9, sur post-it, depuis le Palais du Désert jusqu'à Mémoria, imaginez la pile, 2cm de haut au moins ! et recto verso ! je me suis choppé une tendinite au poignet à force d'écrire). Quoi qu'il en soit… Si vous lisez ces lignes , sachez que vous avez mon éternelle gratitude. N'hésitez pas à reviewer, ça me fera un immense plaisir, et ce même si ce sont des flames pour dire que cette fin est complètement naze ! (vous ne pouvez le dire sans avoir lu, donc, c'est que vous avez lu et j'en serai comblé !). Merci encore d'avoir eu le courage et la patience de tout lire ! A plus pour la suite (qui sera nettement plus courte !). Et… qui me trouve d'où vient le titre ? (Dead end signifie Impasse ! avez-vous déjà vu ça quelque part ?)
