Bonjour Chers lecteurs !

Merci d'être aussi fidèles à ma fiction ! Et voui, je voulais remercier tout les lecteurs, car sinon l'écriture n'aucune utilité…enfin bref, là, je divague…NdC : ce n'est pas que là

Je ne sais pas quoi dire d'autre à part que ce chapitre a été assez « dur » à écrire car je voulais transmettre certains sentiments et j'espère y être arriver… Vous me direz, hein ?

J'ai beaucoup travaillé sur ce chapitre… mais il me plapit pas spécialement °l'auteure qui stresse°

Breffff !

Voici le chapitre 7 ! En espérant qu'il ne vous déçoive pas…

BoNnE lEcTuRe !

Harrie, l'auteure sadique de fanfictions ?

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Elle se déroule pendant la 7eme année à Poudlard pour nos héros.

Ceci est un slash/yaoi, donc HOMOPHOBES DE L'AIR !

Disclaimer : Les personnages sont tous à JK ROWLING…L'histoire et la redac sont de mwa !

Rating : M

Petit Résumé : Quand Harry Potter commence à philosopher sur la vie…

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Dédicace : A tout ceux qui me lisent ! Je vous aime !

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¤Dangereux Délices¤

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¤#¤ Chapitre7 :Ne fallait-il pas commencer par se haïr, lorsque l'on doit s'aimer¤#¤

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Je n'ai pas trop compris ce qui s'est passé ce matin…. Drago semblait si perdu. C'est tout juste s'il ne m'implorait pas.

J'aimerais savoir ce qu'il cache au fond de son cœur.

Ca ne doit pas être quelque chose de facile, vu la manière dont il s'accrochait à moi.

Je n'étais pas en reste, non plus, nous nous perdions dans le même tourbillon, cherchant inlassablement quelque chose à quoi se raccrocher.

Je peux vous dire aussi, que c'est étrange de voir Drago Malfoy faible , voir qu'en fait, c'est un être humain et qu'il a un cœur. Ce cœur qu'il étouffe par une armure de froideur.

Et pourquoi fait-il cela ? Je sais que c'était à cause de son père mais il aurait pu lui tenir tête, et maintenant qu'il est enfermé à Azkaban, il pourrait oublier cette « éducation »… Mais peut-être que sa « rébellion » lui aurait coûtée très cher…

Il m'a demandé pardon, mais j'avais la gorge trop nouée pour lui répondre quelque chose.

« S'il-te plaît…. Harry... pardonne-moi... »

La seule chose que j'ai pu faire, c'est de le serrer très fort contre moi, comme pour me persuader qu'il était bien là ; que ce n'était pas le produit de mon imagination débridée.

° « Oh psst ! j'suis sûr qu'ils sont dingues ! »

« Qui ose parler quand le Grand, le Magnifique Survivant vous compte Son Magnifique histoire ? »

« … »

« Si ça se reproduit, je demanderais à ce cher Rogue de vous préparer une surprises à sa sauce ! » °

« Harry », reprit-il dans un murmure, « … Ce n'est pas que la position est inconfortable.. mais tu m'étouffes presque… »

« Ho… » dis-je, en le relâchant doucement, confus « … Je… je… désolé »

« Ne sois pas désolé pour ça », me répondit le Blond avec un faible sourire accroché sur son visage.

En le voyant comme ça, j'eu envie de l'embrasser.

Alors, avec légèreté, je m'approchais de ses lèvres pâles, jusqu'à ce que je sente son souffle chaud se mêler au mien.

J'hésitais à aller plus loin… Je restais « là », à quelques millimètres de lui…

Pourquoi ?

Peut-être par peur d'être rejeté, je ne sais pas, je ne sais plus…

Puis, la prise qu'avait Drago autour de mes épaules se resserra brusquement. Nos lèvres se touchèrent sauvagement. (Nda : maiissss garder m'en un peu ! lol)

Elles se cherchaient inlassablement. Cette douce caresse me faisait perdre pied. J'ouvris la bouche pour laisser le plaisir à ma langue de goûter à cet ange. Sans attendre, il m'ouvrit son intimité. Je soupirais d'aise juste à sentir le contact chaud de sa langue contre la mienne. Je crois que ne pourrais plus jamais m'en passer, c'est comme un nectar divin que je boirais pour l'éternité.

Je sentis sa main caressait sensuellement mon dos de toute sa hauteur, puis cette même main fraîche passa sous mes vêtements. A ce contact, un frisson me parcoura l'échine.

Mais à ce moment, notre étreinte trouva un rythme plus lent, jusqu'à ce que nous nous écartions, repus, un doux sourire flottant sur nos lèvres.

« Alors… C'est comme ça que notre St Potter National réconforte les âmes en perdition ? »

« Je… De toute manière, la potion de Perceptivité viendrait contre argumenter ton « plaidoyer » ! »

« Hum.. Peut-être.. », fit-il ironique

« M ! Drago ! Je peux comprendre que tu ais des problèmes, mais ne joue pas à ça avec moi ! Oh le pauvre Serpentard à l'honneur bafoué ! Si tu as besoin d'aide, je suis là… Je comprends aussi que tu ais besoin de penser à autre chose mais évite les sarcasmes ! » dis-je rageusement

Il me regarda d'une manière étrange, un mélange de mélancolie et d'espoir…

« En effet, j'ai envie de penser à autre chose. Et pour ce faire, j'ai besoin de toi ! » m'expliqua-t-il

« Je t'écoute…. »

« Es tu prêt à vérifier, comme tu le laissais entendre tout à l'heure, l'étendue du pouvoir de la potion de Percéptivité ? Depuis le temps qu'on en parle… », sa voix s'éteignit.

Je déglutis.

« A quel point ? »

« Ah, ça je ne peux pas te dire… Mais, on peut essayer de voir ça ensemble ! » me répondit malicieusement le Serpentard.

Qui aurait pu croire que Drago Malfoy pouvait jouer à ce jeu là aussi vite, après m'avoir pleurer dans les bras ?

En tout cas, pas moi !

« Cela risque d'être une route remplie d'embûche et d'épines… »

« Ne me dites pas que Preux Chevalier Potty serait prêt à décevoir ses fans en renonçant à cette « offre » ! »

« Je serais mortifié de décevoir mon public ! » (NdH : )

« Alors qu'attendez-vous, Preux Chevalier, pour montrer la route à votre « damoiselle en détresse », rôle qui semble m'être attribuer d'office ?

Oh, j'ai oublié de me vêtir pour cette quête ! (Nda : c'est vrai que depuis le chapitre 6, Drago est en caleçon… bave-bave mais bon, je pense que pour la suite, il en aura pas vraiment besoin )

« Pour vos vêtements, jeune damoiselle, enfilez vite votre quelque chose, nous partons dans la minute !

Mais pour cette quête, j'attends qu'on me donne le courage de la commencer … » (NdH : re )

« Je reviens dans un instant sieur ! »

Drago partit dans la salle de bain, et à peine quelques secondes ensuite, il revint avec une chemise noire, largement ouverte (Nda : arrêtez de baver !) et un jean bleu délavé.

« Bien ! Que puis-je faire pour vous, mon Chevalier ? » me demanda Drago

« Hum… A vous d'imaginer ! » répondis-je mystérieusement

« Je n'ai pas énormément de choix qui s'ouvrent à moi… »

« J'attends petit ange en perdition ! »

« Très bien ! Approchez-vous valeureux guerrier… Encore…Encore un petit peu…. Voilà !

Fermez les yeux ! »

Une langue exploratrice vint dessiner le contour de ma bouche. Un léger sursaut de plaisir s'empara de moi.

Puis tel un papillon insatiable, les lèvres du Blond s'aventura sur mes joues, mon front, mon nez, ma mâchoire… Pour finir par effleurer la peau frémissante de mon cou. Quelques baisers taquins sont partis à la découverte de la peau fine et sensible de mon oreille.. Un petit gémissement m'échappa autant par la sensation de ses lèvres sur moi, que parce qu'il s'était arrêter…

Drago posa son front sur le mien, et me murmura :

« As-tu assez de courage maintenant ? »

« Il le faut bien ! »

Aucun de nous deux arrivait à croire que nous étions en train de se perdre dans ce jeu…

On semblait à la fois inquiet et rassuré.

Inquiet car on ne savait pas vraiment quel chemin suivre, mais rassuré car l'autre était à nos côtés.

Doucement, je m'approchais des lèvres de Drago… Je sentais que mes lèvres tremblaient, mais je ne savais pas pourquoi… Etais-ce de peur ? Ou tout simplement de désir ?

J'effleurais une fois les lèvres du Blond. Il soupira en s'écartant, les lèvres brûlantes. Je m'humecta les lèvres. Et nos bouches repartirent à la rencontre de l'autre.

Il n'y a rien de plus que de la douceur et la chaleur de ce toucher, mais j'étais prêt à lui donner bien plus.

Ma main gauche s'accrocha à la manche de sa chemise et l'autre glissa dans sa nuque, caressant ses cheveux soyeux. Il resserra rapidement son étreinte et approfondit le baiser avec passion, alors qu'un gémissement m'échappa une fois de plus.

Je me détacha de lui et alla explorer son cou. Je remarqua qu'il tremblait, je le serra encore plus étroitement..

« Tu as peur ? » demandais-je doucement, le tête toujours enfouie dans le creux de son cou.

« Non », répondit-il d'une voix honnête. « Ne t'en fais pas pour moi… »

« Si j'ai envie de m'inquiéter pour toi, c'est mon choix », lui répondis-je en le regardant dans les yeux. « N'ai plus peur petit Dragon, car j'ai envie de te prouver, qu'une douce lumière t'attend dans ce monde…» (Nda : ouaa ! c'est beau , qui me dira un jour quelque chose comme ça nn)

Il me sourit doucement et acquiesce doucement, rassuré.

Je dirigea lentement mes mains sur son torse, pour finir de déboutonner sa chemise. Il frémit alors que ma bouche traçait un sillon de son oreille à ses clavicules.

Je le plaquais encore plus étroitement contre la porte froide de l'entrée. L'excitation commençait à se faire sentir.

Rapidement, je lui retira son vêtement, et me recula légèrement pour l'admirer. J'avise une cicatrice, un peu en dessous du téton droit, et je me penche dessus pour la lécher, désireux de faire disparaître toutes marques qui ne soient pas de moi, autant dans le corps que dans l'esprit de mon Serpentard.

Deux mains se perdent dans mes cheveux, puis se glissent sous le col de ma robe, je remonte vers le visage de Drago, qui me fait un petit sourire avant de commencer à me déshabiller à mon tour.

Je souris et l'embrassa doucement alors qu'il lutte avec les attaches.

« Vous êtes bien impatiente, jeune demoiselle ! » dis-je moqueur.

« Et vous pas assez ! » me rétorqua-t-il avant de reprendre mes lèvres pour un baiser vertigineux.

Nos bouches fiévreuses toujours soudées l'une contre l'autre, nous essayâmes de nous diriger dans la pièce principale, où un grand feu crépitait dans l'antre de la cheminée.

Je sentis un des canapés heurtait mon mollet, et je me laissa tomber dedans.

Drago, confortablement installé sur mes genoux, continuait à m'étreindre, aussi bien dans ses bras que par sa langue, d'une manière bestiale (Nda : rooaaaaaa mdr).

Il se détacha alors de moi pour me dénuder. Je me laissa faire, gardant une main posée sur son estomac, savourant la sensation que son souffle se faisait de plus en plus erratique alors que doucement ma main descendait le long de son ventre.

J'étais déjà en sous-vêtement et il s'apprêtais déjà à me l'enlever mais je l'interrompis.

« Tut, tut, tut », fais-je avec un sourire ironique. « Toi d'abord ! »

Ce magnifique ange fronça légèrement les sourcils mais ma main effleura la bosse de son entrejambe, il émit un gémissement en rejetant sa tête en arrière.

Un demi sourire satisfait aux lèvres, je le bascula doucement sur le canapé, et me dépêcha de lui retirer son pantalon, qu'il avait mit quelques minutes auparavant, ainsi que son caleçon, avant de me mettre à genoux l'observant ainsi entièrement nu les yeux fermés, les joues rouges totalement à moi. A moi seul. (Nda : Possessif notre 'Ry !)

Je me pencha à nouveau au-dessus de lui et l'embrassa à pleine bouche, empoignant son sexe dans ma main, sentant avec délices ses gémissements se perdre dans ma bouche.

Il me mordit la lèvre et s'accrocha à moi, se cambrant légèrement, gémissant sourdement, frémissant et tremblant.

Mes lèvres descendirent dans son cou, puis un peu plus bas, encore et toujours plus bas.

Il frissonna de plus belle et ne retenait plus ses cris, qui démontraient son appréciation, ses hoquets et ses halètements.

Il est si sensible, si réactif à chaque caresse, à chaque contact, c'est stupéfiant et foutument excitant. (Nda : nous aussi, on veut bien le croire)

« H… H… Harry…a… arrête », gémit-il, la voix coupée de hoquets, et par sa respiration saccadée. « Je vais...je vais... »

Décidé à ne pas lâcher sa verge, je continuais à lui prodiguer cette étreinte intimement délicieuse. Mes mains remontaient vers son torse, pour l'effleurer toujours et encore plus.

Et moi, je me délectais de ses cris.

Dans un mouvement vif, son buste se cambra, ses mains s'étaient accrochées là où elles le pouvaient, il libéra un gémissement sourd, preuve qu'il était arriver à son paroxysme, qu'il avait atteint la jouissance.

Il retomba dans le canapé complètement essoufflé; je relâchait alors son sexe satisfait, et remonta à sa hauteur pour l'embrasser.

Drago noua ses mains derrière ma nuque et mêla sa langue à la mienne, presque désespérément, comme si plus rien n'avait de l'importance, et quelque part, il avait raison. Plus rien ne comptait que ça, que nos âmes, nos corps prêts à ne faire qu'un, prêts à relâcher cet amour si longtemps refoulé et refusé. Puis il me repoussa et je me retrouva sur le dos, lui au-dessus de moi, ses yeux gris brillant d'une lueur de perversité.

Il se releva, mit ses mains sous mes fesses, et me souleva, il me laissa tomber sur son lit, ce qui me fit libérer un rire mi amusé mi excité.

Il me bascula pour que je me retrouve sur le dos, lui au dessus de moi.

« Que d'initiatives, jeune princesse en détresse », dis-je à vois basse.

« Il n'y a pas de raison pour que je prenne tout les plaisirs et que tu fasses tout », répondit-il avec un sourire carnassier.

« Alors qu'est-ce que tu attends ? » demandais-je dans un murmure

Le Serpentard souria de plus belle et se pencha vers moi, caressant délicatement mes lèvres des siennes, puis glissa sa bouche dans mon cou. Il traça une ligne de baisers le long de ma clavicule. Il descendit encore plus bas, et avec lenteur, il s'amusa avec chacun de mes tétons, me faisant haleter de plaisir.

Ses lèvres continuaient leur exploration, goûtant patiemment chaque parcelle de peau trouvée, visitant mon nombril avec une lenteur calculé, qui me faisait toucher les étoiles.

Mes yeux se fermèrent complètement pour encore mieux ressentir la torture dont j'étais l'esclave.

(Nda : je vais devenir esclave moi aussi, tiens)

Il ne se servait pas de ses mains, uniquement de sa bouche chaude et c'était sacrément bon !

Puis sans aucun coup de langue préventif, il engloutit ma virilité douloureusement dressée, presque voracement, m'arrachant un petit cri de surprise et de plaisir.

Sa langue s'enroula autour de moi, me faisant me tordre, agrippant les draps en dessous de moi pour m'empêcher d'exprimer mon plaisir trop fort.

Me sentant arriver à la limite du supportable, je l'attrapa par les cheveux, pour le forcer doucement à se détacher de moi.

Quand il fut de retour à ma hauteur, je l'embrassa avidement.

« Espèce de sournoise vipère, redis-moi encore que tu n'as jamais fait ça ! » fis-je, mes mots se percutant dans ma respiration précipitée.

« Je n'ai jamais dit ça ! »

« Mais tu me l'as fait comprendre », dis-je en l'attirant à nouveau sur mes lèvres.

Je le fis basculer pour inverser nos positions et me mit à genoux. Il s'assit à nouveau, ses mains placées sur mes épaules, il savoura une fois de plus mes lèvres.

« Prends-moi », me murmura-t-il d'une voix terriblement rauque, « prends-moi ! »

« Je n'ai rien à refuser à une âme en perdition… »

« Harry ! Arrêtes de jouer à ça ! »

« Mais oui ! »

Alors qu'il s'apprêtait à me répondre, je l'embrassa durement, et en même temps, je recommençais à flatter son sexe.

Avisant sa baguette sur la table de nuit, je l'a prit, et murmura un sort de lubrification.

Mes lèvres retournèrent en quête des petites pointes rosées qui recommençaient à montrer le bout de « leur nez ». Tandis que ma seconde main explorait doucement sa partie la plus intime. Il semblait apprécier ce mélange de sensations, ses gémissements caressaient mon oreille gauche, rien de mieux pour être encore plus exciter.

Un de mes doigts s'enfonça en lui, avec délicatesse. J'attendis quelque instant avant de bouger en lui. Sa respiration saccadée effleurant toujours la peau fine de mon cou, il me murmura d'une voix rauque :

« Encore… Encore ! »

Trop heureux, je m'exécuta. Il soupira sous cette intrusion, quelque peu étrange, et se détacha de mon cou pour venir cueillir mes lèvres pour un long baiser, tandis que son étreinte devenait plus étroite. En effet, il avait glisser son bras gauche autour de mes épaules, mais brusquement il se cambra vers le ciel, je venais de toucher un point au centre de son être qui le fit hurler de plaisir.

Lorsque le troisième doigt se rajouta aux autres, une douleur violente prit possession de lui. Mais il l'oublia rapidement parce qu'au même instant mes doigts touchaient à nouveau sa prostate.

Drago se rendit compte qu'il n'était plus l'objet de mes caresses. Je m'étais installé sur son corps, entre ses cuisses ; je sentais l'érection du Blond palpitait entre nos deux corps, et la mienne, se mouvant sensuellement contre ses fesses.

Je posais alors mes mains contre ses hanches, et le soulevait un peu pour le pénétrer lentement.

Malgré les gestes de précautions effectuées une douleur lancinante brûla les reins du Serpentard. Je restais immobile quelques instants, puis voyant ses traits de détendre, je repris mon ascension par des mouvements délicats, d'avant en arrière, essayant de trouver le plus rapidement la prostate du Blond.

Au fur et à mesure de mes allés et retour, les miaulements de plaisir de mon Ange se transformèrent en rugissements.

Les jambes de Drago s'étaient refermées derrière ma taille, et me permettait de me perdre encore plus dans la volupté de son corps. Alors que mes mouvements se faisaient plus rapides, plus forts, je fermais les yeux pour savourer pleinement les sensations et le plaisir qui m'assiégeaient de toutes parts…. S'en était presque trop, j'avais peur que mon cœur lâche tellement cette étreinte était intense.

Je sentis le corps en dessous de moi se tendre ; la vague de la jouissance l'avait percuté, son corps tout entier tremblait.

Dans un dernier coup de rein, je sentis arriver mon paroxysme, j'explosa en de centaines de particules, et m'effondra sur le corps de Drago, comme ayant perdu toute énergie.

Je réouvris les yeux, et me retira de lui avec douceur, et termina cette étreinte en le prenant dans mes bras et le serrant contre mon cœur, je lui murmurais au creux de l'oreille :

« Mon âme me dit de te dire que je t'aime… »

Il releva la tête, et m'emporta dans un baiser infiniment tendre et tout contre mes lèvres me dit :

« L'harmonie la plus douce est le son de la voix de celui que l'on aime. Et maintenant, je suis en harmonie… »

To be continued….

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stresse-stresse

Ayez pitié de moi, laissez-moi une review pour me donner votre avis….

J'espère mettre racheter pour tout les coups sadiques que je vous avez fait dans les chapitres précédents….

J'embrasse bien fort que ceux qui me soulageront des doutes qui m'envahissent…

Je vous adore ! Gros Bisous !

Harrie