Titre : Deux en un, le tout à trois.
Auteur : Flubb.
Genre : Normal, je veux dire pas d'OOC, pas de délire, juste mon scénario et les lemons.
Base : X/1999.Disclaimer : Je ne fais que louer ces magnifiques persos !
Notes : Je dédis cette fic et les envies de meurtre qui vont avec à ma Kestrel, qui m'aura bien
fait chier avec ce couple !
« Il y a pas de poèmes sans 'je t'aime'
Sans Rimbaud et sans Verlaine » mais ça n'a rien à voir avec la suite.
Deux en un, le tout à troisSubaru releva la tête de son livre : Quelqu'un venait d'entrer dans la pièce. Il jeta un bref coup d'œil à sa montre ; cinq heures. Du matin. Quel était le sceau à être, tout comme lui, sujet à l'insomnie ? Une lumière plus vive s'alluma, obligeant l'exorciste à cligner des yeux. C'était donc kamui, qui n'arrivait pas à trouver le sommeil :
- Tu ne dors pas ? Demanda poliment Subaru.
- Je dormais, répondit celui-ci dont seul le corps était sortit de sous la couette. Et toi ?
- Moi je n'ai pas vu l'heure passer, répondit le brun.
Le silence plana longtemps entre eux, avant que Subaru ne se décide à fermer totalement son livre. « Je vais faire un tour », dit-il à l'attention du jeune homme. « Tu m'accompagnes ? » Le leader ne se le fit pas dire deux fois, et partit s'habiller en vitesse. Quelques courtes minutes plus tard, ils marchaient tout deux dans les rues désertes et humides de la mégalopole-Tokyo. Le fond de l'air était froid et rosissait leurs joues. L'hiver était déjà là, alors que le jour ne se lèverait pas avant un petit moment. Kamui frissonna dans son manteau. Subaru ne s'en aperçut pas, il aimait le froid.
La ville était figée. Blafarde, on aurait dit une carte postale en noir et blanc. Carte postale dans laquelle évoluaient les deux jeunes hommes.
Là, juste à l'instant et sans savoir pourquoi, Kamui eut presque peur de l'exorciste. D'apparence si froide, et calme comme s'il faisait partit intégrante de la vie. Etre immuable qui n'aurait pas dû vieillir, un détachement blasé un rien trop grand pour qu'il paraisse réel.
A l'aide d'un air lunaire sur le visage, il marchait les mains dans les poches et, fait rare, le nez au vent. Et s'il n'était qu'une coquille vide ? Kamui ne comprit pas pourquoi il eu cette pensée, alors qu'il savait très bien que Subaru était l'une des personnes les plus vivantes qu'il ai jamais rencontré. Mais en cet instant, légèrement en retrait de l'exorciste, il le regardait sans oser lui parler, le cœur battant légèrement trop vite pour être tranquille.
- Je… Je suis désolé… Bredouilla soudainement Subaru.
L'adolescent leva un regard étonné, voir ahuri, sur l'exorciste. En réponse à ceci, le jeune homme répondit cela :
- C'est la maison du Sakurazukamori…
- Ah… Fit simplement Kamui qui ne savait pas s'il devait rire ou pleurer.
Le leader ne lui demanda pas de s'expliquer, et le sceau ne chercha pas à le faire.
- Tu veux bien entrer ? Demanda Subaru.
Euh… Oui ? Répondit Kamui. Mais… Il n'est pas chez lui ?
- Il n'y est que pour enterrer ses cadavres. Et puis tu oublis qu'il a disparu.
- Ah… Refit Kamui. Je… J'avoue ne jamais m'être posé la question de savoir où pouvait bien habiter le Sakurazukamori !
- Je crois que l'appartement n'a pas changé d'un pouce depuis que je le connais. Dit le plus âgé avec un brin de nostalgie.
- Ça fait combien de temps, au bout du compte ?
Les dragons du ciel traversèrent l'appartement, que Kamui trouva simple et presque accueillent, mais un peu trop sombre. Seul signe qu'un Sakurazukamori pouvait habiter – ou avoir habité – en ces lieux. L'exorciste entra dans le jardin, et répondit à la question de son leader :
- La première, la toute première fois, lorsqu'il a fait de moi sa proie, c'était il y a dix-huit ans. J'en avais alors sept et lui seize. C'était ici (Subaru désigna un endroit précis sous le Cerisier). Après, lorsque comme promis on s'est retrouvé et qu'il se faisait passer pour un gentil vétérinaire, j'en avais seize. Lui vingt-cinq.
- Et maintenant ?
- Aujourd'hui j'en ai à mon tour vingt-cinq. Lui je ne sais pas s'il en a encore.
Subaru se tus. Kamui respecta ce silence et fixa le Sakura. Il était grand pour un cerisier. Ses ramures longuement entrelacées donnaient à peine droit au vent de les secouer. Les feuilles, si toutes fois il en avait, étaient recouvertes d'un manteau tacheté, une robe blanche presque vivante et parsemée de rouge… Derrière l'arbre, ce presque-être, le jour. Quelques rayons qui entouraient le Cerisier d'un halo jaune. Vraiment étrange se rouge. Le jeune homme se demanda un instant ce que venait aire se camélia, juste à côté. L'exorciste semblait définitivement ailleurs, ou en tout cas pas avec lui. Kamui se releva, et se glissa doucement dans la maison derrière Subaru, le laissant seul. Il n'avait plus rien à faire ici.
Fuma caressait les cheveux de Kakyo, en espérant le réveiller. Le yumémi ouvrit ses yeux ambrés sur son leader. Un « son » très possessif.
- Tu as rêvé ce que je pars faire ?
Le blond cligna longuement des yeux en signe d'acquiescement.
-Finalement, reprit Fuma, tu auras eu raison une fois de plus. Comme toujours…
- Je t'avais pourtant prévenus que ça ne pouvait pas marcher, dit Kakyo. Et qu'il se passerait même l'inverse. Tu croyais vraiment que Kamui allait se réintéresser à toi parce que le Sakurazukamori avait disparut ?
- Je croyais surtout que Subaru allait s'éloigner de lui pour chercher Seïshiro ! Et puis au départ, c'est le Suméragi qui devait arriver à le voir. S'il n'y avait pas eu Yuto…
- Je ne chercherai plus à savoir comment fonctionne ton cerveau…
- Ah oui ? Le taquina Fuma.
- …
Kamui marchait vers la nuit, tournant le dos aux premières lueurs. Le cœur un peu triste, il avait laissé Subaru à ce qu'il restait du Sakurazukamori. Il tourna à droite, et ça y est il était perdu. Le leader lycéen continua d'avancer, il ne devait pas être trop loin du campus. Celui-ci devait se trouver un peu plus devant lui. Ou peut-être sur la droite ?... Le soleil envoyait quelques rayons trop froids pour le réchauffer.
Il déboucha sur une place à peine plus éclairée que la rue qu'il venait de quitter. Kamui entendit un bruit derrière lui, un son très faible mais net. Il s'arrêta et pivota pour identifier la cause du bruit. Noire par contraste à l'aube naissante se dessinait la silhouette de Fuma :
- Bonjour, Kamui. Commença le maître des dragons de la terre. Tu ne viens plus souvent me voir ces derniers temps…
- Qu'est ce que tu me veux ? Lança férocement le leader terrestre
- Ce que je veux ?... Reprit pensivement Fuma. Je ne sais pas… Je n'y ai pas vraiment pensé… Mais faut il une bonne raison pour venir prendre de tes nouvelles ?
- Arrête de te foutre de moi, Fuma ! Grogna Kamui qui paniquait presque.
- En d'autres circonstances, je serais bien venu te demander de sortir avec moi, annonça Fuma d'un ton lointain. Mais aujourd'hui je suis simplement venu te rappeler quel est ton souhait…
Avec une rapidité étonnante, Fuma se jeta sur Kamui. Il le serra à la gorge en le plaquant contre un mur :
- Alors, rappelle-moi, quel est ton souhait, déjà ?
D'une puissante boule d'énergie, l'adolescent envoya voler le leader des anges.
- Ah ! Tu le prends comme ça ? Fit ce dernier. Bien… Très bien… Il lécha sa lèvre d'où partait un filet de sang. Il sourit un peu, et projeta à nouveau son adversaire contre le mur, qui commençait à se fissurer légèrement.
- Je te le répète une dernière foi, Kamui… Il posa un pied sur le ventre du leader, l'empêchant presque de respirer. Quel est ton souhait ?
- C'est de… Ramener… Le… Vrai… Fuma… Haleta le jeune homme dont les yeux améthystes avaient perdus toute assurance.
- Ah oui ? Fit ironiquement (mais est-ce à préciser) le leader terrestre. Alors pourquoi est-tu agglutiné à ce sceau, le Suméragi, plutôt que d'essayer de réaliser ton souhait ?
- Arrête Fuma ! Tu me fais mal ! Hurla Kamui.
- Comme ta voix est douce… J'avais raison de vouloir te faire des propositions, tes gémissements doivent être aussi délicieux que ton sang…
Fuma releva ce qui fut un jour son, mais Kamui dû néanmoins s'appuyer lourdement contre le mur pour ne pas tomber. Fuma lécha lentement les multiples coupures du premier « Kamui », activité qu'il affectionnait particulièrement :
- Tu as tors de m'appeler Fuma, tu sais… Je suis Kamui. L'étoile divine née pour « Kamui ». Si tu réfléchis, tu te rendras compte que je suis une partie de toi. Celle que tu as délaissée en choisissant ton camp. Et puisque je ne suis autre que toi, voit le mal que tu t'inflige à toi-même… Si ça te fait aussi mal, pourquoi n'arrêtes-tu pas ?
Kamui envoya alors une prière muette à l'exorciste : « Subaru… Viens je t'en supplies… Tu m'avais dit qu'il suffisait que je t'appelle… S'il pouvait m'entendre… Viens Subaru, je t'en pris… Je veux croire aux miracles… »
Au pied du Cerisier, Subaru entendit un vague échos au fond de lui. Son leader l'appelait, il le savait, le sentait. Un lien l'unissait à Kamui, qui avait était créé le jour où l'adolescent avait choisit de prendre la tête des dragons du ciel. L'appel ne mourait pas en lui, n'avait pas l'air de vouloir s'en aller. Le jeune homme fut prit d'une inquiétude grandissante, et quitta la maison du Sakurazukamori. Il traversa les rues à grandes enjambées, essayant de localiser l'appel au secours le plus précisément possible. Subaru finit par le trouver sur une place que le soleil avait toujours du mal à éclairer…
Les bruits de sa course avaient prévenus les deux combattants de sa venue.
Il se redressa, à peine essoufflé, et tendit immédiatement un kekkaï :
- Quel manie horripilante, se répugna Fuma, que de toujours vouloir enfermer les gens. Je trouve cela navrant…
- Ca va, Kamui ? Demanda l'exorciste sans lui prêter attention.
L'adolescent se dégageait à peine de l'étreinte de son étoile jumelle, encore sous le choc des coups, des paroles, et de l'arrivée de Subaru. Il peinait à respirer, mais maintenant il tiendrait le coup. Subaru le savait.
- Ce n'est que partie remise, mon mignon, fit Fuma à l'adresse de Kamui. Pour L'instant je vais m'occuper de ton preux chevalier. « Celui qui prend doucement mais sûrement ma place », ajouta-il tout bas.
Le dragon de la terre se retourna face au Suméragi, le léger sourire sur ses lèvres notait un manque d'originalité. Dans ce tableau, Fuma n'avait définitivement pas le bon rôle… L'exorciste décida d'aller au devant des attaques de cet homme à la faussa amabilité. Il envoya une simple carte, pour le provoquer un peu. Fuma répliqua par une attaque bien plus massive, que Subaru n'eu que juste le temps d'esquiver. Le sceau déploya alors une quinzaine de cartes, qui bougeaient continuellement en empruntant le tracé d'un pentacle.
Qu'allait faire ces cartes ? On ne le su jamais, car quelque chose de très puissant fit trembler tout le kekkaï, arrêtant du même coup le combat des deux dragons…
Entre ses bras, Yuto sentait que son amant n'était pas tranquille. D'ailleurs, Seïshiro ne tarda pas à s'écarter pour parcourir nerveusement la pièce :
- Qu'y a-il ? Demanda le blond.
- Tu sens où est notre Kamui, en ce moment ?
Yuto ferma un instant les yeux.
- Oui, il doit être dans un quartier un peu en dessous du campus, pourquoi ?
- Et bien, expliqua Seï, Subaru… Avec mes marques je peux aussi savoir où il est…
- Oui ?
- Et bien je le situ exactement au même endroit que Kamui. Sa m'inquiète. Il sont peut-être simplement à proximité, mais je ne crois pas. J'ai, comme on dit, un mauvais pressentiment…
- Tu en es sûr ? Je veux dire, tu veux qu'on aille vérifier ? Proposa Yuto.
Seï opina du bonnet.
Ils sautèrent de la fenêtre à l'immeuble voisin, l'aquaquinésiste et le Sakurazukamori, un maître de l'eau et un assassin, un manteau blanc et un manteau noir. On les dit anges, mais ici se sont seulement deux étoiles filantes dans le petit jour. Une seule est visible.
(Mais je m'égare gravement)
Les deux dragons de la terre parcouraient les toits. Ils l'aperçurent de loin, l'étoile à cinq branches de Subaru. Elle se découpait verdâtre au-dessus de la ville grise. Ils arrivèrent à ses pieds, hors d'haleine.
Le Sakurazukamori s'approcha, mais évidement, aussi immatériel fut-il, il ne put franchir la barrière de protection. De rage, il tapa contre la paroi translucide. Tout en sachant que ça n'y ferait rien. Yuto le rejoignit, une main sur ses cotes.
« On ne peut pas entrer, comment vas-tu faire ? » Sans lui répondre, Seïshiro l'écarta avec indifférence et alluma une cigarette. « C'est bien le moment », siffla l'ange blanc. Le Sakurazukamori lui jeta un regard noir, et du bout de sa cigarette imprima un parfait pentagramme sur la frontière du kekkaï. Puis, sans changer de technique, il fit une mise en abîme : au centre de se premier pentagramme il en dessina un second, au centre duquel il en dessina un troisième, etc… Puis il prit une carte, avec laquelle il se trancha les veines, sans plus de façons. Le sang coulait de son avant bras, sous le regard horrifié de son amant. Il trempa ses doigts dans le fluide carmin, et repassa méticuleusement les figures, jusqu'à se que toutes les étoiles aient absorbées le liquide. Il recula de plusieurs pas, Yuto fit de même (vous je sais pas, mais j'trouve que ça sans the massive attaque of the century !).
Puis le Sakurazukamori envoya une bourrasque de pétales contre le tout. L'édifice, aussi parfait fut-il, trembla violement. Une brèche apparut là où se trouvait l'étoile, et qui se refermait rapidement. Seï attrapa le blond et l'entraîna à sa suite. Ils étaient entrés, ils furent enfermés. Les deux anges prirent rapidement la direction du centre, pour tomber nez à nez avec les trois personnages déjà entrés en scène :
- Tiens, Yuto… Fit Fuma sans paraître étonné. Je suppose qu'il est avec toi, sûrement juste
à-côté…
- J'aurais due me douter que c'était toi qui étais derrière tout ça ! (Il jeta un coup d'œil au Sakurazukamori, qui entrait à toute vitesse dans une crise de nerfs qui promettait d'être mémorable). Mais pourquoi ?
Fuma ricana.
- Que tu es pathétique avec ton « pourquoi » ! Tu n'as pas trouvé plus cliché ?
Subaru avait rejoint Kamui. Il le tenait contre lui, l'aidant à rester assit. L'exorciste ne comprenait pas ce qui se passait, surtout avec un ado à demi inconscient dans ses bras. Ou peut-être refusait il obstinément de comprendre.
- Mais tu as raison, poursuivait Fuma. Il est temps de mettre fin à cette mascarade. Rien n'aura marché comme je l'avais prévu, décidément…
- Et qu'avais-tu prévu ? Insista Yuto.
- De récupérer Kamui, de le tenir à nouveau à ma merci, répondit Fuma avec une expression de suffisance.
- Il n'a jamais été à ta merci, lança Subaru dans le vide.
- Tu pensais vraiment que… Continua l'aquaquinésiste. Tu n'as pas dû réfléchir bien longtemps avant d'agir! Ou alors je ne comprends vraiment pas ce qui te passe par la tête !
- Kakyo m'a fait la même remarque, dit le leader des dragons de la terre.
- On peut savoir de quoi vous parlez ? Intervint de nouveau Subaru.
- Ce type est le plus grand manipulateur que j'ai jamais vu ! Lui dit Yuto, excédé. Ce qui n'expliquait rien du tout.
Fuma, lui, fut plus exhaustif :
- Et bien regarde, Subaru. Tu ne mettras pas longtemps à comprendre…
Le leader aux yeux de glace se tourna sur le coté, vers là où il supposait qu'était Seïshiro. Il s'apprêtait à jeter un sort destiner à faire réapparaître le Sakurazukamori, ce qui n'échappa pas à l'ange noir, ni à Yuto d'ailleurs. Avec un grand geste exagéré, Fuma lança le contre-sort. Mais l'aquaquinésiste, qui ne l'entendait pas de cette oreille, se jeta entre son leader et son amant. Le sort le frappa en pleine poitrine et l'envoya valser bien plus loin, mais il n'eu aucun effet notoire. Fuma laissa entr'apercevoir une expression ahurie face à cet acte, et le Sakurazukamori n'osait pas croire ce qui venait de se passer. Ou ce qui venait de ne pas se passer, justement. L'ange blanc se releva péniblement, et Subaru, qui n'avait rien comprit d'autre que la fin d'un combat, dissipa son kekkaï. Fuma fut le premier à s'éclipser, suivit de près par Seïshiro. L'exorciste s'assura que Yuto pourrait renter sans problèmes, ne lui demanda pas d'éclaircissement, et partit à son tour en emportant Kamui (se type a une propension innée pour se retrouver périodiquement à moitié démembré).
Pour Subaru, le Sakurazukamori n'avait pas encore réapparut. Pour Yuto, il venait de disparaître. Et pour lui-même, Seï avait pour la première foi l'impression d'être un pantin dont on tirait les fils.
Subaru soigna Kamui sous le regard attentif des autres sceaux. Au QG des dragons du ciel, la scène avait une forte impression de déjà vu.
Yuto rentra seul chez lui, malheureux comme le monde et était près à tout donner pour pouvoir se réveiller d'un cauchemar.
Seïshiro monta dans son cerisier, avec la ferme attention de ne pas en descendre avant d'avoir refroidi sa colère.
Fuma rejoignit Kakyo, sachant seulement qu'il n'était plus le maître de ce jeu.
A suivre…
Et alors, z'en pensez quoi ? En tout cas, les sextuors amoureux, c'est compliqué comme histoire ! Déjà qu'a deux c'était pas simple… Bon, ben… J'prépare la suite
