Salut !

Me pardonnerez vous ? Je déteste quand les auteurs disent qu'ils n'ont pas eu le temps d'écrire… et aujourd'hui c'est moi qui le dit…

Cette rentrée a été horrible. En fait je n'ai jamais beaucoup bosser pour les cours, mais cette année je bosse beaucoup (en tout cas plus qu'avant). Je pensais pas que la Terminale S était si difficile… enfin remarque elle le serait peut être moins si je ne passais pas 18h par semaine au gymnase et mes week end aux scouts ! lol

Par contre, il paraît que l'on n'a plus le droit de faire de réponses aux reviews, c'est bizarre, je ne vois pas pourquoi. En tout cas je vous remercie tous beaucoup beaucoup beaucoup pour vos reviews, c'est grâce à vous que j'arrive à continuer ma fic alors même si je ne réponds pas, sachez qu'elles me font vraiment très très très plaisir ! Je suis vraiment contente, je ne pensais jamais en avoir autant ! Merci ! Merci ! Merci !

A la demande d'un reviewer, comme je n'ai pas posté depuis longtemps je vais faire un résumé de ma fic (d'ailleurs merci à ce revieweur qui a tout a fait raison parce que sinon j'aurais oublié de le faire, je suis la première à demander ce genre de choses aux auteurs quand ils ne publient pas souvent) :

Résumé de la fic jusqu'ici : Dumbledore demande à Harry de se rendre dans le passé pour aller chercher le Cœur de la Paix, pierre qui lui permettra d'avoir plus de chances de battre Voldemort. Harry se retrouve donc à l'époque de ses parents et est envoyé à Serpentard où il devient ami avec Rogue et Kelly, jeune fille dont la famille soutient Voldemort. Mais Kelly, elle est contre le mage noir, ce qui lui vaut des ennuis avec ses condisciples. Harry l'aide et Harry, Rogue, Kelly et Lily deviennent amis. Harry réussit à récupérer le Coeur de la Paix chez les parents de James et James et Lily se fiancent. Entre temps, Rémus a découvert la vérité sur Harry, Sirius n'aime pas Harry car il est Serpentard et Pettigrow a peur de Harry. Quelques semaines avant que Harry rentre à son époque, Lily et James trouvent la biographie de Harry, que Ron et Hermione lui ont offert à son anniversaire. Ainsi ils découvrent tout mais ils trouvent un sortilège d'amnésie partielle qui leur permettra de tout oublier pendant un certain temps. Finalement, Harry rentre à son époque. Les chapitres qui suivent se déroulent pendant le mariage de Harry et Ginny et sont sous forme de flash back. On y apprend majoritairement : comment Rogue a découvert que Harry Potter est la même personne que son ami d'enfance Harry Ptroet, comment Harry retrouve Kelly à Pré-au-Lard et que Kelly et Rogue se sont séparés quand Rogue est devenu un mangemort et dans quelles circonstances ils se sont retrouvés. Si vous voulez plus de détails sur les flashs back, vous pouvez relire en diagonale les deux derniers chapitres, ils ne sont pas très long.

21-Mariage et souvenirs. Partie 3

Puis les yeux de Harry se tournèrent vers le témoin de sa femme, à savoir Hermione. Celle-ci les regardait les larmes aux yeux et les yeux emplies d'amour. Oui ils s'aimaient tous. Soit d'amour conjugal ou fraternel mais ils s'aimaient plus que tout.

Hermione se souvenait de ce jour au début de leur sixième année. Harry était rentré du passé depuis peu de temps et il n'avait pas encore eu le temps de leur parler en détail de ce qu'il avait découvert par rapport au Cœur de la Paix.

Flash back

Ron, Hermione, Harry et Ginny étaient confortablement installés dans les fauteuils près de la cheminée, attendant que les autres Gryffondors aillent se coucher pour pouvoir parler tranquillement.

Puis Harry leur avait tout raconté : ses rencontres, ses joies, ses peines, ses découvertes. Il leur avait expliqué tout ce qu'il avait découvert sur le Cœur de la Paix qu'il avait sortit de sous sa robe pour que ses amis puissent le voir.

Une fois son récit terminé, ils étaient tous restés silencieux, plongés dans leurs pensées, réalisant toute l'importance de cette pierre aux mains de leur ami.

C'est Hermione qui avait réagit la première. Elle avait saisit la pierre, l'avait observée avec émotion et avait murmuré en regardant son meilleur ami droit dans les yeux :

.-Je t'aime Harry. Nous n'avons aucun lien du sang mais je t'aime, je t'aime comme une petite sœur aime son grand frère. Et je te promets de toujours rester auprès de toi et de t'aider.

Comme les fois précédentes, la pierre se mit à dégager une douce chaleur.

Puis Ron posa à son tour la main sur la pierre, au dessus de celle de sa petite amie et avec sa maladresse naturelle bredouilla un :

.-Je t'aime vieux frère.

Puis Ginny posa sa main au dessus de celle de son frère et posa son regard emplie d'amour et de tendresse sur l'homme qu'elle aimait. Elle ne prononça aucun mot, du moins pas à haute voix mais une immense chaleur se dégagea de la pierre et vint les entourer tous les trois. Un halo de lumière rouge, couleur de l'amour, les entourait, comme un bouclier, signe que leur amour inconditionnel était plus fort que tout et les protégeait. Car à ce moment là, tous unis une main sur le Cœur de la Paix, il était évident qu'ils s'aimaient plus que tout et que cela durerait toujours, même s'ils venait à être séparés par la mort.

Fin du flash back

Depuis ce jour, et même plus qu'avant, il était impossible d'en croiser un sans les autres. Ils ne se disputaient plus, bien qu'ils se lancent sans cesse des petites piques amicales. Ils avaient véritablement pris conscience de leur grande amitié et de tout ce qu'elle impliquait. Et il était clair pour tout le monde, que se soit dans le camp de Dumbledore ou de Voldemort que ce quatuor d'amis serait décisif pour la fin de la guerre.

De plus, cette amitié avait redonné espoir à la communauté des sorciers. Car en ces temps troubles où Voldemort exécutait attaques sur attaques, où les familles subissaient sans cesse la perte d'êtres chers, l'espoir d'un monde où règnerait l'amour semblait toujours possible.

Mais ce n'était pas le seul événement qui avait marqué la fin de la scolarité de Harry. Un autre fait important et plus qu'inattendu avait fait son apparition. Drago Malefoy, présent au premier rang s'en souvenait parfaitement.

Flash Back

La communauté magique était en effervescence. Voldemort avait trouvé un autre moyen, affreux, de semer la terreur. Il réussissait maintenant, par on ne sait quel moyen, à commettre des sortes de tremblements de terre. Ou plus exactement, il réussissait à former instantanément, à distance, de grand ravin qui se refermaient ensuite rapidement. Ainsi des maisons entières avaient disparues, tombant dans les profondeurs de la terre avant que la terre ne se referme sur eux. Des gens disparaissaient n'importe quand, à n'importe quel moment. La peur était devenu omniprésente, encore plus qu'avant. Absolument personne n'était en sécurité. Et pire que tout, le fait que personne ne sache comment Voldemort s'y prenait, empêchait toute protection efficace d'être créée. Voldemort pouvait s'attaquer à n'importe quel endroit, aussi bien moldu que magique. Cependant, il ne s'était attaqué ni au Chemin de Traverse, ni à Pré-au-Lard, ni à Poudlart. Des rumeurs courraient comme quoi ces lieux étaient intouchables grâce à une accumulation de magie très puissante, mais Dumbledore avait confié à Harry qu'il n'en était rien et que si Voldemort n'y avait encore rien fait, c'était certainement pour une tout autre raison qu'il ne connaissait.

Ce jour là était un vendredi soir, c'était le soir des vacances de Noël de la septième année de Harry. En tant que capitaine, il avait décidé d'un entraînement de son équipe juste avant les vacances en vu du match Gyffondor contre Serdaigle qui aurait lieu quelques semaines après la rentrée.

Son équipe était maintenant repartie et lui venait de terminer de ranger les vestiaires. Il était très content de son équipe et avait de grands espoirs de remporter la coupe encore cette année, comme il l'avait réussi l'année précédente, à la grande joie du Professeur McGonnagal et de tous les Gryffondor. En effet, la finale s'était jouée contre les Serpentards et ils étaient environ à égalité au bout de trois heures de jeu acharné lorsque Harry et Malefoy avait aperçu le vif d'or en même temps et s'étaient mis à sa poursuite. La course avait été très serrée et s'était finalement par une feinte particulièrement bien exécutée qu'Harry avait attrapé le vif sous les yeux dégoûtés de son ennemis et de tous les Serpentards.

Il rentrait maintenant au château. Contrairement à son habitude, il était seul. Ron n'était pas présent, il était rentré rapidement après l'entraînement pour une retenue avec Rusard. Cela lui arrivait d'ailleurs souvent. Les produits des jumeaux étaient très souvent utilisés et c'était en général Ron, qui parfois à tord, se faisait attraper. Mais cela ne l'embêtait pas tellement car à ces occasions, il pouvait tenter de fouiller dans le bureau du concierge et trouver les informations que les jumeaux lui demandaient.

Harry se dirigeait donc rapidement vers le château, étroitement emmitouflé dans sa cape, lorsqu'il entendit qu'une personne marchait derrière lui. Il se retourna pour se retrouver nez à nez avec Drago Malefoy.

.- Alors Potter, on se promène seul dans le parc ? Ce n'est pas très prudent tu sais…

.-Ta geule Malefoy, je ne t'ai rien demandé.

.-Tu as tord de me porter aussi peu d'importance. Tu sais que le Maître veut te voir mort le plus rapidement possible alors à ta place je ferai attention.

.-Non sans blague, je ne savais pas ! Mais vois tu, cela fait plus de seize ans qu'il essaie et il n'a encore jamais réussi… Et puis à ce que je sache, tu n'es toujours pas marqué !

.-Ce n'est qu'une question de temps et tu le sais très bi…

Un bruit sourd les interrompit et soudain Malefoy hurla, tombant dans le trou qui venait de se former à ses pieds. Il parvint à se raccrocher à une fine rugosité mais déjà le trou commençait à se refermer.

Malefoy avait peur. Incroyablement peur. Il se voyait dans le trou et sentait la terre se rapprocher de lui de chaque côté. En haut, il voyait Potter, l'air horrifié. Avant même qu'il ne puisse comprendre quoi que se soit, le Gryffondor descendit de quelques mètre dans le trou en s'accrochant à la paroi grâce à un sort d'accrochage, attrapa fermement son ennemi par le bras et le tira de toutes ses forces en dehors du trou. Malefoy sortait sa deuxième jambe du ravin lorsque la terre se referma.

Ils étaient tout deux assis par terre, se remettant les idées en place.

Le Serpentard, livide, ne parvint à dire qu'une seule chose :

.-Pourquoi ?

C'était un simple mot mais il était très clair pour Harry. Pourquoi avait-il sauvé la vie à un de ses pire ennemi ?

.-Parce que je me suis promis que plus personne ne mourrait à cause de moi.

Il se releva et se dirigea vers le château sans dire un mot de plus, sans même se retourner. Toutes les fenêtres étaient fermées, personne n'avait assisté à la scène qui venait de se produire à l'extérieur.

Le jeune homme blond regardait la silhouette du Gryffondor s'éloigner. Il était encore assis par terre et n'avait pas bougé d'un millimètre. Son cœur battait à cent à l'heure sans qu'il ne puisse le contrôler. Au bout de quelques minutes, quand son rythme cardiaque fut un peu calmé, il tenta de réfléchir à ce qui s'était passé.

Le Seigneur des Ténèbres avait attaqué Poudlart, dans le but de tuer son ennemi juré. Mais lui avait été à côté et c'est lui qui avait failli mourir. Car oui, il était bien conscient qu'il serait mort si Potter ne l'avait pas sortit de ce fichu trou. Mais pourquoi donc Potter, à qui il pourrissait la vie depuis qu'il l'avait rencontré, l'avait-il sauvé ? Car il s'était juré que plus personne ne mourrait à cause de lui. C'était bien une phrase de Gryffondor ça !… Mais que voulait-il dire par là ? Cela sous entendait que d'autres personnes étaient mortes à cause de lui… Qui ? Ses parents sûrement, qui étaient morts pour le sauver, Diggory aussi qui avait été au mauvais endroit au mauvais moment. Ah oui et puis Black qui était mort pour sauver son filleul. D'accord mais tout ça c'était des gens qu'il aimait. Pourquoi l'avoir sauvé, lui, son ennemi ?

Il allait laisser tomber ces stupides questions quand quelque chose se manifesta dans sa tête : celui qui allait devenir son maître n'avait pas hésité à le mettre en danger pour parvenir à ses fins mais son ennemi l'avait sauvé. Le chef de son camp n'avait donc pas hésité à le faire mourir pour parvenir à ses fins mais le chef du camp opposé l'avait sauvé… C'était vraiment bizarre.

Il réalisa alors quelque chose auquel il n'avait alors pas prêté attention. Dans le camp qu'il s'apprêtait à rejoindre, c'était chacun pour soi. Le Maître se fichait de la vie de ses adeptes tant qu'il réussissait ses plans. Mais de l'autre côté, les gens étaient unis, s'entraidaient. Si il était encore en vie à cet instant, c'était grâce au camp opposé. Son camp laissait mourir les gens de son propre camp mais le camp adverse se protégeait mutuellement et là avait même sauvé un futur mangemort… Et Potter n'avait rien demandé en échange, il était parti sans rien dire, comme si ce qu'il venait de faire était tout à fait normal.

Il avait failli mourir à cause de son propre camp mais un ennemi l'avait sauvé.

Une question lui vint à l'esprit. Finalement, quel camp était le bon ? Que voulait-il au juste dans sa vie ? Faire le mal ? Etait-ce vraiment un but ! Le but de tout homme était d'être heureux non ? Serait-il heureux en tuant et faisant le mal ? Serait-il heureux en vivant pour lui seul et en se fichant des autres ? Le camp de Dumbledore était-il heureux ? Ils subissaient beaucoup de pertes c'est vrai. Mais ils étaient unis. Etait-on plus heureux en étant unis, en s'aimant ou en agissant pour soi ? On lui avait toujours dit que l'amour était le sentiment des faibles, ça devait être vrai. Après tout il n'avait jamais eu d'amis et s'en sortait très bien quant même !… Quoique justement, s'en sortait-il si bien que ça ? N'avait-il pas failli mourir sans que personne ne s'en aperçoive ? Tant de questions auxquelles il ne trouvait pas de réponses.

La seule chose dont il était sûr c'est que les Sang de Bourbe étaient inférieurs à lui… Mais d'ailleurs, pourquoi ?

Il avait continué longtemps à se poser des questions existentielles sans parvenir à trouver de réponses. Il n'avait jamais eu d'amis et cela ne lui manquait pas, si ? A quoi ça servait les amis ?

La réponse lui vint dès le lendemain. Il se promenait dans le parc, sans but précis, à part celui de ne plus penser à rien et surtout pas à ce qui s'était passé la veille. Il n'avait pas dormi de la nuit et cela l'agaçait profondément. Normalement il ne se tracassait jamais, se fichait de tout et en particulier des autres.

Presque tout le monde était rentré chez lui pour les fêtes de fin d'années. Il ne restait plus que lui et les deux Weasley, Potter et Granger et aussi quelques Poufsouffles et Serdaigles dont il ne connaissait même pas les noms.

Des rires vinrent le sortir du bien être ne penser à rien. Et ces rires ils les auraient reconnus entre mille. Ces rires l'horripilaient. Les rires de ces foutus Gryffondors. Il s'approcha pour voir ce qui déclenchait ces rires et si par hasard cela avait un rapport avec lui. L'idée lui vint à l'esprit que Potter avait tout raconté à ses amis et qu'ils étaient en train de se foutre de lui.

Mais il dut se rendre à l'évidence que la cause de leurs rires était toute autre. Ils étaient tout simplement en train de faire une bataille de boules de neiges, comme des gamins. C'était vraiment pitoyable.

Il se prit alors à son tour une boule de neige dans la figure mais personne ne le regardait, c'était certainement une boule perdue, mal lancée. N'empêche qu'il se l'était prise et que ça ne lui plaisait pas. Il se pencha donc et attrapa à son tour de la neige, il en fit une grosse boule puis il s'approche et la lança de toutes ses forces sur Potter. Par ce geste il voulait évacuer sa gêne, son énervement de ne pas avoir dormi de la nuit et de se poser des questions auxquelles il ne trouvait pas de réponses.

Il s'attendait à ce que Potter s'énerve, mais au lieu de ça, il se pencha et continua sa bataille de boule de neige en lui en envoyant une au passage. Voyant cela, Granger lui en envoya à son tour une qu'il s'empressa de lui renvoyer et sans qu'il s'en rende compte, il se retrouva au milieu d'eux, jouant avec eux, lançant de la neige sur chacun, s'en prenant également… Puis, chose inattendue, il se mit à rire, comme les autres… il rit comme il n'avait jamais rit. Ce n'était pas un rire moqueur ou ironique. Non c'était un vrai rire, un rire joyeux, amusé. Et à son plus grand étonnement, cela lui fit un bien fou. Pour la première fois, il se sentit vivre, par ce simple rire. Leur bataille continua encore quelques minutes avant d'être interrompu par la cloche annonçant le déjeuner. Drago s'aperçut alors qu'il était assis par terre, chatouillant Hermione Granger pour se venger d'une boule de neige qu'il s'était pris dans le cou. Celle-ci riait aux éclats tout en lui lançant de petites boules de neiges pour tenter de lui faire lâcher prise. Il se figea dans son geste et regarda autour de lui… Il était au milieu des Gryffondors qu'il avait toujours détesté. Il s'amusait avec une fille qu'il avait toujours considéré comme inférieur. Il avait eu un instant de complicité avec Harry Potter, l'ennemi de celui qui allait devenir son maître. Il venait de faire tout ce qui était contraire à ce qu'on lui avait appris. Il s'était comporté comme quelqu'un du camp de Dumbledore et plus déstabilisent que tout, il était heureux. Oui, il était heureux de ce moment qu'il ne regrettait pour rien au monde. Pour la première fois de sa vie, il était heureux et s'était amusé. Soudain, tout devint clair dans sa tête. L'amitié, l'amour, l'unité, tout cela ce n'était pas pour les faibles, mais pour ceux qui voulaient vivre, être heureux.

La vie c'était être heureux… être heureux c'était aimer… aimer c'était vivre.

Cela il venait de le comprendre. Il savait maintenant qu'il ne rejoindrait pas le camp des mangemorts, il irait voir Dumbledore et lui demanderait de rentrer dans son camp.

Pour la deuxième fois en deux jours, il avait été sauvé. La première fois, Harry l'avait sauvé de la mort physique. La secondes fois, Harry Potter, Hermione Granger, Ginny et Ron Weasley l'avait sauvé de la mort, c'est à dire le contraire de la vie, donc le contraire d'être heureux. Ils lui avaient montré la force de l'amitié, le pouvoir d'un sourire, d'un rire, d'un moment de complicité.

Ils se relevèrent pour aller manger tout en se regardant.

Un seul mot vint à l'esprit de Drago, un mot qu'il n'avait encore jamais employé :

.-Merci

Voilà, voilà ! Encore désolé pour le temps d'attente. Je ne peux pas vous dire de date pour la suite mais je pense que je peux vous promettre qu'elle arrivera au plus tard à la fin des vacances de Noël. Peut être avant si j'y arrive mais ce n'est pas sur. Il reste normalement deux chapitres.

J'espère que ça voua a plu. J'attends avec impatience vos reviews car j'ai eu du mal à écrire ce chapitre et je n'en suis pas très satisfaire encore mais je vous le poste parce que je vous ai promis de le faire avant la fin des vacances et que je ne veux pas faillir à ma promesse.

(Tiens la fin me fait penser à une phrase de Benoit XVI: « Qu'est ce qui pourrait bien sauver le monde sinon l'Amour ? »)

Allez, à la prochaine et bon courage pour les cours (pfff…. J'ai envie de rester en vacances !) lol