Chapitre 7 : L'enfer c'est de vivre sans toi Partie 1

Suite à la soirée au restaurant d'Angelo, Jane ne cessait de penser à Sherlock. Puis elle se dit qu'au travail, elle ne penserait plus à lui. Mais lorsqu'elle arriva au JFK, elle se souvint qu'il était son assistant ! Elle se résolut tout de même à travailler avec lui en espérant que son petit béguin pour lui ne se développerait pas. Ils travaillèrent avec un autre chirurgien, le Docteur Harry Bright. Bright travaillait depuis deux ans au JFK et était chirurgien depuis trois mois. Il avait aussi sauvé la vie de John, le cousin de Jane. Il était brun aux cheveux bouclés et aux yeux noisette. Quand elle le vit, Jane s'enticha de lui à cause de son physique et de ses qualités de cœur comme son dévouement envers les patients et sa solidarité envers ses collègues.

Jane décida donc de « séduire » Harry. En fait, elle le trouvait beaucoup plus humain que Sherlock et oublia totalement Sherlock avec Harry. Elle discuta quelques fois avec lui, il la fit rire. Ils se rapprochèrent sans que Sherlock ne vît quoi que ce soit. Harry fut séduit par la douceur, la joie de vivre, la bonne humeur et le caractère agréable quoi que bien trempé de Jane. Puis, Harry proposa à Jane de prendre un verre avec lui ce qu'elle accepta avec joie. Ils parlèrent de tout et de rien et mangèrent ensemble car il était déjà 20 heures.

Il la raccompagna à pied à Baker Street. Quant à Sherlock, celui-ci n'était pas séduit plus que ça par Jane mais il l'aimait bien. Jane et Harry se revirent plusieurs fois en dehors du travail et ils s'embrassèrent au pied de Baker. Embrasser Harry fit énormément de bien à Jane : enfin, je ne suis plus maudite ! Il est tout comme Carter, il est attentif, drôle, romantique. Il est génial !

Jane était tombée amoureuse d'Harry et son béguin pour Sherlock disparut tout à fait. C'est ainsi que Jane sortit avec Harry et oublia Sherlock. Au JFK, Sherlock comprit que Jane était en couple avec Harry. Il en fut jaloux mais ne put se l'expliquer. Jane était souvent à Baker Street, bien qu'elle passât tout son temps libre avec Harry ou ses amis. A chaque fois qu'il voyait Jane avec Harry, il la voyait heureuse et resplendissante de jour en jour, car celle-ci mettait tout en œuvre pour garder l'amour de son petit-ami.

Mais, ce fut quand le film Orgueil et Préjugés passa à la télévision et qu'ils le regardèrent sous la demanda insistante de Jane qu'il comprit son énorme erreur : il était Fitzwilliam Darcy, Jane était Elizabeth Bennet et Bright était Monsieur Wickham. En fait, ce film reflétait les sentiments de Sherlock pour Jane : tout comme Darcy, il avait détesté Jane, puis il était devenu son ami. Son amitié pour elle s'était finalement transformée en sentiments plus profonds et dont le nom seul dégoûtait Sherlock : l'amour, le vrai. Jane occupait son palais mental de jour comme de nuit, et cela lui était insupportable.

Dès qu'il la voyait avec Bright, il n'avait qu'une envie : casser la gueule de Bright et avoir Jane. Il n'avait jamais eu à ce point ressenti le besoin d'être aussi violent que cela et surtout pour avoir une femme.

Un jour, Lestrade l'appela pour une affaire de meurtre près de Covent Garden.

Arrivé seul au lieudit (Jane était avec Harry), il se pencha près de la victime et tenta d'ignorer les remarques désobligeantes de Donovan et d'Anderson. Pour la première fois de sa vie, Sherlock n'arrivait plus à réfléchir : l'image de Jane, le son de sa voix et les moments passés avec elle de Manor à ces derniers jours, restaient indéniablement dans son esprit. Il restât accroupi près du cadavre et figé dans une expression douloureuse de penser à elle et non plus à son travail.

« Alors, le psychopathe, on est bloqué ? Ce meurtre n'est pas assez glauque à votre goût ? Lui lança Anderson sarcastique. »

Pour une fois, Sherlock ne put lui répondre.

« Anderson, vous êtes en train de contaminer la scène de crime avec vos remarques. Sherlock, vu que vous ne vous sentez pas bien, vous pouvez repasser plus tard, ce n'est pas grave. Dit Lestrade.

-Je vais parfaitement bien, Lestrade ! Lui répondit sèchement Sherlock.

- Sherlock, vous allez vous reposer chez vous, sinon je vous fous au trou pour obstruction à l'enquête ! Si j'ai besoin de vous, je vous appelle ! Lui ordonna Lestrade. »

Les autres membres de son équipe le regardèrent avec des yeux ronds ! En effet, le DI Gabriel Lestrade n'avait jamais parlé comme ça à ses collègues ni à Sherlock ! Lestrade les regarda glacialement et ils se remirent au travail. Sherlock hocha la tête et rentra à pied (pour une fois) à Baker.

Mais, sur le chemin, il croisa Jane et Harry qui le saluèrent. Il leur répondit vaguement en se dépêchant de rentrer chez lui. Il rentra en claquant les portes derrière lui et alla s'enfermer dans sa chambre. Il s'assit sur son lit et sentit les larmes lui monter aux yeux. Puis il pleura enfin tout son soûl. Plus il essuyait ses larmes, plus d'autres apparaissaient et coulaient en abondance. Il se sentait comme un enfant et se rappelait que, la dernière fois qu'il avait pleuré ainsi, c'était quand Mycroft et lui s'étaient embrouillés suite à ses expériences amoureuses avec Anna, Diane et les autres. Il comprit aussi qu'il était en train de vivre son premier chagrin d'amour.

Ce n'est pas possible ! Je n'ai pas pu tomber amoureux d'elle aussi rapidement ! Pas après tout ce qu'il s'est passé à Manor avec elle ! Je n'ai vraiment pas de chance ! Il faut que je fasse quelque chose à tout prix, sinon je vais devenir fou !

Jane revint à Baker Street à 18heures. Elle fila se préparer dans la salle de bains et trouva Sherlock affalé sur le sofa, pour lui dire au revoir. Sherlock ne se leva même pas et murmura un vague au revoir. Jane haussa les épaules et alla chez son petit ami. L'appartement d'Harry Bright était situé à Bond Street, c'était un T3. Harry avait préparé un diner aux chandelles composés de spaghettis bolognaise. Ils mangèrent et firent l'amour ensemble. Pendant ce temps-là, Sherlock déprima et passa la nuit à jouer des morceaux mélancoliques au violon.

Le lendemain de sa nuit d'amour avec Harry, Jane se sentit bien mais avec au fond d'elle-même, un vif sentiment de culpabilité. En fait, elle aimait Harry mais éprouvait quelque chose, plus que de l'amitié pour Sherlock. Son amour pour Harry était présent mais elle aimait Sherlock, il était impétueux et son sale caractère la séduisait. Quant à Sherlock, il décida de se venger. Pendant quelques jours, il complimenta Samantha sur ses tenues, lui souriait de temps en temps, parfois devant Jane. Jane devint ainsi jalouse de Samantha.

Puis Sherlock et Samantha finirent par sortir ensemble. A cause de cela, Jane déprimait, pleurait souvent et s'alimentait toujours mais avec des aliments ayant le moins de calories possibles car elle se trouvait trop grosse et trop moche pour Sherlock.

Pourquoi j'ai choisi Harry au lieu de Sherlock ! Quelle conne je suis ! J'aurais dû lui parler mais maintenant c'est trop tard ! Oh et puis non. De toute façon, il est sociopathe et il ne m'aime pas. Après tout, qui pourrait aimer une fille aussi moche et stupide que moi ?

Sherlock était assez fier de son coup car il croyait que Jane allait plaquer Bright. Sherlock aimait bien Samantha mais ne l'aimait pas plus que cela. Dès que Jane et Sherlock se croisaient, ils détournaient la tête, n'étaient jamais dans la même pièce ensemble et se parlaient au travail et devant leurs amis communs. Les personnes qu'ils connaissaient leur avaient demandé ce qu'il se passait. Jane leur disait que tout allait bien avec Sherlock mais qu'ils avaient beaucoup de travail à l'hôpital pour se parler. Quant à Sherlock, il ignorait leur question en parlant d'autre chose ou partait.

Quant à sa relation avec Harry, elle lui disait des fois qu'elle avait ses règles, qu'elle était enrhumée, comme cela, ils ne couchaient pas ensemble. Quand elle ne supportait plus de voir Sherlock, elle se réfugiait chez son cousin ou ses parents, en leur disant qu'ils leur manquaient et qu'elle voulait les voir. Ceux-ci étaient étonnés, surtout John, car ils se voyaient souvent au JFK, et ses parents, car elle avait réussi à vivre sans eux durant cinq ans. A leur étonnement, Jane leur répondît qu'elle voulait rattraper le temps perdu. Dans son lit, elle ne faisait que pleurer mais en cachette et se forçait à manger, mais vomissait quelques fois, car elle refusait de grossir. Harry trouvait l'attitude de Jane très bizarre et ne pouvait jamais lui parler car elle prétextait toujours une opération chirurgicale importante ou bien une visite chez ses parents ou son cousin.

Quant à Sherlock, sa situation personnelle n'était guère meilleure. En effet, il était devenu alcoolique. Tous les soirs, il allait dans des bars différents et buvait au minimum 6 verres et se faisait mettre à la porte du bar quand il refusait de partir. Il errait alors dans les rues en hurlant le nom de Jane, que c'était une pute (quand il avait vraiment trop forcé sur la bouteille) et s'écroulait à terre dans une rue. Mycroft, Lestrade et John le retrouvaient grâce aux caméras du diplomate et il dormait chez l'un d'eux. Le lendemain matin, Sherlock était toujours étonné de se retrouver là et, par exemple, Mycroft lui disait qu'ils l'avaient retrouvé errant dans une rue. Sherlock lui disait qu'il mentait et Mycroft avait beau lui dire la vérité, il ne le croyait toujours pas. Car le GRAND et l'UNIQUE détective consultant au monde qu'il était ne commettait pas d'erreurs aussi stupides ! Mais comme il se sentait barbouillé à cause de sa gueule de bois, il prenait donc une aspirine et rentrait à Baker. Mycroft était bouleversé tout comme John de voir son frère dans cet état là. Lui qui pensait que l'état de son frère s'était amélioré depuis qu'il travaillait avec Lestrade et avait des amis ! Il fallait absolument qu'il l'aide et il le ferait.

Un jour, alors qu'il se trouvait chez John, après une de ses nuits de beuverie, John lui posa enfin LA question :

« Sherlock, il y a une question que tout le monde se pose : qu'est-ce qu'il t'arrive, bon sang ?

-Ben rien, pourquoi ?

-Sherlock, on n'est pas idiots ! On voit bien que tu vas mal ! Je te rappelle que nous sommes censés être amis !

-Très bien ! Tu la veux cette putain de vérité ? Et bien, tu vas l'avoir ! Je suis amoureux de ta cousine Jane depuis des mois !

-Tu plaisantes ?

-Malheureusement non.

-Mais pourquoi tu t'es mis avec Samantha Cooper alors ? Tu es con ou quoi ?

-J'étais désespéré, elle sortait avec ce connard de Bright ! Alors, je me suis vengé ! Il est super beau, super intelligent, enfin tout ce qu'il faut pour la contenter ! Et moi je n'ai rien, je ne suis qu'un connard et un sociopathe de détective consultant !

-Ok. Ben tu n'aurais jamais dû te mettre avec elle mais plutôt tout avouer à Jane !

-Pour qu'elle me jette ? Je suis peut-être con mais je ne suis pas fou !

-Ça aurait été une meilleure solution que ce que tu as fait Sherlock !

-Ok, je vais rompre avec elle.

-En douceur Sherlock.

-Ouais comme toi avec Sarah ?

-Exactement. »

Ils sont vraiment cons tous les deux ! Va falloir les aider ! Pensa John.

Le lendemain même, Sherlock se rendit au JFK comme d'habitude. Samantha l'embrassa comme d'habitude et il lui dit qu'il fallait qu'il lui parle en privé. Ils allèrent donc dehors.

« Samantha, il faut que je te parle.

-Oui, je t'écoute.

-On n'est pas un couple.

-Oui, tu as raison. Justement, j'allais t'en parler.

-Ah bon ?

-Oui, j'ai bien vu que tu es amoureux de Jane. Lui répondit Samantha les larmes aux yeux.

-C'est absolument faux !

-Sherlock, tout le monde le sait et ne me prends pas pour une idiote, s'il te plaît. Dès que tu vois Jane, tu détournes le regard et elle aussi. Quand vous êtes dans la même pièce, l'un de vous s'en va. Et quand tu crois qu'elle ne te regarde pas, tu la regarde avec un air empli de regret. Alors vas-y, avoue-lui tout.

-Sam, tu es vraiment quelqu'un de bien et j'espère que tu trouveras un homme qui t'aimera et qui te méritera. Je suis sincèrement désolé pour tout le mal que je t'ai fait. Lui dit Sherlock honteux.

-Merci Sherlock et j'espère que tout se passera bien entre Jane et toi. »

Il l'embrassa sur la joue et partit. Samantha put enfin pleurer en paix. En même temps, Harry rompit avec Jane, en lui disant qu'il était au courant qu'elle aimait Sherlock et non lui. Jane se défendit en disant que c'était faux mais Harry lui fournit les mêmes preuves que celles que Samantha avait fournies à Sherlock. Jane s'excusa aussi et Harry lui dit que ce n'était pas grave. Il décida d'aller dehors et vit Samantha qui pleurait à chaudes larmes.

« Samantha, tout va bien ? »

Samantha se retourna et lui pleura dans les bras. Harry ne dit rien et se contenta de la serrer dans ses bras.

« J.. J'ai rompu avec Sh.. Sherlock.

-Ah bon ?

-Oui, il aime Jane et pas moi !

-Je te comprends, je viens de rompre aussi avec Jane.

-Ah bon ?

-Oui. Ça te dit qu'on aille boire un verre ensemble ? Enfin en toute amitié, je veux dire. »

Samantha opina et ils allèrent dans un café boire un verre. Harry et Samantha se revirent plusieurs fois en dehors du travail et se trouvèrent de nombreux points communs. Ils se mirent finalement ensemble deux semaines plus tard car ils étaient amoureux l'un de l'autre et leurs caractères étaient semblables tout comme ceux de Jane Bennet et de Charles Bingley dans le film Orgueil et Préjugés.

Quelques jours après sa rupture d'avec Harry, Jane décida d'aller courir dans Hyde Park, pour se vider la tête. On était dimanche et le temps était gris. Alors qu'elle courait depuis 15 minutes, une explosion dans le café The Regent, se fit entendre. Jane appela donc le JFK pour les prévenir de l'attentat, car elle était absolument sûre que c'était un attentat signé Jim Moriarty et que cette fois-ci ce dernier la visait. Puis, elle se rendit dans le café, afin de voir si elle pouvait venir en aide aux gens à l'intérieur. A l'intérieur, tout était sombre et tout le monde hurlait de douleur et de peur. Les ambulances du JFK arrivèrent avec ceux qui étaient de permanence. A la plus grande surprise de Jane, Sherlock arriva.

« Sherlock, qu'est-ce que tu fais là ?

-Mycroft m'a prévenu, c'est un attentat signé Moriarty, non ?

-C'est ce que je pense aussi.

-Bonjour Mademoiselle Smith.

-Bonjour Monsieur Holmes.

-Donc, selon vous, c'est un attentat orchestré par Moriarty ?

-Tout à fait. Cela fait longtemps qu'il ne s'est pas manifesté. »

Effectivement, Moriarty avait laissé sur les lieux une photo actuelle de Jane qui disait : « She is the next ». Mycroft renforça donc la sécurité autour de Sherlock, Jane, leurs amis et leurs familles.

Puis, ils rentrèrent à Baker Street. Sherlock décida de ressortir pour se vider l'esprit et Jane resta dans l'appartement. Tout d'un coup, elle se rendit dans les placards de la cuisine et prit tout ce qu'il s'y trouvait en matière de junk food : des chips, des gâteaux, des boissons sucrées, du chocolat et mangea autant qu'elle le put. Il fallait dire qu'elle mourrait de faim, elle ne s'était pas alimentée correctement depuis plusieurs semaines ! Puis, elle vomit dans la salle de bain, eut le tournis et tomba dans les pommes.

Sherlock rentra quelques minutes après et la découvrit dans la salle de bain. Les larmes aux yeux, il la coucha toute habillée dans son lit et prévint son cousin.

John vint voir sa cousine à Baker Street. Elle ouvrit les yeux en entendant la voix de John dans le couloir, car, cette fois, elle savait qu'elle ne devrait pas faire face au détective.

« Alors, Jane qu'est-ce qu'il t'arrive ?

-J'ai juste fait une petite crise de foie, John, ce n'est rien.

-Comment ça se fait que je ne te crois pas ?

-Je te dis que j'ai juste fait une crise de foie ça va c'est bon !

-Non, ce n'est pas bon ! Qu'est-ce qu'il t'arrive ?

-Rien, fous-moi la paix ! Tu n'es pas mon père ni ma mère, ok ?

-Non, mais je suis ton cousin. Allez, dis-moi ce qu'il y a.

-Je suis amoureuse de Sherlock Holmes, voilà le problème !

-Ben, ce n'est pas un problème.

-Si. Il est sociopathe et il ne pense qu'à sa gueule, je te rappelle !

-Il ne l'est plus Jane ! Si tu avais fait plus attention aux faits et gestes de Sherlock, vu que tu l'aimes, tu aurais vu un grand changement.

-Ah bon ?

-Oui ! Il souffre de ne pas être avec toi et j'ai l'impression qu'il va nous faire une dépression !

-Mais vu qu'il déduit tout, tout de suite, il aurait dû voir justement que je l'aimais.

-Sherlock ne voit pas tout ce qui est sentiments, et en particulier quand ça le concerne.

-Ah ok.

-Bon, je vais y aller. Mais un petit conseil, ne reste pas comme ça. Personne ne mérite que tu foutes ta vie en l'air, même Sherlock Holmes !

-John, je peux te demander un truc ?

-Vas-y.

-Apprends-moi ton ancien métier.

-Mais Jane, être soldat, ce n'est pas la rigolade tous les jours et c'est hyper dangereux.

-Ben avec Sherlock, c'est exactement la même chose ! Avec ce connard de Moriarty, on risque notre vie à chaque seconde. Si je te demande de m'apprendre ton métier, c'est pour combattre auprès de Sherlock et arrêter d'être sa demoiselle en détresse.

-Ok, comme tu veux. Je viendrais te cherche demain matin pour commencer l'entraînement.

-Ok, merci John.

-Je t'en prie. »

John laissa Jane et partit voir Sherlock. Celui-ci faisait les cent pas, très inquiet pour Jane. En effet, quand il avait découvert sa chère Jane dans cet état, son cœur avait cessé de battre pendant plusieurs secondes et il avait fallu toute sa raison pour appeler John à la rescousse.

L'amour est vraiment un désavantage et un sentiment des plus dangereux. Pensa Sherlock.

« Alors, comment va-t-elle ?

-Elle a fait une petite crise de foie et en plus, avec ses problèmes de filles, ça ne l'a pas arrangé.

-Ses problèmes de filles ?

-Tu es vraiment ignorant Sherlock ! Tu es sûr que tu as fait médecine ? Je te parle de ses règles !

-Ok, ben je ne veux pas en savoir plus ! Merci d'être venu John.

-De rien, c'est normal. Bon, faut que j'y aille, sinon Molly va me passer un savon, si j'arrive en retard pour le dîner. »