Chapitre 9 : Rescue Me...

Autrice : A - Ca va peut-être vous étonnez mais l'autrice s'appelle Alisa Adams... Comment ça, vous le saviez déjà. Bon, si vous êtes toujours aussi désagréable, moi, j'arrête de faire des présentes à mes chapitres et en plus, je vais méditer ( faire du boudin si vous préférez, c'est que Wufei fait quand je l'embête, c'est-à-dire souvent. Qu'est ce qu'il fait, il va méditer mais moi, je dis qu'il va bouder et je suis sure que j'ai raison ! Nah !).

Base : A - Alors, pense-bête : « ne pas oublier que la base de ce fic est Gundam Wing » . Donc bah la base, c'est vision d'Escaflowne...J'vous ai eut, mais non, c'est pas ça, c'est Winnie l'ourson sauf que là, le héros s'appelle Wufy l'ourson ! W- ONNA ! A - bon, ok, la base, c'est Gundam Wing.

Genre : Euh, OOC, Yaoi mais bon, plus trop de Yaoi maintenant que Pikachu est mort. Mais vous inquiétez pas, ça va faire comme Duo, il va faire son come-back dans les petites notes. Sinon, violence je pense. On va voire...

Disclaimer : J'étais en train d'écouter la musique dans ma chambre quand je suis tombé sur une chanson que je trouve super bien, qui a juste le ton qu'il faut pour ce chapitre. C'est « Rescue Me » d'Ashanti. Si vous ne connaissez pas, essayer de l'écouter pour vous faire une idée.

Couple : A - Y en a plus, j'ai tué Pikachu et comme Heero a essayé de violer Kia (tiens d'ailleurs, petit message pour toi, petasse, ça t'apprendra à mettre des jupes aussi courtes ! K- Jalouse, tout ça parce que tu ne peux pas te le permettre ! A - Si, je peux ! K - Non, tu peux pas. A - Si, je peux ! K - Non, tu peux pas. Q- Fermez là bon Dieu de merde ! K- Pikachu ! A - Kia, t'es décidé à tous leur sauter dessus dès qu'ils reviennent, parce que c'est déjà ce que tu as fait avec Duo ! K- Et alors, j'fais ce que je veux d'abord ! A - Si t'y crois, c'est déjà ça !). Bon, place au chapitre.

Je me réveille doucement. J'ai un mal de crâne monstrueux. Personne n'a une boîte d'aspirine sur lui, parce qu'il me faut au moins une boite là. Ah, saloperie, qui c'est qui m'a fait ça. Bon ! Ma fille, il est tant de faire marcher ta mémoire. Alors, Hummmmm... Nous étions venus chercher le corps de Quatre pour le filer à sa famille afin qu'il l'enterre. Ok, jusque-là, ça va. Ensuite, je me rappelle de... Y avait du sang. Le sang de... Un ozzies. C'est Heero qu'il l'a tué. En tombant, le corps a déclenché l'alarme. Les soldats ont commencé à arriver et je leur ai tiré dessus en demandant à Heero de se barrer. Puis, le grand flou.

Je n'ai pas encore ouvert les yeux mais je sais qu'il y a du monde dans la pièce où je me trouve. Je les entends respirer. Ils sont au moins une dizaine. J'ouvre doucement les yeux. La première chose que je vois, c'est... Euh, là, je suis dans la merde. C'est Milliardo mais avec son masque, ca ne veut dire qu'une chose : il est en mode Ozzies. Donc, là, j'ai affaire à Zechs Merquise. D'où le rideau de cheveu blond avant que je ne sombre dans l'inconscience. C'est cet enfoiré qui m'a assommé.

ZM - Enfin réveillé ?

J'vous en pose des questions ?

ZM - Et levé du pied gauche à ce que je vois !

K- Pour ça, faudrait peut-être que je sois debout, mais se mettre debout quand on est attaché à une chaise, c'est pas super facile. Tu veux essayer ?

ZM - Un autre jour peut être. J'étais sure que je te connaissais. Alors Miss Sabine Ally, ou plutôt Alisa Adams, enfin, quel que soit ton nom, que faisais-tu dans la base.

Je sais plus, vous avez du taper trop fort en m'assommant. Faudra faire attention la prochaine fois. Vous m'avez complètement ôté tout souvenir jusqu'à quelque seconde avant mon évanouissement. J'ai décidé que j'allais faire la conne. Je suis sure qu'il va aimer.

ZM - Vous vous foutez de moi là ?

C'est si évident que ça ?

ZM - Peut être qu'une petite séance seul avec mes hommes provoquerait un retour de mémoire, ne croyez-vous pas ?

je sais pas mais j'ai jamais essayer avec autant de mec en même temps.

ZM - Je parlais de tortures, pas de s'envoyer en l'air. A ton avis connard, je le savais, j'ai juste envie de rigoler un peu. N'empêche, il est assez intelligent pour un ozzies : c'est le seul qui m'a attaqué par derrière et pas de front. C'est bien piti Zechs, tu auras un dessert ce soir en récompense.

K- Bon, vous allez me laisser longtemps attachée, j'ai envie de bouger moi. Et j'ai faim, j'espère au moins que vous allez me nourrir ?

ZM - Ca dépendra des réponses que tu nous donnes.

K- Bon, en clair, je suis pas prête de becqueter. Fais chier, l'hospitalité, vous connaissez pas ici ?

ZM - Pas pour les terroristes, me répond-il froidement. Bon, autant rigoler tant qu'on peut parce que je sens qu'après il voudra plus jouer avec moi.

K- Oh, je suis démasqué. Alors, maintenant que t'es au courant, dis-moi, ça fait quoi de coucher avec une terroriste ?

ZM - Silence !

C'est pas une réponse.

ZM - Soldats, faites le nécessaire, dit-il en commençant à se diriger vers la porte.

K- Bah, tu me laisses toute seule. En plus, la torture, ça marche pas avec moi. Va demander à Lady Une, elle a failli péter un câble la dernière fois qu'elle a essayé de m'interroger. J'ai cru qu'elle allait s'arracher les deux tas de merde qui lui pendent de chaque côté de la tête. Au fait, tu peux lui dire un truc de ma part : C'est pas parce qu'elle peut aller dans l'espace qu'elle doit se prendre pour princesse Leïla. Star Wars, c'est fini. Je le vois esquisser un sourire. Je pense qu'il va lui dire, il a pas l'air de l'aimer beaucoup.

ZM - Je lui dirais. Faites-lui ce que vous voulez mais ne touchez pas à son visage. Le visage d'une personne est trop important. Je trouve que c'est une sorte de reflet de l'âme, dit-il en me regardant dans les yeux. Et moi, j'me dégonfle pas.

K- Ah bon, bah tu dois être l'exception à la règle parce que je me demande comment un gars qui a un aussi beau visage peu avoir une âme aussi noir.

ZM - Ferme là.

Sur ce, il sort. Je crois qu'il n'a pas apprécié ma dernière remarque. Je commence à essayer de voir s'ils m'ont fouillé mais apparemment non. Ces abrutis m'ont laissé mon poignard. Ils ont du m'attacher avec les moyens du bord parce que c'est un truc super facile à couper qui m'entrave les poignets. Je le coupe facilement et, ni une ni deux, je me lève d'un bon. Mais ils ont du décidé que ça ne se passerait pas comme ça. En moins de deux, je me retrouve par terre et ces enfoirés en profitent pour me filer des coups de pompes dans la gueule. J'ai mal au niveau de la cage thoracique. J'ai vraiment trop mal. Je vois tout flou. Je vais m'évanouir. Au moins, pendant ce temps-là, ils ne me tortureront pas.

Lorsque je me réveille, je me rends compte que j'ai du mal à respirer. J'ai du être touché aux côtes. La poisse. Ca, ça veut dire immobilisation pendant quelques jours si je sorts d'ici un jour. Je continue à garder les yeux fermés et me concentre sur les bruits autour de moi. Je dirais une dizaine de soldats et à un mètre voir deux de moi. J'en ai marre. J'ouvre les yeux et suis aveuglée par la lumière blanche qui m'arrive en pleine figure.

Alors, réveillée ?

K- Non, je dors pauvre con, ça se voit pas ? Mais vous êtes cons comme ça à la naissance ou on vous fait subir un entraînement spécial pour être aussi grave ?

S- Sale garce ! dit-il en me retournant une autre claque dans la tête. Ah, bah il n'apprécie pas plus les blagues que mon cher Zechs.

K- Et reste poli, trou du c..., tu te prends pour qui ? Un peu de respect pour une dame, quand même !

Il s'approche de mon visage et me murmure :

S- Les pourritures de ton genre ne méritent pas le respect. Les résistants, ce sont des pourris qui passent leur temps à nous tuer, et toi, tu les aides. Pour moi, tu n'es qu'une salope.

Mais quelle grossièreté ! Franchement !

S- Maintenant, je vais te poser des questions et tu vas gentiment y répondre.

Si t'y crois, c'est au moins ça de gagner ! Et une autre baffe pour Miss Kia.

S- Tu es bien dans un réseau résistant, nous en sommes sûrs. Quelle est ta position ?

K- Bah, pour l'instant, je suis assise mais peut être que ça va changer d'ici la fin de la journée. En plus, laissez-moi vous dire que vos chaises ne sont vraiment pas confortables. J'ai mal aux fesses maintenant ! Et une autre baffe. C'est la tournée aujourd'hui. Je sens du sang dans ma bouche. Et merde, il m'a pété la lèvre. Elle venait juste de se remettre, la pauvre. Bande de brutes ! Goujats ! Bon, testons les liens. Alors, je suis attaché par les poignets à la chaise. Avec des trucs en ferraille. Bon, on laisse tombé les mains. Et les pieds. Bon, d'accord, faut être vachement souples pour se servir des pieds, mais on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a ! Et merde ! Attachés aussi. Aux pieds de la chaise. Ils n'ont pas l'air de vouloir me laissé partir. Bon, hola... Y en a un qui s'approche de moi avec un scalpel.

K- Alors, je vous préviens, j'aime pas du tout cette chose légèrement pointue au bout, ça fait pissé le sang. Ce n'est pas bien. Jeu de main, jeu de vilains.

Réponds, quelle est ta position au sein du réseau résistant.

K- Euh, je me souviens plus ?

Dis bonjour à Monsieur Scalpel.

K- Eh ben dis donc, vous vous êtes pas cassés la tête pour lui trouver un nom. Le pauvre ! Vous lui avez demandé son avis avant de la baptiser comme ça ? Ca lui plaît au moins ?

Mais tu vas la fermer ?

K- Mais tout à l'heure vous vouliez que je parle ! Oh, vous changez d'avis comme de chemise ! J'y comprends plus rien moi !

S- Ta gueule, me dit-il en me lacérant le bras avec le scalpel. Le sang commence à couler le long de mon bras. Eh, mais quand j'aurais plus beaucoup de sang, je vais m'évanouir et ils l'auront dans le cul. Cool. AAAAAHHHHH ! Cet enfoiré vient de replanter le scalpel dans la coupure et l'approfondit en appuyant tout doucement un peu plus. Ca fait un mal de chien. Bon, penser à autre chose pour ne pas lui faire le plaisir de lui montrer qu'il me fait trèèèèèèsssss mal. Vite, quelque chose. Ah, une chanson. Chouette. En plus, le titre est tout à fait en rapport avec la situation dans laquelle je me trouve. Je m'efforce de me répéter le refrain.

All night long

Take me away to another place

Rescue me

Save me

Save me

Save me

Peu après, le deuxième couplet me reviens à l'esprit :

I come alive when I feel your touch

And I can drown in this pool of love

You could get what I'm thinking of

Comme rescue me

What you think couldn't be replaced

If you were gone I would find a way

To get you back cause I love the way

You rescue me

Laying here with you in the dark

I always knew that could shift my heart

When I'm with you I don't wan to stop

So rescue me

Only you can fulfill my need

Take me away from this agony

I want to live out my fantasy

Just rescue me

All night long

Take me away to another place

Rescue me

Save me

Save me

Save me...

Doucement, je sens que je pars. Lorsque j'ouvre les yeux, je suis éblouis par de la lumière, mais pas la même que tout à l'heure. Celle-ci n'est pas artificielle et pendant un moment, je me demande si Heero et Trowa ne m'ont pas récupéré pendant que je colmatais. Puis finalement, je vois un éclat améthyste suivi d'un serpent châtain.

K- Du... Duo, mais c'est pas possible ! Tu es mort. Je... je... Oh mon Dieu, dis-je en me jetant dans ces bras.

Je sais, princesse, je sais. Non, je n'ai pas été ressuscité...

K- Mais dans ce cas-là, si ce n'est pas toi qui es revenu, ça veut dire que...

D- Non, panique pas. Tu n'es pas morte. Justement, tu résistes mais je voulais seulement te rassurer. Tu étais vraiment mal ces derniers temps et je voulais te dire ce que je n'avais pas eu le temps de te dire lorsque je suis...

K- Moi aussi, dis-je en pleurant, je dois te dire quelque chose. Je suis vraiment désolé que l'on se soit disputé le jour avant que tu... Avant que tu partes, je suis désolé. Si je n'avais pas fait tant d'histoire, tu n'aurais pas disparu de ma vie et je ne serais jamais sorti avec Heero.

D- Kia, t'as déjà entendu parler du destin ? Eh bien, c'était mon destin. Je serais mort de toute façon, d'une autre manière, mais je serais mort. Et puis, je suis mort dans les bras de la seule femme que j'ai jamais aimé, plutôt réussi comme mort, non ? Me demande-t-il en me caressant les cheveux.

Mais moi, je voulais pas que tu partes.

D- Aller, Kia, tu vas pas faire ta petite puce pourrie gâtée. Je voulais que tu saches que je t'aime et que je t'aimerais toujours et que les grands chefs ont décidés de m'envoyer au paradis. Y sont complètement ravagés je crois mais bon, je m'en plein pas ! Tu m'y rejoindras ?

K- Oui, même si je dois trafiquer la serrure des portes de du paradis, comme tu me l'as appris, pour y rentrer, dis-je dans un sourire.

Ca, c'est la petite chipie que j'adore. Je t'y attendrais, dit-il en se détachant de moi.

K- Promis ?

Le bout de nos doigts sont en train de se séparer.

Promis.

Il me dédit un de ces plus beaux sourires. Dans un souffle, il me murmure « je t'aime » . La brise souffle, l'air frais passant sur mes joues et pendant que je souris, les yeux fermés, je sens que je retourne à la réalité. Lorsque j'ouvre les yeux, la première chose que j'entends, c'est : « mais elle est Maso, elle sourit pendant qu'on la torture ». Je regarde le soldat de tout à l'heure avec un grand sourire.

K- Et c'est ça que vous appelez de la torture, je n'ai rien sentis. Et la, je me prends une droite dans la figure. Je reprends : oh, le colonel Merquise va pas être content, il a dit pas le visage.

Je vois le soldat à deux doigts de péter un câble. C'est vrai que des prisonniers qui s'endorment pendant qu'il les torture, il doit pas en voir beaucoup.

Emmenez-la dans une cellule et prévenez le colonel Merquise.

K- Eh ! Juste un conseil. Va prendre tes gouttes et fais une sieste, t'as vraiment une sale mine. Les interrogatoires, ça te réussi pas ! Dis-je avec un grand sourire. Paradoxal, c'est moi qui me fais interroger et c'est lui qui est crevé. Je vais pas dire que je pète la forme non plus mais là, ce pauvre garçon, il aurait bien besoin d'un prosac. D'une bonne douzaine plutôt ! Il me relève et me mette debout. Euh, bah j'aurais préféré resté assise, j'étais mieux. J'ai du me faire quelque chose à la cheville en tombant quand ils m'ont matraqué parce que j'ai l'impression qu'elle a doublée de volume et ça me fait un mal de chien. C'est bien simple, j'ai failli m'écrouler par terre en me redressant. Ca va vraiment être coton pour s'échapper discrètement. Ils me jettent dans une cellule. Je commence à faire l'inventaire, voir s'il me manque pas un doigt, savoir si j'ai tout. Ouais, y manque rien ! Par contre, ils s'en sont donnés à cœur joie pendant que je « papotais » avec Duo. J'ai des entailles partout mais seulement quelques une sont profondes, ça va pas laisser beaucoup de marques. Tant mieux. Par contre, j'ai perdu pas mal de sang. J'ai la tête qui tourne et je sens que d'ici peu, je vais m'évanouir. Je suis en train de colmater quand j'entends l'alarme se déclencher et un soldat hurler : « ce sont les gundams ! ». Non, pas possible ! C'est vrai qu'on aurait pu confondre avec Batman en tutu rose s'étant allié avec les pokémons, non ? Je m'évanouis en souriant. Ils sont venus me chercher...

A - A vouala, fini le chapitre 09. J'ai cru que je n'allais jamais y arriver. Sinon, pour le lemon que j'avais proposé, comme j'ai pas eu de réponse, je préfère prévenir, j'y ai renoncé. Les raisons : manque d'inspi., manque de temps et moral à zéro, voir -15 en ce moment. Sinon, qu'est ce que vous en pensez ?K- Nul à chier, je suis cassé de partout maintenant. D- Je suis apparu dans le chapitreuhhhhhhh... T+H- Et nous ? Q- Je ne dis plus rien étant donné qu'une certaine autrice m'a fait mourir. A - Euh, Quatre, tu peux dire que c'est moi, je crois être la seule à t'avoir fait crever jusque-là. Q- POURQUOI TU M'AS FAIT MOURRRIIIIRRRRR ? A - Je sais pas, une idée qui me travaillait, alors je l'ai exorcisé en écrivant ce chapitre. Tu sais, y a tellement de truc dans ma tête ! K- Ca prendrait des années à faire un inventaire, surtout quand t'arrive au coin idée tordue, la, c'est vraiment le bordel. A - T'as fini de sortir tes saloperies ? K- Non ! A - Bah c'est dommage parce que tu vois, là, je sauvegarde, je l'envoi et je vais me piotter. K- Pas juste je voulais leur dire que tu es... BOUM A (une massue à la main)- Dodo, j'ai dit. Bon à la prochaine et les mails que l'on envoie à l'auteur pour lui dire qu'on a lu son fic et faire part de ces impressions font toujours plaisir, mettez-vous un peu à notre place, surtout que moi, je campe devant ma messagerie. Heureusement qu'Elodie (dont je n'ai plus de nouvelle en ce moment. T'es morte, ma puce, ou enterrée sous une tonne de devoir ?), Nee Chan et toutes les autres comme Bébé Mei et Bébé Chris ainsi que ma frangine folle dingue. Les filles, je vous adore. Je rappelle donc l'adresse e-mail de la gentille autrice... K- Arrête de t'envoyer des fleurs ! A - Faut bien que quelqu'un le fasse puisque MON PERSO est trop con pour le faire. Donc, l'adresse ; c'est alisa-adamswanadoo.fr.

A+