Réponses aux reviews
Riri : de la fan fiction de compétition je le dirai à l'auteur, espèce de feignasse tu ve même pas te mettre un tit peu a l'anglais moi aussi j'avais des 5 avant de commencer à lire les fic en anglais label revieweuse fidèle .
Niark niark t'avai qua lire en anglais pour connaître l'identité des nouveaux arivant.
Elea013 : la conversation père/ fils, tu me dira mr Weasley il doit être roder au bout du 6e garçon, lol et puis il me semble pas être un personnage prise de tête. label revieweuse fidèle
Pour l'histoire de la pilule, je peux pas en dire trop, sinon vais devoiler l'intringue mais ça a un rapport avec les recherches de Hermione et tout les bouquins dont elle a besoins, t'inquiéte tu comprendras mieux dans quelques chapitres, je te reexpliquerai tout quand le gros de l'intringue sera traduit et publier.
Pascale1980 : ola la c'est du harcèlement je peux pas faire plus vite j'ai une vie sociale moi ! Tes qu'une méchante, t'as intérêt à avoir écrit se week end sinon ca va mal se passer ps : que la force soit avec toi (pour la clop) label revieweuse fidèle
Stupefix :merci voilà la suite
Kika : moi aussi
SNAPESEXSYMBOLE : voila voila
Billy : Sont y pas mignon, il commence à sa disputer et en un quart de tour il change de sujet, ils trop mdr, bisous, reviens moi vite sur msn.
Menssa : Bah c clairque ca commence tot si tu prends l'echelle de temps de la fic soit 15 chapitre et meme pas une journée, alors que mois ca va faire 4 mois que je suis à la traduction et que j'ai traduit a proximativement 100 pages soit environ 40000 mots voir , mais faut bien qu'elle commence l'histoire un beau jour. Sinon tu as raison sont trop mignon quand il prennent soin de l'autre.
Larmes de pluies : label revieweuse fidèle po grave tu peux le dire à chaque fois mes chevilles je peux plus rien faire pour elles dorenavant, lol.
Oui c un chapitre assez drole. Bisous.
Anywhere :merci
Rupertforever : la traductrice (moi) va faire le plus vite possible car c clair que cette histoire est génial et elle veux qu'un max de gens la découvre le vite possible.
Jamesie-cass : label revieweuse fidèle oui je l'aime bien aussi. Pour l'arrivée je ne dit rien à toi de lire.
Benelie : trop trognon bah ils sont pas très experimenté et c leur premieres experiences alors c pas évident. Tu es toute excusée si tu continues à me reviewer, lol
Virg05 : Hermionepowerrrrrrrrrrrrrrrrrr….mdrrrrrrrr label revieweuse fidèle, j'adore cette fille elle est vraiment genial. Biz
Selphie451 : merci bisous label revieweuse fidèle
Pascale1980 : vive lemini harraps et mon stylo rose, mdrrrrrrrrrrrrr Derien d'ailleurs vais en remettre un tit coup ALLEZ LIRE « nos belles années » de Pascale1980
Sweet amy : Désolé mais c une copine a moi ki porte ce pseudo lol Merci pour ta review, tu es pardonnée si tu continues de poster des reviews
Allez tous lire « Romance, guerre et mystères » ainsi que « Changements » de billy et menssa
Je suis désol& j'avais traduit et tapé depuis jeudi mais maelle elle a trainé à la correction, j'ai du baller chez elle pour lui botter le train pour qu'elle se mette au boulot !!!!!
Chapitre 15
Hermione fut sortit de son sommeil par le bruit de quelqu'un exprimant plutôt bruyamment au rez de chaussée. Elle se demanda depuis combien de temps elle s'était endormie, se frotta les yeux et s'assit dans le lit. Maintenant pleinement réveillée, Hermione reconnu la voix de Ginny qui filtrait par l'entrebâillement laissé par la porte de la chambre.
« Tu ne peux pas juste faire irruption ici et … Dégage d'ici, Per… »
La voix de Ginny s'affaiblit quelques instants et Hermione tendit l'oreille dans l'espoir d'entendre quoique se soit d'autre. Durant une fraction de seconde, elle pensa avoir entendu une voix plus grave plus masculine marmonner quelque chose avant que la colère de Ginny ne reprenne de plus belle.
« Je me fous de savoir qui est avec toi ! Tu ne peux pas voir… tu vas… parler avec Bill… il est dehors en train de se débarrasser des … »
Il y eu de nouveau des murmures. Peut importait qui parlait, mais deux de choses l'une, soit il parlait plus fort soit il se rapprochait. Cette fois Hermione était sur d'avoir entendu deux voix masculines bien distinctes essayant de parler en même temps avant que Ginny ne les interrompent.
« EH !!!!!! J'AI DIT QUE NE VOUS POUVIEZ PAS LA VOIR ! » Entendit Hermione, Ginny hurler de colère. Un grand bruit sourd retentit. « NE ME TOUCHE PAS FILS DE... BIIIIILL! » Ginny appela son frère aîné tandis que ses pas résonnaient dans les escaliers. "BIIIIIIILL!"
Hermione venait juste de réaliser qu'elle ne pouvait pas être en train de se disputer avec Fred et George. Ni l'un ni l'autre ne pourrait un jour ne serait ce que porter un doigt sur elle. Quand il eut un coup sur la porte entre ouverte et qu'elle fut finalement poussée par un homme qu'elle n'avait jamais vu auparavant, Hermione glissa sa main instantanément sous l'oreiller pour y saisir la baguette de Ron. Elle aurait jeté un sort à l'homme inconnu, si Percy Weasley n'était pas entré dans la pièce au même moment où elle refermait sa main sur la baguette.
« DEGAGE ! » Hurla Hermione. Elle ferma ses yeux jusqu'à qu'il ne reste qu'un fin entrebâillement par lequel elle fixait Percy. Pour ça part, il agissait comme s'il ne l'avait pas entendue. En fait, il ne lui jeta même pas un regard. Il fit un pas sur le coté et laissa ses yeux explorer sa vieille chambre tandis qu'un troisième homme faisait son entrée dans la pièce.
Hermione se renfrogna avec colère à la vue du ministre de la magie qui se rapprochait du lit, un sourire apaisant plaqué sur lèvres. Plutôt que de la calmer, cela n'eut pour effet que de rendre sa fureur plus intense. Elle fixait silencieusement Conerlius Fudge depuis un long moment avant de reverrouiller son regard sur le garçon roux qui tentait de l'ignorer. « DEGAGE NOM DE DIEU! » Hurla t-elle.
« JE TE L'AI DIT, PERCY ! » Aboya Hermione si fort que Fudge fit quelques pas en arrière. « SALE TRATRE, EGOISTE, LACHE ! COMMENT OSES TU REMETTRE NE SERAIT-CE QU'UN SEUL PIED DANS CETTE MAISON, APRES LA FACON DONT TU AS TRAITE TA FAMILLE ! »
« Attends une minute, » Déclara Percy, daignant finalement regarder Hermione, sachant qu'elle s'adressait à lui.
Avec un bruyant crack, Fred se matérialisa dans l'espace juste à coté du lit et pointa promptement sa baguette vers le trio importun se tenant devant lui.
« N'OSES MEME PAS ME PARLER. SALE CONNARD POMPEUX ! » Hurla Hermione. « TU AS JUSQU'A TROIS POUR METTRE HORS DE MA VUE TON DERRIERE PRETENCIEUX ! » le menaça t-elle tandis qu'elle sortait la baguette de Ron de dessous l'oreiller et la pointait directement sur la poitrine de Percy. « AVANT QUE JE T'ENVOIE DANS L'OUBLI ! »
« Les beuglantes, » Murmura Fudge pour lui-même, restant bouche bée face à la scène qui avait lieu devant lui.
« Tu l'as entendue, » Dit Fred, tournant sa propre baguette vers son frère. « Sort de sa chambre. »
« UN ! » S'écria Hermione.
« C'est ma chambre, » Cria Percy avec rancune.
« Plus maintenant, » L'informa Fred avec un sourire goguenard. « C'est sa chambre dorénavant et elle t'a demandé de partir, ALORS DEGAGE ! »
« DEUX ! » Continua Hermione à compter.
Rougissant extrêmement, Percy jeta un coup d'œil à son supérieur, attendant une réponse pour voir ce qu'il devait faire. Ne voyant rien d'autre que le choc sur le visage de Fudge, Percy fit la seule chose sensée à faire.
« TROIS ! » Beugla Hermione.
Mr weasley et Bill apparurent tout deux dans la chambre juste au moment où Percy commença à s'enfuir la queue entre les jambes vers le couloir, claquant la porte derrière lui, pour être sur de bloquer les sorts qui auraient pu suivre. Malheureusement pour Percy, George l'attendait. Au milieu de sa brusque retraite, George lui fit un croche pied, ce qui le fit trébucher. Percy fut contraint d'abandonner la paperasse qu'il tenait entre ses mains, pour amortir sa chute. George ricana bruyamment en regardant son frère aîné tenter de rassembler ses papiers en une pile sur le sol. Avant que Percy n'eut le temps de tout empiler, George tendit sa jambe et planta fermement son pied sur le haut du tas de documents officiels.
« Reçu une autre beuglante, Perce ? » Railla George tandis que son frère se remettait debout. « Donnée en personne cette fois ?
« NOM DE DIEU QU'EST-CE QUI SE PASSE ICI ? » Hurla Ron. Il émergeait des escaliers, Ginny sur ses talons. « Qu'est qu'il fait ici ? » Demanda Ron à George, son visage dessinant une grimace au moment où il prononça 'il', comme si cela lui avait écorché la bouche.
« Il est venu pour harceler ta petite amie, » Répondit Fred en sortant de la chambre et fermant la porte derrière lui.
« Petite amie ? » Questionna Percy. Ron le fixait de façon meurtrière.
« Si tu lui as fait quoi que ce soit, je jure je… » Commença Ron avant que son frère ne l'interrompe.
« Si quelqu'un est en danger ici, c'est cet abruti. » Ria Fred en pointant Percy avec sa baguette. « Il s'est presque fait dessus quand elle a pointé ta baguette sur lui et l'a menacé de l'envoyer dans l'oubli. C'était sacrément génial ! » Continua t-il à rire.
« Je t'ai déjà vu la mettre en pétard, Ron, » Gloussa joyeusement George. « Mais je ne l'ai jamais entendu hurler comme ça. »
« En fait, peut-être après le bal de Noël, » Ricana Fred.
« Ouai, c'était assez impressionnant, hein ? » Ria George. « Me rappelle cette dispute entre maman et papa à propos du… »
« OH LA FERME ! » Grogna Ron aux jumeaux bien qu'il continuait à fixer Percy.
« Toujours que, je parie que cela n'est rien en comparaison des beuglantes que tu as reçu, n'est ce pas Perce ? » Demanda Fred.
« Je ne vois pas de quoi tu parles, » Répondit Percy, Fixant ses frères avec un visage figé, essayant d'agir dignement.
George échangeant un regard avec Fred et tout deux reniflèrent bruyamment à la confusion de leur autre frère.
« Qu'est ce que j'aurais donné pour être témoin de ça, » Ricana George.
« De quoi parlez vous ? » Demanda Ginny, l'air aussi confuse que Ron.
« Elle ne te l'a pas dit ? » Demanda Fred à Ron avec un sourire.
« Ta petite amie a envoyé des beuglantes à cet abruti au ministère, » Ria George en montrant Percy du doigt.
« Perkins nous l'a raconté, » Ajouta Fred.
« Il était là quand la première est arrivée, » Expliqua George. « Le chanceux. Il a pu l'entendre toute entière. Mais ce ne fut pas le seul, n'est ce pas ? » Demanda t-il à Percy.
« Elle l'avait parfaitement programmée, » Dit Fred, son visage enclin à l'admiration.
« Bien sur, » Ria George.
« Elle est arrivé dans le vestibule principal, » Expliqua Fred.
« Juste après que tout le monde fut arrivé au travail, » Ajouta George.
« Elle lui a dit que tu ne serais jamais comme lui, » Dit George.
« Elle l'a traité de…, » Commença Fred avant de faire une pause pour réfléchir. « Bouffon avide, c'est ça Percy ? »
« Je pense que c'était 'Collaborateur matérialiste, » Suggéra George.
« Non, c'était 'bouffon matérialiste' et 'prétentieux petit collaborateur' » Corrigea Fred.
« Oui c'est ça, » Acquiesça George avec un gloussement. « Et aussi de 'Sale espion hypocrite', »
« Qui a vendu sa famille pour un boulot prestigieux et un joli titre,' » Ajouta Fred. Toute sa bonne humeur était partie de son visage.
« Qui est trop stupide pour réaliser qu'il fait le sale boulot de tu sais qui, » Continua George.
« Non, ce truc avec tu sais qui c'était dans la seconde, » Informa Fred à son frère jumeau.
« Tu crois ? » Répondit George. « En fait je pense que tu as raison. »
« Sacrement géniale, celle là, » Ria Fred.
« Elle l'a envoyé déguisée comme une carte de Noël, » expliqua George.
« Dans une enveloppe verte, » Ajouta Fred.
« Directement dans le bureau du ministre, »
« Comment êtes vous au courant de ça ? » demanda Percy aux jumeaux avec précaution.
« Et bien sur, le parfait petit Percy n'ouvrirait jamais son courrier personnel au travail s'il avait des risques qu'il explose, » Expliqua George pendant que Fred était prit d'un fou rire.
« En plein milieu du bureau de Fudge ? » Siffla Fred bruyamment. « Lui disant tout le bien qu'elle pensait de lui pour agir comme un abruti, »
« Et ruiner le Noël de maman, » Ajouta George.
« Te traitant de pharisaïque suffisant et imbécile, c'est ça Perce ? Oh non attends, ça c'était nous, » Informa Fred à son frère aîné avec un sourire goguenard.
« Elle lui a dit qu'il devrait avoir honte de lui. Papa a failli mourir et il n'a même pas une la décence de lui rendre visite. » Expliqua George.
« Elle a dit qu'il était trop occupé à faire le sale boulot de tu sais qui, » Ajouta Fred.
« Seulement elle n'a pas dit 'tu sais qui', n'est ce pas Percy ? » demanda George, bien qu'il connaissait très bien la réponse.
« Oh non, » Répondit Fred. « Elle a hurlé son nom, en plein milieu du bureau du ministre. Causant un sacré désordre, » Ricana George. « A ce que j'ai entendu dire ? »
« Les gens ont crié, »
« Est ce que Fudge a vraiment failli y passer ? » Demanda George à Percy.
« Trop dommage qu'ils ne t'aient pas renvoyé, en tout cas. » Persifla Fred.
« Tu sais quoi Fred, je pense que peut être devrions nous laisser Hermione tranquille. Nous lui devons au moins ça pour avoir remit ça, » Dit George en pointant Percy. « À sa place. »
« Et on lui doit aussi pour ce qu'elle a fait à son petit mentor, Umbridge. » Ajouta Fred.
« C'était vraiment génial, » Ria George.
« Presque souhaité être rester à l'école pour en être témoin, »
« Presque, »
« Je suppose que le petit Ronnie devra supporter le plus gros à sa place maintenant,' Dit Fred.
« Il a l'habitude désormais, où est le plaisir ? » Demanda George, sa voix pleine de regrets.
« Et bien, peut être de temps à autre une petite farce… »Suggéra Fred.
« Où une petite blague à ses dépends, » Ajouta George avec un sourire espiègle.
« Juste histoire qu'elle sache qu'on pense toujours à elle. » Expliqua Fred.
« Oui, » Acquiesça George. « Nous ne voudrions pas qu'elle pense que nous ne l'apprécions pas. Après tout, ces beuglantes déguisées c'étaient un coup de génie. « Ajouta t-il. George donna un coup de pied dans la pile de papier qui se trouvait devant Percy. « Il est temps pour toi de partir, » Dit-il en le fixant d'une expression sérieuse.
« Avant que maman ne rentre à la maison, » Ajouta Fred en le fixant d'une façon identique. « Nous ne voudrions pas qu'elle te trouve ici. »
Percy ne semblait pas savoir que faire. Il ne fit aucun mouvement. Alors Fred prit les choses en mains.
« Wingardium Leviosa, » Dit Fred en pointant sa baguette vers le sol et les papiers que Percy avait rassemblés plus tôt s'envolèrent avant de commencer à planer.
Percy ne bougea pas pour les récupérer, alors George tendit la main et en attrapa une poignée qu'il balança contre la poitrine de Percy. « Ne revient pas, » Le prévint-il.
« N'envoie pas de hiboux, »
« Oublie que tu nous connais, »
« Sale connard pompeux ! »
« Maintenant retourne chez toi, « Aboya George. Fred et lui pointèrent leur baguette vers la poitrine de Percy.
Percy prit le temps de lancer un dernier regard à Ron et à Ginny qui étaient tout simplement stupéfiés avant de disparaître avec un 'pop'.
« Sale con, » Jura Fred à voix basse.
« C'est une bonne chose que maman n'est pas été là, » Dit George.
« Assez étrange, en fait ? » Demanda Fred à son Frère jumeau. « Je veux dire, il fait irruption juste au moment où papa et maman se sont TOUT DEUX absentés. »
« Tu penses que le ministère surveille la maison ? » Questionna George.
« Ce serait sensé, je présume. » répondit Fred. Il posa son regard quelques secondes sur Ginny et Ron puis s'en retourna à George. D'une façon où d'une autre, il était capable de communiquer avec son frère d'un simple regard, sans que aucun des deux n'ait à prononcer un mot.
« Vous deux, » Finalement dit Fred en pointant d'abord ses yeux sur Ginny puis après sur Ron. « Rester à l'intérieur JUSQU'A ce que nous ayons parlé à papa. »
«Pourquoi ? » Demanda Ginny.
« Il est en train de parler avec le ministre, » Dit George en ignorant la question de sa petite sœur. « Et Hermione. »
« Je me demande pourquoi elle n'a pas aussi ordonné à Fudge de quitter la pièce ? » Pensa Fred a voix haute.
« Elle ne veut sûrement pas lui donner d'autres excuses pour saquer papa, » Répondit George.
« Toujours est-il, qu'il sont là depuis un petit bout de temps maintenant. »
« Oreilles à rallonges ? » Demanda George.
« Accio oreilles à rallonges, » Dit Fred en pointant sa baguette vers les escaliers. Sans plus attendre, quatre objets de couleur chair descendirent de l'étage supérieur, en volant avant d'atterrir dans la main tendue de Fred. Immédiatement, il en distribua 3 et en fixa une sur son oreille pour écouter la conversation qui se tenant de l'autre coté de la porte.
« Les reporters sont vraiment d'une subtile attention, » Entendirent-ils, Bill dire. « Les avoir qui rodent partout autour de la maison à l'affût du moindre cliché volé, vraiment très inspiré. Vous saviez, bien sur, que j'irai dehors pour les chasser. Ce qui vous donnait la parfaite opportunité de vous glisser à l'intérieur. »
« Je ne vois pas ce que vous voulez dire, » Répondit la voix du ministre. « Ils ne sont certainement pas venus avec moi. »
« Mais, c'est vous qui leur avait dit où ils pourrait la trouver ? » Demanda Mr Weasley d'une voix qui ne trahissait aucune émotion.
« Moi ? » Entendirent-ils le ministre s'exclamer, comme s'il était choqué par l'accusation. « Certainement pas. Quelqu'un du ministère a du laisser glisser l'information, mais je n'en savais rien. »
« Et bien, comme vous pouvez le voir, elle va bien. »Dit Mr Weasley. « Maintenant, je vous serai gré de quitter ma maison. »
« Soyez raisonnable, Arthur. » Dit une voix qu'ils ne reconnaissaient pas.
« Je ne veux pas que vous l'interrogiez. » Répondit Mr Weasley, sa voix finalement empreinte de colère.
« Mr Weasley, c'est ok. » Entendirent-ils, Hermione dire. « Ça ne me gène pas. Je vais lui parler. »
« Hermione, tu n'es pas obligée de… » Dit la voix de Bill.
« Je sais que je ne suis obligée, » L'interrompit-elle. « Mais je vais le faire. »
Sa déclaration fut suivit d'un long silence. Durant quelques instants Ron, pensa que quelqu'un devait avoir placé un sort d'impassibilité sur la pièce, mais il réalisa qu'il pouvait tout de même les entendre.
« Tu vois Arthur, » Déclara finalement Fudge, « Elle comprend combien c'est important, c'est une gentille fille. »
« Ça c'est une grosse erreur, » Murmura Ron à ses frères avec un sourire goguenard.
« Je n'apprécie pas vraiment votre ton condescendant Mr Fudge, » Entendirent-ils Hermione répondre sèchement. « Je ne m'assoirai pas là et je ne vous laisserai pas non plus me parler comme si j'étais une gamine de cinq ans. Si c'est ce que vous avez à l'esprit vous pouvez partir dès maintenant. »
« Non… non, bien sur que non. » Bégaya Fudge. « Je ne voulais pas dire que … Ce que j'essaye de dire … »
«Je vais répondre à toutes vos questions, » Déclara Hermione. « Mais vous allez devoir faire quelque chose pour moi en retour. »
« Et qu'est que cela est ? » Entendirent-ils, Fudge demander suspicieusement après un silence prolongé.
« Vous allez devoir relâcher Viktor Krum, »
« Nous y voil ! Je ne vais pas me laisser dicter ma conduite par une… »
« Vous allez le relâcher, Mr Fudge, » Déclara catégoriquement Hermione. « D'une manière ou d'une autre, je m'en assurerai. »
« Me menaceriez-vous ? » Demanda le ministre, sa voix était si basse maintenant qu'elle était presque semblable à un grondement.
« Vous pouvez le prendre comme vous voulez. Soit je vous parle à vous soit je vais parler aux reporters à qui vous avez si gentiment révéler l'endroit où je me trouvais. Je ne vais pas rester là à vous regarder envoyer un autre homme innocent à Azkaban. Soit vous le libérer maintenant soit vous pouvez attendre que j'aille parler à la presse et que je dise à tout le monde qu'elle malheureuse victime il est. Enlevé par des Mangemorts, soumit à leur volonté, donné en pâtures aux loups et utilisé comme bouc émissaire par le ministère. J'imagine déjà, le tapage que cela va causer. En particulier quand le ministère de la magie bulgare sera mit au courant. Je vous suggère d'ailleurs de le libérer avant le match. A moins que vous ne souhaitiez avoir à faire avec des fans fanatiques de Quidditch qui sans aucun doute vous accuseront de garder un homme innocent en prison dans une tentative de saborder les chances de la Bulgarie dans la course à la coupe du monde.
« Rogue disait vrai à propos de vous, » Cracha Fudge avec colère.
Ron n'attendit pas d'entendre la réponse de Hermione. Il enleva l'objet de couleur chair de son oreille et le jeta à terre. Puis sans dire un mot à personne, fit volte face et se dirigea vers les escaliers. Fred et George échangèrent un regard tandis que Ginny regardait Ron dévaler les escaliers en furie. Tout trois restèrent là, debout, en silence, se regardant les uns les autres jusqu'à ce qu'ils entendent la porte arrière claquer.
« L'imbécile, » Dit Fred. « Nous lui avions clairement dit de rester à l'intérieur. »
« Il est en colère pour Krum, » Essaya d'expliquer Ginny.
« Bordel ! » Jura George. « Peut être devrais tu aller lui dire de rentrer. »Suggéra t-il à Fred.
« Moi ? Pourquoi tu ne le fais pas ? » Demanda Fred.
« Maman vient juste de me guérir un œil au beurre noir, je n'ai pas très envie dans avoir un autre. »
« Vous deux êtes vraiment pathétique, » Dit Ginny. « Je vais le chercher. »
« Non, » Répondit George, en l'attrapant par le bras pour l'empêcher de poursuivre Ron. « Maman nous tuerait si on laissait quoique se soit t'arriver. »
« Je vais dans l'arrière cour, » Répondit sèchement Ginny en essayant de se libérer de l'étreinte.
« Non, je vais y aller. » Dit Fred. « Je vais garder un œil sur lui jusqu'à qu'il soit prêt pour rentrer de son propre gré. » Prévint-il George. « Toi, tu restes à l'intérieur. » Ajouta t-il pour Ginny
Ginny réalisa qu'il n'y avait aucun moyen pour elle d'argumenter avec eux et que George allait de toutes évidences rester prés d'elle pour vérifier qu'elle ne bouge pas. « Très bien ! »
Acquiesça t-elle.
« Et tu ferais mieux de dire à Hermione que Ron est en colère quand elle repassera par là. » Ajouta Fred alors qu'il se dirigeait vers les escaliers. « Tu sais qu'elle est la seule qui sera capable de le calmer.
Bon pour le chapitre suivant, on continue avec Ron et mione , c'est une conversation très cute entre eux deux.
Bon comme d'hab merci de laisser des petites reviews. Merci, à bientôt
