Réponses aux reviews :

Misao-chan : Merci, c possible qu'il manque quelque chose c'est vraiment rare quand je ne traduit pas un phrase, peut etre que je ne l'ai aps compris ou peut etre est ce un simple oublie encore désolé. Oui vive le RER. J'adore moi-même cette fic. Heureusement qu'elle est génial vu le temps que j'y consacre ! Merci pour ton offre j'en prend note !

Virg05 : revieweuse fidéle Merci

Sweet Amy : la voila

Bruno-pier : Merci je n'y suis pour rien, c'est ma béta qui a mit 10 jours à la corriger. Merci je passerai le message à l'hauteur. Oui la subtilité de Bill est tres drole.

Lunatanis : Oui pauvre Ron completement perdu avec toutes ces infos contradictoires. Pour Hermione elle fait preuve de beaucoup d'esprit d'initiative dans cette fic ce que veut Hermione arrive dans le chapitre24 pour une partie.

Riri revieweuse fidéle: Lol bah ouais mais Hermione elle aimait pas cette option Bill !

Billy : Bah oui nous les filles avons un cerveau évolué qui 'est capable d'avoir plusieur émotion à la fois. Pour Bill t'inquiete il va se rattraper et Hermione va vite reprendre les choses en main. Bisous

Pascale1980 : revieweuse fidéle oui bah les choses était plus simple kan il se laissait guidé par l'instinct plutot que par les conseils foireux de Bill ! Hermione sait ce qu'elle veut apres la relation se rééquilibre.

Jamesie-cass : revieweuse fidéle oui désolé pour l'attente mais bon voila le chapitre, le suivant ne devrait pas tardé si ma correctrice ne fait pas des siennes. Oui Hermione est tres directe.

Marina Te voila satisfaite !

Jadou : Pauvre Hermione toute frustré lol Elle va reprendre les choses en main ;)

Axoo : Oui Hermione se fait tres tres chaude, elle est frustrée et elle va reprendre tout sa en main ;) je note pour le pari lol, pour Poudlard c'est dans assez longtemps, ils vont passés pas mal de temps a Grimmauld place.

Servane : Oui pauvre Ron merci de ton enthousiasme bisous.

Lolaboop :Merci

Benelie : Oui pauvre Ron tout perturbé, Bill disons que sa crédiblité va en prendre un coup mais il va se rattrapé plus tard bisous.

Hermweasley : Oui moi aussi pour le prochain chapitre moins de discussion mais ça revient dans le 23

Pit-chan Oui Ron est adorable et Harry bah disons que Ron est doux comme un agneau comparé a lui.

Larmes de pluies : Merci pour tes encouragements et ta comprenhension, j'ai traduis tres vite ce nouveau chapitre mais ma correctrice m'a fait faux bon.

Lily Margot : C'est pour ça que je le fais. Pour la réponse esclusive a menssa disons que les choses se réchauffent mais que c'est pas tout a fait encore la canicule.

Menssa : Oui le R arrive je sens que ça va pas etre simple a traduire comme chapitre, ce n'est pas vraiment ma spécialité mais si j'ai un prob de vocabulaire je sais a qui demandé

Bon je suis désolé pour l'attente mais ce n'est pas de ma faute. Ce chapitre est traduit depuis 10 jours est ma correctrice c'est un peu laissé aller. Dans le meme registre elle détient Plus qu'un souvenir depuis 1 semaine et elle l'a pas encore corriger.

Aller tous lire les fic de Billy et menssa ainsi que Culpabilité de Servane, Nos belles années de Pascale1980 et Douce haine ou Amour violent de pit-chan

Ça fait longtemps que j'en avais pas fait un donc je vais le faire ; cette fic n'est pas ma propriété, je n'en suis que la traductrice, son auteur original est RogueSugah qui publie sur ce site. Par ailleurs cette fic est elle-même inspirée de l'Univers crée par l'excelente JKR, qu'est Harry Potter (sans oublier Ron& Mione ;) )


Chapitre 22

Alors qu'elle sortait de la cuisine et qu'elle montait les escaliers, Mrs Weasley ne pouvait s'empêcher de penser à quel point la maison était silencieuse. Elle était sure que ce serait une chose à laquelle elle ne s'habituerait jamais. C'était tellement différent de sa maison, avec son atmosphère douillette et toute cette vie en mouvement. Malgré le chaos causé par l'apparition des nombreux membres de l'ordre à l'improviste, le 12 Grimmauld place, avec ces nombreux étages et ses pièces sans nombre, lui semblait anormal.

Sa maison lui manquait. Sa cuisine lui manquait. Dormir dans son propre lit lui manquait. Mais elle ne pouvait rien y faire pour l'instant. Garder ses enfants à l'abri était bien plus important que l'endroit où elle devait dormir. Mais il y avait des jours où elle se demandait s'ils étaient réellement en sécurité, même à Poudlard. Et quand ils retourneraient à l'école, est ce qu'il serait sûr pour Arthur et elle de repartir pour le Terrier ? Si il ne pouvait pas mettre la main sur Harry, Hermione et Ron, est ce qu'il se rabattrait sur elle et son mari ?

Mieux vaut moi que mes enfants, pensa Molly alors qu'elle s'approchait du salon près du portrait de Mrs black. Elle jeta un coup d'œil par la porte ouverte pour voir les progrès que Ginny et Hermione avaient fait dans le décapage du parquet crasseux. Elle avait assigné les filles à cette tache sachant qu'elles seraient capables de l'accomplir sans déranger le portait diabolique qui était accroché de l'autre coté du mur. Elle n'avait pas escompté qu'elles finissent aussi rapidement, mais elles l'avaient de toutes évidences fait. La pièce était maintenant vide et le sol était immaculé.

Elles ont dû aller aider Ron à nettoyer les meubles dans la salle de bain, se dit Mrs Weasley à elle-même tandis qu'elle montait les escaliers pour aller vérifier leur travail. La baignoire est un boulot prenant à elle toute seule. Ça va lui prendre des heures pour la récurer. Mais il se fait tard, remarqua t-elle quand elle jeta un coup d'œil par la fenêtre sale qui donnait sur la rue et qu'elle vit le soleil couchant. Arthur et les garçons ne vont pas tarder à rentrer. Ils ont mérité un peu de repos. Ils pourront finir ça demain, pensa Mrs Weasley alors qu'elle passait devant la porte ouverte de la chambre des filles.

La brillante chevelure rousse de Ginny attira son regard, elle s'arrêta et revint sur ses pas jusqu'à se retrouver devant la porte. Ginny était allongée sur le ventre au milieu de son lit, les pieds en l'air, une plume à la main, en train d'écrire sur un parchemin.

« Où est ton frère ? » Demanda t-elle, en scrutant la chambre comme si elle espérait voir Ron émerger d'une des armoires.

« Pourquoi je devrais le savoir ? » Demanda t-elle, en relevant la tête de la lettre qu'elle était en train de rédiger. « Je ne suis pas sa nounou. »

« Où est Hermione ? » L'interrogea Mrs Weasley, en espérant ne pas recevoir encore une fois une réponse ambiguë.

« Elle est probablement avec Ron, » Dit Ginny, en plongeant sa plume dans une bouteille d'encre avant de reporter son attention sur son parchemin. « La dernière fois que je l'ai vu, elle allait l'aider à nettoyer. »

« Pourquoi est ce que tu n'es pas allée avec elle ? »

« J'ai fini mes corvées, » Dit Ginny, en regardant sa mère d'un air effronté. « Je ne vais pas faire les siennes en plus. »

« Apparemment je ne t'en ai pas donné assez, » Répondit sèchement Mrs Weasley à sa fille. Tout ne doit être que dispute avec toi, n'est ce pas ? Tu es coriace depuis que j'ai refusé de te laisser rendre visite à Harry avec tes frères. Et bien cela ne fonctionnera pas. «Alors je devrais juste en rajouter quelques unes en plus sur la liste de demain ? » Demanda Mrs Weasley, en voyant la bouche de Ginny s'ouvrir d'indignation. Elle attendit un moment pour voir comment sa fille allait argumenter, mais Ginny sembla se retenir en cours de route et ravaler son commentaire mordant. Pinçant ses lèvres, Ginny marmonna quelque chose d'inintelligible dans sa barbe alors qu'elle se remitait à fixer sa lettre.

« Quoi ? » Demanda Mrs Weasley. « Je n'ai pas bien entendu ce que tu as dit. »

« J'ai dit ok, » Dit Ginny avec colère. Ajoute ce que tu veux à ta foutue liste. Plus tu en ajouteras, plus lentement j'irais.

« C'est bien ce que je pensais avoir entendu, » Répondit sa mère, alors qu'elle repartait à la recherche de Ron et de Hermione. Elle avait juste décidé de commencer à chercher d'abord dans la chambre de Ron, quand elle entendit des voix étouffées venir du petit salon.

Soulagée qu'ils ne se soient esquivés quelque part pour se cacher et rassurée par le fait qu'ils discutaient, ce qui signifiait qu'ils ne faisaient pas autre chose, Mrs Weasley hésita, ne sachant plus si elle devait passer sa tête par la porte pour vérifier si c'était bien ce qu'ils faisaient. Ce fut la position de la porte qui fixa l'affaire. Vrai, elle n'était pas complètement fermée, mais Ron savait que entrouvert de 5cm, n'était pas la même chose que porte grande ouverte.

Combien de fois vais-je devoir lui répéter ? Se demanda t-elle à elle-même, alors qu'elle approchait de la porte pour jeter un coup d'œil à l'intérieur. Comme elle l'avait imaginé, ils étaient assis tous les deux sur le canapé. Ron s'était calé dans un coin, en utilisant l'accoudoir comme appui supplémentaire, alors que Hermione était allongée contre lui. Pendant un instant, Mrs Weasley fut déchirée. La scène devant ses yeux était tellement intime qu'il lui sembla qu'écouter d'une oreille indiscrète leur conversation serait une mauvaise chose. D'un autre coté, pensa t-elle quand elle vit Ron rassembler les cheveux de Hermione dans da main, dénudant ainsi son cou pour l'embrasser. La conversation semble être terminée.

Si les deux adolescents avaient su qu'elle se trouvait à la porte, ça s'en serait sûrement terminé là. Mais cela n'était pas le cas. Hermione tourna la tête juste assez pour permettre à Ron d'avoir accès à ses lèvres. Le baiser était doux et il n'y avait rien qui ne méritait que l'on s'en excite, s'il s'en était tenu là. Le problème était que ce n'était pas le cas. Plutôt que de le rompre, Hermione mit simplement son corps dans une position plus confortable tandis que le baiser s'approfondissait.

Mrs Weasley en avait vu assez. Juste au moment où elle allait faire son entrée dans la pièce et prévenir que quelque chose de plus sérieux n'arrive, son mari l'arrêta.

« Molly ? » Murmura t-il d'une manière accusatrice, alors qu'il venait se poster derrière elle. « Qu'est que tu fais ? » Continua t-il, en regardant par-dessus son épaule dans la pièce pour voir ce qu'elle regardait. N'attendant pas sa réponse, il lui saisit le bras et l'éloigna de la porte.

« Arthur ? Qu'est ce que tu fais ? Lâche moi, » Protesta t-elle, en essayant de taper sur sa main.

« Laisse les vivre, » Ricana Mr Weasley, plaçant sa main sur le dos de sa femme pour la pousser un peu plus loin dans le couloir. « Laisse les au moins savourer une partie de leur été. »

« Mais, le dîner est presque… » Commença t-elle à protester.

« Ils descendront quand ils auront faim, » Répondit Mr Weasley, en sachant très bien que ce n'était pas pour le dîner qu'elle s'inquiétait.

« Ce n'est pas le problème. »

« Non, ça ne l'est pas ? » Répondit-il, en fixant intensément sa femme d'un air entendu.

« Qu'est ce que c'est sensé signifier ? » Demanda Mrs Weasley, sonnant quelque peu sur la défensive.

« Molly, tu ne peux pas les empêcher de grandir. »

« Je n'essaye pas. »

Mrs Weasley arqua un sourcil d'une manière qui voulait demander 'n'est ce pas ?' puis répondit. « Ron n'est pas le premier à avoir une petite amie, chérie. »

« Ce n'est pas la même chose Arthur, et tu le sais. »

« Oui, je le sais, » Admit-il. « Nous savions que cela finirait par arriver. Ne prétend pas que ce n'est pas ce que tu as voulu. »

« Mais c'est trop tôt, » Répondit Mrs Weasley. « Ils sont trop jeunes. »

« Charlie était plus jeune qu'ils le sont quand tu l'as surpris avec la fille Jones dans un coin à l'arrière de Fleury et Bott. Tu n'as pas réagit comme ça. »

« C'était différent, » Insista Mrs Weasley.

« Et est-ce que c'est vraiment ça qui t'inquiète ? » Demanda son mari.

« Ne soit pas ridicule ! »

« Ce n'est pas ridicule, » Répondit-il. « C'est normal que tu le ressentes de cette manière. Je sais que Ron et Ginny sont les plus jeunes, mais ils ne sont plus des enfants. Je réalise que c'est difficile de laisser faire, mais tu vas devoir trouver un moyen de le faire. Il sera majeur dans quelques mois, Molly. Assez vieux pour rejoindre l'ordre. »

« Il ne peut pas rejoindre l'ordre,' Répondit Mrs Weasley sévèrement. « Il est encore à l'école. »

« Assez vieux pour prendre ses propres décisions, » continua t-il, ignorant consciemment le commentaire de sa femme. « De plus, cela n'a rien de nouveau. Hermione prend soin de lui depuis qu'il a onze ans. Juste parce qu'il dépend d'elle, cela ne signifie pas qu'il a moins besoin de toi. Tu seras toujours sa mère. »

« C'est absurde. Ils n'ont même pas eu encore un vrai rendez-vous. »

« Alors tu penses que ce n'est pas sérieux ? » Demanda Mr Weasley, même s'il connaissait déjà la réponse. « Tu ne penses pas que ce sera la dernière ? Les gens disaient aussi ça de nous, tu sais. »

« C'était différent avec nous, » Protesta t-elle. « Nous n'étions pas pris au milieu d'une guerre. Ils sont trop jeunes pour supporter autant de responsabilité. »

« Je te concède qu'ils supportent déjà plus que n'importe qui d'autre de leur âge ne le devrait, » Admit-il. « Mais je pense qu'ils ont fait, jusqu'à maintenant un plutôt bon boulot. »

« Mais les choses ne vont faire qu'empirer, »Argumenta t-elle. « Quelque chose devra être cédé. »

« Et tu as peur que ce soit leur relation ? »

« Ils ont déjà à se soucier de beaucoup de choses. Essayer de maintenir une relation sérieuse ne fera qu'en ajouter. »

« Je ne suis pas d'accord, » Répondit Mr Weasley. « Je sais que tu les observais, mais je pense que tu as manqué ce qui était devant tes yeux. Ils se réconfortent l'un l'autre, Molly. Regarde par quoi ils sont passés ces derniers mois et comment ils ont rebondi. Ils dépendent l'un de l'autre et tu as besoin de les laisser passer du temps seul tous les deux. Tu dois avoir remarqué comment Ron se comporte depuis que tu as commencé à interférer. »

« Je n'interfère pas, » Se défendit Mrs Weasley.

« Alors tu n'étais en train de les surveiller ? » Demanda son mari. « Tu n'as pas envoyé les jumeaux pour les interrompre ? Tu n'as pas suggeré à Bill d'avoir une conversation avec Ron et de le questionner pour savoir combien les choses étaient sérieuses entre eux ? »

« Et alors ? Je suis sa mère. J'ai tous les droits d'être concernée, » Répondit-elle sèchement en mettant les mains sur ses hanches, se préparant pour une dispute. « J'aime cette fille, Arthur. S'ils brusquent les choses et qu'ils ne sont pas prêt, ils peuvent tout gâcher. »

« Tu veux dire que si cela ne marche pas, cela va ruiner tous tes plans ? » Répondit calmement Mr Weasley. « Tu ne peux pas vivre sa vie à sa place, Molly. Je sais que tu as à cœur que Hermione entre dans la famille un jour, mais ce n'est pas ta décision. Tu dois rester à l'écart et les laisser faire leurs propres choix. Même s'ils font quelques erreurs en chemin. »

« Je veux juste qu'ils soient heureux, » Répondit-elle avec un soupir.

« Je le sais, ma chérie, mais tu ne leur rends pas service. Hermione est une bonne fille et elle sait comment s'occuper de Ron. Fais lui confiance pour le garder sous contrôle et arrête d'interférer. Tu vas faire leur plus de tort que de bien si tu ne le fais pas. »

« Mais… »

« Tu dois les laisser faire leur propres erreurs, Molly. C'est le seul moyen pour qu'ils apprennent. Maintenant seul le temps nous dira si ça les a rendu plus forts ou non. »

Pour la plus grande surprise de Molly, Ron et Hermione furent les premiers à se montrer dans la cuisine pour le dîner.

« Quoi que tu fais, maman, ça sent bon. » Dit Ron, en même temps qu'il se glissait derrière elle pour voir ce qu'elle cuisinait. « Quand est ce que se sera prêt ? Je meurs de faim. » Comme un signal son estomac se mit à gargouiller bruyamment, déclenchant un léger gloussement de Hermione.

« Quand est ce que tu n'as pas faim ? » Demanda t-elle, tandis qu'elle sortait une pile d'assiette du buffet et qu'elle commençait à dresser la table.

« Après avoir mangé, » Répondit Ron, en tendant la main vers un tranche de pain que sa mère avait laissé sur le comptoir avant qu'elle ne lui donne une légère tape sur les doigts. « Juste un morceau ? » Se lamenta t-il.

« Est-ce qu'il y a autre chose que nous puissions faire pour vous aider ? » Demanda Hermione, en se retournant vers le buffet pour y prendre les couverts.

« En fait, » dit Mrs Weasley, en se tournant vers Ron. « Tu peux aller chercher ta sœur et ton père. »

« Je dois vraiment ? » Demanda t-il complètement déconcerté.

« Oui, et tu ferais mieux de ne pas crier leur nom du bas de l'escalier, non plus. »

« Et Bill ? » Demanda Ron en se dirigeant vers la porte.

« Quoi pour Bill ? » répondit sa mère.

« Est-ce que je suis supposé aller le chercher aussi ? »

« À moins que tu prévois de lui amener son dîner de lui servir dans sa chambre, » Dit Mrs Weasley.

Quand Ron revint de sa tache, il fut surpris de trouver Fred et George non seulement à table mais déjà en train de manger. Ne s'en souciant pas plus que ça, il se laissa tomber sur la chaise juste en face de celle de Hermione et commença à remplir son assiette de nourriture.

« Sympa de votre part d'avoir attendu le reste d'entre nous, » Dit Ginny, en entrant dans la pièce et s'asseyant à coté de Hermione.

« Quoi ? » Marmonna Fred, la boucle tellement remplie, qu'il lui était impossible d'en dire plus.

« Ne parle pas la bouche pleine, » Le réprimanda Mrs Weasley, alors que son mari et son fils aîné entraient dans la cuisine et prenaient un siège.

« Désolé, maman, » Répondit George.

« Qu'est ce que tu as fait maintenant ? » Demanda Mrs Weasley.

« Rien, » Dit vivement George.

« C'est pas plausible, » Ricana Bill en se servant.

« Très bien, ne me crois pas alors. »

« Dure journée, papa ? » Demanda Fred, en remarquant le regard hagard de son père.

« Ça a été un cauchemar absolu, » dit Mr Weasley. « Et Fudge n'aide certainement pas. Il a vraiment l'air d'un imbécile maintenant ? » Continua t-il.

« C'est de sa faute, vraiment. Essayer de coller l….euh …incident sur Krum, au tout début. » Ajouta Bill.

« Cela aurait probablement fonctionné, si Hermione ne s'y était pas opposer fortement. » Ria Fred.

Contrairement à Fred, Hermione ne trouva pas le commentaire particulièrement drôle. Il n'y avait absolument rien de drôle dans la situation. Je souhaiterai qu'il lâche l'affaire, pensa t-elle, en jetant un coup d'œil appréhensible pour jauger sa réaction. Il se figea pendant une seconde, le morceau de pomme de terre qu'il allait manger à mi chemin de sa bouche. Mais se reprit tellement rapidement qu'elle douta que personne d'autre ne s'en soit aperçu.

Sentant ses yeux sur lui, Ron leva les yeux et rencontra son regard tandis qu'il recommençait à manger.

« Eh bien, déjà il ne serait pas occupé à éviter les fuites vers la presse. Vu comme tout ça n'est qu'un paquet de mensonges, » Dit Mrs Weasley en tendant la main pour prendre une tranche de pain. « Arthur, chéri ? Est-ce que tu as réglé cette petite affaire avec le département des transports magiques ? »

« Euh…et bien, tu vois… » Balbutia Mr Weasley.

« Je sais que tu as été débordé, chéri mais… »

« Non, ce n'est pas le problème, » Informa t-il sa femme. « J'ai essayé de leur parler plusieurs fois en fait, mais Margaret Edgecombe est plutôt bornée sur cette affaire. Elle est une grande supportrice de Fudge, tu ne savais pas ? »

« OH ! » Dit Hermione, alors que la compréhension soudainement enflamma son visage. « Je suis désolé Mr Weasley. Je n'avais pas réalisé qu'elle travaillait dans ce département. Si j'avais su… euh, s'il vous plait ne perdez pas plus longtemps votre temps à essayer de lui parler. »

« Tu connais Margaret Edgecombe ? » Demanda Bill, plus qu'un peu surpris.

« Pas personnellement, »Répondit Hermione.

« Néanmoins, elle ne risque pas de t'oublier de sitôt. » Ricana Ginny.

« Je sais que je devrais sûrement pas demander ça, » Dit Bill. « Mais qu'est ce que tu lui as fait ? »

« Je n'ai rien fait du tout, » Déclara sincèrement Hermione.

« Non, » Concéda Ron avec un sourire goguenard. « Sa traîtresse de fille n'a qu'elle à blâmer. »

« Edgecombe ? » Répondit Fred, comprenant finalement. « Je savais que ce nom sonnait familier. »

« La mère de la moucharde, » Ria George. « Pas de chance, Hermione. »

« Est-ce que tu penses qu'elle a encore ces boutons ? » Se moqua Fred.

« Je suis sure de ça, » Répondit Hermione, l'air à la fois embarrassée et satisfaite d'elle-même. « Et elle les aura pour un long moment encore. »

« Peut être vous deux feriez mieux de passer un marché, »Suggéra Fred.

« Ouais, je parie qu'elle pourrait oublier l'amende si tu acceptais de lever le mauvais sort, » Ajouta George.

« Je ferais mieux de plutôt payer l'amende, » Déclara Hermione. « De plus, je ne pourrais pas lever le sort, même si je le voulais. »

« Tu veux dire qu'elle va rester comme ça pour toujours ? » Caqueta Fred.

« Un léopard ne perd jamais ces taches, » Répondit Ron avec un sourire entendu.

« Non, il y a un moyen de les faire partir, » Informa t-elle les jumeaux. « Mais il y a rien que personne ne puisse faire pour elle. Elle doit le faire d'elle-même. »

« Qu'est ce que tu veux dire ? » Demanda George curieux.

« Eh bien, même si elle le lève d'elle-même » Dit Fred. « Tu dois toujours t'arranger avec le contre sort. »

« Il n'y a pas de contre sort, » Informa Ron, ses frères. « Une fois moucharde, toujours moucharde. »

« Mais tu viens juste de dire… » Répondit George.

« Oh, elle peut s'en débarrasser, » Déclara vivement Hermione. « Mais pas avec un contre sort. C'est toute la beauté du sort. Le seul moyen de s'en débarrasser c'est d'arrêter de… »

« Mentir, planter des couteaux dans le dos, d'être une traîtresse de petite espionne. » Finit Ron pour elle.

« En fait j'allais dire d'être une moucharde, » Déclara Hermione. « Mais Ron est basiquement juste. La seule manière de se débarrasser des boutons est de prouver que tu es digne de foi. »

« Et ça ne risque pas d'arriver, » Se moqua Ron.

« Ce n'est pas grave, » Dit Hermione. « Mes parents la paieront quand ils rentreront de vacances. »

« Ce n'est pas le problème, » Dit Bill. « Tu ne devrais pas à avoir à payer du tout. Pas dans ces circonstances. »

« Ce n'est pas grave, » dit une nouvelle fois Hermione. « Je m'en fiche, » Ajouta t-elle, même si à strictement parler, ce n'était pas vrai. Bill avait raison. Ce n'était pas l'argent qui comptait tant mais le principe qui l'ennuyait. Pas qu'elle allait l'admettre. Elle ne voulait pas envenimer plus les choses. Le ministère de la magie était déjà en froid avec elle. Si elle continuait à faire plus de trouble, cela pourrait finir pas causer des problèmes à Mr Weasley. Par chance la conversation fut interrompue par l'arrivée de Rémus Lupin.

Si Mr Weasley paraissait un peu fatigué, Lupin avait l'air indéniablement épuisé quand il s'assit à table. Sa peau était pale, ses yeux étaient éraillés, et Hermione remarqua qu'il avait de grandes cernes noires en dessous. Pas réellement surprenant, considérant le fait que c'était la pleine lune la nuit d'avant.

Mrs Weasley se leva immédiatement de sa chaise pour aller lui chercher une assiette.

« Non Molly, » Protesta Lupin avant qu'elle ne fasse un pas. « J'ai déjà mangé, mais merci. »

L'ignorant, Mrs Weasley récupéra une assiette, revint à table et lui servit du dîner. « Tu devrais manger encore, » Dit elle, en posant le repas devant lui. « Ça te ferait du bien.. »

« Non, je suis bien, vraiment, »Protesta t-il.

Il n'a pas l'air bien, pensa Hermione, en le voyant passer un main dans ses cheveux. Elle commençait à se demander si Rogue lui faisait toujours la potion tue loup, quand la question de Ron attira son attention.

« Comment va Harry, Professeur ? » Demanda Ron, en sachant que Lupin avait été volontaire pour passer l'après midi à le 'garder'.

« Silencieux, » Répondit Lupin avant de devenir silencieux lui-même. « Il semble en être sortit après avoir reçu vos lettres, » Ajouta t-il, en revenant à lui-même. « Il a dit qu'il vous en renverrait une avec George demain. »

« Oh, en parlant de lettre, » Dit Mr Weasley, en fouillant dans la poche de sa robe et en sortant un petit tas d'enveloppes. « Je crois que ça t'appartient, » Continua t-il, en tendant les lettres à Hermione.

Les hiboux avaient commencé à arriver à Grimmauld Place presque aussitôt qu'elle. Une autre contrariété qu'il fallait supporter, cadeaux de la gazette du sorcier et de ses articles ridicules. Par chance, Dumbledore avait placé des restrictions sur la distribution d'hiboux qui aurait attirés trop d'attention sur la maison, alors c'était une simple formalité pour Molly de renvoyer magiquement les lettres de meilleurs vœux vers le ministère. Tous les deux jours, Mr Weasley les récupérait et lui donnait en personne. Pourquoi il continuait à le faire, elle l'ignorait. Il savait qu'elle n'avait aucunement l'intention de les lire. Elle ne les lisait jamais. Même pour Fred et George elles avaient perdu tout intérêt maintenant.

Au moins il n'y en a pas beaucoup cette fois, pensa t-elle, alors qu'elle dénouait le paquet et qu'elle commençait feuilleter les enveloppes pour s'assurer qu'il n'y avait rien d'important, comme une lettre de ses parents mélangée avec celles d'étrangers. Harry m'a dit de les ignorer, se rappela t-elle, et que peut être ils arrêteraient d'en envoyer. Il serait temps qu'ils arrêtent…

Ce fut son inspiration nette qui attira l'attention de Ron, et alors qu'il regardait Lupin ses yeux vinrent se poser sur Hermione. « Qu'est ce que c'est ? » Demanda t-il, quand il remarqua qu'elle contemplait fixement la lettre dans sa main comme si cela avait été une beuglante.

« R…rien, » Répondit-elle vivement, mais au lieu de la poser sur la pile de lettre dont elle allait se débarrasser, elle la glissa à l'arrière du tas qui se trouvait dans sa main de façon a ce qu'il ne voit qui en était l'expéditeur.

« Si ce n'est rien alors pourquoi ne la balances tu pas dans le tas avec les autres ? » Demanda Ron, en scrutant suspicieusement. « C'est de lui, n'est ce pas ? »

D'un seul coup, Fred et George coupèrent leur conversation avec Bill, et tournèrent leur chaise, en fixant Ron, ne voulant absolument pas manquer aucun feux d'artifices.

Ron ne lui donna qu'une seconde pour qu'elle lui réponde et elle ne le fit pas, il se pencha en avant et saisit la pile de lettres qui était dans sa main.

Hermione essaya immédiatement de les récupérer, mais Ron s'éloigna de la table et commença à feuilleter rapidement. « Je le savais, » Grogna t-il, en laissant tomber sur la table toute les lettres sauf l'outrageante. « Tu allais me le cacher, hein ? » Demanda t-il en agitant la lettre de le visage de Hermione, complètement oublieux du faite que sa famille entière les observait maintenant.

« Non, mais vraiment, » Demanda t-elle, prise quelque part entre la culpabilité et la colère. « Je n'ai pas encore décidé ce que j'allais en faire. »

« Ne me prends pas pour un imbécile, » Siffla Ron, en lui jetant la lettre avant de se lever. « Tu dois mourir d'envie de savoir ce que Vicky a à dire. » Ajouta t-il, en lui tournant le dos avant de quitter la pièce.

« Idiot, » Gémit Ginny à voix basse une seconde avant que Hermione ne se saisisse de la lettre sur la table et de le suivre hors de la cuisine.

« RON ! » Hurla Hermione tandis qu'elle le poursuivait dans les escaliers. « Tu es injuste. »

« Je suis injuste ? » Lui cria t-il dessus, ne prenant pas la peine de se retourner pour la regarder tandis qu'il se dirigeait vers sa chambre. « Je suis foutument injuste ? »

« Je ne peux rien y faire s'il m'écrit. »

« Il arrêterait de t'écrire si tu arrêtais de l'y encourager, » Lui répondit-il sèchement.

« QUOI ? » Cria Hermione, réellement furieuse maintenant. « Tu ferais mieux de ne pas suggérer ce que je crois que tu suggères. » le menaça t-elle.

Ron s'arrêta brutalement et se retourna pour lui faire face. Il n'avait pas dit la phrase pour qu'elle l'interprète de cette façon. « Ce que je veux dire, c'est si tu arrêtes de lui répondre, il arrêtera de t'écrire, » Clarifia t-il.

« Je t'ai dit que je ne le verrais pas, » Dit Hermione. « Mais je n'ai pas dit que j'allais arrêter de lui écrire. »

« Alors tu vas lui répondre, » Demanda Ron, plissant les yeux en la regardant.

« Qu'est ce que tu suggères ? » Répondit sèchement Hermione. « Que je la balance dans la poubelle comme le reste ? Il va juste en écrire une autre. »

« Et tu pourras aussi la balancer celle la, » Grogna t-il. « Balance les toutes et en fin de compte peut être qu'il comprendra le message. »

« Il a déjà compris le message, » Cria Hermione. « Combien de fois faudra t'il que je te le dise. On est seulement amis. »

« Non, Hermione. Il n'a pas compris. Il pense toujours qu'il a une chance. Et tant qu'il le pensera, il continua de te courir après. »

Hermione soupira bruyamment et remua négativement la tête, ne sachant plus quoi dire. Il ne comprendrait jamais. « Tiens, » Dit elle, en lui tendant l'enveloppe toujours scellée. « Lis la. »

« Je n'ai pas envie de la lire, » Dit Ron, en reculant devant la lettre. La dernière chose qu'il voulait c'était lire une lettre d'amour écrite pour Hermione par un autre type.

« Tout ça est tellement con, » Dit elle, en faisant un pas en avant pour plaquer la lettre sur la poitrine de Ron. « Prends la, » Exigea t-elle. « Et lis la, » Ajouta t-elle, quand la main se referma sur la lettre. « Peut être que cela t'aidera à comprendre ce que j'essaye de te dire. » Dit elle en se détournant de lui avant de redescendre les escaliers en directions de sa propre chambre. « Je sais que tu ne lui fais pas confiance et que tu le feras sûrement jamais, » Continua t-elle, alors qu'elle disparaissait de sa vue. « Mais tu devrais me faire confiance. »

Cela faisait deux jours et il n'avait toujours pas lu la lettre de Viktor Krum. Et il n'avait toujours pas l'intention de la lire. Jamais. Il avait pris sa décision, c'était fixé. Il n'allait pas céder. Si seulement ce n'était pas aussi tentant. A chaque fois qu'il entrait dans sa chambre, ses yeux étaient attirés. Peu importe ce qu'il faisait ou comment il essayait de se distraire, cela semblait attirer son attention. C'était presque comme si cette saleté avait sa propre voix et s'il l'ignorait trop longtemps, elle commençait à parler. Lis moi et tu pourras me balancer. Lis moi et elle te reparlera. Lis moi et tu sauras exactement qu'est ce que cet imbécile renfrogné veut d'elle. Lis moi. Lis moi LIS MOI !

Mais il n'allait pas le faire. Il n'allait pas se laisser dicter sa conduite par une putain de lettre. Un lettre de Krum de plus. Qu'il aille au diable, lui, sa lettre et tout le trouble qu'il a causé. C'était de sa faute s'il avait enlevé Hermione en premier lieu. Quoi s'il était sous Imperium ? S'il s'était vraiment soucié d'elle, il aurait été capable de le combattre. Harry peut bien le combattre. Même Hermione a été capable de le faire. S'il se souciait d'elle, il l'aurait combattu, raisonna Ron. Mais il ne l'a pas fait.

« Arrête d'être un trou du cul entêté et lis la, » Dit Ginny, en le sortant brutalement de ses méditations.

Ron leva les yeux au moment même où elle se levait du lit de Harry pour aller chercher la lettre qui se trouvait sur le bureau. Il avait été tellement distrait qu'il en avait oublié qu'elle était assise là. Putain de lettre, blasflema t-il silencieusement. « Je n'ai pas besoin de la lire pour savoir ce qu'elle dit, » Protesta t-il, en se recroquevillant plus loin quand elle la lui tendit.

« Alors tu apprécies cette situation silencieuse ? »

« Nous parlons, » Argumenta t-il.

« Oh oui, j'ai remarqué comment vous êtes quand vous êtes obligés de parler l'un avec l'autre, » Répondit Ginny, en laissant tomber la lettre sur le lit à coté de lui. « Comment tu peux transformer quelque chose d'aussi simple que de demander le chiffon à poussière comme une insulte me dépasse. C'est toute cette politesse forcée qui te rend dingue ? »

« Tu préfères qu'on se hurle dessus ? »

« Au moins ça mettrait les choses au clair et vous pourriez recommencer à vous comporter normalement. »

« C'est normal, » Protesta Ron. « Deux jours sans nous parler c'est rien. Nous l'avons été plus longtemps que ça. »

« Seulement parce que tu es un imbécile borné, » Répondit Ginny en roulant les yeux. « Arrête de laisser ton orgueil prendre le dessus et lis cette putain de lettre. »

« Non. »

« Bien, » Dit elle en l'attrapant sur le lit. « Si tu ne la lis pas de toi-même, je vais te la lire. »

« Si tu ouvres cette lettre, Ginny, » Gronda Ron en avertissement. « Je jure que je vais… »

« Que tu vas quoi ? » Répondit sa sœur à sa menace. « Me jeter un sort ? Je ne pense pas, » Ria t-elle. Du moins pas temps qu'on ne sera pas retourné à l'école.

« Donne moi ça, » Ordonna Ron. Il se pencha pour lui arracher des mains, mais elle fut plus rapide que lui. Elle retira sa main avant qu'il ne puisse l'atteindre et le temps qu'il se mette sur ses pieds, le lit de Harry se retrouva entre eux deux.

« NON ! » Beugla t-il, tandis qu'elle l'ouvrait. « JE TE JURE GINNY ! » Hurla t-il bruyamment. « Je ne veux pas entendre. Ce ne le concerne plus »

Ce fut ce revirement inattendu d'humeur qui la fit hésiter. Elle s'était attendue à une explosion de colère. Mais elle ne s'était pas attendue à le voir défait et abattu. « De quoi est ce que tu parles ? » Demanda Ginny, ne cherchant même pas à cacher sa confusion. « Si cela ne concerne pas Krum, qui est ce que ça concerne ? »

« Hermione, » Répondit Ron misérablement, en retombant sur son lit. « Tu ne le vois pas Gin ? Elle a raison. Cela n'a rien à voir avec la confiance en Krum ou pas, tant que je n'aurais pas confiance en elle. »

« Et tu n'as pas ? » Demanda Ginny dubitative. « Tu ne peux pas être sérieux ? » Cria t-elle, en remuant la tête d'incrédulité.

« Tu ne comprends pas, » Soupira Ron inconsolable.

« Non, je suppose que non, » Dit sa sœur, en le regardant furieusement. « Parce que la Hermione que je connais ne ferait JAMAIS quelque chose comme ça, tu es exaspérant. » Ajouta t-elle en laissant retomber la lettre toujours scellée sur le bureau alors qu'elle partait en trombe de la chambre.

« Je sais qu'elle ne le fera pas, » Murmura t-il alors que la porte fut claquée. C'est bien le problème.


Voila j'ai bientôt fini le prochain chapitre et je vous préviens aussi que la fic passe en niveau R des le chapitre 24 !

Pour les amateurs de Plus qu'un souvenir, le prochain chapitre est déjà traduit depuis une semaine j'attends seulement que ma béta le corrige, desespérement…

N'oubliez pas la petite review qui m'encourage a continué de traduite cette longue fic