Bon je suis vraiment désolée pour l'attente mais c'était vraimetn indépendant de ma volonté j'ai déménagé et je n'ai plus eu de connexion internet, donc il m'était difficile de publier. La bonne nouvelle c'est que j'ai pas mal traduit pendant ce temps là! parcontre je vais devoir m'excuser car j'arrive pas à me rappeler si ce chapitre a été contre corriger, je vais le relire une derneire fois mais ej n'assure pas de sa qualité
Pour les review j'ai cru comprendre qu'il y avait un nouveaux systeme mit en place je vais m'en occupé de ce pas ;)
Comme d'hab aller lire les fics de Billy et menssa et de Servane
Chapitre 27
La dernière semaine de juillet fut plutôt chaotique, même pour les Weasley. Les membres de l'Ordre semblaient sortir des murs de la maison en permanence et pour la première fois, Ron, Ginny et Hermione ne furent pas exclus de toutes les conversations. Bien sur c'était pour une grande partie du au fait que les missions programmées, bien que secrètes, étaient en partie leur idée. Ron et Hermione, en particulier, ayant une vision d'ensemble, apportaient des informations inestimables. Personne ne connaissait la cible aussi bien qu'eux, ce qui garantissait que la plupart des plans préliminaires étaient conduit par eux jusqu'à un certain point, pour qu'ils puissent prévoir sa réaction.
A la différence des autres, ils n'avaient pas d'illusions sur la façon dont Harry allait réagir à sa fête d'anniversaire surprise. Il allait la détester. S'il y avait quelque chose qu'il détestait, c'était les chichis. Peut importait combien de fois Ron l'avait dit à sa mère, elle ne semblait pas le comprendre. En dépit de tous ses efforts, elle faisait de la simple réunion de famille qu'ils avaient suggéré, un cirque à trois pistes, compléter d'un duo clowns en faciès identiques.
Les jumeaux, comme s'y était attendu Ron. Ils étaient des amis de Harry et des membres de la famille. C'était le reste de la liste des invités avec laquelle il n'était pas d'accord. Des membres de l'Ordre que Harry connaissait à peine qui serait seulement là pour des raisons de sécurités. Comment Harry était-il supposé se détendre et s'amuser avec une troupe de sorciers en train de roder autour de la maison de Mrs Figg comme s'ils s'attendaient à être attaqué à tout moment ?
Joyeux anniversaire Harry, prend une part de gâteau. Maman l'a fait au chocolat, juste au cas ou les Détraqueurs attaqueraient. Mais bon, tu aimes le chocolat, n'est ce pas ? Ouais, c'est ça Harry va vraiment adorer cette fête, pensa Ron, en jetant un coup d'œil a sa mère qui était en grande conversation avec Mundungus Fletcher.
Ron ne pu s'empêcher de sourire quand il remarqua l'air renfrogné qu'affichait le visage de sa mère. C'était agréable de voir son mécontentement diriger vers quelqu'un d'autre pour changer. 'Le vieux Dung' était clairement la dernière personne à qui elle voulait parler. Tout le monde savait que Mrs Weasley le désapprouvait, y compris Dung lui-même, ce qui expliquait sans aucun doute les regards furtifs que le voleur lançait vers la porte de la cuisine. S'il n'avait pas été missionné pour organiser les choses avec 'Figgy', Ron suspectait qu'il serait déjà parti depuis longtemps, maintenant.
« Alors, » Dit Ginny, en prenant une chaise pour s'asseoir à coté de son frère. « Est-ce que tu penses ça va lui remonter le moral ? »
« Tu rigoles, n'est ce pas ? » Demanda Ron, en remuant la tête de manière hésitante.
« C'est dommage, vraiment » Soupira Ginny. « Mais je suppose que nous n'avons pas le choix, à part essayer de le rendre le mieux possible. Toujours est-il, que se sera sympa de le voir. Je veux dire…je suis sure qu'il sera heureux de vous revoir Hermione et toi. Ça va au moins le remonter un peu. Tu ne penses pas ? »
« Je ne sais pas, » Dit Ron, en haussant les épaules. « Je suppose, » Ajouta t-il, en abandonnant du regard sa sœur, pour regarder Hermione par-dessus son épaule, qui venait de terminer une conversation avec Bill, pour aller accoster Mundungus au moment où il filait droit vers la porte. Qu'est ce qu'elle fait ? Se demanda t-il, pendant que Ginny continuait à discourir.
« …et pour ce que nos deux crétins de frères ont prévus ? Personnellement, j'espère que Harry va sortir sa baguette et leur lancer des sorts à tous avant qu'ils ne réalisent qui ils sont. Ça leur fera les pieds. Je veux dire franchement, sauter des coins et se mettre à hurler au moment où il entre dans la pièce ? »
« Quoi ? » Dit Ron, en reportant son attention sur sa sœur qui venait dire les mots 'sortir' et 'Harry' dans la même phrase. « De quoi est ce que tu parles ? »
« Du plan de Fred et George. »
« Plan ? Quel plan ? » Demanda Ron, en plissant les yeux pour lancer un regard vénéneux en direction de ses frères. « Qu'est ce que ces foutus cons vont faire à Harry ? »
« Je viens juste te dire ce qu'ils avaient prévu de faire, » Répondit Ginny fâchée. « Tu n'écoutais pas ? »
« Euh…non, pas vraiment, » Admit Ron, ses yeux toujours verrouiller sur Fred et George, qui discutaient avec des murmures furieux l'un avec l'autre.
« Je ne sais pas pourquoi je perds mon temps en parlant avec toi, » Dit Ginny, de toutes évidences vexée par le manque d'attention de Ron.
« Attends, » Cria Ron, au moment où sa sœur bondit de sa chaise et commençait à partir en furie. « Qu'est ce qu'ils vont faire ? » Demanda t-il, en la poursuivant.
« Tu veux savoir ? » Répondit Ginny, en détachant son bras de sa prise à l'instant où il la saisit. « Pourquoi ne vas-tu pas leur demander toi-même ? »
Pendant un moment Ron resta juste là à fixer la silhouette de sa sœur qui s'éloignait. Les filles, pensa t-il en secouant la tête. Il n'avait aucune idée de ce qu'il avait fait pour l'irriter, pas que cela aille vraiment de l'importance. Ses frères et le plan qu'ils concoctaient étaient tous ce qui importaient. La question était, qu'est qu'ils préparaient ? Une seule manière de le savoir, se dit Ron à lui-même, tandis qu'il traversait la pièce pour exiger quelques réponses.
« Tu ne penses pas qu'il va nous balancer, » Demanda George à son frère jumeau d'une voix étouffée, oublieux du fait que Ron se tenait maintenant juste derrière eux.
« Peut être qu'on devient parano, » Suggéra Fred. « Je veux dire, elle doit être en train de lui parler de Harry ou de quelque chose d'autre. »
« Ouais, vrai, » Grogna George. « Regarde le, vieux, » Ajouta t-il quand Mundungus quitta Hermione des yeux assez longtemps pour leur lancer un regard coupable. « Il tremble pratiquement sur place. Elle le menace de toutes évidences de dire à maman, à propos… »
Malheureusement la voix de George baissa tellement que Ron ne fut pas capable d'entendre de la phrase.
« Il n'y a aucun moyen qu'elle découvre pour ça, » Répondit Fred à voix basse. « On a été prudent. »
« Pas assez prudent pour que Harry ne nous attrape pas, » Lui rappela son frère.
« C'était il y a presque un an, » Protesta Fred. « Tu ne penses pas qu'elle aurait dit quelque chose depuis le temps, si elle l'avait vu ? »
« Parce que Hermione ne garderait pas des informations pour les réutiliser contre nous plus tard, quand même ? »
« Ouais, c'est la famille. Elle ne nous ferait pas chanter. »
« Elle ne semble pas avoir de scrupules pour s'en servir contre Dung, par contre ? » Continua à voix basse George.
« Tu ne peux pas nier qu'elle a du style, » Répondit Fred, l'admiration évidente dans sa voix en dépit du ton faible. « Ce n'est pas tous les jours que tu vois une sorcière adolescente intimider un criminel endurci. »
« Impressionnant, n'est ce pas ? » Dit Ron, faisant finalement remarquer sa présence. Il était on ne peut plus satisfait de voir ses frères jumeaux bondir et se retourner pour le fixer avec quelque chose proche de l'inquiétude dans leurs yeux.
« Qu'est ce que tu fais ? » Exigea de savoir Fred.
« Depuis combien de temps tu es là ? » Ajouta George.
« Assez longtemps, » Répondit Ron avec un sourire goguenard.
« Pourquoi, espèce de … »
« Tut tut, » Interrompit Ron, en remuant son index devant Fred d'une manière désapprobatrice. « Tu ferais mieux de faire attention à ce que tu dis. A la différence de Hermione, je n'ai aucun scrupule à faire chanter des membres de la famille. »
« Dit ce que tu as à dire petit emmerdeur, » Répondit Fred, incrédule face au bluff de son petit frère.
« HE ! Mamannnnn »
« La ferme, » Siffla George, en recouvrant la bouche de Ron avec sa main, le coupant ainsi avant qu'il ne puisse attirer l'attention de sa mère. « Qu'est ce que tu veux ? » Demanda son frère d'une manière défiante tandis qu'il relâchait sa prise.
« Peut importe ce que tu prévois de faire à Harry, laisse tomber, » Insista Ron. « Où je dis à maman ce que je viens d'entendre. »
« Nous n'allons rien du tout faire à Harry, » Répondit instantanément Fred.
« Ce n'est pas ce que dit Ginny. »
« Ginny ? De quoi est ce que tu parles ? » Demanda George en scrutant la pièce dans l'espoir d'y voir la longue crinière rousse de sa sœur. « Elle est toujours après tout le truc de la surprise ? »
« Et bien, » Répondit Fred, avant que Ron n'ait plus changé d'avis. « Ça me semble être la perte d'un bon chantage pour moi, mais peut importe. Tu as fait un marché. Nous ne sauterons pas sur Harry et ne lui crierons pas surprise et en échange, tu gardes pour toi le marché entre Dung et nous. »
« C'est ça ? » Dit Ron sceptiquement. « C'est ce que vous aviez prévu? »
« Ouais, » Répondit Fred avec un sourire en coin bien à lui. « Mais un marché est un marché, petit frère. »
« C'est donc ça ? » Dit Hermione tandis qu'elle se glissait à coté des trois frères. « Quels genres de marchés êtes vous en train de passer ? »
« Comme si tu ne le savais pas déjà, » Répondit âprement George. « Je ne serais pas surpris si c'était une idée à toi en premier lieu. »
« Désolé, » Répondit Hermione. « Je n'ai strictement aucune idée de quoi vous parlez. »
« Oh, vraiment ? Et de quoi exactement vous parliez Dung et toi avec autant d'attention ? » Demanda Fred.
« Ce ne sont pas tes affaires, » Répondit acidement Hermione.
« C'est aussi nous affaires, » siffla Fred. « Si tu menaces notre fournisseur, c'est définitivement nos affaires. »
« Fournisseur ? » Demanda Ron, en faisant des aller retour entre les jumeaux et Hermione. « En quoi les fournit Dung ? » Demanda t-il.
« Oh ça ? » Ricana Hermione.
« Attends une minute, » Cria George, ses sourcils sursautant d'incrédulité. « Tu ne savais pas ? »
« Juste quelque substances interdites à la vente de classe C, » Continua Hermione.
« Je le sais maintenant, » Se moqua Ron.
« Putain ! »
« Oh, relax, » Répondit Hermione, en baissant sa voix pour que personne à part les jumeaux et Ron ne puisse l'entendre. « Je me fiche de savoir où vous avez eu des graines de tentaculas vénéneuses ou quoique ce soit d'autres pour le fait. Mais puisque vous êtes si intéresser par l'idée de faire des marchés, j'en ai un pour vous. Vous restez en dehors de nos affaires, » Dit-elle en prenant Ron par la main pour l'éloigner de ses frères. « Et nous resterons en dehors des vôtres. »
« Depuis combien de temps est ce que tu es au courant de leur petit arrangement avec Dung ? » Demanda Ron à Hermione tandis qu'elle l'entraînait hors de la cuisine vers les escaliers qui menait à l'étage.
« Près d'un an, » Dit-elle d'un ton détaché. « Depuis la soirée des préfets. »
« Aussi longtemps. » Cria Ron de surprise. « Et tu ne t'ai jamais soucié de me le dire ? »
S'il avait espéré une réponse, il aurait été douloureusement déçu parce que Hermione haussa simplement les épaules, et continua à l'entraîner vers les escaliers qui menaient au premier étage.
« J'aurais pu utiliser cette information, » Grommela t-il. « Cela aurait pu être sacrément utile, tu sais ? »
« Tu l'aurais gâcher avec quelque chose se stupide, » soupira Hermione.
« Absolument pas, »
« Tu viens juste de le faire. »
« Non, je ne l'ai pas fait, » Protesta t-il. « Je ne savais rien du tout quand j'ai passé le marché avec eux. Je bluffais. »
« Ce n'est pas le problème. » Répondit Hermione, en entraînant Ron dans la chambre qu'elle partageait avec Ginny avant de fermer la porte derrière eux.
« Si ça l'est. »
« Non, ça ne l'est pas. »
« Si, ça l'est. »
« Non, » insista Hermione, en verrouillant la porte. « Ça ne l'est pas. Ça, ça l'est, » continua t-elle, en sortant un petit flacon en verre de sa poche, pour le mettre sous les yeux de Ron.
« Qu'est ce c'est, bon Dieu, » Demanda Ron, en se penchant en avant pour regarder de plus prés la substance d'un bleu vibrant qui flottait dans le flacon.
Le point était maintenant clair comme du cristal. Hermione ne voulait que personne ne découvre à propos que Mundugus fournissait à ses frères, parce que il la fournissait aussi, elle. De choses comme ce truc bleu, peut importe ce que c'était.
« Ça, » Dit Hermione, en ouvrant à la volée sa malle, pour y ranger le flacon à l'intérieur. « C'est une substance de classe B interdites à la vente. C'est aussi la raison pour laquelle Harry et toi n'avaient eu que des plannings de devoirs à Noël dernier. Cela m'a pris la plus grande partie de l'année pour la payer, donc il ne faut pas le gâcher. »
« Mais qu'est ce que c'est ? » Demanda de nouveau Ron, en scrutant la fiole comme si c'était une bombe sur le point d'exploser. Tout le monde savait que les substances de classe B interdites à la vente étaient dangereuses, et que c'était pour ça qu'elles étaient interdites.
Hermione étudia Ron intensément tandis qu'elle fermait brutalement le couvercle de sa malle et qu'elle la verrouillait. C'était le moment de se jeter à l'eau et de voir comment il allait réagir, si elle partageait ses recherches avec lui. « Des spores de Botrytis, » Répondit-elle d'une manière tellement désinvolte que l'on aurait pu croire que cela faisait parti du kit de potion du parfait petit étudiant de sixième année. Seul le fait qu'elle enleva la clé de la serrure pour la cacher dans la poche de sa veste biaisa sa réponse blasée.
« Des spores de Botrytis ? » S'écria Ron, alors que toutes couleurs avaient quittées son visage. « Mais … les spores de Botrytis sont toxiques. Si tu ne les manipules pas correctement… si elles s'échappent et que tu les respires… »
« Oh relaxe, » le coupa Hermione. « Il y a un sort d'incassabilité sur la fiole. Elles ne vont pas s'échapper. Tu es pires que Mundungus. Tout le temps qu'il s'est éternisé et qu'il me balançait plein de ces excuses absurdes. On aurait dit qu'il allait tomber raide mort au moment où il toucherait la fiole, la manière dont il faisait la comédie. Et bien, il aurait du y penser avant de prendre tout mes gallions. »
« Hermione, » Grogna Ron. « Ce n'est pas un jeu. Ces choses pourraient te tuer toi… ou Ginny. »
« Tu ne penses pas que tu es un peu trop dramatique ? » demanda Hermione en roula les yeux.
« UN PEU TROP DRAMATIQUE ? » Hurla Ron. « Cette malle est remplit de livres. Des livres très LOURDS.»
« Je te l'ai dit, il y a un sort d'incassabilité sur la fiole. » Rétorqua t-elle. « Et même s'il n'y en avait pas un, il n'y a pas assez de spores pour tuer quelqu'un. Peut être pour rendre un peu malade, mais… »
« Pourquoi Bon Dieu as-tu besoin de Spores de Botrytis, par ailleurs ? » Exigea Ron. « Ça à avoir avec les recherches que tu fais, n'est ce pas ? Ce qui signifie que tu y travailles depuis au moins un an. »
« J'ai dit que j'y travaillais depuis un moment, » Répondit chaudement Hermione. Elle en avait vu assez. Il était hors de question qu'elle lui dise ce qu'elle préparait. Pas avec autant de membres de l'ordre du Phœnix dans la maison. En bas ou pas, ils entendraient toujours la dispute qui allait suivre. Elle devrait juste attendre encore un peu.
« Sur quoi est ce que tu travailles ? » demanda Ron, d'une voix sinistrement sobre. « Que vas-tu faire avec ses spores ? »
« Je ne te dirais rien tant que tu ne seras pas calmer, » L'informa Hermione.
« Je suis calme. »
« Hum hum, « Murmura Hermione. « Tu es comme l'œil du cyclone (ndlt : à bas la climatologie, surtout tropicale) qui cherche une direction pour dévaster de ses vents. Et bien tu peux regarder autre part. je ne vais pas être la cause de ton déferlement et des tes rafales. »
« Hermione, » Gronda Ron en signe d'avertissement.
« Quoi ? » Demanda t-elle, en fixant fermement ses yeux d'un bleu intense. Comment par tous les saints je vais me sortir de là ?
« Pourquoi tu prends tant de risques pour ces spores ? »
« Parce que j'ai besoin d'elle pour fabriquer une potion qui pourrait m'aider à te protéger, espèce de crétin. »
« Moi ? »
« Et bien…nous, » Clarifia Hermione.
« Oh, » Répondit Ron. Le feu dans ses yeux s'éteignait. Il avait naturellement supposer que le 'nous' signifiait eux deux et Harry. « De… Vol…Voldemort ? » Demanda t-il dans un quasi murmure.
« Parmi d'autre, » Répondit Hermione. « Mais je ne suis pas sure si ça marche encore. Je suis toujours dans mes recherches. Je pourrais même ne pas en avoir besoin du tout. Mais c'est juste au cas où, je préfère les avoir sous la main parce que des spores de Botrytis ne sont pas exactement des choses que tu peux emprunter à Rogue. Et n'essaye même pas de me dire que je ne serais pas de les utiliser. » Dit Hermione, en lui lançant un regard plein de reproche. « Parce que, je le peux tout à fait. Je ne suis pas une idiote. Je suis parfaitement capable d'utiliser des spores de Botrytis sans les respirer et même si je le faisais. Je serais dans un espace confiné pour qu'elles ne puissent créer aucun dommage, alors tu peux… »
« Ok, » Dit Ron en la coupant avant qu'elle ne continue à tempêter. « Ok, d'abord, si tu as été capable de préparer du polynectar, je suis certain que tu seras capable de préparer celle-ci. Peut importe ce que c'est, » Ajouta t-il dans une tentative pour l'apaiser. « Soit juste… prudente avec, d'accord. »
« Tu ne vas pas sérieusement me faire à moi un discours sur la prudence, n'est ce pas ? »
« Je ne te fait pas une discours, » Dit Ron, en lui lançant l'un de ses sourires en coin. C'était comme si Hermione lui rappelait qu'il était celui qui était enclin à avoir un comportement insouciant. « C'est juste que je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que se soit, c'est tout. »
« Rien ne va arriver, » Lui assura t-elle, en s'approchant de lui et en prenant ses mains dans les siennes. « Pas si j'ai mon mot à dire. »
« Ron, Ginny, votre père et moi avons besoin de vous parlez, une minute, » Les informa Mrs Weasley, le soir suivant après le dîner.
Comme si ses mots furent un signal prédéfinis, il y eu une multitude d'excuses pour que le reste de la famille et Lupin abandonne leur place, et sorte pressément de la pièce.
Pris par surprise, les deux plus jeunes Weasley se regardèrent l'un l'autre avant de fixer leur mère.
« À propos de quoi ? » demanda Ginny en se rasseyant prudemment à sa place.
Contrairement à sa sœur, Ron resta debout, l'assiette vide qu'il s'apprêtait à déposer dans l'évier toujours dans sa main.
Oh non, pensa Hermione tandis qu'elle se levait en même temps que tout le monde, seulement pour les voir quitter les uns derrière les autres la cuisine d'un pas précipité. Ce n'est pas bon.
Ron arracha ses yeux de sa mère et lança un coup d'œil à sa petite amie qui semblait figer sur place à coté de sa chaise. A l'instant, où leurs yeux se rencontrèrent, il su qu'elle pensait la même chose que lui. D'une façon ou d'une autre sa mère avait découvert qu'il dormait dans la chambre des filles et allait leur dire.
Si seulement cela avait été aussi simple.
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« QU'EST-CE QUE TU VEUX DIRE PAR NOUS NE POUVONS PAS Y ALLER ! » Dit Ron d'une voix furieuse qui résonna à travers la partie basse de la maison.
« Ça sonne comme si elle leur a dit, » dit Bill à Remus Lupin, un instant avant que les rideaux mangés aux mites qui couvraient Mrs Black ne s'ouvrent.
« SALES TRAITRES ! » Hurla la vieille sorcière du portrait, alors que le grand rouquin s'en approchait pour en saisir le rideau et qu'il commençait à le tirer dans une tentative de le fermer. « VERMINES ! » Hurla t-elle à Lupin, qui s'était positionné de l'autre coté.
« Soit ils se sont calmer plus vite que je l'aurait imaginé soit Molly a insonorisé la pièce. »
« Oh, ils crient toujours, » assura Bill à son compagnon hagard. « Et je paris que ce n'est pas le seul. »
Bill avait raison, bien sur. L'enfer se déferla au moment où Mrs Weasley dit à Ron et Ginny qui ne leur serait pas permit d'aller à la fête de Harry avec leur reste de la famille. La dispute qui s'en suivit fit presque sortir la cuisine de ses fondations. Trois Weasley en colère étaient une vue très intimidante. Même Hermione, qui avait l'habitude d'affronter Ron, fut ébranler par la scène qui se déroulait devant ses yeux. Pas en un million d'année, elle aurait imaginé crier sur sa mère de la façon dont Ron et Ginny le faisait sur la leur.
Quelque part à l'arrière de son esprit, Hermione savait qu'elle devait se sentir outragé par le comportement de ses amis. Elle savait qu'ils se battaient autant pour elle que pour eux, mais elle ne pouvait pas se résoudre à crier sur Mrs Weasley. Le meilleur qu'elle pouvait faire c'était de rester là, debout, et offrir à Ron et à Ginny son soutien silencieux. La chose étrange était qu'elle pouvait voir les deux cotés.
Mrs Weasley avait mit en lumière quelques points valables. Il aurait été plus simple pour tout le monde, y compris Harry, si les tous invités transplantaient à Surrey. Elle avait raison quand elle disait que le réseau de cheminette et le Magicobus pouvaient être surveillé. On ne pouvait pas dire combien de mangemorts avaient infiltré le Ministère désormais. La dernière chose dont ils avaient besoin était qu'ils découvrent que Harry s'était éloigné de la maison des Dursley et de la sécurité qu'elle lui apportait. C'était tout simplement se jeter dans la gueule du loup.
Mais alors, la remarque de Ginny qu'il pouvait utiliser un Portoloin avait aussi son mérite. Hermione avait la suspicion que Mr Weasley, était pour le moins d'accord. Quand elle saisit son regard du fond de la pièce, il réprima rapidement son sourire. Heureusement, sa femme n'avait pas remarqué sa réaction. Elle était de loin trop occupée à contre attaquer.
« Dumbledore a d'autres préoccupation. Il n'a pas le temps de s'occuper de créer un portoloin juste que pour vous trois alliez à une fête. »
« TRES BIEN ! » Cria Ron à sa mère. « Hermione peut le faire. »
« Quoi ? » S'exclama Hermione, faisant retentir sa voix pour la première fois depuis le début de la dispute.
« Ne soit pas ridicule, » rétorqua Mrs Weasley.
« Tu connais le sortilège, n'est ce pas ? » Demanda Ron en se retournant pour voir le visage stupéfait de Hermione.
« Oui, mais… »
« Tu vois, » Dit-il, en faisait volte face pour de nouveau fixer sa mère. « Tu n'as pas besoin de déranger Dumbledore. »
« Je ne peux pas le faire, » Dit doucement Hermione derrière lui.
« Bien sur que tu peux, » Insista Ron. « Tu peux faire tout ce que ton esprit te dicte. »
« Ce n'est pas ce que je veux dire, » Répondit t-elle. « Je veux dire que je ne le ferais pas. »
« Quoi ? » Rugit Ron, outragé par son refus. « Merlin pourquoi ? »
« Parce qu'elle sera exclue, espèce d'idiot, » répondit Ginny. « Elle déjà en trouble avec le département des transports magiques pour avoir transplaner sans permis. »
« Oh, oui, j'avais oublié ça, » Admit Ron, d'un ton plein d'excuses. « Alors papa peut le faire. »
« Oh oui, » le coupa Mrs Weasley. « C'est une brillante idée. Au cas où tu l'aurais oublié, ton père travaille au ministère. Est-ce que tu as une idée de ce qu'il se passera s'il est attrapé en train de créer un portoloin illégale ? »
« Il ne se fera pas prendre, » répondit Ron d'un air confiant.
« J'apprécie ton vote de confiance, fiston, » Commenta Mr Weasley. « Mais j'ai bien peur que ta mère aille raison. Il n'y a aucun moyen pour que je le fasse. Pas avec Fudge qui cherche la plus petite excuse pour me virer. »
« C'EST FOUTUMENT INJUSTE ! » Cria Ginny de frustration. « C'est la fête de Harry. Il veut que nous soyons présents. »
« Ouais, » Acquiesça vivement Ron. L'idée du portoloin ne fonctionnait pas, peut être était-il temps pour changer d'approche et utiliser un peu de pitié et de culpabilité sur sa maman. « Nous sommes ses meilleurs amis. Comment il va se sentir si on n'est même pas là ? » Bouillonna t-il. « Cette histoire était à l'origine pour lui remonter le moral. Si vous y aller et vous lui dites que c'est trop dangereux pour nous d'y aller, vous allez le faire déprimer encore plus. »
« Aussi vrai soit-il, vous n'y aller toujours pas. »
« Mais, maman… » Se lamenta Ginny.
« Non, » Coupa fermement Mrs Weasley. « J'en ai assez de tout ça. Vous trois n'irez nulle part, un point c'est tout. »
« Mais … » S'aventura Ron.
« J'AI DIT NON ! » Hurla t-elle à son fils. « C'est trop dangereux. Vous deux avez déjà été la cible de Mangemorts une fois, » Ajouta t-elle, en s'avançant vers Ron et Hermione. « Vous ne mettrez pas un pied en dehors de cette maison, point final. »
« Ce n'est pas juste, » Cria Ginny. « Ils ne sont pas après moi. Pourquoi est ce que je dois rester ici. »
« PARCE QUE JE L'AI DIT, VOILA POURQUOI ! »
C'était la fin. Ron et Hermione avaient été une équipe formidable, mais ils n'avaient pas eu une chance. Il était évident pour tout le monde que Mrs Weasley n'allait pas se laisser attendrir. Pas tant que la sécurité de ses enfants étaient en jeu.
Hermione restait surprenament silencieuse, tandis qu'elle suivait Ron et Ginny vers l'étage supérieur après que la dispute se soit terminée. Elle était déçue, bien sur. Elle aurait vraiment aimé rendre visite à Harry et voir l'expression sur son visage quand tout le monde aurait crié surprise, mais il avait une partie en elle qui pouvait parfaitement comprendre où voulait en venir Mrs Weasley. Mais elle n'allait pas, pour autant, l'admettre devant Ron et Ginny. C'était plus simple se s'asseoir et les laisser fulminer sans elle.
Et fulminer ils le firent. Le frère et la sœur passèrent le reste de la soirée dans bureau à maudire leur mère et sa décision injuste. Heureusement le reste de la famille avait de sens pour leur donner un peu d'espace, ce qui fut un soulagement. Ils étaient déjà assez à vif sans que les jumeaux ne viennent rajouter leur grain de sel sur la plaie.
« QU'ELLE AIE AU DIABLE ! » Déclara Ron alors qu'il faisait les cent pas dans la pièce avec colère. « J'irai et elle ne m'arrêtera pas. »
« Tu ne passeras jamais les murs de protection autour de la maison de Mrs Figg, »Fit remarquer Hermione alors qu'elle le regardait faire des allés retours devant le canapé.
« FAIT CHIER ! »
« Ne jure pas. »
« Comment peux tu rester assise comme ça ? » Demanda Ginny avec incrédulité. « Tu n'es pas en colère ? »
« Bien sur que je le suis, » Répondit Hermione. « Mais vous mettre dans des états pareils ne va pas nous aider. Se disputer avec elle n'est pas la réponse. Ni s'enfuir et voler jusqu'à Surrey avec votre balai, » Ajouta Hermione, sachant que c'était probablement ce que Ron envisageait.
« Alors qu'est ce que tu suggères ? » demanda Ron.
« Je ne suis pas sure encore,' Admit Hermione. « L'idée du Portoloin semblait être notre meilleure solution. Mais je ne pense pas que nous trouverons quelqu'un qui pourrait lancer le sort sans avoir à s'inquiéter des conséquences. Dumbledore est le seul, je pense, sur lequel le Ministère n'a pas de pouvoir. »
« Pour tout ce que cela nous apporte, » Rétorqua Ginny. « il doit bien y avoir quelqu'un d'autre qui peut faire ça. Nous avons juste à découvrir qui. »
« McGonagall vient d'arriver, » Dit Ginny, en frappant bruyamment la porte entre ouverte du salon pour y rentrer. « Elle a amené les lettres de Poudlard, » Continua t-elle, en examinant le tas d'enveloppes dans sa main pour en retirer celle qui lui était adressé. « Et vos résultats aux Buses. »
« QUOI ! » Cria d'une voix aigue Hermione, en sautant de sa chaise tellement brutalement, qu'elle en renversa l'échiquier. « Ils sont là ? Déjà ? » Demanda t-elle, en fixant la main tendue de Ginny avec inquiétude.
Ignorant les cris de alarmer des pièces de l'échiquier qui avait été éjecté et éparpillés par terre, Ron resta assis sur le canapé sans faire aucun mouvement, bouche bée devant sa sœur. Il resta comme ça jusqu'à que Pattenrond, qui dormait jusque là dans un fauteuil vide, ne remarque que l'attention de tout le monde ne soit détourner et n'en profite pour sauter sur la pièce la plus proche de lui, qui se trouvait être la reine de Ron. « Oh non, pas touche, » dit Ron, en attrapant l'imposant sa chat orange avant qu'il ne puisse faire des dégâts.
« Allez ? » demanda Ginny en tendant le paquet de lettre à Hermione. « Tu ne veux pas savoir si tu as réussis ? »
« Je…je peux pas, » répondit Hermione d'une voix à peine plus élevée qu'un murmure. « Toi fait-le, » Dit-elle, en se tournant vers Ron avec une expression d'extrême horreur plaquée sur son visage.
« D'accord, » Répondit-il, en passant à Hermione son chat qui se débattait pour prendre les lettres dans la main de sa sœur. « je le savais, » Dit Ron avec un sourire en coin, en balayant rapidement les résultats de Hermione. « Tu as une Buses dans toutes les matières. Même… en études des moldus ? Pourquoi est ce que tu as passé cet examen ? Tu ne suis même plus ce cours. »
« Je pouvais toujours passer le teste si je le désirais, » Répondit-elle sur la défensive en laissant tomber Pattenrond sur la chaise la plus proche, pour arracher ses résultats de la main de Ron. « J'ai eu un E, » S'écria Hermione, en fronçant son nez et en regardant l'offensive note avec dégoût. « Je ne peux pas le croire ! J'ai eu un E. »
« Mais un E c'est bien, » Dit Ginny d'une manière qu'elle espérait rassurante.
« Non, ça ne l'ai pas, » aboya Hermione, ses yeux toujours scotchés d'incrédulité sur le parchemin. « Je pouvais faire mieux. J'aurais du faire mieux, » Se reprocha t-elle à elle-même. « Si je n'avais pas été distraite j'aurais pu… »
« Bien sur que tu as été foutument distraite, » La coupa Ron. « Ce crapaud diabolique était en train d'attaquer Hagrid en plein milieu de notre examen. On a tous été distrait. »
« Ils n'ont pas pris ça en considération, n'est ce pas ? » Demanda maussadement Hermione. Ron eu assez de sens pour ne pas répondre à la question. Elle s'en voulait peut être avec elle-même et Umbridge, mais ça ne voulait pas dire que cela devait retomber sur lui, s'il lui donnait une excuse. Ça serait le mieux pour tout le monde, s'il gardait sa bouche fermée, surtout qu'il n'avait rien à dire qui pourrait la faire se sentir mieux. Détournant son regard de Hermione, Ron ouvrit sa propre lettre et se focalisa sur ses propres résultats.
« Alors ? » Demanda Ginny, quand elle vit sa bouche s'ouvrir en grand.
« Huit, » Répondit-il, en sonnant tout aussi perplexe que Hermione quand elle avait vu son E en astronomie. « J'ai eu une Buse en tout sauf en Histoire de la magie, » Continua t-il, en parcourant ses notes une nouvelles fois, pour s'assurer qu'il avait lu correctement. « J'ai même réussit la divination, » Ria t-il. « Je l'aurais jamais prédit. Pas même avec une boule de cristal. »
« OH RON ! » S'écria Hermione d'une voix aigue, juste avant de se jeter sur lui. « Je suis si fière de toi, » Cria t-elle, en passant ses bras autour de son cou et en l'étreignant étroitement.
« Vous deux êtes répugnant, » Dit George en s'approchant de la porte ouverte pour jeter un coup d'œil dans la pièce. « De quoi est ce qu'elle parle, d'ailleurs ? » Demanda t-il à sa sœur.
« Résultats aux Buses, » Répondit Ginny.
« HEHO MAMAN ! » Beugla George en direction de l'entrée. « LES RESULTATS DES BUSES SONT ARRIVEES ! »
« Pourquoi est ce que tu as fait ça ? » Siffla Ron tandis que Hermione desserrait son étreinte, pour se poster près de lui, radieuse.
« Pas besoin de te demander si tu as réussit, » Dit George, en fixant Hermione et ignorant complètement la question de son frère. « Et toi, Ron ? »
« Il a largement mieux fait que vous deux réunis, pas vrai ? » Ricana Ginny.
« Alors ? » Demanda Mrs Weasley, en se ruant dans la pièce et la balayant du regard avec excitation.
« Hermione en a eu 13, » répondit Ron.
« Oh c'est merveilleux ma chérie, » cria Mrs Weasley, en posant le panier de linges sales qu'elle portait sur le sofa pour lui donner une rapide étreinte. « Tes parents vont si fières, et ? » Demanda t-elle, en relâchant Hermione pour se tourner vers Ron. « Et toi ? »
« Euh, » Murmura Ron, effrayé que sa réaction de soit la même chose que la scène des préfets de l'année précédente. Bordel George.
« Oh allez, Ronnichou, » dit George, en arrachant la lettre des mains de son frère. « Ce ne pas être aussi mauvais, » Ajouta t-il, en plissant son visage de répugnance à la vue des notes de Ron. « C'est effroyable, » Cria t-il en remuant le parchemin en l'air avant de le balancer à son frère comme s'il avait été contaminé. « Huit ? Tu as eu huit putain de buses ? »
« OH RON ! » Cria Mrs Weasley, en le prenant dans ses bras et l'embrassant sur la joue. « C'est merveilleux. »
« MAMAN, s'il te plait, » Supplia Ron, en l'écartant tandis que son visage virait au rouge. « Lâche moi, »
« Bien sur tu auras besoin de travailler un peu plus dure cette année si tu veux être Préfet en chef l'année prochaine. Tes frères ont eu 12 Buses, après tout, et cette année est ta dernière chance pour faire une bonne impression. »
Le sourire de Hermione se refrogna à l'instant où Mrs Weasley commença à comparer les accomplissement de Ron à ceux de ses frères. « C'est de ta faute tu sais ? » George se pencha et murmura dans oreille. « Continue comme ça et tu vas faire de lui… »
« Ferme là, » Siffla Hermione, en le poussant vers la porte pour l'entraîner vers le couloir avant qu'il ne puisse dire un mot de plus. « Ce n'est pas étonnant, que son estime de lui soit si basse, avec vous deux en train de le rabaisser en permanence et votre mère qui n'arrête pas de le comparer à tout le monde. »
« Ne s'excite pas comme ça, » Répondit George, prit un peu au dépourvu par cette attaque inattendu. « Ron est peut être un idiot, mais il sait reconnaître une blague quand il en entend un. »
« Tu ne réalises même pas qu'est ce que tu lui fais, n'est ce pas ? » Lui répondit-elle sèchement, même si elle essayait de refreiner sa colère montante. Ce n'était pas après George qu'elle était furieuse. Pas vraiment. C'était après sa maman. « S'il te plait, laisse lui au moins ça, » Le supplia t-elle. « Il a travaillé dur pour avoir ses notes et il devrait être fière de lui-même. Ne rapetisse pas ses accomplissements et le faire se sentir honteux de bien faire. »
« OH GINNY ! C'EST FABULEUX ! » Raisonna la voix de Mrs Weasley dans le couloir.
« S'il te plait, George. Ne lui fait pas passer un mauvais moment pour ça. »
« Relaxe, déjà, » Répondit inconfortablement George. « Il sait que c'est que pour rigoler. Ce n'est pas grave. »
« Si c'est grave, » protesta Hermione. « Est ce que tu penses que je te supplierai si cela ne l'était pas ? »
« QUOI ? TU NE PEUX PAS ETRE SERIEUSE ! » Résonna le beuglement de colère de Ron. « SI ELLE Y VA, MOI AUSSI ! »
George et Hermione mirent fin à leur conversation immédiatement et retournèrent dans la pièce, juste à temps pour voir Mrs Weasley mettre ses mains sur ses hanches et crier au visage de Ron. « Absolument pas ! » Répondit-elle, en en souciant pas de l'expression d'indignation sur le visage de son fils.
« Qu'est ce qui se passe ? » Demanda Hermione, en jetant un coup d'œil a Ginny dans l'espoir d'une réponse.
« Ginny a piège maman pour la laisser aller à la fête de Harry. » Cria Ron, tellement scandalisé que son visage était passé du rouge au violet.
« Je ne l'ai pas piégé, » Protesta Ginny. « Elle a dit que je pouvais avoir tout ce que je voulais pour avoir obtenu le statut de préfète et c'est ce que je veux. »
« SI QUELQU'UN DOIT Y ALLER C'EST MOI ET HERMIONE ! NOUS SOMMES AUSSI PREFETS ? EN PLUS ON VIENT D'AVOIR 20 BUSES. ET OU EST NOTRE RECOMPENCE ? IL EST NOTRE AMI ? PAS LE TIEN ! » Beugla Ron à sa sœur.
« RON ! » cria Hermione, choqué par sa riposte plutôt rude. Mais elle aurait mieux faire garder sa salive, pour tout ce que cela apporta.
« TU AS EU TON PUTAIN DE BALAI, ALORS FERME LA ! »
« ARRETEZ TOUT LES DEUX ! » Rugit Mrs Weasley sur ses deux enfants en train de se chamailler. Ron et Ginny cessèrent immédiatement de se quereller, mais ils continuèrent à se fixer l'un l'autre.
« Si elle peut prendre le Magicobus, pourquoi pas moi ? » Demanda Ron, en reportant son regard sur sa mère.
« Je te l'ai déjà dit. Ton père et moi en avons discuté et c'est juste trop dangereux pour Hermione et toi de quitter la maison en ce moment. »
« Mais Ginny… »
« Ils n'en ont pas après ta sœur, » Fit remarquer sa mère avant qu'il ne puisse argumenter plus loin. « Ils sont après vous deux et Harry. Si l'un e vous prend le bus tout le monde va devenir une cible. Est-ce que c'est ça que tu veux ? » L'interrogea t-elle. « Tu veux vraiment mettre toutes ces personnes en danger ? »
« Non, » Grogna Ron. Ma colère qui emmenait de lui, se diffusait par vagues à travers la pièce que tout le monde pouvait sentir. « Mais… »
« Il n'y a pas de mais, » Dit fermement sa mère. « Vous deux n'irez pas, un point c'est tout, » Déclara t-elle, en prenant dans ses bras le panier de linges et se dirigeant vers la porte. « Et pour ton information, ton frère et Tonks se sont portés volontaires pour rester ici pendant le reste d'entre nous sera parti, donc il n'y aura aucun moyen de s'échapper. Les portes et les fenêtres vont être magiquement scellées et si tu t'en approches de trop, Bill t'enfermera dans ta chambre. »
Hermione vit les mots qui se formait sur les lèvres de Ron et su qu'il allait sortir alors que sa mère serait toujours à portée d'oreiller.
« FAIT CHIER ! »
Mrs Weasley se figea dans l'âtre de la porte, dos à la pièce et écouta le filet de juron qui sortit de la bouche de son fils. « C'est ça… putain de volontariat… rester ici et me garder… me bloquer dans ma putain de chambre ? J'aimerais foutument le voir essayer. »
« Ron, » Siffla Hermione, mais son avertissement n'eut aucune effet. Heureusement, Mrs Weasley décida qu'il était pour le mieux de laisser tempêter et de s'éloigner pour un moment. Expulsant le soupir qu'elle retenait, Molly, sortit dans le couloir et sortir de son champ de vision. Au moment où elle fut partit, Ginny et George filèrent, laissant Hermione seule pour se débrouiller avec Ron.
Voila n'oublier pas de laisser une petite review auquelle je me ferais un plaisir de répondre si elle est toute fois signé
Merci dêtre toujours la pour me lire et faire hommage à la merveilleuse fic de RogueSugah
