Solstice Zam : Et vi, l'histoire continue, ce n'est pas un Os. Je ne peux pas t'en vouloir, d'ordinaire je ne fais que ça. Mais là, j'en remet plusieurs couches. Merci pour tout ces compliments, voilà la suite. Bisous.
Madame Boris Jardel : La voila, régale toi.
snapye : Que de questions, il te faudra attendre le chapitre 4 pour avoir tes réponses. Rassure toi personne n'est enceinte et il n'est pas dans mes intentions de me diriger dans ce sens là. Voilà la suite.
Crazymarie : Merci, voila la suite.Alicya Potter-Black : N'est pas honte, c'est tombé sur eux, mais crois moi je sais que n'importe quel enfant aurait pu faire une chose pareil. Tu auras l'explication dans le chapitre 4. Je suis une Serdaigle, mais je respecte les Serpentards. Voilà la suite, Bisous.
BoB Chiri : Les réponses au chapitre 4. Tu sais, c'est pas que les Serpentards, ils en avaient tous envie, mais seuls les Serpentards ont osés. Merci pour tes compliments, voilà la suite.virg05 : Merci, voila la suite de ma SUPER EXTRA MEGA GIGA GENIALE fic (®) Bisous.
Isa-Syn ex U.S.Hermy : Je ne sais pas comment on appelle ce couple/trio, je suis ravie que ce chapitre t'ait éclairée, ce qu'il y a entre Virg et moi nous regarde, serais-tu jalouse ? Ca me plairait assez, je t'aime.
Djeiyanna : Djeyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy (sautille sur place, genre pompom-girl) Comment bien que ça va. Ca me fait super plaisir que tu me lises. J'écris presque que du NC-17 mais je le publie rarement. Mais là, je me suis lancée. J'espère que l'histoire va ta plaire. Bisous
Ce chapitre là, je le dédie à Djey, à son retour parmi nous, tu m'as manquée.
Chapitre 3 : Petit bout de Paradis dans l'Enfer
Le passeur arriva vers midi. Severus ne voulait pas transplaner par lui même afin de ne pas être localisé. Il avait fait de nombreuses courses toute la matinée pendant qu Harry veillait sur Hermione dont l'état c'était stabilisé. Le passeur le salua et lui promit de garder le silence, comme à l'époque où il s'en servait en tant que mangemort.
Severus partit le premier, laissant un Harry angoissé par son départ. Mais le passeur revint bien vite prendre Hermione puis Harry. Ce dernier atterrit dans ce qui sembla être un salon, mais il était difficile de l'affirmer puisque la pièce était plongée dans le noir.
- Severus ?
- Sur la mezzanine, en haut des escaliers. J'installe Hermione dans notre lit.
- Il fait pas un peu sombre ?
- Ha si, désolé, j'ai oublié d'allumer la lumière, c'est que je connais cet endroit par cœur.
- La lumière ? On est dans un endroit moldu ? Je peux ouvrir les volet pour voir ?
- Tu ne verra rien, il fait noir, c'est la nuit. Je te dirais juste que le soleil se lèvera dans environ 1 petite heure. Tu monte nous rejoindre ?
Grommelant pour la forme, Harry tâtonna, car il n'était pas question d'utiliser sa baguette tant que Severus ne lui avait pas assurer que l'endroit était incartable. Quand il trébucha et s'étala de tout son long sue un tapis extrêmement moelleux, il lâcha une bordée de juron. Sa main chercha sur le mur quelque chose pour l'aider à se relever, mais il sentit des livres et, n'ayant pas envi de se retrouver avec une bibliothèque sur la tête, il ne prit appuis sur rien.
Des grandes mains fines vinrent alors l'aider, et dans les ténèbres, il reconnu la silhouette élancé de son amant. Il ne protesta pas et se laissa guider jusqu'à une grande échelle en bois qu'il monta, soutenu par le maître de potion. En haut, il se dirigea vers la forme sombre au centre pour découvrir Hermione allongée sur un matelas posé à même le sol. Il enleva ses vêtement puis vint la rejoindre, sachant que Severus en ferait de même. En effet, il sentit très vite son corps contre le sien, semblant réclamer quelques attentions. Harry secoua la tête de désespoir. Il y a quelques heures, il paraissait sur le point de défaillir et maintenant il voulait faire l'amour ?
Severus fut ravi de sentir les doigts d'Harry venir titiller sa verge. Son gémissement guida le gryffondor. Rapidement, alors que son corps commençait à s'enflammer, une langue remplaça les doigts, amenant des vagues de chaleurs. Celles-ci balayèrent tout sur leur passage, ôtant pensées et réflexions. Il se laissa aller à la jouissance et fut frustré de sentir Harry se retirer.
Le gryffondor laissa ses mains parcourir tout le corps de son amant. Il en avait très envie et ne voulait pas s'attarder sur les préliminaires, tout ce qui comptait était de jouir, d'oublier quelques instants. Il caressa les fesses et l'anneau de chair, avant de glisser ses doigts pour le préparer. Severus accepta de se faire dominer pour une fois. Avec douceur, Harry présenta sa verge douloureuse à l'entrée chaude et s'y glissa. Quelques mouvements furent suffisants, la jouissance arriva rapidement. Severus éjacula dans un grognement, suivi d'Harry qui ne put se retenir en sentant son amant se contracter.
Ils se couchèrent, épuisés. Severus nettoya le lit d'un coup de baguette, informant par là-même qu'ils pouvaient utiliser la magie sans risques d'être repéré. Ils enlacèrent Hermione, triste qu'elle ne soient pas encore éveillée, mais pour que sa magie soigne son corps, elle devait se reposer. Elle se sentait en sécurité puisque elle captait la magie de ses deux amants et donc qu'elle se savait loin des Serpentards.
A son réveil, Harry capta en quelques secondes des centaines d'informations. L'odeur de bois frais, la douceur des draps, la chaleur de la chambre… Son cerveau analysa tout cela et il se souvint de ce qui c'était passé. Où était-il ? Non, où était Severus ? Il n'y avait qu'Hermione, blottie dans se bras, un sourire aux lèvres. Il soupira, se leva en faisant attention à ne pas réveillé Hermione. Son corps ne comportait plus aucunes blessures, mais pour ce faire elle avait sûrement dû épuiser son énergie. Probable qu'elle ne puisse pas se lever de la journée. Aucun problème, Severus et lui allait s'occuper d'elle.
Il descendit en enfilant un bas de jogging qui devait appartenir à Severus et qui traînait par terre. En bas, il distingua un salon-salle à manger-cuisine. La pièce était plutôt petite, de toute évidence, la maison n'était pas un manoir. Il y avait un côté chaleureux dans cette maisonnette en bois qui faisait tout de suite se sentir relaxé. C'était un petit coin de paradis. Il avait hâte de voir la suite.
Voir Severus cuisiner était une merveille. Ses longues mains coupaient les ingrédients avec précision envoûtante. Chaque fois qu'il cuisinait ou préparait une potion, Hermione et lui pouvaient passer des heures à l'observer. Ses mains étaient captivantes, impossible de s'en détacher. Pourtant le gémissement d'Hermione leur fit tourner la tête. Severus sourit à Harry puis ils montèrent à l'échelle pour trouver la jeune fille assise sur le lit.
- Où est-on ?
- Bonne question, tu devrais la poser à Severus.
- Habillez-vous, on sort. Hermione, tu te sens de venir avec nous faire les courses au village ? Il n'y a presque rien à manger, et puis il nous faut informer les villageois de notre présence.
- Oui, si la marche n'est pas trop longue. Que vas-tu dire aux villageois ?
- Ils me connaissent, pour eux, j'enseigne la chimie dans un collège privé. Je leurs expliquerai que deux de mes élèves ont des problèmes de santé et qu'ils doivent respirer l'air pur.
- L'air pur ? On est où , releva Hermione.
- Habillez-vous chaudement.
D'un coup de baguette, il fit monter le petit déjeuner, composé de bananes au chocolat recouvertes de chantilly. Visiblement il avait emporté un peu de nourriture du château car Harry se souvint d'avoir vu des bananes sur la table de la cuisine de ses appartements de Poudlard. Ils mangèrent à même le plat se régalant des talents de Severus pour la cuisine. Puis ils s'habillèrent en chahutant doucement et aidèrent Hermione à descendre. Ils durent lui raconter entièrement ce qui c'était passé depuis son attaque. Dès que Severus ouvrit la porte, ils furent éblouis par le soleil et la blancheur du paysage. Un froid mordant les saisit et Harry marmonna quelque chose à propos d'Hawaï. Il commençait à en avoir marre de la neige et se demandait si à une semaine de Noël il existait un endroit où le froid ne régnait pas en maître.
Soutenue par ses amants, Hermione fit quelques pas dans ce paradis blanc. Autour d'eux les montagnes se dressaient, imposantes mais si belles. Une forêt s'étendait devant le chalet, avec seulement un mince sentier pour mener au village. Les deux gryffondors fixaient avec émerveillement le paysage sous l'œil amusé et protecteur de Severus.
- Alors c'est là que tu allait un week-end par mois. C'est pour cet éden que tu nous abandonnais, souffla Harry
- Oui, c'est mon havre de paix, là où je me réfugie si les choses sont trop dures ou si j'ai besoin de réfléchir, de me retrouver. Vous êtes les premiers à avoir connaissance de cet endroit, à l'exception de quelques personnes de confiance. La maison est moldue, et je n'utilise la magie que par confort.
- Merci Sev, de nous avoir emmené, murmura Hermione.
Mais pour le maître de potion, leurs regards émerveillés avaient suffit à lui faire le plus beau des cadeaux. Ils les aimait et il savait que c'était avec eux qu'il était vraiment en paix, quelque soit l'endroit. Il leur fallu presque un quart d'heure pour atteindre le village normalement à cinq minutes à pied car ils devaient s'arrêter pour Hermione. Severus en profitait pour leur montrer des traces d'animaux, de loups, de couguars, d'orignaux et même… d'ours ! En arrivant en vue du village, Hermione s'écria tout d'un coup :
- Je sais où on est ! La faune m'a donné des indices mais c'est le drapeau Canadien qui m'a fait comprendre. On est dans les Rocheuses !
Severus maudit ce con qui avait mis un drapeau sur sa maison, mais surtout Hermione d'être aussi perspicace. Les deux enfants lui souriaient et sa colère s'envola bien vite. Ils se dirigèrent vers la boulangerie qui était plutôt bien remplie. Son arrivée fut saluée par de chaleureux bienvenus et une fois l'excitation retombée il put retourner son attention sur ses amants. Il constata que Hermione avait considérablement pâlie sous la fatigue du voyage et qu'elle serait déjà à terre sans le soutient de Harry. Tous les regards étaient à présent fixés sur les adolescents qui se sentirent gênés. Harry soupira en se disant que où qu'il aille il serait toujours le centre des regards.
- Severus expliquez-nous, c'est bien la première fois que l'on vous voit accompagné , s'exclama la boulangère.
- Il s'agit là de deux de mes élèves qui sont malades en particulier la jeune fille. L'infirmière leur aillant conseillé l'air pur, je les ai amenés ici.
- C'est une excellente idée, ici ils guériront très vite. Vous restez pour les vacances j'imagine.
- Nous verrons.
La discussion se clôt là et étrangement tous ceux qui faisait la queue laissèrent passer le professeur. Peut-être était-ce à cause d'Hermione qui semblait sur le point de défaillir. Ils achetèrent du pain et du chocolat pour la gryffondor ce qui lui redonna quelques forces. Assez pour se procurer des provisions à l'épicerie, ainsi que du bon lait et du beurre à la ferme. Severus fut cependant obligé de la porter sur le chemin du retour. Elle ne protesta pas, et en profita pour examiner le paysage. Harry lui tenait la main. Elle se savait hors de danger à présent. Tout allait bien se passer. Bien sûr il y avait encore des interrogations, sur ce qu'ils allaient faire ou sur comment la gazette avait appris leur relation, mais pour l'instant tout allait bien.
A deux mètres de la maison, ils se figèrent soudain. Si un seul d'entre eux l'avait senti, ils n'auraient pas étaient sûr, mais là les trois le sentaient parfaitement…
Il y avait deux sorciers dans le chalet…
Pffffffffffffffffiout, fini ! Ce chapitre est un peu cour je le reconnais, mais promis je me rattrape au prochain.
Bisous,
Drusilla
