Réponse au review :

Isa : ben la voilà, je t'aime aussi.

Roukia : oui, maintenant tu va enfin avoir la réaction de Sirius.

Calimera : alors là, ton compliment me touche énormément, c'est justement cette tendresse que j'ai voulu faire ressortir. Merci mille fois, je t'aime toi tu sais.

Brisss : En même temps, Sirius c'est Sirius tu sais. Bisous.

Estelle01 : C'est vrai que ils sont tous un peu à plaindre, enfin sauf Malfoy. Voilà la suite.

Snapye : Merci, Tu as eu une exélente annalyse psychologique qui rejoint ce que je pense et d'ailleur je vais mettre ta review avant le chapitre pour que tout le monde la lise. Je crois qu'elle rejoint ce que tout le monde pense. Bisous.

Madame Boris Jardel : En fait je décris pas trop sa tête, tu verras. Bonne lecture.

Me : Moi aussi je veux les même , vu que ma mère à été élevé par des bonnes sœurs, je te laisse deviner pourquoi. Voilà la suite, bisous.


J'aimerai juste mettre la review de Snapye, car je trouve qu'elle résume ma pensée sur la psychologie des personnages.

"génial ! tes deux derniers chapitres sont géniaux ! franchement... surtout la réaction des Granger, on voit qu'ils sont compréhensif et peut deviner pourauoi Hermione est si tolérante vis-à-vis des autres... elle a été éduqué comme ça. par contre, black a de sérieux préjugés, et à en juger par l'attitude d'harry ça n'a pas changé pendant la guerre même si Sév a joué sa vie à chaque fois qu'il rencontrait voldemort... ça promet..."


Ce chap je le dédirait pas à Virg, elle a qu'a me reviewer, non, il est plutôt pour ma Siry, cadeau.


Chapitre 6 : Briser un enfant

Le soleil réveilla Harry et Hermione pratiquement en même temps. Quand leurs yeux se rencontrèrent, ils se sourirent. Il était rare qu'ils soient debout avant leur professeur. Sans un mot, se comprenant d'un seul regard, ils sortirent du lit, enfilant une robe de chambre pour cacher leur nudité. En bas, Harry se chargea de raviver le feu et d'ouvrir les rideaux pendant qu'Hermione faisait le petit déjeuner. Elle avait presque finit quand elle sentit deux bras fort la prendre par derrière et l'attirer contre un torse musclé.

- Non Harry laisse moi, on va réveiller Sev.

Elle savait éperdument que c'était le corps de Severus qui était collé contre elle. Comme elle avait espéré, l'homme grogna, trouvant offensant qu'elle ne puisse pas reconnaître les auras de ceux qu'elle aimait. Puis, mutine, elle se frotta doucement contre le torse, ses fesses faisant un va et viens sur la partie sensible du maître de potion. Partie très réceptive le matin. Sans comprendre comment, elle se retrouva plaquée contre le plan de travail et dévoré par une bouche.

- J'exige mon petit déjeuner, souffla la voix rauque du professeur à ses oreilles.

- Sev...

Hermione aurait était bien incapable de dire autre chose, tout ses sens trop enflammés pour qu'elle réfléchisse. Mais alors qu'elle allait remédier à leur problème, une voix douce les interrompit.

- Maintenant que vous êtes dans cet état, ça répond à mon doute. J'hésitait à vous amener avec moi, mais là, hors de question. Je vais voir Sirius seul, c'est mieux.

Severus se détacha d'Hermione et fixa Harry. Le jeune homme s'était habillé et tenait le portoloin. Près à partir. Sans eux. Il les contemplait, cherchant la compréhension dans leurs regards. Hermione baissa la tête. Bien sûr. Il ne voulait pas leur faire subir ça. Et puis la présence de "M. bâtard graisseux" en face de Sirius n'arrangerait rien. Le combat d'Harry et Voldemort était une plaisanterie face à ce que la réaction de Sirius pourrait lui faire.

D'un mouvement du poignet Severus activa le portoloin, ce geste montrant son accord. Alors que Harry disparaissait, il reprit son… petit déjeuner. Sa bouche continua son chemin le long du cou de la jeune fille qui poussa un petit cris. Pour ne pas être en reste elle glissa ses mains le long du torse de son amants et titilla ses tétons. Elle les malmena quelques temps mais il finit par lui capturer les mains. Il les lui posa là où il voulait qu'elles se trouvent et lui imposa un rythme rapide.

Harry atterrit dans la cuisine, faisant sursauter un Remus mal réveillé qui renversa son café et se brûla. Il rentra la tête sans les épaules le temps que la bordée de juron se termine. Il sourit malgré tout, Remus lui rendant avec joie. Il allait pour l'étreindre quand ils entendirent un bruit de pas dévalant les escaliers. Sirius descendait. Pour Harry le temps se figea. Il lui semblait que son parrain mettait une éternité à arriver et pourtant juste une millième de seconde. Enfin Sirius se présenta à la porte, fixant son filleul.

Les mains d'Hermione le poussèrent très vite à la jouissance. Il se laissa aller sans chercher à se retenir et éjacula sur Hermione. L'intensité de l'orgasme fut telle qu'il dut se s'agripper au plan de travail derrière la gryffondor, ses jambes défaillant. Hermione leva ses mains couvertes de sa semence et commença à les lécher pour les nettoyer. Cette simple vision suffit à le refaire durcir. Elle était l'incarnation de la luxure. Un merveilleux mélange de débauche et de tendresse.

Sirius ne bougea pas. Il ne fit pas un geste, il ne dit pas un mot. Rien. Et Harry ne supportait pas ce rien. Des cris auraient été préférables au silence. Sa haine pour Rogue était-elle plus forte que son amour pour lui ? Pourquoi Sirius ne réagissait-il pas ? Même Remus commençait à s'agiter, mal à l'aise. Pourtant il ne put briser le contact visuel établi. Une guerre. Il craignait la réaction de son ami, depuis la parution de l'article se dernier avait refuser de parler de tout ce qui avait trait à Harry. Doucement, le jeune homme s'approcha, sans détourner les yeux. Il se planta face à Sirius pour que ce dernier réagisse enfin.

Severus défit le nœud et retira la robe de chambre d'Hermione, accédant enfin à ce qu'il cherchait. Il vérifia qu'elle soit suffisamment mouillé et commença à la pénétrer doucement. Elle gémissait à l'unisson avec ses grognements. Leurs désir s'attisait au fur et à mesure de leur lents va et viens. Ils durent changer de cadence pour un rythme plus rapide. Alors toutes leurs pensée cohérentes s'envolèrent, ne restait que la recherche du plaisir. Les mains de Severus empoignèrent la poitrine de la gryffondor tandis qu'elle titillait l'anus de son professeur.

Sirius eu enfin un mouvement. Remus se dit, soulagé, qu'il allait prendre Harry dans ses bras. Mais le bruit qui retentit le désillusionnas. Il fixa son ami, ébahi. Non, c'était pas possible. Harry mit un temps à enregistrer l'information. Sirius, son parrain, son père de cœur, sa seule famille vivante. Comment ? Pourquoi ? Qu'avait-il fait ? Méritait-il de souffrir éternellement ? Il toucha délicatement sa joue. Il ne pouvait le croire. Sirius l'avait giflé, Sirius ne l'aimait plus, Sirius ne lui pardonnerait jamais.

Rapidement, la jouissance arriva. Ils la laissèrent monter en crescendo. C'était à l'heure actuel tout ce qu'ils recherchaient. Dans un feulement, Severus ne put se retenir, il se libéra en Hermione ce qui la poussa à jouir à son tour. Elle hurla se contractant autour de Severus en spasmes incontrôlés. Il dut la retenir contre lui et même après s'être retiré il la garda serré dans ses bras. Merlin qu'il l'aimait. Qu'il les aimait. Si c'était sa récompense pour avoir été espion, alors il ne regrettait plus les doloris reçus.

Le bruit de l'arrivé d'un portoloin leur fit tourné la tête. Harry se tenait dos à eux, dans le salon. Pourquoi rentrait-il si vite ? Que s'était-il passé ?

- Harry ?

La voix tremblante d'Hermione sembla le sortir de sa torpeur. Severus le vit se retourner doucement. Son cœur se brisa quand il vit que le jeune homme pleurait. Il eut envie de transplaner à Square Grimmauld pour achever lui-même cet idiot de Sirius, tout en sachant que le loup garou l'avait sûrement déjà fait. De quel droit ce prétendu parrain faisait-il souffrir son Harry ?

Puis il observa de plus près le jeune gryffondor, évitant de s'attarder sur le bleu qui commençait à apparaître sur sa joue endolorie. Les yeux vides d'Harry le firent frissonner. Brisé. Détruit. Severus sut qu'il ne s'en remettrait pas d'aussitôt. Hermione fut la première à bouger. Elle se saisit du verre sur le plan de travail, le remplissant d'eau. Tandis que le maître de potion aidait Harry à s'asseoir, elle le fit boire. Aucun des deux ne proposa de soigner sa joue, il devait garder certaines marques.

Hermione savait qu'à cet instant Severus se sentait aussi mal qu'elle. Ils l'avaient laissé affronter Sirius seul, en sachant combien l'ancien prisonnier pouvait être obtus quand ça touchait son ennemi. Et en même temps, elle sut ce que ses amants avaient ressentis quand les Serpentards l'avaient tabassés. Ce sentiment d'impuissance et de trahison envers l'autre. C'était comme si elle avait abandonné Harry.

Aucun des trois ne prononça le moindre mot. Ils petit-déjeunèrent assis sur canapé, enlacés avec Harry entre eux. Ce dernier avait laissé échapper quelques larmes, mais la présence des deux personnes qu'il aimait l'avait calmé. En fin de matinée, il fut même capable d'avaler une partie du repas de midi. L'après-midi, ils la passèrent dans un bon bain chaud, toujours sans grands discours. Leur seule présence suffisait. Ils s'aimaient.

Le lendemain matin, Severus s'éveilla le premier au son de coups contre sa fenêtre. Il grogna un peu mais se leva, prenant soins de ne pas réveiller ses compagnons. Il ouvrit au hibou et se saisit de sa missive, sans l'ouvrir, puisque le parchemin était adressé à Harry. Il se demanda si c'était Remus qui tentait de recoller les pots cassé ou Sirius s'excusant. Qu'importe, rien n'effacerait la douleur qu'il avait vu dans les yeux de Harry. Un instant il songea à transplaner au 12, square Grimmauld et à se venger. Mais il aurait fait souffrir son amant et ça il en pouvait même pas l'imaginer.

Quand Harry descendit, il trouva Severus pensif en face de la cheminée. Il se dirigea vers lui et prit la place qui lui semblait normale : entre les bras de l'homme qu'il aimait. Il resta tendu un instant, guettant un rejet puis ce détendit. Il ignorait que ses petits gestes d'enfant ayant grandi top vite faisait craquer ses amants.

C'est quand Hermione les rejoignit qu'il leva les yeux du feu et vit la lettre. Hermione la tenait, hésitant à lui donner. Il tendit la main, sachant déjà de qui ça provenait. Il la décacheta rapidement, s'il devait être détruit définitivement autant ne pas attendre. Le stupide courage des gryffondor. Il déplia le parchemin.


Pfioutn fini, désolé, il est court, mais au moins vous n'avez pas à attendre les vacances.

Bisous

Drusilla