Dhark project 00
Note des auteurs : Voila le dernier chapitre avant août pour cette histoire. Et ouais, on vous quitte pour le reste du mois, c'est comme ça. On ne part que le 13 juillet alors on espère avoir tout plein de vos avis pour ce chapitre que nous aimons particulièrement, même si nous ne le trouvons pas génial, l'évolution de l'histoire fait que nous l'aimons et que nous avons pris plaisir à l'écrire !
Ensuite, pour ceux pas encore au courant, nous avons eu notre bac au premier tour !MDR !
Ensuite, un forum a été créé en partenariat avec le site fics en folie, vous trouverez l'adresse dans notre bio. Passez y, ça peut être sympa de parler de mangas et fanfics.
Nous avons aussi fait un OS pour remercier nos lecteurs. «Gay Pride » Hésitez pas à donner votre avis. La seconde partie ne devrait pas tarder.
Merci à ma bêta Boub qui fait vraiment un très bon travail.
Disclamers : Les personnages relatifs au monde de gundam Wing ne nous appartiennent pas. Par contre, Dhark, Lana et Kou font partie de la yami-aku corporation. Rei appartient à ma Reily que j'adore et Thomas à mon petit frère. Leurs ennemis nous appartiennent aussi !
Bonne lecture.
Chapitre 19 : I…I love…
Je marche dans les ruelles sombres, il ne fait pas très chaud, pourtant nous ne sommes pas en hiver. Je remonte mon pull et rajuste mon cache-oreilles. Ça m'a tellement amusé lorsque Kou me les a offertes il y a quelques jours que je ne peux m'empêcher de les mettre. Je trouve ça mignon et puis, je ne sais pas, je ne réagis plus vraiment pareil avec Kou. Je crois que je commence à l'accepter vraiment.
Je me dépêche donc de rentrer. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai un mauvais pressentiment. Duo et Heero sont encore au bar, même chose pour Kou. Je crois qu'il ne va pas tarder à rentrer, mais ensuite mes parents eux doivent aller faire un tour en reconnaissance. Rei et Lana doivent être encore en train de se faire payer un verre par ce pilote de Gundam.
Et pourtant j'ai l'impression d'être suivi, observé. Je ne sais pas d'où ça vient surtout que je n'entends aucun autre bruit que celui des volatiles nocturnes.
Mais bon, ce quartier n'est pas le mieux fréquenté, alors on va éviter de traîner. J'aurais dû accepter que Kou me raccompagne, au moins, j'aurai eu l'impression d'être un tant soit peu protégé. Ouais parce qu'il faut pas croire, mais Kou est vachement rassurant. Sa présence, il y a quelque chose dans sa présence qui fait qu'on se sent protégé.
J'arrive enfin en bas de mon appartement, je le regarde et entre dans le hall. Je sors rapidement ma clé et la mets dans la serrure avant de m'engouffrer dans les couloirs plus chauds. Tout est sombre, si sombre. Je monte doucement les escaliers, je suis fatigué, très fatigué. Entre danser sur la plate forme, oui parce que Kou a réussi à me faire monter sur la plate forme pour danser, il me fait le coup une fois chaque soir, servir les cocktails, éviter une où deux mains au cul, les regards noirs d'Heero parce que j'en fais trop, Duo qui est inquiet à cause de l'observation dont nous faisons office et les blagues de Kou où on sent la jalousie à quinze mètres.
C'est crevant tout ça.
Je me dépêche donc de monter, mes jambes me portent à peine et j'ai qu'une hâte c'est de me coucher, de pouvoir dormir enfin. Les missions comme ça devrait être mieux payées, non mais sérieusement, un appart en haut de l'immeuble, dites moi où est le luxe là dedans.
J'arrive enfin devant notre numéro, le 19. Je rentre la seconde clé et pousse la porte pour entrer dans ce petit appart où on vit à six. Trois chambres et assez miteuses. Le luxe je vous jure.
Je dépose ma veste sur un des fauteuils, j'ai froid. Je me frotte les mains avant de me rendre dans ma chambre. Je me prépare une pile de vêtements et ensuite direction la salle de bain. Une belle douche bien chaude m'attend. Yattaaaaa !
J'entre dans la petite pièce et me déshabille. Mes vêtements glissent le long de ma peau. Promis, je m'habillerais plus aussi léger, je mettrais trois pulls, histoire d'être sur de ne pas mourir frigorifié. Je lance tout sur le côté et laisse mes cheveux tomber le long de mon dos.
J'entre dans la cabine de douche et laisse couler le jet d'eau chaude sur ma peau. Ça fait du bien, j'aime cette sensation de picotements rapprochés qui débarrasse ma peau de toute cette dure journée. Je prend du savon et commence le récurage, j'aime sentir la menthe ou autre chose que le tabac et l'alcool.
Il est vrai que depuis que Kou a été malade et donc que nous avons appris que nous étions légèrement surveillé, nous sommes sur nos gardes. Le problème, c'est qu'entre Mathias qui passe sont temps à m'observer et Cendre qui fait de même avec Duo. C'est pas vraiment simple.
Aujourd'hui, Mathias n'était pas à sa place mais assis avec Cendre et ils échangeaient quelques mots avec Kevin. Lui je le sens vraiment pas, il a quelque chose de pas net dans son regard. Surtout qu'après avoir parlé avec Cendre et Mathias, il a posé son regard sur moi. Je vous jure, la chair de poule qu'il m'a foutue.
Je savonne mes cheveux et me rince complètement avant de rester sous la douche, le visage relevé vers le pommeau qui ne cesse de cracher son eau chaude et relaxante. Je ferme les yeux et reste ainsi.
Cette journée était nulle et sans intérêt, nous n'avons rien réussi à récolter de bien intéressant à part comme j'y pensais tout à l'heure, des mains au cul. Je tressaille, je n'aime pas qu'on me touche de la sorte, non, je n'aime pas. Et pourtant, avec Kou ce n'est pas pareil, pourquoi ? Pourquoi est ce que je n'arrive pas à ressentir la même chose avec lui qu'avec les autres, pourquoi est ce si spécial ?
Je tremble alors que j'entends un drôle de bruit venir de l'appartement. Je ferme tout et quitte la cabine pour enfiler le long tee-shirt que m'avait offert Kou avant de frotter énergiquement mes cheveux pour les sécher un minimum et aller dans la cuisine.
Je sors de la salle d'eau et regarde, le couloir est allumé mais plus de bruit. J'hoche la tête rapidement, il est tard je dois halluciner. Je traverse d'un pas traînant le couloir pour rentrer dans la cuisine, j'ai soif moi.
J'ouvre le frigo et me serre un grand verre de lait. Je reste un moment adosser à la porte et regarde la petite cuisine en soupirant. Bientôt je retrouverais mon lit, que du bonheur.
Je vide mon verre et m'en serre un second avant cette fois ci de me diriger vers ma chambre. Un bruit me fait sursauter, une sorte de craquement.
« KOU ? »
Pas de réponse, je me fais trop d'idées là, faut que j'aille me pieuter parce que mon esprit est en train de me faire je ne sais quoi de pas très sérieux là.
J'avance, je ne fais pas de bruit sur le parquet, mes pieds nus et un peu humides laissent juste de petites traces. Je souris en me souvenant m'être fait crier dessus par Heero comme quoi on se séchait complètement en sortant. Et bien sûr, Duo est sorti à ce moment là de la douche, aussi dégoulinant que moi et est passé devant le brun en tirant la langue.
J'émets un petit rire en me souvenant de ça et entre dans la chambre, j'allume la lumière et pose le verre sur la table de chevet, puis je me jette sur mon lit en enfouissant mon visage dans le coussin. Raaa que ça fait du bien. J'attrape la peluche à mes côtés et je la serre contre mon cœur en souriant.
Il a l'odeur de Kou, cette odeur bien spécifique qui me rend bizarre. Je souris en regardant la petite frimousse de la peluche. Et dire qu'il l'a achetée pour moi et que finalement c'est lui qui dort avec. Je ris encore une fois. On est tellement ridicule tous les deux.
J'attrape mon verre et bois une gorgée. Oui tellement ridicule…on est tellement ridicule que ça en devient risible…pourquoi s'accroche t il autant à moi ? Pourquoi moi ?
Je ferme doucement les yeux et commence à sommeiller.
J'ouvre les yeux d'un coup, la lumière est toujours allumée, et Kou n'est pas rentré, enfin il est pas dans le lit en tout cas. Quelque chose qui tombe par terre me fait comprendre qu'il y a une présence dans l'appartement. En faite, si, il est peut-être rentré.
Je me lève pour aller voir qui c'est. J'éteins la lumière de la pièce et m'avance avec mon verre de lait le long du couloir pour aller le poser dans la cuisine parce que je n'ai même pas fait attention que je l'avais vidé avant de m'endormir et j'ai encore soif. Je rentre dans la cuisine allumée, mais personne.
J'hausse un sourcil et pose mon verre prêt de l'évier. Je sors de la cuisine pour voir s'il y a quelqu'un ailleurs.
« Hum…Kou ? »
Silence. N'en sérieusement là, je suis en train de me faire des films, ce n'est pas possible. J'avance à pas feutré vers la chambre et allume la lumière. Je dois être vraiment fatigué. Je fais fonctionner l'interrupteur et l'ampoule explose. Je sursaute. 'tain quand je dis que j'ai vraiment beaucoup de chance. Quel appart de merde !
Je soupire et m'avance vers mon lit pour allumer la petite lampe de chevet. Je m'apprête à gagner mon lit lorsque je sens deux bras m'entourer. Je sursaute de nouveau.
« Kou ce n'est pas drôle. »
« Shut… »
Un souffle contre mon oreille, je tressaille, ses mains se baladent le long de mon torse et sa langue le long de mon oreille.
« …Kou….arrête…. »
Mais ses mains montent et descendent toujours, j'ai chaud, et sa langue lèche mon cou et mon oreille. Mes mains tentent de défaire les siennes de mon corps.
« …stop… »
Je commence à avoir du mal à respirer, sa main est drôlement basse, je la sens trop basse. Je tente de me retourner pour le faire s'arrêter et surtout crier mais je me retrouve dans l'impossibilité de faire autre chose que de pousser un hoquet de surprise. Je tombe dos au lit et un corps chaud se pose sur le mien.
« Shut… »
Une bouche vient se poser sur ma clavicule et maltraite ma peau, la mordillant, la suçant. J'halète alors qu'une main caresse l'intérieur de mes cuisses. Je me cambre lorsqu'elle atteint mon boxer et se faufile en dessous. Nan, nan, qu'il arrête, ce n'est pas possible. Sa bouche remonte le long de ma mâchoire. Je tente d'une main de retirer la sienne de mon boxer, mais d'un mouvement rapide il bloque mes poignets au dessus de ma tête.
« …Laisse toi faire… »
Un murmure, une voix rauque…je ne la reconnais presque pas, mais c'est tellement bas. Sa langue taquine ma peau au niveau de mon oreille, là où elle a bien vu que j'étais sensible. Sa main joue trop bas, je frissonne, j'ai peur. STOP. Je veux crier lorsque je sens une pression étrange trop bas, beaucoup trop basse. Mais aucun son ne sort, elle est capturée par une bouche désireuse de me faire taire.
Cette bouche, goût de tabac et d'alcool, goût que je ne connais pas. Différent de Kou, si différent de ces baisers habituels. Ce n'est pas Kou.
Je mords cette langue qui vient taquiner la mienne, ce n'est pas lui, il est pas comme ça. Ces baisers à lui ne me dérangent pas. J'ancre mon regard dans celui qui doit se trouver au dessus de moi.
« Espèce de sale garce. »
Ce n'est pas sa voix, ce ne sont pas ses mains, ce n'est pas sa présence, ce n'est pas lui. Maintenant, je le sais. Je libère ma main rapidement de sa poigne et attrape la peluche qui est tombée sur le côté du lit, je la lui balance à la figure. Faut pas croire, ça surprend une peluche.
J'entends un glapissement et je sors du lit pour me dépêcher de quitter cette pièce. Mes jambes ont du mal à supporter mon poids après ce que cet homme vient de me faire. Mais merde, je suis trop nul, la fatigue et moi, ça fait deux.
J'attrape la poignée de la porte et m'apprête à sortir mais une main se pose rapidement sur elle et la bloque. Un corps musclé me collant contre elle.
« Oh que non tu ne vas pas t'enfuir comme ça. Je n'en ai pas fini avec toi. »
Voix rauque et suave qui me susurre ça à l'oreille. Je tremble alors qu'une main vient se poser sur mes fesses. Je l'attrape rapidement et lui tords le poignet en me retournant. Je l'entends pousser un gémissement alors que je lui envoie mon pied dans le tibia.
« Espèce de… »
Il attrape rapidement mon bras et m'envoie un peu plus loin de l'autre côté de la salle. Je le sens approcher, je reprends mon souffle, il faut que je me calme, et que je me sorte de là. Il m'attaque, je pare et lui fais un croche-patte rapide avant de me jeter sur mon lit pour quitter cette pièce. J'arrive enfin sur le lit de Kou, aller, je vais sortir de cette pièce, mais une main m'attrape la cheville. Je me débats mais je me retrouve avec un flingue pointé sur ma tempe. Je ne bouge plus.
« Voila, c'est mieux comme ça. On se comprend. Tu vas rester gentiment tranquille. »
Il pose l'arme sur le côté et prend mes poignets faisant passer une sorte de tissu autour et les passe au dessus de ma tête. Je glisse doucement mon pied sous lui pour le faire partir mais je me prends une baffe.
« Sois sage. »
Mais on ne me dit pas ça à moi, il faut que j'arrive à défaire un bras, un seul. Je fais bouger mes mains rapidement mais je me prends une autre baffe.
« Cesse ton petit jeu, tu crois que je n'ai pas prévu le coup ? »
Je sens de nouveaux ses mains explorer mon corps, mon tee-shirt remonte. Qu'il cesse, ces mains sur mon corps, j'ai mal au cœur. Sa bouche sur la mienne, j'ai peur. Je le mords une nouvelle fois ce qui me vaut cette fois ci non pas une baffe mais une main qui descend relativement bas dans mon boxer. Je me cambre en haletant.
J'ai les yeux humides, je ne veux pas, je ne mérite pas ça, je suis un soldat, je sais me défendre. Je défais mes poignets alors que je l'embrasse. Autant attirer son attention. Il me laisse sans souffle. J'ai envie de vomir.
« Voila, gentil maintenant. »
Il recommence son baiser avant de descendre le long de ma gorge, allez, j'y suis presque. Voila, c'est fait. J'attrape l'arme sur la table, je n'ai pas le temps de le mettre en joue, je hoquette. Sa main, qu'il retire sa main.
« KOU ! »
Je pleure mais d'un coup je ne sens plus de pression, plus personne sur moi.
« Espèce de salop, vire tes salles pattes. »
Kou ? Je me relève doucement pour voir la porte ouverte et sa silhouette se dessiner dans l'ombre. Je sanglote mais en même temps, il faut qu'il fasse attention.
Je ne comprends pas trop ce qu'il se passe mais Kou n'est pas content. Il se tourne vers moi.
« Dhark ? ça va ? »
Je veux dire oui, mais ma voix reste coincée, l'homme est de nouveau debout et tient quelque chose en main.
« Kou attention. »
Il se retourne vivement et manque de peu la lame. Cet homme, cette silhouette, elle me dit quelque chose. Je l'ai déjà vue, ce n'est pas possible, pas lui. Il faut faire attention. Je vois Kou lui envoyer une droite. La silhouette quitte la chambre et Kou la suit.
« Kou fais attention…Kou… »
Je n'ai pas le temps d'amorcer le moindre mouvement pour l'aider, il quitte la chambre et ferme la porte. J'entends quelque chose être glissé dans la serrure et un cliquetis. Non il n'a pas fait ça. J'allume la lampe de chevet et me rue sur la porte.
« Kou sors moi de là ! Kou fait pas le con ! »
Je tambourine de toutes mes forces contre le bois de la porte, j'ai peur. Il faut qu'il fasse attention, ce n'est pas un soldat ordinaire. Je l'aurais entendu dans l'appart, j'aurais senti sa présence. Nan, il faut qu'il soit plus prudent et parce que comme je le connais, il va faire le con.
Je frappe de plus en plus fort contre la porte, mais je n'ai pas de réponse, à la place j'entends juste un verre qui se brise. J'ai peur, Kou, Kou je t'en prie, sors moi de là, laisse moi t'aider.
Je glisse le long de la porte, quelque chose d'autre tombe. J'ai peur, si peur. Ce n'est pas humain de laisser quelqu'un comme ça, on ne laisse pas quelqu'un dans le silence, sans qu'il ne puisse comprendre ce qu'il se passe.
Tu m'entends Kou ! Tu m'entends, je t'en prie, ne me laisse pas tout seul.
Un autre bruit sourd sur le carrelage de la cuisine. Je secoue la tête, il faut que je me reprenne, ce n'est pas moi. Allez Dhark. Je me lève et ramasse l'arme à côté de mon lit. Et le dirige sur le porte, je tire trois balles et fais sauter la serrure. J'ouvre la porte et avance doucement le long du couloir. Où sont ils ?
Je continue, j'ai peur, pourquoi ai-je peur ainsi ? Pour Kou ? Il sait se défendre, mais tout de même. J'arrive au niveau de la cuisine, un silence de mort règne dans l'appartement.
Je me tourne pour entrer et je reste coi. Je laisse tomber l'arme au sol pour poser mes mains devant ma bouche pour ne pas crier. Kou, Kou, il est là, au sol, du sang, il y a du sang partout. Son visage est parsemé de petites coupures. Il, il, il, non impossible. Je m'avance, mon verre est brisé au sol, plus loin le tiroir à couverts est renversé. Et Kou, Kou est là allongé devant le frigo.
« Un de moins. » »
Je fais volte face et tombe sur l'homme qui vient de tuer Kou. Enfin de le tuer, je ne sais pas s'il est mort. Mais…mais…je ne sais pas. Mon cerveau a du mal à analyser tout ce qui se passe.
Je sais juste que devant moi se trouve Kevin Darls, le psychopathe de service. Kou n'a pas du faire attention, c'est tout. Il n'est pas formé pour le combat au corps à corps comme lui doit l'être. Mon regard se perd sur son corps couvert de sang, celui de Kou.
Je vois rouge, du rouge partout. Une mer de sang.
Je recule pour me heurter au placard.
Rouge, des cris, du sang…
L'homme avance vers moi, le couteau ayant servi à blesser Kou dans sa main.
Des cries, des plaintes, des gémissements.
Je regarde le sang de mon partenaire couler le long de la lame.
Ce sang, si rouge, si liquide, si attirant.
Mes yeux se voilent, comme pour ce jour à la base mon cœur se ferme.
Quelque chose en moi, quelque chose de pas normale, une sensation étrange.
Ma main cherche sur le plan de travail un outil, n'importe quoi pour me défendre, je m'en fiche, un truc.
Il avance toujours, mon cerveau analyse juste ce qu'il faut, ses mouvements, son regard, son sourire.
Il a tué Kou, il lui a fait du mal, je le hais, je le hais, je le hais.
Mon cœur a si mal, il se serre.
Il abat son couteau mais je pars avec une assiette qui traînait. Dedans il y avait les gâteaux que Lana avait faits. Tant pis. L'homme est surpris mais pas moi. Je me laisse tomber au sol et attrape un des morceaux de verre. D'un rapide jeu de jambe je le fais trébucher.
Je ne me laisserais pas faire, j'aurais dû réagir avant, j'aurais dû être capable de me défendre.
Je sens cette énergie étrange envahir mes membres et mon cœur. J'entends ses cris résonner dans ma tête. Je vois cette mer de sang se profiler à l'horizon.
Cette sensation de bien être, cette sensation de se sentir à sa place.
Je plante mon regard dans l'homme au sol et j'avance vers lui. Le morceau de verre me coupe l'intérieure de la main, mais je m'en fiche. Il va mourir, je vais le tuer. Je le hais tellement.
Je le vois attraper son couteau mais je donne un coup de pied dans sa main, je sens la lame heurter le dessous de mon pied, mais je ne m'en focalise pas.
Je vais le lacérer, je vais le découper et le disséquer. Je vais lui faire tellement mal, qu'il pleura, criera et m'implorera d'arrêter.
Il recule, aurais tu peur petit soldat. Toi qui voulais me violer peu de temps avant. Je n'ai pas peur de toi.
Il ramasse le pistolet que j'ai laissé tomber près de la porte et me pointe. Je n'ai pas peur, ça le déstabilise, je le vois ancrer son regard dans le mien et trembler. Il tire, mais la balle ne fait que m'effleurer. Je ne sens pas la douleur, ce n'est plus moi.
« Je vais te tuer. »
« Tu n'es pas celui de tout à l'heure, ce n'est pas possible. »
Ma bouche s'étire en un rictus, mes yeux se plissent. Oh si tu savais.
« Je suis toujours moi. Seulement, tu as commis l'erreur d'attiser ma colère. »
« Mathias avait raison, tu es dangereux. »
Je m'approche félinement de lui, il tire encore une fois alors que je souris toujours. La balle traverse mon flanc.
Douleur et haine se mélange.
J'ai un goût âpre dans la bouche.
D'un geste rapide, j'envoie son arme loin dans le salon. Il fait moins le malin comme ça maintenant. Je remarque une blessure au niveau de son épaule. Pour ça qu'il tirait pas droit. Kou ne l'a pas arrangé. Je me penche vers lui et lui place le bout de verre juste sur sa gorge.
« Comment veux tu mourir ? Rapidement, lentement ? »
Il tremble, ma voix est elle si dénuée de sentiment, que je lui fais peur ?
« Démon. »
« Moi ? »
Je souris encore plus. Et appuie sur sa blessure à l'épaule. Il se retient de hurler de douleur, mais moi je veux l'entendre, sa voix suppliante…Son regard a changé, ce n'est plus celui du bar, ce n'est plus ce regard plein d'assurance, et de folie. Non, il a peur, peur du mien à présent.
« Je suis né pour ça. »
D'un geste rapide je tranche sa gorge, je l'entends pousser un cri puis plus rien. Je le vois se convulser au sol. Je me relève et admire son sang gicler de sa gorge.
Je me délecte de ce moment, toute cette haine qui passe dans mon sang, mes yeux qui ne voient que ça. Je l'ai tué mais sa mort était trop douce. J'aurais dû le tuer lentement, bien plus lentement.
Je tourne mon regard pour voir Kou. Je me laisse tomber à ses côtés, reprenant doucement contact avec la réalité. Mes cheveux s'éparpillent autour de moi, je ressens la douleur dans ma hanche, mon pied et mon épaule. Mais la douleur de mon cœur est plus forte, bien plus forte.
Je pose mon regard sur le visage si pâle du garçon. Je pose ma main sur son front puis sa joue. Les larmes coulent de mes yeux.
« Abruti ! Pourquoi ? Pourquoi tu as fait ça ? Tu ne pouvais pas le tuer tout seul ? Tu ne pouvais pas ? Pas lui ? Pas un des cinq entourant les pilotes de gundam. Tu étais peut être fort ! Mais tu ne pouvais pas……Kou…Kou pourquoi tu ne réponds pas… »
Je serre très fort le morceau de verre dans ma main, j'ai mal, mais ça ne surpasse pas celle de mon cœur.
« Je te hais, tu m'entends Kou, je te hais… »
Je suis pris d'un spasme et tombe sur le côté, je me vide complètement de mon sang et il se mélange au sien. Je le regarde toujours, son visage est tourné vers moi et je peux voir ses yeux fermés et sa peau sanguinolente. Ma vue se brouille doucement.
« Pourquoi Kou…pourquoi as-tu voulu jouer les héros… pourquoi ? »
Pas de réponse, moi qui voulais entendre une dernière fois ta voix. Je n'entends plus que faiblement des cris dans ma tête. Je vois de moins en moins.
« Why…. »
Une larme coule de nouveau, elle a un goût salé qui se mélange avec celui âpre du sang.
"…Kou…why…i…i love…I…love…."
Je ne peux plus, mes paupières se ferment et je me sens partir.
« « «
Je me réveille avec une impression de vide. Oui je suis vidé, c'est ça. Mon cœur me fait mal, j'ai des sortes de trucs plantés partout dans mon corps.
J'ouvre les yeux et visualise une salle blanche dans la pénombre. Je soupire, sûrement l'infirmerie de la base de rapatriement de notre mission.
Mission, mission qui a échouée.
Mon cœur se serre et les larmes se mettent à couler. Je porte ma main bandée à mes yeux.
Je n'y crois toujours pas, je n'y arrive pas. Kou, il était bien là, étendu au sol en sang.
Je ferme les yeux mais ma tête va exploser, je ne vois plus que ça. Tout comme Thomas, tout comme lui, il a voulu me protéger, tout comme lui, il en est mort. Non.
Je me lève d'un coup faisant sauter tous les fils qui me reliaient à la machine. Mon épaule me lance et mon flanc de même. J'ai si mal et mes yeux ne cessent de se voiler.
Je sors du lit et de rage j'attrape le premier plateau qui me passe sous la main pour le jeter contre le mur.
« NON! »
Je suis inutile, encore une fois, j'ai montré que je ne savais faire rien d'autre que perdre un être cher. J'en ai marre, je suis un poids, un boulet, c'est tout.
Je revois une autre image, celle de la mort de l'homme, son sang couler le long de sa gorge. J'ai aimé ça, j'ai aimé voir ce spectacle. Je voulais voir plus, plus de sang encore. Je voulais qu'il souffre.
Je pose ma main sur un autre plateau et relève la tête pour tomber sur un miroir.
Des cheveux en bataille noirs comme les ténèbres.
Des yeux d'une couleur irréelle.
Un mélange américain et japonais.
Une poupée de laboratoire.
Je pose ma main qui saigne sur la vitre. C'est moi, ce reflet c'est moi.
Un sourire vient apparaître sur mes lèvres, ce sourire que j'avais lorsque je l'ai tué. Ce sourire sadique, ce sourire qui me fait peur.
Je passe ma main rapidement sur la vitre pour que je ne puisse plus me voir, je ne veux plus. Disparaissez.
Un cri se fait entendre dans ma tête, suivi d'un autre et encore d'un autre. Je tombe à genoux emportant avec moi un autre plateau en métal. Ça fait un boucan d'enfer, mais pas assez pour faire disparaître ses voix qui hurlent, qui implorent à la vie.
Faites les taire. Que ça cesse.
Kou…Kou…je t'en supplie…Help…
Je regarde mes mains, elles sont rouges, si rouges. Je suis un assassin et un meurtrier, c'est tout. Finalement je suis rien d'autre que ce pourquoi on m'a fabriqué.
Je ne méritais pas l'amour de Thomas.
Je ne méritais pas sa mort.
Je ne méritais pas l'amour de Kou.
Je ne méritais pas qu'il s'occupe de moi.
Je ne méritais pas qu'il me protége.
Je ne méritais pas qu'il meure.
Je ne sers à rien, c'est tout. J'aurais dû mourir dès le début.
Je passe mes mains lasses sur mon visage, rouge, si rouge et ce sang qui ne part pas.
J'attrape inconsciemment le scalpel à mes côtés, je regarde la lame, elle est si propre. Si je la tachait de rouge, elle aurait peut être une autre tête. Si je la tachais de mon sang, que ressentirais je en la voyant ? Serais je heureux ? Aurais je envie de tuer encore et encore ? Ressentirais je encore cette sensation d'envie et de meurtre ?
Est-ce que mon sang est comme le leur ? Nan, il est moins pur. C'est le sang d'un assassin, d'un démon, d'un monstre.
« Kou… »
Je ferme les yeux et approche la lame de ma gorge un sourire de pure folie aux lèvres.
Je ne sers qu'à faire du mal, alors il faut mieux que je disparaisse, avant que je ne fasse du mal à Heero, à Duo, à Rei, à…tout le monde en fait.
Je sens le métal froid contre ma gorge, j'appuie mais rien ne se passe. Je sens une main chaude arriver sur ma joue. Je suis sonné d'un coup. Je pose ma main sur ma joue, je sens encore la chaleur s'en échapper. Quelqu'un me parle, quelqu'un me crie dessus.
Je lève mon visage et regarde de mes yeux voilés la personne qui se trouve en face de moi. Je ne comprends pas. Il ressemble tellement à Kou. Pourquoi est ce qu'il a les yeux remplis de larmes ? Son visage est couvert de pansements.
Je ne comprends pas ce qu'il me dit, il est vivant. Il me parle, c'est donc qu'il est vivant. Il est là juste devant moi. Mes yeux se remplissent d'eau. Je rêve, dites moi que je rêve. Il est vivant.
Je le vois s'agenouiller devant moi, il hurle toujours.
Je tends ma main vers lui, il est vivant pour de vrai, ou je deviens fou.
Je pose ma main sur sa joue, elle est chaude, il est vivant. Il me regarde toujours de ses yeux gris en colère. Mon sourire change, il devient enfantin.
« Tu es vraiment là…tu es vivant… »
« Mais oui je suis vivant Dhark ! Louad ! » (Abruti)
« Vraiment vivant…pourtant…tu étais si froid… »
Kou penche la tête sur le côté et me regarde étrangement, puis il comprend enfin où je veux en venir et il me tire contre lui pour me serrer dans ses bras.
« Abruti, tu n'es vraiment qu'un abruti Dhark. Je ne suis pas mort, je ne meurs pas si facilement. Comment tu as pu croire une telle chose ? »
Je me laisse faire, le sentir m'étreindre de la sorte me montre qu'il est bien vivant. Je souris de soulagement. Mes mains se ferment sur son dos. Je me mets à rire, rire de soulagement. Je suis bête, mais vraiment bête. Il me repousse pour me regarder, je pleure mais je ris. Je pose mes mains sur son visage et ancre mon regard dans le sien.
« Je pensais qu'il t'avait tué. J'ai eu si mal Kou, si mal. Je pensais que tu m'avais laisser tout seul…Je l'ai tellement haï, je voulais le faire souffrir, je ne voulais pas que tu me laisses… »
« Chut. »
« J'ai eu si peur pour toi, tu n'avais pas le droit de me laisser comme ça. J'ai eu si mal, si mal au cœur. Ne me laisse plus, ne me laisse pas seul… »
Je ne lui laisse pas le temps de dire quoi que ce soit que je l'embrasse. Mes lèvres sur les siennes, ma langue cherchant la sienne. Un goût fruité pas le même que l'autre, pas le même, juste le goût de Kou. Juste ses baisers.
« Ne me laisse plus, plus jamais. »
Je reprends possession de sa bouche, mes mains vont se perdre dans son dos, dans ses cheveux. Ne me laisse plus jamais, plus jamais. Je sens ses mains aller se placer dans mon dos pour se glisser sous ma chemise d'hôpital, mais je m'en fiche, je veux sentir sa chaleur, sa chaleur à lui qui me prouve qu'il est bien vivant, qu'il n'est pas mort.
Je me serre contre lui, ne lâchant pas sa bouche. J'ai eu si peur, si peur de le perdre, je ne veux plus ressentir ce sentiment d'avoir raté quelque chose, ce sentiment de laisser un trou, de ne pas avoir eu le temps de dire ce que j'avais sur le cœur.
Je le fais tomber au sol et continue de l'embrasser, ses mains continues de parcourir mon dos en de fines caresses. J'emboîte mon corps correctement dans le sien, il remonte sa jambe et je peux sentir son désir contre la mienne. J'accentue le baiser, je veux sentir qu'il est vivant.
Je sens ses lèvres quitter ma bouche pour descendre le long de ma gorge. Je tressaille, je sens son sourire contre ma peau, puis il remonte en de tendres baisers jusqu'à mon oreille pour me faire frissonner avec son souffle.
« Je ne te laisserais plus. Jamais. »
Je me sens soulager, je baisse ma tête pour rencontrer son regard sincère. Je souris avant de l'embrasser de nouveau. Ses mains descendent le long de mon dos et vont se placer sur mes fesses. Je gémis contre sa bouche mais je me sens étrangement bien. Je passe ma main sous sa chemise pour accéder à sa peau, il est si musclé.
Je ne sais pas comment il a fait, mais il s'est relevé et tente de se mettre debout, mais je ne le lâche pas. Je ne veux pas. Il garde un bras autour de ma taille et une fois debout. Il m'enlace passant un bras sous mes fesses, il me soulève pour me déposer sur le lit. Je ne quitte pas sa bouche et lui m'allonge doucement en gardant son regard dans le mien.
Il brille de désir, un désir mal contenu. Mais les miens de quoi brillent t ils ?
Kou escalade le lit pour se placer au dessus de moi et m'embrasse passionnément puis il se laisse glisser à mes cotés. Que se passe t il ? Pourquoi est ce qu'il s'arrête ? Je ne comprends pas. Il passe une main sur mon visage en souriant avant de déposer de petits baisers dans mon cou. Il se relève et dépose sa bouche juste là où l'homme m'a laissé sa marque.
Une douce chaleur m'envahit alors qu'il le fait lui aussi. Je gémis alors qu'il passe sa langue dessus doucement puis s'arrête. Je me tourne vers lui, il me sourit.
« Why ? »
« Parce que tu n'es pas toi-même. Que tu es blessé. Et que nous avons tous les deux besoins de repos. »
Je reste surpris un instant, puis je souris. Kou est spécial, vraiment spécial, et c'est pour ça que je l'aime de tout mon cœur. Je me calfeutre malgré mes blessures contre lui. J'ai besoin de sentir sa chaleur, j'ai besoin d'être contre lui et de sentir son cœur battre dans mon dos.
Il dépose un baiser dans mes cheveux et je souris bêtement. Malgré le fait que je sois couvert de sang, il est resté avec moi. Il ne me rejette pas.
« Je te l'avais dis Kou de ne plus me laisser seul. »
« Chut ma puce, chut. »
« Ne le fais plus…ne le fais plus. »
« Je te le promets, alors dors. »
Il y a un court silence mais je ne peux m'empêcher de le briser.
« Dis le moi. »
« De quoi ? »
« Dis le moi. »
Il dépose un baiser sur ma nuque.
« Je t'aime Dhark. »
« I love you too, I love you very much. »
Je prends entre mes mains les siennes qui enserrent ma taille. Et je me laisser bercer par son souffle dans mon cou. Je lui ai dit, je l'ai dit enfin. Je l'aime plus que tout. Il m'aura fallu du temps, mais je sais à présent que je l'aime vraiment plus que tout.
J'ai enfin compris ce que voulait dire tomber amoureux…
A
suivre…
Yami : Et voila, le dernier chapitre avant août !
Dhark : Mais elle est folle, c'est quoi ce chapitre de ouf !
Yami : Tu te trompes de personne là !
Dhark : AKU ! Pourquoi tu as fait un chapitre aussi, aussi sombre…..
Aku : Ben parce que con comme t'est, tu ne pouvais pas remarquer autrement que Kou bavait littéralement sur toi et que c'était réciproque.
Dhark : Même pas vrai d'aboreuuuu ! Yami, Aku il est méchant avec moi…
Yami : Il a toujours été comme ça avec toi.
Dhark : Pas une raison d'aboreuuu. Heero, Aku il n'arrête pas de me martyriser.
Heero regardant son flingue puis Aku et retourne à son flingue.
Dhark : OUIN personne ne m'aime.
Kou le prenant par la taille : Moi je t'aime tite puce.
Dhark : C'est vrai ça, dans ce cas, protège moi d'Aku.
Aku tout sourire : Tu sais que Kou est mon perso…
Dhark soupirant : Même pas juste d'abord !
Yami : La vie est injuste…
Aku : Alors qu'avez-vous pensez de ce chapitre ? Rien ? Bon d'accord…lol ! Laissez nous votre avis sur le chapitre. Parce que nous tenons beaucoup à celui là…
Réponses aux reviews :
Onarluca : Mathias, tu ne l'aimes pas, moi je l'adore ! Hé hé, mais tu verras pourquoi dans la suite. En tout cas, là tu vois c'était Kévin dommage pour lui, le pauvre, il est tout mort. Niack ! Enfin bon, pauvre petit Dhark, il en a encore vu de toutes les couleurs mais Kou aussi. Faut que ça devienne équitable tout ça ! LOL ! Et comme tu te doutes les autres ne sont pas des enfants de cœurs ; David était le moins dangereux…ça promet. En espérant donc que ce chapitre t'aura plu. KISU.
duoXheero : Long, celui là fait à peu prés la même taille ! Tu as bien aimé quand Kou tombe malade et que Dhark s'occupe de lui, c'est vrai que c'était Kawaii. Vu ce chapitre fallait bien un peu de Kawaii dans tout ça. J'espère que l'évolution énorme entre Kou et Dhark t'aura plu. Parce que bon c'est leur chapitre dirons nous ! Maintenant tu sais qui observait Dhark, c'était Kévin, et ouais pas Mathias comme beaucoup l'ont pensé, parce que justement, c'était trop fait remarquer. Pour Espérance, nan, pas d'oubli, on la retrouve dans le chapitre, pas le prochain mais celui d'après ! Nombre de chapitre ? Euh…Bonne question, pour le moment, 25 de tapés en gros. Et après, je pense qu'il y en aura encore quelques uns, même beaucoup d'autres en fait. Donc nombre de chapitre grand mystère…LOL ! KISU.
mini pouce06 : La pluche trop mignonne, j'ai la même chez moi sauf qu'elle est pas noire ! Pour les surprises dans les chapitres, et bien tu as déjà celle là, et d'autres dans les prochains. Ça va commencer à bouger un peu au niveau du 21 pour tit Dhark. Rajouter mes fics favoris sur la page fanfics, hum, je n'y ai jamais songé, lol ! Je le ferais peut être en rentrant de vacances mais pour savoir mes fics favorites c'est tout simple. Ce sont les fics d'Umbre77, Laika, Angelboo, Brisby, LovelyA, crazysnape, BlackNemesis…Voila, ce sont en gros eux, aussi Zoo-sucub ! Voila ! Kisu.
Syt the Evil Angel : Ben ouais, il nous a fait son complexe, mais tu vois il est passé parce que bon, se jeter comme il le fait sur Kou ! Vi on a vu la tête des méchants pas bo, et puis on a vu aussi qu'ils étaient pas véritablement gentils. Et encore Kévin était le moins méchant des cinq ! Ça promet ! XD ! Pour le Heero ado qui apprend au Heero de sept ans, ouais trop mignon, surtout que ça doit donner quelque chose !MDR ! En tout cas, j'espère que ce chapitre t'aura plu. Kisu.
Lu : Tu as un aperçu de pourquoi le méchant il observait Dhark. LOL ! Et oui rapprochement et confirmation dans ce chapitre ! Mathias, comme lui, hum, nan, je pense pas lol, enfin, on a pas encore écrit la fin qui sait mais non je ne pense pas qu'ils auront un lien tel que la connaissance de l'autre. Kisu.
Lilyunatat : Et bien contente d'avoir eu une review !Ça fait ultra plaisir ! Pour Mathias, comme tu as vu ce n'est pas lui qui a attaqué dirons nous, c'est Kévin, on s'y attendait moins ! En tout cas tu as pas tort de te méfier de lui…en espérant que la suite t'aura plu. Kisu.
Florinoir : Et non tu ne rêves pas, ils sont bien casés dans ce chapitre…Tu as vu comme tit Kou il est arrivé à la rescousse et comment surtout il s'en est pris plein la gueule !MDR ! Mais bon, tit Dhark, il a tout compris, mais pas de lemon ! Niack, je te vois venir avec tes menaces, non pas de lemon alors qu'ils viennent de ce caser ! XD ! Kisu.
MiSs ShInIgAmI : Et voila, les attitudes de Kou étaient toutes mignonnes et Dhark en a finalement pris conscience même s'il aura fallu passer par l'extrême. Mais bon, je voulais que ça lui fasse un choc ! Niack ! Comment ça, sadique ! Non ! LOL ! En tout cas j'espère que ce chapitre t'aura plu parce que c'est tout de même un chapitre clé niveau sentiment ! Donc voila, Kou et Dhark ensembles…Miffi pour ton tit mess et de lire cette fic. Kisu.
Ephemeris : Et ouais il était temps, et dans ce chapitre, c'est concrétisé ! Enfin ! Ouais je sais, ce fut long !MDR ! Pour répondre à ta question, oui ce sont des méchants, enfin ce sont les ennemies des Gboys avec un degré pour chacun de méchanceté. Je crois avoir été clair, nan, mdr, désolée, alors ! J'espère que ce chapitre t'aura plu…Montréal, j'ai jamais mis les pieds au Canada ! Par contre Aix, j'y ai déjà mis les pieds !lol ! Mais fait trop chaud pour moi là bas. LOL ! Et bien j'espère que tu passes de bonnes vacances avec ta famille. Kisu.
mogyoda : Oui que des méchants et maintenant un de moins ! MDR ! Pour Kou et Dhark, et bien dans ce chapitre, tu vois, c'est concrétisé. Des baffes pour Dhark, le pauvre, je crois que tout le monde a envie de lui en donner pour lui faire comprendre que Kou l'aime, mais maintenant c'est bon. Une menace de moins sur le pauvre petit Dhark. Kou n'a que des fans ! XD ! En espérant que ce chapitre t'aura plu et que tes vacances se seront bien passées. Kisu.
Yami-Rose Aka : T'as vu, t'étais pas loin ! Sauf que c'était pas lui, mdr ! J'étais morte de rire en lisant ta review parce que ce chapitre était en partie écrite et donc le viol oui. Et j'étais là, elle a tapé dans le mille ! MDR ! Mais bon tu vois, après un malheur un peu de bonheur. En espérant donc que ce chapitre t'aura plu. Kisu.
BakaSama Maxwell : Maintenant tu peux dire, couple Dhark/Kou concrétisé ! XD ! Pour Rei/Lana, peut être bien…mais c'est encore un mystère, XD ! Pour qui espionnait Dhark, et bien c'était Kévin, ouais, on s'y attendait pas! En espérant que ce chapitre t'aura plu. Kisu.
Lili : Le passage de la peluche, contente que tu l'aimes, c'est un de mes passages pref, je trouvais ça trop mignon alors j'ai eu envie de le caser là !Bon ils sont ensembles alors pas la peine d'aller porter plainte pour perso maltraité et puis daboreuuu de toute manière, ce sont mes persos ! NIACK ! J'espère que la suite aura été à la hauteur de ce que tu attendais. Kisu.
Yuki no Youkai : Et maintenant on peut dire que le couple Dhark Kou est officiel ! Bon c'est moins mignon que le chapitre d'avant mais bon, il en fallait pour réveiller un peu Dhark sur ses sentiments et on y a été avec les grands moyens. Lana/Rei c'est encore un mystère. Tu aimes l'idée qu'ils soient frères contente mais je pref aussi qu'ils soient père et fils ! Duo n'est pas encore au courant mais ça ne va pas tarder ! Tu vas voir, ça va arriver plus vite que tu ne le penses ! Pas grave pour le retard, en tout cas je t'annonce que ce chapitre est le dernier du mois de juillet ! Et oui tes reviews me motivent toujours et pas grave si tu te répètes, tu sais je crois que je me répète aussi en répondant aux reviews ! KISU.
Voila, dernier chapitre pour juillet, retour août….Merci encore pour vos reviews, et puis quand on regarde la partie hit ça fait chaud au cœur aussi donc on vous remercie beaucoup.
Yami : Que vais-je vous mettre pour le prochain chapitre…le titre ? Nan on ne l'a pas encore. Une phrase ? Pas non plus…beuuuh !
Dhark : Laisse moi faire...prend le script…alors, après que la mission a échoué et que j'ai enfin compris que j'aimais Kou, on est envoyé en planque pour se faire tout petit un moment…et…ARG…nan tu n'as pas fait ça….
Yami : Fait quoi ?
Dhark montrant le script à Yami et celle-ci lui répondant par l'affirmative.
Dhark : HELP !
Yami tout sourire : KISU.
Bonnes vacances !
