Dhark project 00
Notes des auteurs : Voila le nouveau chapitre de Dhark, il est plus long que les autres, parce qu'on a voulu y mettre plein de chose. Donc on espère qu'il vous plaira parce qu'on c'est bien amusé à l'écrire.
Miffi à Boub-chan pour ses corrections.
Attention : Ce chapitre contient des scènes hum sanglantes et du léger lime. Vous n'aurez pas le droit de dire qu'on ne vous avait pas prévenu. Nous avons donc passé cette fic en rating M pour plus de sécurité.
Nous rappelons dans cette fic, que nous ne mettons plus rien concernant les updates et tout ça dans nos fics ou bio, un blog a été créé pour vous tenir au courrant de tout ça, ainsi que des futurs projets. Hésitez pas à y faire un tour et mettre des comms.
Bonne lecture.
Chapitre 23 : Vérité.
- Tu es un parfait petit assassin et tu le seras toujours que tu le veuilles ou non. Tu es un être créé dans cet unique but.
Duo me regarde les yeux brillants d'une étrange étincelle. Je suis un assassin, oui, j'ai tué.
- Dhark, ne l'écoute pas, tu n'es pas comme ça.
Je regarde Rei, elle pleure, pourquoi pleure t elle ? Je n'en vois pas la raison. Elle le savait, tout comme moi. Je suis un assassin, je le savais et pourtant j'ai voulu le ranger dans un coin.
J'approche ma main du visage de Duo, mais je ne le touche pas, mes mains couvertes de sang ne devraient pas pouvoir le salir.
- Je suis désolé Duo, tu aurais sûrement souhaité que je sois différent.
- Dhark, je t'interdis de dire ça. Fait Heero.
- Et pourquoi ?
- Parce que c'est ainsi que je tiens à toi. Je ne juge pas les gens d'après leurs actes mais en fonction de leur cœur.
Je vois sa main s'approcher de moi, je recule vivement.
- Ne me touche pas.
- Dhark, je t'en prie ne les écoute pas.
- Et pourquoi ne devrait il pas nous écouter ? Nous l'avons conçu.
Je regarde mes mains.
- Oui, vous l'avez peut être conçu, mais vous ne serez jamais ses parents. Hurle Rei.
Je sens l'acte arriver, J n'a pas le temps d'approcher Rei que je lui tiens déjà sa main fermement.
- Ne la touchez pas.
- Tu as progressé.
- Le terrain.
- Ou tout simplement les implants.
Je plisse les yeux pour bien lui faire comprendre de ne pas en rajouter. Je ne veux pas savoir les entraînements que j'ai subi, ni à quoi j'ai été nourri, ni quelle merde ils m'ont injecté pour que j'ai de telles réactions.
- Ecoute Dhark, tu ne changeras pas le passé.
- Je le sais. Je l'ai compris bien avant votre arrivée.
Je lâche sa main pour regarder G qui me parlait.
- Alors arrête de te mentir!
- Je ne suis pas le seul à mentir dans ce cas là. Vous ne leur avez jamais dit.
- Tais toi !
- Apres tout, Heero est au courant.
- C'est toi qui lui as dit.
- Et alors ?
- Ils ont bien le droit de savoir la vérité non ? Fait Laura d'une voix froide. Depuis ce jour où vous avez mis le feu au laboratoire, où vous avez décidé de faire disparaître toute trace de ce projet.
- Nous ne pensions pas que tu ne serais pas sur les lieux et qu'il survivrait.
- Et pourtant vous auriez dû. Il a cet instinct de survie.
Je passe une main dans mes cheveux pour qu'ils ne me gènent pas.
- Un parfait petit soldat, capable de tuer et de survivre. C'est ce que vous avez créé avec un mélange d'ADN qui serait parfait.
- Vous vous êtes servis de Duo et moi pour créer ce que vous n'aviez pas pu avoir.
Je regarde Heero qui se tient droit et qui ne les quitte pas des yeux. Je pose mon regard sur Duo qui a les yeux ouverts par la surprise.
- J'ai élevé Dhark par vengeance. Je l'ai vu grandir en espérant qu'un jour, je vous retrouverais. Et que la vérité serait mise à nue. DHARK : Duo and Heero arrangement. Project 00. (1)
Je me sens mal, je relève la tête vivement vers eux, je sais que mes yeux sont brouillés par les larmes, et pourtant je ne pleure pas.
- Peut importe ce que je suis, ce que vous avez voulu faire de moi en me créant. Je ne serais jamais plus votre jouet. JAMAIS ! Je vous hais, je vous hais tellement.
- Dhark !
- Oh non vous pourrez dire cent fois mon nom, vous n'êtes rien pour moi. RIEN ! Vous avez voulu me tuer, je ne vous servais plus à rien, alors faites comme si c'était le cas.
Je tourne les talons et commence à partir, je sens un corps chaud se plaquer contre mon dos. Je sens à l'odeur que c'est Kou. Il dépose ses lèvres sur ma nuque avant de me raccompagner à l'ascenseur. J'entends encore leurs voix m'appeler, mais je ne fais rien. J'avance toujours.
On monte dans la chambre et Kou m'allonge sur le lit avant de se placer au dessus de moi et de m'embrasser. J'approfondis de moi-même ce baiser mais on en reste là. C'est un baiser de soutien, un baiser pour montrer que je ne suis pas seul, un baiser qui calme. Il se laisse tomber contre moi et reste ainsi.
- Tu devrais te reposer mon ange.
- Je ne suis pas un ange.
- Pour moi, si, tu seras toujours mon ange.
Il dépose ses lèvres contre ma joue, je souris avant de tourner ma tête pour quémander sa bouche. Il me laisse prendre le dessus et monter sur son ventre, je pose ensuite ma tête dans son cou.
- Tu penses que je suis un monstre ?
Sa main caressant doucement mon dos s'arrête avant de reprendre.
- Tu n'es pas un monstre Dhark. Pour moi tu ne le seras jamais.
Je souris avant de me laisser aller contre lui. Je passe mes doigts inlassablement sur son bras tout en fermant les yeux pour me laisser aller. Je m'endors pour de bon.
« « «
- Pourquoi sommes nous bloqués.
- Je n'en sais rien. Quelqu'un a activé la fermeture manuelle en cas d'incident.
- Incident mais quel incident ?
- J'en sais rien.
Des voix paniquées. Pourquoi, pourquoi ont-ils peur ?
Je pose mes mains sur la paroi, je laisse une trace rouge, des pas précipités se font entendre alors qu'une nouvelle voix raisonne dans la pièce.
- Carl, il a été tué ?
- Comment ça ?
- Je l'ai vu, couvert de sang,
- De sang mais qui ? Bon dieu Nathalie mais parlez donc.
Je souris derrière mon pant de mur alors que ma main se resserre sur la lame.
- Il n'y avait pas que lui, aussi, Fany.
- Fany ?
- Oui, allongée, la gorge tranchée.
Je bouge de la pièce, j'avance doucement, très lentement vers la salle et je passe ma petite tête de gamin. Un des hommes se tournent vers moi.
- Dhark, que fais tu dehors ?
- Chais pas. Je me suis perdu.
Je prends un faux air innocent alors que je cache dans mon dos la lame couverte de sang.
- Viens là mon poussin.
J'avance en prenant bien soin de faire disparaître l'arme dans une des poches de mon pantalon. Le docteur Vincent me prend dans ses bras.
- On va allez voir ce qu'il se passe.
Ils se mettent en marche alors que moi je reste sage. Je les vois s'avancer vers la salle où se trouvaient un bon nombre de laborantins en pause. Je baisse mon regard pour les voir suivre mes traces de sang. Je regarde mes mains et les cache rapidement.
- Où sont passés J et G ? Fait une femme.
- Je ne sais pas, je ne les ai pas vu depuis hier.
- Et Laura ?
- Pas encore arrivée. Tant mieux pour elle.
Vincent me dépose à la porte, je les vois entrer. Un cri aigu en ressort. Je souris alors que je sors l'arme et que très rapidement, je la plante entre les omoplates de la laborantine. Vincent se retourne vers moi ainsi que Mily.
- Dhark.
Je lèche la lame couverte de sang.
- Ils m'ont dit que je devais vous tuer.
- Qui ça ?
- J et G. Ils ont dit, « tue les tous ».
- Pourquoi ?
- Je ne sais pas.
Quelqu'un arrive en courrant et toussant. Elle s'arrête et retient un cri.
- Le feu, il y a le feu au laboratoire, il approche et vite.
- Quoi ?
- Et puis, ce n'est pas tout. Toutes les données ont été effacées.
Je lis la peur dans leurs yeux, et moi je ne comprends pas tout ce qui se passe.
- Alors c'est ça, ils veulent tout arrêter et nous tuer avec le projet.
Je tourne ma tête de droite à gauche, je ne comprends pas, pourquoi je ne comprends pas. Leur regard se pose sur moi.
- Dhark…
Tout se bouscule dans ma tête, je n'entends pas la fin, tout change pour me montrer un bain de sang, une mer de cadavre. Je suis là, au milieu, je ne suis plus petit, c'est moi, comme je suis aujourd'hui. Une lame à la main, de l'autre un pistolet. Un sourire sur mes lèvres qui me fait peur.
Mon regard se pose tout autour de moi. Le hangar, la base militaire de Kyoto. Ils sont tous mort, je les ai tous tués. Je passe ma langue sur mes lèvres alors que je recueille le sang qui a giclé dessus.
J'entends un bruit sourd, un gémissement. Je saute du tas de cadavre pour aller à la recherche de la personne qui a encore un souffle de vie. Et je la trouve, là, adosser contre un mur. Cet homme qui avait été si gentil avec moi. Son regard montre toute sa haine qu'il éprouve à présent.
- Pourquoi ?
- Pourquoi quoi ?
- Pourquoi une telle tuerie ?
Je penche la tête sur le coté, un sourire venant étirer mes lèvres laissant apparaître mes dents.
- J'en avais envie. C'est tout.
Ses yeux s'agrandissent d'effroi. Un mot s'échappe des ses lèvres.
- Akuma.
Je jongle un instant avec la lame alors qu'il me regarde toujours.
- Tu vas me tuer ?
- Oui.
Je le vois alors fermer les yeux et m'offrir sa gorge. Je me laisse tomber à sa hauteur et laisse mes doigts caresser sa peau. Il tremble, il a peur. Je me délecte de ses frissons qui parcourent son corps. J'approche doucement la lame, elle laisse sur cette chair une traînée rouge avant d'appuyer plus sérieusement et de regarder ses yeux s'ouvrirent alors qu'un son s'échappe de ses lèvres.
- Bonne nuit.
Je me relève alors que sa tête retombe mollement sur son torse. Je me retourne pour voir mon massacre, mon chef d'œuvre. Je porte mes doigts à ma bouche, ce goût âpre et métallique qui m'a bercé toute mon enfance. Je le retrouve enfin.
« « «
Je me réveille d'un coup dans mon lit, je suis seul, enfin le bruit de la douche se fait entendre juste à mes côtés. Je peux voir le soleil filtrer à travers les rideaux.
Je regarde mes doigts, ils n'ont rien. Ils sont normaux, pas de cette couleur qui m'attire tant. Je tourne mon visage vers la porte de la salle d'eau et un sourire vient naître sur mes lèvres. Je me lève félinement avant de laisser mes vêtements tomber au sol. J'entre dans la salle d'eau sans un bruit, mon reflet vient se mettre sur la glace.
Je penche la tête et me regarde, c'est amusant. J'ai l'impression que c'est moi sans être moi. Je passe ma main sur mon reflet et avance. J'ouvre la porte de la douche et passe mes deux mains sur le dos musclé de Kou qui se tend légèrement sous la caresse de mes doigts.
- Je t'ai réveillé ?
- Hum…….nan.
Je me colle contre son dos, laissant mes mains passer sur son torse, traçant les traits fins de sa musculature. Je le sens tressaillir alors que mes doigts descendent de plus en plus bas. Je dépose mes lèvres entre ses omoplates avant de faire glisser ma langue aspirant les fines gouttelettes.
- Tu es tendu mon cœur.
Je fais remonter mes mains sur sa poitrines alors qu'il pose les siennes sur les miennes, les serrant et d'un geste rapide se retournant pour les placer au dessus de ma tête et m'adosser contre la vitre.
Je souris alors qu'il me fait face dans toute sa nudité. Y a pas à dire, il est vraiment beau.
- On peut savoir ce qui te prend ?
- Moi ? Fais je innocemment. Rien.
Il ancre son regard dans le mien alors que je passe ma langue sur mes lèvres. Je le sens se tendre légèrement.
- Tu as changé ?
J'avance mon visage vers lui en faisant un petit sourire triste.
- Nan, j'ai juste envie de toi.
Je fais monter mon pied le long de sa jambe, je ne regarde pas son bas ventre, je sais qu'il en a envie aussi. Je fais glisser rapidement ma main de sa prise pour la poser sur son torse et la faire remonter jusqu'à son visage pour remettre une de ses mèches en place.
- Je n'ai pas le droit ?
Je prends un air beaucoup plus implorant, et je sens sa poigne se desserrer, j'en profite pour poser mon autre main sur son épaule et me mettre sur la pointe des pieds afin de l'embrasser. Je sens l'une des siennes aller se placer sur ma hanche alors que j'emboîte mon corps dans le sien.
Je sens sa virilité contre la mienne, alors que mes mains descendent jusqu'à ses fesses. Ses mains à lui descendent aussi pour aller se placer au même endroit. Je commence à remonter en le caressant, il prend le contrôle du baiser alors que j'ai l'impression de m'enfoncer dans la vitre. Mes bras vont se placer autour de son cou et mes jambes remontent pour aller autour de sa taille.
Il passe un bras sous mes fesses pour m'aider à bien me placer alors que le baiser devient de plus en plus passionné. L'eau coule toujours et je joue avec ses mèches dans son cou. Je gémis lorsque que je le sens me plaquer encore plus contre le mur et je commence légèrement à me frotter contre lui.
J'en veux plus, tellement plus. Il lâche mes lèvres pour descendre dans mon cou, ma tête heurte la vitre alors que je commence à haleter. J'ai chaud.
- Kou….
Il revient prendre possession de ma bouche alors que je mords voracement ses lèvres. Le sang perle mais je m'en fiche. Ce goût unique qui me fait me sentir vivre, se mélange à nos salives.
Sa bouche me quitte de nouveau pour descendre contre ma peau, Mes ongles se plantent légèrement dans sa chair tendre. Il grogne mais je souris, j'en veux plus et il est trop lent.
J'accentue un frottement rapide alors que son visage me regarde, je capture ses lèvres pour un baiser bien plus engagé qu'avant, mes mains vont malaxer ses fesses fermes alors que je le fais gémir. Ma bouche descend dans son cou pour laisser une trace de mon passage avant que je continue à descendre…
- KOU DHARK ! MISSION D'URGENCE !
- Shit.
La voix de Duo est pourtant claire et nette. Kou reprend ses esprits et me regarde avant de me laisser descendre.
- On arrive.
- Ouais, vous avez intérêt, c'est urgent.
Je vois Kou passer à côté de moi sans me regarder, prendre un peignoir et quitter la salle de bain. Moi je reste là, adossé contre la vitre, rageant. Je donne un coup de poing dans le mur, laissant mon sang ruisseler entre mes doigts. Je le porte doucement à ma bouche, je n'ai pas de temps à perdre.
Je parcours le même chemin que Kou quelques minutes avant, il n'y a plus personne dans la chambre. Je souris. Je m'en fiche je t'aurai mon petit Kou.
J'attrape un pantalon et un débardeur dans le placard et mon katana pour le ficeler dans mon dos avant de quitter la chambre pour dévaler les escaliers. Mes cheveux encore trempés par la douche, je débarque dans la salle de réunion.
- On n'attendait plus que toi.
- Il ne fallait pas.
Je me laisse tomber sur un siège, Kou me regarde étrangement, je lui fais un sourire plein de sous entendus et il détourne le regard. Je me concentre même pas sur ce qui est dit. J'entends juste Heero dire que nous devons retarder un convoi militaire qui apparemment se serait installé bien trop prêt de Sank.
- Il y aura deux équipes. Kou, Dhark, Duo et moi. De l'autre coté, Rei, Lana, Wufei et Trowa.
- Et moi ?
- Toi Quatre, je tiens à ce que tu nous guides de la base.
- Bien.
- Nous partons tout de suite.
Heero se lève et on le suit. Duo ne me regarde pas. Y'aurait-il quelque chose qui ne va pas ? Ouais je m'en doute, moi. Je baisse la tête et regarde ma main avant de la glisser dans ma poche. Kou passe à mes côtés.
- Dhark, tu es sûr que ça va ?
- Hum.
- Dhark.
Il pose sa main sur mon épaule et me regarde fixement.
- C'est bon, je vais très bien.
Je fais un mouvement brusque pour qu'il me lâche et je continue mon avancée. Je suis frustré, et en plus, j'ai mon cœur serré et quelque chose qui me démange. J'ai envie de sang, de tuer quelqu'un de mes propres mains.
On arrive à la voiture et je monte dans le coffre, Kou à mes côtés. Je sens son regard sur moi mais je pose le mien sur le paysage. Personne ne parle, c'est tendu. Puis finalement Heero brise le silence.
- On arrive bientôt, je vais laisser le 4X4 ici, on continuera à pied. Faites attention.
Je saute du camion et on se met en route. Je regarde tout autour de moi, c'est une sorte de forêt, plus à l'ouest du château. En effet, s'ils ne sont pas loin et qu'on se trouve déjà pratiquement à leur campement, c'est qu'ils sont plus proches encore.
Un bruit me fait tendre l'oreille. Je souris, celui là, il sera pour moi les amis. On se retrouvera au campement.
Je les laisse prendre de l'avance et d'un coup je disparais du sentier. D'un pas rapide, j'escalade un arbre et cherche. Un deuxième cliquetis, quelque chose de métallique. Je t'ai trouvé mon cœur.
Je me laisse tomber de ma branche souplement et sortant mon sabre, d'un geste rapide, je lui coupe la tête. Net et sans bavure. Et d'un, passons aux suivants.
Mon avancée fut plutôt intéressante. Quatre petits soldats qui ont été rejoindre les vers. Je continue ma petite promenade, oh Duo, Heero, Kou, si vous saviez que pendant que vous avancez tranquillement, moi je m'éclate comme un petit fou. Oh, un soldat perdu. Ma lame est plus rapide alors qu'elle vient trancher sa chaire laissant tomber le fusil au sol.
Pauvre petit soldat insignifiant.
Je regarde son cadavre gisant au sol, ma lame gouttant à côté de son visage. J'ai soif, encore plus.
Je me mets à courir, tous ceux qui se trouvent sur mon passage y passent. D'ailleurs, des bâtiments se dessinent au loin. Intéressant tout ça. Il semblerait que la direction n'était pas tout à fait la bonne, ou alors, n'était pas la plus courte.
Je pose ma lame sur mon épaule et regarde les murs.
Petit petit petit, venez à moi.
- Là, attention !
Il me met en joue, mais je suis déjà en train de le rendre silencieux pour toujours. Un coup de fusil part et m'érafle l'épaule. Je me tourne vers l'homme et souris.
- Hum, les moucherons viennent d'eux même dans la toile.
Et c'est là que commence le véritable massacre. Pourquoi perdre son temps avec les sentinelles, alors qu'à l'intérieur du campement, il y a tout plein de gentils petits soldats qui attendent.
Première salle, rooo, comme c'est bête, la salle de repos, ça commence bien. Les soldats me regardent sans comprendre. Ma langue vient humecter mes lèvres alors que je me délecte de leurs visages effrayés et surpris. J'ai besoin de me défouler, et ce sera sur vous.
Le reste, ce n'est que concert de cris, de coups de feu. Un somptueux mélange entre le sang et la peur, la détresse et la colère.
Ma lame tranche net répandant ce sang que je désire tant. Comme l'autre jour à la base de Kyoto, ce même massacre, cette même envie qui coule dans mes veines.
J'aime entendre ces mots qui viennent bercer ma danse de la mort.
Démon.
Monstre.
Impossible.
Je passe de salle en salle, laissant derrière moi, une mer de sang. Mon sabre d'une main, l'autre glissant contre le mur alors que je sifflote laissant par ce fait une traînée rougeâtre signe de mon avancée.
Petit petit petit soldat. Venez à moi.
Mon cœur se serre.
Venez mourir par ma lame.
J'entre dans la salle principale, le commandant me fixe alors que je suis mis en joue par cinq soldats.
- Qui es tu ?
- Moi, personne.
- Tu es un rebelle ?
- Hum, yep.
Je regarde ma lame en souriant.
- Tu n'es pas venu seul.
- Nan, en effet, mais les autres n'ont apparemment pas pris le même chemin. J'ai suivi vos petits soldats, ce qui m'a mené directement ici.
Je le vois trembler de rage. Pourquoi ? Moi je m'amuse bien ici.
- Tuez moi ce bâtard.
Mon sourire s'efface, je n'ai plus de temps à perdre. Ils arrivent. En quelques coups rapides, les cinq soldats sont au sol, se vidant de leurs entrailles et de ce liquide vital si agréable.
- Tu n'es pas humain.
- On me le dit souvent.
Je fais un moulinet de ma lame, il sort son arme mais je ne lui laisse pas le temps. Son bras se retrouve au sol. Il pousse un hurlement, je me place derrière lui. Une main sur sa bouche, l'autre tenant mon sabre à mes côtés.
- Tu es bien bruyant. Ça fait si mal que ça ?
Je libère sa bouche alors que je sens des larmes glisser contre mes doigts.
- Ce n'est qu'un bras après tout. Qu'est ce qu'un bras ?
Je souffle ça au creux de son oreille.
- Pense à tous ceux qui sont mort dans les autres salles. Pense à tes hommes, juste là.
Je tends ma main pour montrer les cinq qui gisent devant nous.
- Ils n'ont pas pleuré eux.
- Espèce de…
- Tss tss.
Ma main vient se poser sur sa bouche avant d'aller jouer avec le haut de sa cravate.
- Attention à ton langage.
Je fais quelques pas en arrière avant de m'installer sur son bureau, regardant le sang qui coule toujours le long de ma lame.
- Nous allons les attendre sagement. Assis.
Il obéit alors que je contemple la couleur de mes doigts. Des pas se font entendre.
- Tiens, ils arrivent.
Et en effet, ils passent la porte pour me trouver assis sur le bureau, le commandant sur son fauteuil, une mare de sang se répandant doucement.
Heero ancre son regard dans le mien et je lui fais le même sourire qu'à Kyoto.
- Tu as recommencé.
Je saute agilement du bureau alors que toute la joyeuse bande regarde mon massacre. Wufei, Rei Lana et Trowa rentrent.
- Heero, ils sont tous…Dhark.
- 'lo Fei. En retard comme toujours.
Heero s'approche de moi mais je fais un pas sur le côté.
- Dhark !
- Oui, c'est mon nom. Du moins, il me semble ; pourquoi ?
- Tu as recommencé, tu les as tous tués.
Rooo, mon petit Heero. Je hoche la tête en faisant un signe désolé, puis je pose un coude sur le fauteuil du commandant.
- Pas tous, regarde, il en reste un.
Heero pose son regard bleu glace sur l'homme complètement apeuré.
- Mais si tu n'en veux pas, je peux arranger ça dans ce cas.
Je lève mon sabre prêt à tuer.
- Arrête, c'est bon. Fait Duo.
Je pose mon regard sur le natté, je soupire. Je fais le tour du fauteuil et me baisse pour déchirer la chemise d'un des officier qui gît au sol. Puis j'essuie tranquillement ma lame avant de la ranger.
- Dans ce cas, je vous le laisse, moi j'ai fini ce que j'avais à faire.
Je passe à côté de ceux qui se trouvent encore devant la porte, Wufei m'attrape rapidement le bras.
- Dhark, tu pourrais au moins t'expliquer.
- Hum, peut être que oui, peut être que non ? Pourquoi faudrait il une explication ?
- Mais tu les as tous tué. Cri Rei.
- Ah, oui. Il n'y a donc plus rien à faire.
Je m'apprête à sortir lorsque je me retourne rapidement et une lame arrive en plein milieu du front du commandant. Je vois sa main tomber mollement sur le bureau, tenant un pistolet.
- Pauvre fou.
Je fais quelques pas en arrière pour poser une main à plat sur le bureau et retirer mon couteau de sa boite crânienne. Je l'essuie sur sa veste avant de le ranger.
- Maintenant, tu peux dire que je les ai tous tués.
Je passe rapidement près d'eux et je disparais dans les couloirs. J'avance doucement. Marcher dans ce couloir couvert de cadavres me rend étrange. Mais le sang a coulé et j'ai atténué un peu ce vide en moi.
Je rentre à pied, je ne vois pas l'intérêt de prendre le 4x4 alors que nous sommes si prêt du royaume. J'en profite pour me laisser engloutir par ce silence.
Une bonne demi heure plus tard, je suis aux portes de la ville. Les autres doivent déjà être rentré. Je traverse les rues, les gens me regardent sans vraiment me voir et puis je finis par passer les portes du château cette fois ci. Je ne me rends même pas à la salle de réunion, je monte directement dans ma chambre.
Je laisse tomber mes vêtements couverts de sang pour aller prendre une bonne douche.
Une fois le jet brûlant activé, je le laisse couler le long de mon corps. Mes yeux clos, je revois la scène, acte par acte. Leurs cris dans mes oreilles, mon sourire apparaît alors que je prends du savon et que je commence à me laver.
D'autres scènes passent devant mes yeux, de ce champ de bataille à Kyoto, de ces hangars qui explosent, de ce jour là au laboratoire.
Du sang.
Des larmes.
Des cris.
Et puis je revois la mort de Thomas.
Je pose ma main sur mon cœur et lâche la bouteille de shampoing qui se brise au contact du sol. Je pose mon autre main contre le mur alors que j'halète.
Thomas.
Non, ne me regarde pas comme ça.
Je me mets à vomir, j'ai mal au cœur et je tremble. J'ai du mal à respirer, pourquoi ? Ma main se serre au niveau de mon cœur alors que mes ongles se plantent dans le mur, faisant de nouveau saigner ma main.
Arrête ça ! Ne me regarde pas ! Pas comme ça !
Je vomis de nouveau, alors que j'ai l'impression que mon cœur va sortir de ma poitrine.
- Dhark, tu es là ?
Je reprends contenance, enfin, je tente de reprendre une voix normale.
- Oui, j'arrive. Deux minutes.
Je respire mieux, l'image de Thomas s'estompe devant mes yeux. Je me relève doucement alors que je rince rapidement les dernières traces de mon malaise.
J'attrape la serviette sur le côté et m'essuie rapidement avant d'enfiler un kimono. Je quitte la salle pour entrer dans la chambre. Kou est assis sur une chaise et semble attendre, le regard dans le vague.
Je souris et m'adosse au chambranle.
- Tu me voulais ?
Son regard se pose sur moi alors que je souris.
- Savoir où tu avais disparu.
- Nulle part, je suis juste rentré à pied.
Je me décolle de mon mur avant d'avancer félinement vers lui. Je me penche en avant, il tremble.
- Tu as peur de moi, Kou ?
- Non.
J'ancre mon regard dans le sien alors que je m'assois sur ses genoux, défaisant lentement sa chemise.
- Dans ce cas pourquoi trembles tu comme une feuille ?
Je dépose un baiser sur sa joue, puis sur son nez et enfin pour finir sur sa bouche. Mes mains continuent de faire disparaître le tissu.
- J'anticipe l'action de ce matin.
Il sourit contre mes lèvres alors que je passe mes bras autour de son cou et plonge de nouveaux mes orbes dans les siennes.
- Vraiment.
- Hmouis. Où en étions nous ?
Mes bras se défont de son cou alors que mes mains vont se poser sur son torse musclé.
- Il me semble. Embrasse. Que nous étions moins habillé. Embrasse.
- J'en avais. Embrasse. L'impression aussi.
Je me sens soulevé et allongé sur le lit. Il me regarde, mon kimono est relativement entrouvert dévoilant mes longues jambes fines. Je sens d'ailleurs ses doigts remonter le long, caressant la peau tendre de l'intérieur. S'arrêtant juste assez haut pour que je tremble. Il sourit.
Je me relève sur mes coudes pour l'embrasser. Je fais tomber sa chemise pour aller dévorer sa peau mais je n'ai pas le temps, je suis de nouveau allongé et c'est lui qui s'occupe de tout. Mon kimono me glisse des épaules et je sens ses dents venir mordiller ma peau.
Je me cambre lorsque sa main remonte ma jambe pour caresser mon membre durci de plaisir. Je gémis alors que je sens mon cœur battre de plus en plus fort.
Il m'embrasse de nouveau alors que je commence à me sentir étrange. Il recommence encore une fois, ce goût, il est différent. Je mords sa langue avant de tourner la tête sur le côté pour recracher ce qu'il vient de tenter de me faire avaler.
Je vois du sang couler de sa bouche, bien fait connard. Je tente de bouger mais je suis complètement ankylosé.
- 'tain tu m'as fait quoi bâtard ?
- Ton langage. Fait Kou passant un doigt le long de sa lèvre.
Il soupire avant de se lever, je le vois remettre sa chemise et prendre quelque chose dans le meuble. Il se place ensuite devant moi et m'enfile un boxer avant de refermer correctement mon kimono. Je ne peux rien faire.
- Kou, répond moi, tu m'as fait quoi ?
- Paralysant.
- Espèce de connard.
Il s'assoit à mes côtés et remet une de mes mèches en place.
- C'est pour ton bien Dhark.
Je lui envois un regard noir alors qu'il me prend dans ses bras et que nous passons la porte. Je me sens bizarre, comme si mon corps ne répondait plus mais que j'étais encore conscient. Je me tiens tranquille jusqu'à ce qu'on arrive devant l'ascenseur. Là, je ne suis pas tout à fait d'accord.
- Kou ne fait pas ça !
- Pas faire quoi ?
- Ce que tu as l'intention de faire. Si tu me fais ça, je te jure que…
- Tu me jures que quoi ?
- Tu me le paieras.
Il soupire, alors que je commence à bouger mes doigts. Paralysant, mais bien sûr. J'en ai pas avalé la moitié, tu vas voir que ça va vite passer et après ça, te ferais regretter.
On entre dans la cabine et Kou tape le code rapidement sans me lâcher. L'ascenseur s'actionne et je grogne des insultes. Les portes s'ouvrent et oh miracle, y a du monde dans le coin.
Je lance un regard noir à Heero.
- C'est bon !
- Bande de bâtard !
- Dhark, on fait ça pour toi, tu n'es plus toi-même.
Je regarde Rei, Lana a ses bras autour de ses épaules. Mais oui, cause toujours ma grande.
- C'est prêt ?
- Normalement oui. Fait O.
Je sens mon bras me répondre alors que je continue de faire bouger mes doigts pour faire passer cette impression, j'ai comme des fourmis dans tout le corps. Je ferme les yeux avant de me concentrer un bon coup, et rapidement, j'envoie un bon uppercut dans la mâchoire de Kou qui me laisse tomber.
Je tiens difficilement sur mes jambes, mais c'est déjà ça.
- Je t'avais prévenu que tu me le paierais et ce n'est pas fini.
- Je croyais qu'il avait pris le paralysant.
- Disons juste que je m'en suis rendu compte pas trop tard.
Je recule pour atteindre l'ascenseur, j'appuis sur le bouton et les portes s'ouvrent. Je me laisse tomber en arrière.
- Dhark, reviens ici tout de suite ! Hurle Duo.
- Pour que je finisse une nouvelle fois comme animal de laboratoire, allez vous faire foutre.
Les portes se referment et je laisse ma tête allez contre la paroi de fer. Je me suis fait avoir, mais quel con. Je bouge ma jambe, elle répond mal, pareil pour mes bras. Ce n'est pas encore ça et je crois même que ça va empirer. Je me relève en me tenant au mur et les portes s'ouvrent. Je m'extrais de là comme je peux mais je me prends les pieds dans l'ouverture pour m'étaler joyeusement.
- Shit.
Je frappe du poing dans le parquet, j'en ai marre. Je tente de me relever, mais peine perdue. J'ai mal à la tête. J'entends le cling de l'ascenseur qui remonte.
Je me pousse comme je peux de devant la porte et me traîne sur le côté pour m'adosser contre le mur, mais finalement je me roule en boule sur le côté.
Ça commence à vraiment faire effet cette merde.
- Dhark, laisse toi faire.
- Va te faire foutre Kou. Je te hais, tu m'entends je te hais.
Ma vue se voile alors que je me sens transporter. Je ne vois plus rien et je commence à perdre mes autres sens. Ce n'était pas qu'un paralysant. Menteur.
- Tu m'as…menti….
J'entends des voix mais c'est lointain, je sens juste un liquide m'envelopper alors qu'on me plante quelque chose dans le bras. Je perds à ce moment là complètement contact avec la réalité et sombre pour un autre monde.
A suivre….
(1) Juste rappel que le K dans DHARK n'est qu'une lettre rajoutée pour masquer le projet ! Donc voila. Duo and Heero arrangement.
Yami : Et voila !
Dhark : Je pète un câble.
Aku : Ouais, gentil petit Dhark !
Kou : On a frôlé le lime.
Yami : C'était un lime mon cher.
Kou les joues rouges : Si tu le dis.
Aku : Regarde le, il est tout rouge.
Dhark : Lui il pense au lime alors que moi je finis dans une boite…
Yami : Du calme mon chou.
Dhark : Beuuuuu, je suis un incompris.
Yami : Meu non.
Aku : Hé hé ! Alors cette suite vous a plu ? C'est un chapitre plus long que les autres en tout cas.
Réponses aux reviews :
Syt the Evil Angel :
Du sang, ouais c'est un chapitre sanglant, le prochain un peu aussi et puis de toute manière une guerre sans sang c'est pas possible. Voila donc pour le pétage de plomb tu as vu ce que ça donnait, mais ce n'est pas Shinigami qui se transmet, XD, ça ce transmet pas ce genre de chose, c'est plutôt sa formation qui le rend ainsi, fin bon tu verras dans la suite. En tout cas, j'espère que ce chapitre t'aura plu ? Kisu.
Lu :
Voila la suite. Je n'ai pas posté tout de suite parce qu'il était plus long et que j'ai fait d'autre chose. J'espère donc que son pétage de câble t'aura plu parce qu'il peut être violent notre petit Dhark ! LoL ! Kisu.
Kyrikha :
Dhark va être rassuré avec toi à ses côtés pour fan XD ! On a passé de bonnes vacances et on en passe toujours enfin on croule un peu XD ! Pour les rêves, tu en as un là un peu plus développé mais tu auras toutes les réponses dans pas longtemps en ce qui concerne l'enfance du gamin. Fei psy, ouais, ça lui irait bien, je trouve que le rôle de soutient lui convient aussi bien que celui qui se mange des vannes dans la tronche par Duo ! XD ! Je vois bien Duo et Heero flinguer les Mads pour avoir fait ça à Dhark, hé hé, mais tu verras bien la suite. Laura tu l'apprécies plus qu'avant, moi aussi et pourtant, elle ne devait pas être très sympathique mais d'un autre côté, faut respecter la logique du caractère, elle a été trahit.
Fin bon vais m'arrêter là pour te répondre, miffi pour tes longues reviews, ça fait plaisir à lire et puis t'inquiète Dhark à du courage ou du moins, il n'a pas le choix. XD. KISU.
Naera Ishikawa :
Miffi à toi de laisser un tit mot. Ça fait extrêmement plaisir en tout cas. En espérant que la suite t'aura plu. KISU.
duoXheero :
Les fins sadiques sont au rendez-vous en ce moment alors faut pas s'inquiéter lol ! D'ailleurs celle là ne vaut pas plus que l'autre ! En tout cas j'espère qu'il t'aura plu ce chapitre. Kisu.
angel of sorrow :
Contente qu'elle te plaise cette histoire, en espérant que pour la suite ce sera de même. Kisu.
mini pouce06 :
Tu as eu pas mal de réponse à tes questions avec ce chapitre, y en aura d'autre dans le prochain et encore le suivant normalement. Mais j'espère que ça t'aura plu comme réaction et tout et tout. En tout cas miffi de suivre cette histoire. Kisu.
Angie :
Lol ! Contente que ça te plaise, pour les lions je suis pas sûre que tu puisses avoir les même. XD ! Et puis range ta tronço c'est dangereux ces machins là ! Et puis je ne regarde pas trop gravitation XD, mais le connais pas cœur tout de même. En tout cas j'espère que la suite t'aura plus la miss ! Kisu.
Imari Ashke :
Kiou ! J'arriverais jamais à me faire à l'idée qu'on puisse lire cette histoire aussi vite. XD !Pour les fautes, je sais qu'il y en mais normalement depuis peut, y en a moins parce que cette histoire est bêtalectée ! Mais on fait tout de même le maximum pour ne pas laisser de fautes enfin de grosses fautes ignobles. XD ! Pour le reste, merci, ça fait plaisir d'entendre que c'est tout de même bien monté comme histoire, on fait ce qu'on peut pour que ça reste cohérent et tout et tout. Donc j'espère que la suite te plaira, ben oui maintenant que tu as dit tout ça sur cette histoire, faut qu'on réussisse à garder le tout. En tout cas miffi bicoup à toi. KISU.
Onarluca :
Merci à toi ma grande. Ça fait vraiment plaisir de te voir toujours présente. En tout cas miffi. Kisu.
mogyoda :
Y a pas à dire, vous aimez les tronçonneuses XD ! Comme tu vois, moment de vérité arrivé, maintenant manque quelques trucs pour casser le mystère qui entoure Dhark même si ce n'est pas grand-chose. En espérant donc que la suite t'aura plu ? Kisu.
Lili :
C'est normal de détester J et G dans cette histoire ! Par contre les autres ne sont pas au courrant. Et t'inquiète, Dhark peut demander à en baver moins, il s'en prendra tout de même plein la tronche mais il sera pas le seul. Tout se partage dans la vie. XD ! En tout cas miffi à toi pour ce petit comm. Kisu.
BakaSama Maxwell : Quand est ce qu'il sera heureux, euh bonne question, un jour sûrement ou peut être jamais. Ça j'en sais rien lol, seul la suite de cette histoire nous le dira. XD ! Les deux mads ne meurent pas tout de suite ou jamais d'ailleurs XD, j'en sais encore rien pour le programme tu le sauras dans un futur proche. Kisu et miffi en tout cas.
Ephemeris :
Faut pas désespérer, au pire à présent, tu as un blog où nous mettrons si nous ne pouvons pas updater. LOL ! Donc voila la suite, encore des persos qui souffrent, qui s'en mangent plein la tronche et c'est pas fini ! Encore miffi à toi de suivre cette histoire. KISU.
didilove37 :
Et bien j'espère que cette suite t'aura plu. Kisu.
Miffi à vous tous de suivre toujours cette histoire. Alors le prochain chapitre, où est ce que j'ai rangé l'extrait……
- J….sais…pas.
- Allons mon grand, arrives tu a bouger ?
- Non.
- Je vais t'amener des calmants et ta maman va venir te voir.
- Maman ?
- Oui ta maman, Laura qui attend juste derrière la porte avec ton petit frère.
- Frère ?
Voila à la prochaine tout le monde.
KISU
