Disclaimer : Pas à moi, encore heureux XD Enfin, CLAMP-sensei-je-vous-adule, si pour une raison étrange vous voulez me donner Fye, chuis pas contre...
Rating : PG-13
Warnings : Yaoi
oxoxoxoxoxoxoxoxo
Tu étouffes un grognement tandis qu'il te pousse en arrière, te fait tomber sur le canapé, et tu as à peine le temps de t'en rendre compte qu'il est déjà assis à califourchon sur toi, se presse et se frotte contre toi. Ses mains sont déjà occupées à défaire la "fermeture éclair" de ton pantalon, et tu marmonnes vaguement quelque chose sans signification précise en agrippant son "tee-shirt" pour l'attirer plus près de ton visage.
Tu retrouves le goût de sa peau, l'odeur de ses cheveux tandis que, plus bas, ses mains s'interrompent, se figent, s'agrippent au bord de ton pantalon. Un halètement étranglé s'échappe de sa gorge et il rejette encore la tête en arrière, et ta bouche prend avidement possession de la peau dévoilée.
Il met quelques secondes à réagir. Ta bouche sent le gémissement se frayer un chemin dans sa gorge — puis il s'écarte, secoue un peu la tête et ses paupières se relèvent sur des yeux embrumés, un regard dans le vague.
Ses lèvres prennent la place de son cou, se collent aux tiennes avec gourmandise, et ses mains se remettent enfin à l'oeuvre.
L'accoudoir du canapé te fait mal à la nuque, alors tu passes les bras autour de lui et échanges vos places, et ta bouche étouffe ses protestations et tu le plaques contre le canapé.
Ses mains viennent enfin à bout de ton pantalon et tu défais sans problème le simple lacet qui tient le sien fermé — puis tu laisse échapper un nouveau grognement en entendant la porte d'entrée s'ouvrir.
En une seconde il s'est glissé hors de tes bras et ses mains sont en train de renouer le lacet de son pantalon, et tu te permets un soupir avant de te redresser et de refermer le tien. Tu as l'impression de sentir encore ses mains, ses lèvres, sa peau contre les tiennes — et tandis que tu le regardes recoiffer sommairement ses mèches blondes et défroisser son tee-shirt blanc, tu songes avec frustration que les gamins ont intérêt à avoir une bonne raison pour être rentrés un quart d'heure en avance.
Fye souffle un léger et chaud "Kuro-wanko est fâché, il n'a pas eu assez ?" dans ton oreille avant de virevolter hors de la pièce pour aller accueillir les enfants, sourire idiot en place comme d'habitude, et en écoutant les voix dans le couloir tu songes avec amertume que tu n'as jamais assez.
