Merci à IvyMoon pour sa Review qui me vas droit au cœur.
Je suis désolé mais ce petit bout je n'ai malheureusement pas eux le temps de continué plus loin. J'essayerai d'en mettre plus lors des prochains chapitres…
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Durant la journée, Le deux jeune gens se rendirent dans une petite ville qui se trouvait non loin de l'usine. Ils avaient besoin d'acheter de la nourriture pour leur voyage. En entrant dans le magasin, et se trouvèrent quelque plats et des conserve. Ils achetèrent aussi un ouvre boite. Aillant envie de boire quelque chose de bon, ils achetèrent aussi un carton de Lait. Une fois repartie, ils s'installèrent dans un petit champ à la sorti de la ville.
Tu as remarqué le regard que nous a jeté le vendeur ? je crois qu'il faudra être plus prudent la prochaine fois.
Non, je n'ai pas remarqué. Mais bon, il nous fallais bien quelque chose a manger.
Thomas sortit le carton de lait et entrepris d'en boire. Son jeune compagnons lui saisi le bras et fixa la boite avec de grand yeux incrédule. Thomas se libéra de sont étreinte et regarda se qui pouvait bien lui faire si peur. Aux dos de la boite se trouvais la photo de deux jeunes gens de 15 ans. C'était eux… Martin restait interdit, incapable de dire un seul mot. Voila donc pourquoi ce vendeur les avait dévisagé. Il les avait tout simplement reconnu. Et s'il avait appeler la police ? Ils devaient quitté la région au plus vite. Mais pour allez où ? Le sud serait la meilleure idée. Là-bas s'il ne trouvait pas de travail ou de moyen pour faire de l'Argent, au moins dormiraient-ils dans des endroits chauds. Il se leva et ramassa leur affaire.
Que fais-tu ? demanda Thomas.
Il faut vite partir d'ici, les flics peuvent débarqué ici pour venir nous chercher. Et nous ramené chez nous. Où pire, il nous séparerons et nous mettrons dans une maison de correction.
Vers où allons-nous ? Vers le sud ?
Oui, il faut un endroit chaud où nous pourrons vivre même sans toit sur la tête.
D'accort, je te suivrai partout, tu le sais bien.
Merci, je t'aime.
Puis, ils partirent vers le sud par les petites routes de campagne afin d'éviter le plus possible que les polices ne les retrouve. Durant une bonne partie de la route, ils marchèrent main dans la main. Mais lorsqu'une camionnette passa près d'eux et ralentie, ils trouvèrent que c'était peut-être trop dangereux. Il y avait sûrement d'autre personne comme le père de Martin. Il valait mieux ne pas s'Attiré leur foudre. Qui sait ce qu'il pourrait leur faire, personne ne les empêcherait d'être battu a mort par un fou. Pour la première fois de leur cours voyage, ils prirent conscience de se que serait leur vie désormais. Une vie de peur et d'incertitude. Pourtant, l'un et l'autre étaient heureux, car ils traverseraient ces épreuves ensemble. Mais aucun d'eux ne pourrais plus jamais retourné dans sa famille sans perdre l'autre. Ils seraient obligés de fuir jusqu'à ce qu'ils atteignent l'age de décision. Et même après, ils devraient combattre le idiot qui ne comprenne pas l'amour qu'ils ont l'un pour l'autre. Ils marchèrent en silence pendant le restant de la journée, chacun tourmenté par ses pensées. Martin se demandait comment il était possible d'aimer autant qu'il aimait Thomas. Au début, il avait senti pour lui une simple amitié mais à force de temps, lorsqu'il était éloigné de lui, sont corps et son cœur lui faisait violence. Et quand ils s'étaient embrassés pour la première fois, tout son être avait vibré sur la même fréquence que l'univers lui-même. Ce moment avait été si merveilleux qu'il ne pouvait comprendre que les gens trouvent cela si horrible.
Thomas lui réfléchissait à ce que le père de Martin avait fait. Il n'Arrivait pas à comprendre que l'on puisse faire une chose pareille à son propres fils. Quel genre de monstre pouvait battre sont fils au point qu'il ai du mal à marcher. Encore aujourd'hui, son jeune amour boitait et il avait souvent du mal à bouger. Thomas aurait tellement voulu pouvoir le protégé. Il avait été heureux qu'il parte car il avait eu peur que son père ne le frappe. Mais même sont père n'aurais jamais pu faire autant de mal à un enfant. Maintenant, il s'en voulait d'Avoir laissé Martin partir. C'était ridicule, il ne savait pas ce qui allait se passé quand il avait laissé son amour partir, mais il ne pouvait s'enlevé cette pensé de la tête. Il avait déjà hâte que la nuit tombe pour serrer son amour dans ses bras et essayé de lui faire oublier ces derniers jours. Jamais il n'arriverait à supporter d'être séparé de lui, il ne laisserait jamais personne les séparé.
Pendant que chacun suivait lentement le fil de leur penser, le ciel commença à s'assombrir. Bientôt, ils devraient trouver un nouvel abri. Ils devraient aussi apprendre à mieux se cacher et à éviter les policiers. Bientôt, tout le monde aurait oublier qui ils étaient et ils pourraient de nouveau se détendre. Ils trouvèrent une petite maison à vendre sur le bord de l'autoroute et y pénétrèrent par une fenêtre du sous-sol. Ils montèrent à l'étage regardèrent par la fenêtre. Ils observèrent leur monde submergé l'autre monde, celui de la lumière. Celui du quelle ils étaient désormais banni. Puis, ils allèrent se coucher dans une des chambres où se trouvait encore un vieux lit. Ils se collèrent l'un contre l'autre et profitèrent de la pénombre que leur offrait la nuit pour s'embrassé longuement. De caresse innocente en attouchement plus coquin, ils passèrent une bonne partie de la nuit éveillé et ne s'endormirent que tard dans la nuit, heureux plus que jamais d'être ensemble dans cet univers si cruel.
