Kikou ! Me revoilà ! Chapitre 1 ! et comme je m'en vais demain, samedi et que je n'est pas eu de réponse bah, je poste ! bonne lecture !

Lettres de mon cœur

Chapitre 1

Calme…trop calme… pourtant, il y a un monde fou ici…je commences à avoir chaud…trop chaud…ma vue se brouille…je perds mes sens un à un…je ne vois plus…je ne sens rien …je n'entends rien… je n'ais plus aucun goût dans ma bouche… je ne sens plus d'odeur…il faut dire que je n'ais pas sentis d'odeur depuis que je suis là… mais qu'est ce qu'était cet endroit…je suis dans le noir… je retrouve soudain l'ouï… quelqu'un m'appelle…ou … quelque chose… « Vien, vien, vien » me dit il……

TU VAS TE LEVER OUI !

Je me réveille en sursaut. Ma p'tite sœur était sur moi et avait l'air en colère…

« Mais…qu'est ce que tu fout là, toi ? Demandais- je à ma sœur

- ça fait au moins 15 minutes que j'essaye de te réveiller !

- hum…. Laisse moi dormir….va t'en….

- a non ! Tu m'as promis que tu m'emmènerais voir les beybladeurs de rues !

- Kawori, tu n'as pas l'age…

- et si ! Aujourd'hui, j'ai 12 ans !

- hum…QUOI ? Mais je croyais que…j'ai oublié…désolé ! J'ai pas de cadeaux ! Dis-je honteuse.

- bah, justement, mon cadeau s'est d'aller voir les beybladeurs de rues !

- ……….ok. Mais pas question que tu joues avec eux !

- pourquoi ?

- parce que, en les connaissants, c'est ta toupie qui va finir à la poubelle !

- bah, je prends la tienne !

- pas question !

- bon, ok, ok ! Aller, debout !

Comme ma mère. Cette peste est comme ma mère ! Elles ont toutes les deux le même caractère ! La jeune fille se lève paresseusement. Elle se dirige dans la pièce d'à cotée, la salle de bain. Elle ferme la porte à clef et se place devant le miroir. Elle détache ses cheveux gris argents qui lui descendent au bat du dos… dans le miroir où apparais son double (quel grande logique j'ai fais !) nous informe plus sur elle. Les yeux noirs ébènes, les sourcils gris foncés et le visage blanc…elle retire sa robe de nuit et ferme les yeux. Sa peau est pâle… d'une pâleur effrayante…pâle comme…la mort. Soudain, l'image sur la vitre se déforme…et devient un écran noir. Des vêtements apparaissent. Elle pose son doigt sur la vitre pour faire agrandir une tenue choisit. C'est un pantacour noir avec un haut chinois argent…pailletant. Elle appui un second fois pour accepter. Elle se baisse et ouvre le placard et retire les vêtements qui se sont inscrits sur l'écran. Elle les posent sur un buffet et va au fond de la pièce, près de la baignoire…et fronça les sourcils pour que soudain, la baignoire se remplisse d'une eau bleue azure. Elle y entra et s'allongea calmement dans l'eau. Pris la poire de douche et ouvrit l'eau. Elle pris le shampoing. Elle huma et sourit. La fleur de cerisier… elle se lava les cheveux et les rinça soigneusement. Elle se lava le corps et sortit. Elle enleva le bouchon d'évacuation de l'eau et la baignoire se vida, tout doucement… et pris une serviette argentée (on se demande vraiment pourquoi elle prend celle là !) et s'essuya. Elle pris les vêtements sur le buffet, les enfila, se maquilla et sortit de la pièce. Elle chaussa des chaussures noires et descendit les escaliers puis pris son manteau en bas des marches. Ça, c'est encore ma sœur qui me la mit là !elle est vraiment maline pour une peste. Elle entra dans la cuisine et pris une tranche de brioche pour ensuite partit de hors en prenant bien le soin de la fermer à clef. Elle regarda les alentours… et trouva enfin sa sœur. Devant le portail de voiture.

« Kawori ! Viens, on y va ! Hurla la jeune fille.

- j'arrive !

- bien, aller vien ! »

Kawori arriva au niveau de sa sœur et elles partirent toutes les deux.

Plus tard dans le centre ville….

« KAWORI ! KAWORI ! KAWORI ! KAWORI ! Hurlèrent des enfants comme encouragements.

- ça fait 6 fois que tu te bats ! 6 fois que tu gagnes contre des beybladeurs de rues ! Bravo. La félicita sa sœur.

- tu vois quand je te dis que je suis assez forte pour jouer contre eux ! se vanta Kawori

- 6 fois, vraiment…. »

Tous se retournèrent vers celui qui avait prononcé cette phrase. Encore se fouteur de merde !

« C'est…

- un fils…

- de riche…

- qui ne…

- fais que…

- détruire…

- les toupies ! Prononça un garçon, mi terrorisé, mi sur de lui.

- bien, Taruso, bien… tu me connais… fit le fils de riche

- comment connais tu mon nom ?

- j'le connais c'est tout. Bon, aller, céder moi vos toupies !

- pas question ! Cria Taruso

- on me résiste ? demanda le fils de riche d'une voix sensuelle mais dangereuse. »

Le jeune garçon s'avança et souleva Taruso par la gorge et le colla au mur. Taruso commencer à avoir peur et une larme coula sur sa joue. Une larme de peur. Mais il étouffé, étranglé. Tout le monde le regardé, tristement, ne sachant pas quoi faire contre le jeune garçon. Taruso cru alors qu'il allait mourir quand…

LACHE LE !

Le jeune garçon tourna sa tête vers celle qui avait osé lui crié dessus.

« Je ne le répèterais pas !

- et oh ! La gamine, on se calme ! Riposta le jeune garçon

- moi me calmer ! Tu rêves ! Lâche le ! »

Il laissa tomber a terre Taruso qui, a moitié asphyxié, ne bougea pas. Trop impuissant.

Le jeune garçon se tourna vers la gamine.

« Voilà, t'es contente !

- il….il est a moitié mort d'asphyxie !

- et alors ?

- et alors ? Tuer quelqu'un n'as pas l'air de t'inquiéter !

- hum…. Tu dois être Kawori. Et elle, plus grande que toi mais à qui tu ressemble tellement, doit être ta sœur. Ta grande sœur.

- oui, c'est moi. Répondit Kawori.

- aller, ne joue pas avec moi et donne moi ta toupie !

- hors de question !

- bon, alors va falloir utiliser la manière forte ! dit il de nouveau d'une voix sensuelle »

Il se rapprocha de la gamine qui lui lancée un regard déterminé.

« Si tu veux ma toupie, il faudra que tu la gagnes ! Affirma Kawori

- comme tu veux gamine !

- m'appelle pas gamine ! J'ai 12 ans aujourd'hui !

- alors pour ton anniversaire, je vais t'offrir une jolie raclée et te prendre ta toupie. »

Ils se mirent en place, face à face. Le plus inquiétant, c'est que la grande sœur de Kawori n'avait toujours pas bougé. Pas d'un millimètre. Elle ne clignée même pas des yeux… elle restée là, debout, bouche bée, les yeux dans le brouillard.

« 3…2…1, hyper vitesse !

- NON ! Hurla soudain la grande sœur de Kawori. »

Trop tard, les toupies étaient déjà dans l'arène.

Fin du premier chapitre !

Voilà, bouclé !

Kai : j'le sens mal, le chapitre prochain…

Moi : pourquoi ?

Kai : j'ai l'impression…. que le jeune garçon… j'le connais…bizarre….

Moi : t'inquiète ! Aller ! Reviews !