Et voilà le dernier chapitre de cette petite fic. J'espère que vous allez aimer.

Sinon je précise que j'ai fini d'écrire la fic qui est + ou – la suite de « les paris » et je crois qu'en fait je vais l'appeler « les 10 commandements d'Aphrodite Cupidon » un gros délire qui m'a pris pendant l'écrit …

---------------------------------------------

Chapitre 4 : un peu de glace

Roy ne savait que dire, la situation était encore plus embarrassante et Hawkeye lui faisait plutôt peur.

--Lieu… lieutenant ? hésita-t-il.

CLAK. Elle le gifla. Elle était furieuse.

--COLONEL ! QU'EST-CE QUE VOUS FAISIEZ AVEC … AVEC …

Elle était tellement en colère qu'elle ne trouvait plus ses mots.

Roy ne protesta pas à la baffe qu'il venait de se prendre. Ce n'était plus le lieutenant qui se tenait en face de lui, c'était une femme furieuse et scandalisée. Il ne put que se masser la joue avant de répondre tranquillement :

--Ben… je crois que c'est évident.

Elle faisait maintenant les 100 pas et s'arrachait presque les cheveux.

--Comment avez-vous pu… ?

--Écoutez lieutenant, vous êtes entrée habillée « très légèrement » et vous… enfin elle s'est jeté sur moi ; Comment vouliez-vous que je fasse ? je suis un homme et il y a certaine choses auxquelles je ne peux pas résister.

--Mais là il s'agit de moi, de… de mon corps !

--Je comprends tout à fait que vous soyez énervée, mais il faut avouer… que vous êtes très attirante habillée comme ça…

Elle lui jeta un regard noir qui lui fit froid dans le dos et BAM, elle lui balança son flingue à la gueule. Roy tomba à terre, des petits magnums tournaient autour de ses yeux.

Riza commença à se calmer, voir son supérieur K.O. la sortait petit à petit de sa fureur. Elle se laissa tomber sur le canapé et soupira :

--Vous êtes vraiment un abruti, comment avez-vous pu croire que c'était moi ?

Roy se releva tant bien que mal et se dirigea en titubant vers la paperasse éparpillée au sol.

--C'est vrai qu'au départ, je comprenais pas trop… Je vous trouvais bizarre.

Il s'assit en face d'elle posa le rapport sur la table basse. Sa tête lui faisait mal.

--'tain, vous y êtes pas allée de main morte avec votre flingue… grimaça-t-il en se massant cette foi-ci le crâne.

--C'est pour ça que je vous conseille de remplir ce rapport avant l'aube. fit-elle avec un sourire ironique.

Roy grogna et commença à lire le dossier.

--Je vais vous chercher un peu de glace. dit-elle en se levant, Je ne voudrais pas que votre bleu vous empêche de travailler. Puis elle se dirigea vers le frigo.

Roy se sentit soudain envahir par un sentiment étrange. Il ne s'était jamais rendu compte à quel point Hawkeye pouvait être très belle et c'était cet Envy qui avait du lui en faire prendre conscience… Quel abruti il faisait vraiment. Pour la première fois de sa vie, il s'imagina vivre avec une seule et unique femme.

Une voix le tira de ses pensées.

--Colonel, vous n'avez toujours rien remplis !

--Pas de stylo…

Il la regarda un instant. Ses cheveux, ordinairement bien tenu en avaient profiter pour s'échapper par endroit. Elle avait posé le haut de son uniforme et portait une chemise blanche sans oublier le pantalon militaire.

Pourquoi chercher plus loin ? Tout ce dont il rêvait était là.

--Je peux savoir à quoi vous pensez ? demanda-t-elle, soupçonneuse.

--Ah… euh… moi ? Rien.

Riza s'approcha de lui et, toujours méfiante, lui passa la glace dans les cheveux, là où il avait reçu le coup.

--En fait, je me disais que ce que l'on cherche est parfois tout près de soi… lui dit-il en souriant.

Riza avait très bien compris où il venait en venir. Elle tendit son bras vers la poche de la chemise de son supérieur et en retira un stylo.

--Vous avez raison colonel, ce que l'on cherche est parfois tellement proche qu'on y fait pas attention… répondit-elle en souriant à son tour.

Roy pris avec résignation le stylo qu'elle lui tendait. Riza se leva, pris sa veste et se dirigea vers la porte d'entée.

--Soyez à l'heure demain matin où je risquerais de me fâcher très fort…

Partie. Il soupira, il allait devoir faire preuve de beaucoup plus de patience et de ruse qu'à son habitude pour piéger sa nouvelle cible. Quelle soirée !

Fin

-------------------------------------------------------------

Avant de me jeter des pierres (iiiih), laissez moi disparaître, merci… C'est bon, vous pouvez commencer !