Disclaimer : Et non, je ne les ai toujours pas vu débarquer chez moi et vu que je m'acharne sur eux, il ne viendront jamais, surtout Duo qui m'en veut à un point inimaginable tant je lui fais endurer des atrocités… Et ça continue dans ce qui suit.

Titre : Ce sera notre petit secret

Auteur : Ephemeris

Résumé : Dans une période creuse où les cinq pilotes doivent rester dans une maison en attendant leur prochaine mission, un des pilotes exerce de la pression sur Duo, lui infligeant un traitement

Couples : Comme si j'allais vous le dire, faut bien que je m'amuse un peu…

Genre : Pas drôle du tout !

Rating : T

Warnings : Yaoi, viol. POV de Duo qui s'adresse durant toute l'histoire à une personne inconnue, qui est sûrement dans sa tête de toute façon.

Chapitre 6

Je suis fort, je suis intelligent, je suis un pilote de gundam, j'ai pouvoir de vie et de mort sur tout être vivant. J'ai ce pouvoir, et il me rend plus fort que les autres. Je suis la mort incarnée et rien ne peut m'atteindre.

Mais j'ai peur. J'ai peur quand je croise son regard. J'ai peur quand je sens sa présence dans la même pièce que moi. J'ai peur lorsqu'il me regarde avec tant de désir. J'ai peur quand ses mains se posent sur mon corps et le parcourent. J'ai peur parce que je n'arrive pas à l'en empêcher. J'ai peur parce que je suis totalement démuni devant lui. J'ai peur parce qu'avec lui, je suis faible.

Mais je ne devrais pas avoir peur. Je suis la mort. La mort inspire la peur, mais ne la ressent pas elle-même. Alors pourquoi je suis dans un tel état face à lui ? Je ne veux plus le voir, je ne veux plus voir personne.

Arthur, reste avec moi, je t'en prie. Je t'aime bien tu sais. Tu es le seul avec qui je me sens bien. Toi, au moins, tu es honnête avec moi et tu me soutiens malgré tout ce qui m'arrive.

« Merci Arthur. Merci d'être là pour moi. »

« Duo… »

« Vraiment, je ne sais pas ce que je ferai sans toi. »

« Duo… »

« Je sens que toi, tu ne me trahiras pas. »

« Duo ! »

Qui a crié ? Attends, pourquoi il y a de la lumière dans la chambre ? Qui a ouvert la porte ? Et comment ça se fait que je ne m'en sois pas aperçu avant ? Ouais, je crois que j'avais les yeux fermés… Il y a quelqu'un dans l'ouverture qui me lance un regard furieux de ses yeux bleus et me lance, sur un ton agressif :

« Duo, arrête de parler tout seul, il n'y a personne. »

Non, je ne veux pas entendre ce genre de mensonge. Je ne veux entendre que ta voix Arthur. Mais pas ici. Cette chambre, avec tout ce qui s'y est passé, m'est devenu absolument insupportable. Il faut que je sorte de là ! Quoi Heero ? Mais j'en ai rien à foutre de Heero ! Je sors et c'est tout ! Je me lève donc et pousse celui qui me bloque le chemin, mais, c'est étrange, je n'y trouve pas la résistance à laquelle je m'attendais. Mais ça ne m'empêche pas de foncer quand même comme un dératé et de descendre l'escalier à toute vitesse.

Arrivé en bas, je regarde partout autour de moi sans savoir où me diriger. Je vais où Arthur ? Là, il y a un petit coin qui fait face à la porte d'entrée. C'est mon coin ! Je décide d'en prendre possession. Je m'y propulse dans un vacarme épouvantable. Mon épaule gauche est entrée en si forte collision avec le mur que je crois qu'elle s'est déboîtée. Mais je m'en fiche. Je suis dans mon coin avec toi, Arthur, et il n'y a que ça qui compte.

Je n'y vois plus très clair, ma vision est quelque peu embrouillée, ce qui fait que je ne vois pas celui qui est à l'origine de toute cette agitation autour de moi. Je secoue vivement la tête pour chasser ce nuage de mes yeux et finis par distinguer Heero qui a dû me suivre et Wufei à côté de lui qui me regarde bizarrement.

« Qu'est-ce qu'il a encore ? »

Il regarde Heero qui ne me quitte pas des yeux. Qu'il arrête de me regarder comme ça, j'ai mal au cœur. Pourquoi ils restent là à me regarder et à envahir mon espace vital ? Je pose les yeux sur chacun d'eux avant de me mettre à hurler pour les faire partir. Je hurle si fort que je m'assourdis moi-même les oreilles. Mais ma tactique fonctionne très bien puisqu'ils reculent. En les regardant faire, et par nervosité, je plonge ma main dans la poche de mon pantalon et y rencontre mon canif. Quand est-ce que je l'ai mis là ? Je ne m'en souviens plus. Mais ce n'est pas une mauvaise chose, au contraire.

« Sortez de mon espace vital ! Je ne veux personne si près de moi ! »

Ils ne sont pas rassurés et je vois qu'ils hésitent à m'obéir. Je vois même Wufei approcher de nouveau, sa main tendue vers moi. D'un geste habile, je sors mon canif de ma poche et l'ouvre avec une vitesse incroyable, digne du professionnel de ces petits trucs que je suis. Le Chinois s'arrête dès qu'il voit la lame scintiller à la lumière du plafonnier.

« Toi, ne m'approche pas. Ne me touche pas. »

« Duo… »

« Ta gueule ! »

La rage monte tout à coup en moi. C'est quoi ça ? Pourquoi soudainement il m'appelle par mon prénom ? Il a pitié de moi peut-être, qu'est-ce que t'en penses Arthur ? Mais j'en veux pas de sa pitié. Il avait qu'à agir autrement et on n'en serait pas là.

« Je t'interdis de m'appeler comme ça, tu entends. Je ne veux pas que ce prénom, qui vient d'une personne qui m'était si chère, sorte de ta bouche. »

Oui, parce que tu sais, j'ai choisi le prénom de Duo en hommage à Solo. J'étais un peu son second alors je trouvais que ce prénom collait bien. Alors je ne veux pas que ce sale type le prononce. Jamais ! Heero se rapproche de Wufei et lui prend le bras pour lui faire comprendre qu'il vaut mieux pour eux qu'ils me laissent tranquille. Finalement, il comprend les autres le soldat parfait, étonnant.

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Ça doit faire des heures que je suis assis là, mais je ne bouge toujours pas. Mon épaule me fait atrocement mal. J'ai dû accrocher un clou ou un truc pointu qui dépassait du mur parce qu'il y a du sang qui s'écoule du haut de mon bras jusqu'à ma main. Il y a rien à faire, impossible de bouger mon membre inférieur gauche. Mais je ne me lèverai pas, je ne bougerai pas d'ici, sous aucun prétexte.

Depuis que Wufei et Heero m'ont laissé, je les ai tous vu passer devant moi en me jetant des coups d'œil interrogateurs. Je les sens perturbés, comme s'ils ne comprenaient pas ce qui m'arrivait, mais je suis sûr qu'ils le savent. En tout cas, s'ils ne le savaient pas avant aujourd'hui, ils doivent bien s'en douter. Mais c'est quand je l'ai vu passer, lui, que je me suis senti mal. Je n'ai pas saisi le regard qu'il m'a lancé. Mais le simple fait d'avoir croisé son regard a fait remonter en moi toute la douleur qu'il m'a fait endurer depuis des jours et que je ressens encore au plus profond de mon être.

Je suis de nouveau seul dans le couloir, les autres étant je ne sais où. La maison est totalement silencieuse, comme s'ils s'étaient tous cachés, ce qui fait que je n'ai aucune idée de l'endroit où ils sont. Pas moyen de se guider au son, il y en a aucun. Tu veux bien aller faire un tour Arthur. T'as rien vu ? C'est bizarre. Mais ce n'est pas ça qui va me rassurer. Je me sens menacé par lui, même si je sais qu'il ne me fera rien à l'endroit où je me trouve, trop dangereux de se faire voir par les autres.

Mais cette douleur ne me quitte pas Arthur. Elle m'écrase la poitrine à un point que j'ai du mal à respirer. Je regarde autour de moi à la recherche de quelque chose qui pourrait soulager cette oppression, mais tout ce que je vois, c'est mon petit canif, toujours dans ma main et qui lui à la lumière artificielle au-dessus de ma tête. Je bouge un peu mon épaule en sang et une douleur se fait ressentir dans tout le haut de mon corps. Tiens, pendant un instant, j'ai cru oublier ce mal de cœur et cette migraine qui ne me quitte plus depuis quelques temps.

Je baisse de nouveau la tête et repose mon regard sur mon petit canif. Je ressens alors une certaine attirance pour cette petite lame qui semble m'appeler. Tu crois que ce n'est pas la bonne solution ? Mais quelle meilleure solution y a-t-il pour arrêter une souffrance si ce n'est de l'oublier en en subissant une autre ?

Cette douleur interne m'est insupportable, plus qu'une autre que je pourrais m'infliger moi-même. N'essaie pas de m'en empêcher, de toute façon, je ne t'écoute pas. Ça fait trop mal, là, à l'intérieur. Je lève donc ma main qui tient le canif et, sans lâcher l'objet, je me mets à déboutonner ma chemise de la même main, la seule qui reste valide. Une fois la chemise ouverte, j'approche la lame de ma peau d'une blancheur qui me fait presque peur et la fait glisser dessus, laissant derrière son passage une traînée rouge. Je regarde une goutte de ce qui se trouve être mon sang s'écouler au-delà de la coupure et je m'étonne de ne ressentir aucune douleur.

Je recommence l'opération, cette fois-ci avec plus de force et plus de rapidité. Un flot plus intense de sang se met à couler et je sens ma peau me brûler. Voilà, ça marche. Et je ne sentais plus la douleur, l'espace d'une seconde. Je recommence, encore et encore, de plus en plus fort, faisant venir des larmes que j'empêche de s'échapper. Les garçons ne pleurent pas, je le sais Solo, les garçons ne pleurent pas. Mais je continue, faisant aller la lame du petit canif d'une main habile, hypnotisé par son parcours, jusqu'à ce que la lame disparaisse de mon champ de vision sans que je ne comprenne.

« Qu'est-ce que tu fais, bon sang ! »

Je relève la tête et aperçois Heero qui tient mon canif plein de sang dans sa main en me regardant d'un air terrifié. Je baisse ensuite la tête vers mon corps et me rend compte que je suis complètement en sang, mon torse étant maculé de coupures rouges. Je comprends qu'il soit effrayé, mais il n'a rien à dire dans les choix que je fais. Il n'a aucun droit sur moi. J'aperçois les autres qui sont venus se placer autour de Heero et qui forment maintenant un cercle autour de moi. Mais ce n'est pas ça qui va me faire peur, pas même son regard.

« Rends-moi mon canif. »

« Pas question ! Pas pour te mettre dans un tel état ! »

Je le regarde à nouveau, mais je ne peux pas soutenir son regard. Je préfère te regarder toi, te parler juste à toi.

« Il comprend pas Arthur, il comprend pas. Comment il peut agir comme ça alors que je souffre tant. »

« Duo… »

Non, je ne l'écoute plus.

« Ça fait des jours que je vis dans cette horrible situation. Ils ne comprennent pas ce que ça me fait ? Ils ne voient pas que j'en souffre ? »

Ça y est, les larmes remontent, mais cette fois-ci, je ne crois pas que je vais pouvoir les retenir. Trop tard, me voilà qui pleure.

« C'est trop dur, c'est vraiment trop dur. Je suis solide d'habitude, mais pas cette fois-ci. J'en ai trop enduré et je suis à bout. »

« Duo, qu'est-ce qui se passe, réponds… »

« Wufei, il pense juste à lui de toute façon. Quatre, il fait celui qui s'inquiète pour tout le monde, mais en fait, c'est parce qu'il a pas confiance en lui et qu'il a peur d'être seul. Heero, il ne pense qu'à ses missions et à cette Relena complètement débile. Et Trowa, Trowa… »

Je lève les yeux et les plonge dans son regard vert qui, lui, ne m'a pas quitté une seconde. Une vague de profonde colère mélangée à de la déception me pousse à hurler dans mes sanglots :

« Tu… tu étais comme mon frère. Pourquoi tu m'as fait ça, hein ? Pourquoi ? »

Je vois ses yeux s'agrandir, mais le contact visuel que j'ai créé avec lui se brise, Heero l'ayant attrapé par le cou et l'ayant plaqué contre le mur, frappant sa tête contre la paroi.

« Qu'est-ce que tu lui as fait ? Réponds ! »

Mais il ne dit rien. Déjà qu'il ne parle presque pas en temps normal, il ne dira sans doute rien sur ce qu'il m'a fait subir pendant des jours et des jours. Mais j'aurais bien voulu avoir une réponse, savoir ce qui l'a poussé à agir de la sorte avec moi. Heero le regarde avec de la rage dans les yeux. Mais il ne s'en doutait pas ? J'ai du mal à y croire. D'un coup, j'entends Quatre pousser un petit cri étouffé alors qu'il se met à reculer.

« Non, tu n'as pas fait ça ! »

Mais il n'attend pas de réponse et fonce vers les escaliers sans un regard de plus pour qui que ce soit. Aurait-il compris ? J'entends alors Heero qui commence vraiment à s'énerver.

« Tu vas répondre, sale enflure, qu'est-ce que tu as osé lui faire ? »

« Tu ne peux pas comprendre. »

Tiens, il lui répond ?

« Toi, tu as tes missions et ta Relena pour t'occuper, et tu t'en occupais très bien comme ça. Moi, je n'ai rien, je n'ai jamais rien eu. Tant de fois, j'ai pensé à mettre fin à ma vie, mais j'ai tenu le coup parce qu'il était là. Je n'ai connu l'amour que grâce à lui. Et j'étais très heureux de cette situation. »

Quoi ? Il m'aime ? Il m'aime d'amour ? Je comprends pas… Ça n'a aucun sens !

« Mais bien sûr, il a fallu que toi, le soldat parfait qui réussit tout ce qu'il entreprend avec succès, qui pilote comme personne et qui fait fantasmer une princesse, il a fallu que tu convoites la seule chose à laquelle je tenais. Je me la suis donc appropriée. »

Un bruit violent se fait entendre, sans doute résultat de la colère de Heero que je ne vois plus, les larmes ayant formé un brouillard dans mes yeux qui ne se dissipe que très lentement.

Je tourne la tête et croise le regard de Wufei qui s'est grandement adouci. Il s'approche et s'agenouille en face de moi. Son expression est plutôt réconfortante, ce qui ne me fait pas réagir de façon craintive lorsqu'il approche sa main et la pose sur ma joue toute mouillée de larmes. Il baisse les yeux sur mon torse et porte son autre main devant sa bouche. Il replonge son regard dans le mien et, enfin, je me sens soutenu, compris par un de mes anciens camarades.

La douce pression de la main si réconfortante posée sur mon visage disparaît soudain et, secouant la tête pour chasser les larmes de mes yeux pour comprendre ce qui se passe, je vois soudain le visage de Trowa à quelques centimètres du mien, ce qui me fait automatiquement reculer.

« Tu n'as pas compris Duo ? Tu n'as pas compris mon amour pour toi ? »

J'essaie de dire quelque chose, mais j'en suis incapable. L'émotion me prend à la gorge et le flot de larmes s'intensifie. Et lorsque sa bouche se rapproche dangereusement de la mienne, je ne peux m'empêcher de crier.

« Ahh ! Solo ! Au secours Solo ! »

Solo, viens me sauver, viens me sortir de cet enfer ! Mais oui, tu es là, et tu enlèves ce monstre de mon champ de vision. Tu es là, devant moi, et tu me souris.

« Ne crains rien Duo, c'est fini maintenant. Je suis là pour te protéger. »

« Solo, c'est toi Solo. »

« Oui Duo, c'est moi. »

Et il me prend dans ses bras, me sert tendrement tout en me berçant. C'est si agréable de retrouver la chaleur de ses bras, si agréable. Alors qu'il me berce de sa douce voix, je ferme les yeux et je m'endors. Je suis si épuisé.

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Ça fait maintenant près d'un mois qu'on vit avec Solo, Arthur et moi. Ces deux-là s'entendent super bien. Je savais qu'ils étaient faits pour s'entendre. Solo est toujours avec moi, il ne me quitte jamais. C'est sans doute pour rattraper tout le temps pendant lequel on a été séparé. Je ne peux pas me faire à l'idée que je l'ai cru mort pendant toutes ces années. C'est profondément ridicule !

Aujourd'hui, il fait très beau. Il fait un peu froid vu que nous sommes toujours en hiver, mais le soleil est magnifique et j'en profite, assis près de la fenêtre, les rayons venant me caresser le visage. Mais cette période de détente est interrompue par la sonnerie plutôt désagréable du téléphone. Je me lève en grommelant et m'empare du combiné.

« Allo ? »

« Bonjour, pourrais-je parler à Monsieur Heero Yuy, s'il vous plaît ? » dit une voix masculine à l'autre bout du fil.

« Heero qui ? »

« Heero Yuy. »

Je m'apprête à répondre que je ne connais personne de ce nom et qu'il n'habite ici quand je sens le combiné s'échapper de mes mains. Je me retourne et voit Solo en train de parler à l'homme qui a appelé. Ils échangent quelques paroles et Solo raccroche. Intrigué, je le regarde et lui demande :

« Pourquoi tu as répondu ? C'était un faux numéro. »

« Qu'est-ce qui te fait dire ça ? »

« Il a demandé Heero Yuy. Il n'y a personne de ce nom ici. Et puis d'abord, c'est qui Heero Yuy ? »

Il me fait un sourire et, passant un bras autour de ma taille, il m'entraîne vers la cuisine d'où émane une bonne odeur de sauce tomate qu'il fait lui-même, et à merveille.

« C'est personne, absolument personne. Allez, on va manger, Arthur nous attend. »

FIN

Note de l'auteur : C'est horrible comme fin, n'est-ce pas ? Je vous interdis de m'assassiner ou de me lancer un sort avec une poupée vodoo. Je mérite quand même pas ça. Si ? Enfin, voilà le chapitre final qui dénonce Trowa et innocente Heero que la majorité d'entre vous a soupçonné. Alors, si on fait un petit top 4, la quatrième place revient à Trowa, ce qui prouve que je n'ai pas trop mal réussi mon coup, les troisième et deuxième places sont attribuées, à égalité, à Quatre et Wufei, et la première place revient à Heero qui se trouve, en fin de compte, être le plus innocent des quatre.

Je suis consciente que cette histoire, racontée sous le point de vue de quelqu'un dont l'esprit s'égare de plus en plus au fil des chapitres, il est fort probable que certaines choses vous aient échappé. C'est pourquoi je propose, si cela intéresse assez de gens, de réécrire cette histoire sans POV. Il sera donc expliqué clairement toutes les réactions des personnages.

Merci à tous d'avoir lu cette histoire qui n'aurait pas pu exister sans Heiji, et merci pour tous les reviews que vous m'avez fait parvenir. J'ai pris d'ailleurs un malin plaisir à lire les théories de chacun sur l'identité du violeur, les cinq G-boys y ayant passé (je dis bien cinq parce que certains ont même pensé qu'il s'agissait d'une autre personnalité de Duo ou d'un personnage tiré de son imagination comme Arthur. Donc voilà qui conclut cette histoire, qui, j'espère, vous aura plu jusqu'à la fin.

-Ephemeris-