Dsl…oui c'est Konzen, mais comme ça se prononce plutôt Kanzen que Konzen et que j'avais un merveilleux trou de mémoire…je l'ai écrit comme ça se prononce ! Gomen ! #
Pour le lemon…c'était un cadeau d'anniv' pour mon frère…Gokû…né en Mars…et en plus un tripe pour fêter l'hanami…j'avais précisé au début que je coupé l'histoire….Sumimasen…il y a eu un petit bug…j'ai pas pu mettre la suite avant…vraiment désolé !
Disclamer: tout a MineKura, rien a moi…et puis apparition de deux personnages de FullMetal Alchimist et une allusion a Nana.
Les paroles en gras et italique sont les pensées des personnages…
Rappel de la situation (et oui sa fait longtemps que je n'est rien mis qui suive le cour de l'histoire ! GOMEN) : Sanzo évanoui, Hakkai dans le coma (a cause de Bosatsu ! Va si Bosa-chan ! Je suis avec toi ! Bosatsu : merci Dita ! Je savais que tu m'approuverais ! Mouhahahahahahaha (rire sadique, 2)), Gojyo aphone et le saru disparu dans une lumière blanche après avoir tuée des jumelles innocentes…mais où est il ? Vous le serais bientôt…
Chap. V : …Réveil au Tenken
« Au tenken »
Bosatsu se leva de son siège d'observation et se dirigea vers la salle du conseil.
Jirou Shin : Mais, Grande Déesse Kanzenon Bosatsu, que faites-vous ?
KB : Je vais m'amuser un petit peu. Le conseil doit décider de la punition du jeune saru…viens avec moi, si tu as vraiment peur que je fasse n'importe quoi…mais je te préviens, pas de commentaires. Tu auras juste le droit de faire quelques reproches, mais après, ok ?
JS : Bien, mais…
KB : Il n'y a pas de mais !
JS : Bien, Grande Déesse Kanzenon Bosatsu.
Bosatsu et son second se dirigèrent ensemble vers la salle du conseil. Jirou shin se tenait un peu en retrait, comme à son habitude, montrant ainsi sa position de second. Tous deux gardèrent le silence. Le visage de la déesse affichait un merveilleux sourire.
Jirou shin se perdit dans ses pensées. Depuis qu'elle a lancé ce défi elle a l'air d'être plus heureuse…cela me fait plaisir. Elle est si belle quand elle sourit ! Mais d'un autre côté, je ne veux pas qu'elle se fasse, d'ennemis à cause de son comportement qui paraît si irresponsable ! Je dois continuer à la surveiller et à la conseiller quoi qu'il arrive !
Ils arrivèrent à la salle de conseil quelques instants après. Comme Bosatsu le pensait, le conseil était réuni.
Un garde surveillait l'entrée. Celui-ci les interrompit, quand il vit que le couple s'apprêtait à entrer.
Désolé, mais la salle du conseil est interdite à tous ceux qui ne font pas partie du conseil !
KB : Peut-être, mais ils sont en train de parler du cas de l'aberration, non ?
Le garde : Oui, euh, non! Je n'ai pas à vous répondre.
KB : Laissez-moi entrer, cela vaudra mieux pour vous.
Et sans plus attendre, Bosatsu entra dans la salle du conseil et vint se placer au centre de la salle en arc de cercle.
KB : Bonjour, messieurs. Comment allez-vous ?
Que faites-vous ici, Kanzenon Bosatsu?
KB : Je viens vous donner mon avis sur la punition de Son Gokû.
Malgré le fait que vous soyez une déesse, vous n'êtes pas apte à donner des conseils à des membres du CONSEIL ! votre comportement est inadmissible ! veuillez quitter ce lieu, immédiatement !
KB : Ne vous énervez pas ainsi,…ces quatre voyageurs sont mon passe, mon cher !
Tant que ce ne seront pas vos protégés, vous n'aurez pas votre mot à dire !
KB : Bien ! Si c'est cela que vous voulez entendre, ce sont mes protégés. Alors laissez-moi décider de leur sort.
Bien. Que voulez-vous ? Nous proposons de l'enfermer à vie, entièrement enchaîné…
KB : Gokû ne sera pas enfermé, ni enchaîné ! Auriez-vous peur de lui ? Ce n'est qu'un gosse de 18 ans.
518 ans !
KB : Peut-être, mais vous, vous en avez plus de 550! Il viendra vivre au paradis céleste. Ne soyez pas choqué, je me charge personnellement de lui ! Mettez-lui des chaînes si vous le désirez, mais laissez-le libre de ses mouvements…au revoir.
Bosatsu sortit de la salle du conseil, laissant derrière elle les membres du conseil à la fois partagés entre l'envie de la voir morte et celle de rire un peu, en espérant que cette décision tourne en sa défaveur. Mais ce qu'ils ne virent, ce fut le sourire vainqueur qui était accroché à ses lèvres.
KB : Je sens que l'on va encore pouvoir bien s'amuser ! N'est-ce pas, Jirou Shin ? Ces bakas sont vraiment très efficaces pour vaincre l'ennui ! Qu'en penses-tu ?
JS : Vous êtes sûre que c'est raisonnable ? Et s'il devenait fou ?
KB : Ne t'inquiète pas, je contrôle la situation !
JS : Si vous le dites…
Bosatsu eut un petit rire de joie et non de sadisme, pour une fois. Cela faisait si longtemps qu'elle rêvait de cela,…le moment où,…où elle pourrait enfin comprendre…
« Pendant ce temps, ailleurs, au Tenken »
Ce matin-là, en promenant les yeux sur l'étendue fleuri du Tenken, on pouvait apercevoir un élément nouveau,…
Pourquoi ce garçon dormait ici,…étendu sur l'herbe ?
Une jeune fille s'approcha du dormeur. Il avait l'air de faire un rêve assez agité. Il portait des chaînes. Elle décida de s'immiscer dans les songes de l'inconnu. Elle posa sa main droite sur le front de l'inconnu et laissa son pouvoir agir.
Un baiser…si fugitif,…déposé sur la joue, puis un autre, que j'offre, tout aussi fugitif, sur les lèvres cette fois,…des lèvres si douces,…un sourire…triste…une couleur, l'or…l'or du soleil qui à ce moment-là se teintait peu à peu de rouge, comme ce soleil mourant, encore l'un de ces sublime coucher, mais là c'est différent,…il n'est pas seul. Un murmure qui s'échappe. Qu'avait-il dit déjà ? Il voulait s'en souvenir. C'était un moment qui aurait put être merveilleux, s'il n'avait été si triste, il aurait pu être synonyme de bonheur absolu, s'il n'avait pas été le moment le plus douloureux de sa courte existence,…non…longue…environ 520 ans…enfin,…518.
Il luttait de plus en plus pour se souvenir,…même s'il savait qu'il en souffrirait,…une fois de plus,…il devait s'en souvenir !
Il entendit un gémissement,…le gémissement d'un homme qui agonise,…un gémissement, comme un murmure, ...comme CE murmure. C'est alors que tout lui revint en mémoire,…tous les moindres détails de ses dernières heures de liberté,…avant qu'il ne soit fait prisonnier pendant 500 longues années, durant lesquelles il avait fini par tout oublier. Non, il avait fait exprès de tout oublier, il ne voulait plus souffrir. Mais cela n'avait pas marché…
La jeune fille s'éloigna brusquement, l'inconnu ouvrant les yeux. Il eut juste le temps d'ouvrir un œil, qu'il sombra de nouveau dans un coma profond.
KB : Merci d'avoir veillé mon protégé, Lust, mais maintenant, je le récupère. Où est ton « frère » ? Pourrais-tu m'appeler Greed, s'il te plaît, pour qu'il porte mon protégé jusque chez moi ? Tu lui diras qu'il aura un bon salaire qui satisfera son avarice.
Lust : Bien, mais,...pourrais-je continuer de m'occuper de lui ?
KB : Merci, mais c'est inutile, je peux m'en charger. Tu as vu ses songes ? Tu cherches donc toujours la raison du péché dont tu es issue ?
Lust approuva d'un signe de tête les deux questions de la Déesse. Celle-ci s'approcha de Lust et lui déposa un baiser sur le front, aspirant ainsi les souvenirs du cauchemar de Gokû de sa mémoire. La petite fille partit à la recherche de son frère, le sourire aux lèvres.
« Peu après »
KB : Ah ! Il ouvre enfin les yeux ! Alors…comment te sens-tu, mon petit Gokû ?
Gokû : Où, où suis-je ? Sanzo ? Comment va sanzo ?
KB : Ne tant fait pas ! Tout ira bien…je t'ai enlevé tes chaîne…tu ne sera pas dérangé par elles…
Où est la fille de tout à l'heure ? avant que je me rendorme ? Mes chaînes ?
KB : Lust ? Mm…je n'aime pas se prénom…Elle est rentrée chez elle…
Que veut dire son prénom ?
KB : Elle est née de l'union d'un dieu et d'une humaine. Ce péché de luxure a été puni…d'où son prénom…
Mais c'est quoi ?
KB : Rien, rien du tout… tu comprendras plus tard. En attendant, que dirais-tu d'un bon repas ?
Gokû : YATAAAAAAAAAAAAA !
Après avoir fini de manger, Bosatsu proposa au saru de sortir visiter le jardin qui lui appartenait.
G : Dis Kanzenon Bosatsu, comment cela se fait-il que… je ne me souviens absolument pas du rêve que j'ai fait cette nuit ? Toutes ces fleurs, ces odeurs me rappellent des souvenirs…pourtant je sais que mon rêve était important, douloureux mais je l'ai oublié…
KB : Ne t'en fais pas mon petit Gokû, tu t'en souviendras en temps venu… mais appelle-moi plutôt bosa-chan, ça fait plus jeune !
G : Ok ! Dit, bosa-chan, je peux cueillir ces fleurs ?
KB : Bien sûr ! Ce jardin appartenait à Kan.., euh, à mon neveu,… mais celui-ci est parti pour un long, très long voyage…
Gokû n'écoutait déjà plus Bosatsu et cueillait des fleurs tout en s'amusant avec les papillons qui leur tournait autour… il avait l'air heureux…
G : Haraeta ! (J'ai faim ! enfin moi je l'écris Hara yeta !)
KB : Quoi ! Encore ? Bon, bah, va donc dans la cuisine et demande à ce qu'on te prépare TOUT ce que tu voudras… mais à une condition…
G : Laquelle ?
KB : Que tu me souries !
Gokû fit un grand sourire à Bosatsu et lui sauta dans les bras, l'embrassant sur la joue avant de s'enfuir vers les cuisines de la villa. C'était comme si il avait retrouvé son âme d'enfant…c'était comme si il avait tous oublié, absolument tous se qui faisait sa vie avant la veille…mais n'était-ce pas un peu le cas ?
KB : Rha ! Gokû! Toujours aussi gamin malgré tes années de solitude. Serait-ce cela, la magie du Tenken? Faire en sorte que tous les êtres purs soient tous, ici, égaux à eux-mêmes…sans qu'ils aient l'idée de se cacher, ni d'utiliser les artifices que je connais si bien aux dirigeants et aux sages…
Bosatsu posa une main sur sa joue, consciente de la rougeur qui envahissait peu à peu son visage. Elle sourit et regarda dans son miroir sur Gekaï (le monde d'en bas, la Terre)
Vivement demain,…et les jours suivants, quand enfin auront lieu vos retrouvailles,…
« Sur Terre »
Gojyo : Sanzo ! Sanzo ! Kso ! Accroche-toi, Sanzo, on va bientôt arriver à l'hôpital !
…
Après plus de deux heures d'attente, juste après ses deux aller- retour pour amener à l'hôpital Sanzo et Hakkai, une infirmiere vint voir Gojyo, qui était resté là à attendre, sans bouger.
Bonjour, vous êtes l'ami des deux jeunes hommes dans le coma arrivés il y a quelques heures ?
Gojyo prit des feuilles sur le comptoir de l'accueil qui était proche, un stylo et écrivit : « Hai ! Comment vont-ils ? »
Ne vous inquiétez pas pour le blond, il va s'en tirer. En revanche pour le brun, … nous ne savons pas du tout ce qu'il a… ni comment l'aider à revenir de son coma… il n'a aucun traumatisme qui aurait pu causer cet état… je suis désolée…
« Bien. Puis-je aller à leur chevet ? », écrit –il au verso de la feuille.
Oui, ils sont tous deux chambre 707 (Malheur ! encore un coup du Roi des Démons ! lot (Cf. : Nana, c'est la phrase fétiche de Nana Komatsu)))
Gojyo remercia rapidement l'infirmiere d'un signe de tête, sans même essayer de la draguer…il était inquiet. Il n'essaya même pas de justifier son inquiétude envers les deux jeunes hommes qu'il avait amenés l'un après l'autre, en courant, sous la pluie…La pluie avait commencé peu après le début de l'attaque, malgré un début de journée ensoleillé…Gojyo ne s'en étai rendu compte que quand il avait dû sortir…accompagnant le premier blessé a l'hôpital.
Il ne savait pas pour qui il s'inquiétait le plus, Sanzo ou Hakkai ? Hakkai bien sûr. Avait-il enfin compris … ou se disait-il seulement que Hakkai était le plus fragile des deux … ?
A suivre…
Chap. V fini…
Bon alors vous en pensez quoi ?
Reviews please? (Supli a genoux !)
Bon le chap. VI (VII et VIII également) est déjà envoyé a Hina…pourvu qu'elle se dépêche!
Rhalala….plus sa va plus je me transforme en machine a écrire…quand j'était en cours les chap. a la maison on les tapes sur l'ordinateur…Chap. VI et VII a Hina, Chap. VIII fini. J'en oubli même mon Bacs de français qui se profile a l'horizon, tel un orage menaçant ; prés a éclater….
A merde…mon bac est fini au fait ?# ! HORRIBLE ! Je n'ai pas aimé du tout…mais alors pas du tout ! T.T…j'ai ROYALEMENT tout foiré …pas grave… (Jretappe pour ceux que sa intéresse)
De plus je suis en 1ere S et ces en cour de Maths, de Physique chimie et de français que j'ai le plus d'inspiration….on comprend le faite que j'ai pas aimer mon écrit !
L'HORREUR !
Bon… a pluch'
Kiss…Dita
