kikoo! et ui, c'est enfin moi...je suis trés peu chez moi en se moment, sorry...
Sanzo : hé la chiasse !
Dita : Haï, qu'a tu mon petit Sanzounet d'amour ?
Sanzo : YA QUE TU PEUT PAS ME FAIRE REVENIR A MOI ? J'en ai marre de faire le mort, tandis que les deux a coté se bécotent presque sous mon nez bruit de flingue qu'on charge et ne m'appelle pas « Sanzounet » !
Dita : voyons, Sanzounet, on peut s'arranger, passe me voir cette nuit ?
Sanzo : pas question ! met en joue la pauvre dita Dita ?
Dita : la personne demandée est momentanément absente en fuite, veuillez laisser un message, après le bip…BIP.
Kanzenon : Bon, Ba, voila le chapitre VII, bonne lecture a tous…et n'oublier pas, une reviews fait toujours plaisir (même quand on est au fin fond de la jungle, tentant désespérément d'échapper à Sanzo…)…
RAR:
EnvyXEd : désolé de t'avoir fais attendre si longtemps la suite, mais en fait j'était en Angleterre deus semaine et la je repars pour encore trois semaines chez ma famille dans le sud...désolé...Sumimasen!
ôji kuroi: voila la suite...merci d'avoir corriger se chapitre aussi...kiss
The-Koruni: désolé de vous décevoir, Koruni-sama...lol... voila la suite...oui, c'est petit...mais sa me prend tout de même 14pages manuscrite a chaque fois...
Seilin: désolé...j'ai oublier de le précisé...j'était pourtantr sur de lavoir fait...oui, ce sont bien des personnage de FullMetal Alchemist...et puis...tant fais pas Ed, moi je te trouve trés beau et je ne trouve pas que tu est petit...
voila...
Bon allez, Chap. VII : …
Rencontre
Encore une journée, …encore ces mêmes troubles, …sa vie avant son emprisonnement restait décidément un mystère. En attendant, ce matin, notre petit saru avait beaucoup de choses à faire. A peine levé il passa dans la salle de bain pour se sentir moins mou, il avait décidément trop dormi (en même temps c'est de ta fautes nii-chan (abréviation pour Grand frère (affectif)), tu tes couché a 19h et il est 9h30 et tu te lève a peine, t'es une vrai marmotte ! Gokû : ce n'est pas de ma faute ! Ça fatigue plus de 24heures de réflexion ! Dita : 24 heures, chui septique là ! T'en es incapable ! Gokû : relit le chap. précédent ! …).
Après une bonne douche, alternant eau chaude et eau froide, il allât prendre son petit déjeuner et partit en quête de Kanzenon Bosatsu. Il la trouva assise sur un siége d'un rouge éclatant qui avait l'air des plus confortable. Elle regardait avec intérêt un lac remplit de fleurs de Lotus merveilleusement épanouies.
Bosa-chan ?
Haï, qui a-t-il mon petit Gokû ?
J'aimerais savoir pourquoi je suis ici ? Comment j'ai atterri au Tenken ? Je devrais être en prison ! Et aussi, comment va Sanzo ?
Aha ! Alors comme ça tu te souviens… bien. Si tu es ici, c'est a cause, justement, du meurtre de ces deux innocentes. Les sages du conseil voulaient, eux, t'emprisonner à nouveau et cette fois en veillant a se que tu y reste jusqu'à la fin de tes jours, dans une nouvelle montagne scellé. Ils te jugeaient trop dangereux. J'ai interféré en ta faveur. J'ai prétendu que vous étiez mes protégés, toi et tes trois « amis », expliqua la grande Déesse Kanzenon Bosatsu.
Arigatô ! Arigatô, je crois que je n'aurais pas supporter d'être enfermé une fois de plus…
Dô itashi mashite (de rien)
Et…Sanzo ?
Approche toi…et regarde dans le lac…
Le ton de Bosatsu était strict. Le saru s'approcha de l'étant, lentement. Il avait du mal à se décider. Qu'allait il trouver en regardant dedans ? Il jeta un petit coup d'œil rapide et craintif mais se qu'il vit le poussa à regarder plus longuement. Sanzo était étendu, dans un lit d'hôpital, une infirmière s'occupait de lui. Il était donc vivant. Hakkai avait les yeux ouverts et regardait en direction du rideau qui séparait les deux lits dans la chambre 707. Il était donc guéri ! Gojyo dormait au chevet de Hakkai…tout le monde était réuni… tout allait suffisamment bien pour qu'il n'ait pas trop à s'inquiéter…
Le petit saru regarda de nouveau du côté de son « maître » et fut surpris de voir… un vase contenant des fleurs jaunes au cœur marron…comme celle du Tenken…serait ce le Kappa qui les avait mis là ? Sûrement…car…
- Bosa-chan, appela Gokû.
- Haï ?
- Comment se fait il que j'était sourd avant d'arriver ici et que maintenant j'entend comme si de rien n'était ? Et que Hakkai soit aussi guéri ? Qu'est ce qu'il ces passé pour que l'on ait plus cet espèce de sort ?
- Hakkai et Gojyo ont compris pourquoi ils étaient dans cet état, c'est cela qui les a « guéris » de ce « sort ». Mais pour toi…tu es toujours sourd, …sur Terre ! Au Tenken mon pouvo…euh,…ce pouvoir ne fonctionne plus. Dés que tu quitteras le Tenken tu sera de nouveau sourd –car tu l'est encore et toujours, sourd, au battement de ton cœur…pour…, ajouta le Déesse pour elle-même-
- Nani ? Qu'a tu dit, Bosa-chan ?
- Rien, rien du tout ?
Gokû partit, assez heureux car il était libre, Sanzo était vivant, gravement blessé encore mais en vie et entre des mains compétentes, on l'entourait d'attention et de soin. Gojyo et Hakkai allaient mieux tout les deux, ils n'avaient aucune séquelle de la bataille contre les youkais du fils de Gyumao. Pourquoi serait il encor sourd si il retournait sur Terre- ? Le pauvre saru ne comprenais pas vraiment… elle avait dit quoi déjà… ?
Tout absorbé par ses réflexions, l'adolescent marchât au travers des rues et des jardins sans vraiment faire attention où il allait….
Il arriva devant un immense palais. Cela lui rappela quelque chose. Quoi ? Il ne savait plus trop, mais il ne s'y intéressait plus. Il commençait à s'habituer à ses souvenirs mutilés.
Il entra, passant outre les gardes. Cela n'avait pas vraiment l'air de les déranger car ils étaient a mi-chemin entre le sommeil profond et la somnolence.
Il faisait frais à l'intérieur, frais et sombre. Le saru se dirigea vers la source de lumière à l'opposé de la porte d'entrée. Il arriva prés d'un étang peuplé de fleurs de Lotus sublimes et de petits poissons rouge, formant un tout plus charmant encore que l'arrière cour de chez la Bosa-chan.
Le singe tourna la tête vers la droite puis vers la gauche où il vit un fauteuil similaire à celui de Kanzenon Bosatsu. Quelqu'un était assis sur ce fauteuil, à première vue, il devait avoir le même âge que lui…La pose prostrée du garçon faisait penser à quelqu'un de vide, à quelqu'un dont l'âme se serait enfuie. Malgré tout, ce visage vide d'expression lui rappela quelqu'un…
Des éclat de rire, une plaisanterie, dont il avait peur des représailles, et un devoir à accomplir lui revinrent en mémoire…il s'assit en tailleur sur le sol devant le jeune homme. Il regarda ses poignets et chevilles, ces premières posées sur les secondes, s'attendant presque à y trouver de lourdes chaînes. Mais il n'en portait pas. C'était un souvenir de sa vie passé ici…Il avait pris sa décision, peut importe le temps que sa mettrait, il voulait se souvenir de lui, cet inconnu qui regardait au travers de lui.
Quelques minutes passèrent, puis ces minutes se changèrent en heures…Quand soudain…
« Nataku ! »
Il se souvint enfin de son compagnon d'une journée… il lui avait promis de le revoir pour pouvoir lui donner son nom.
« Je m'appelle Gokû. Son Gokû. »
Il n'avait pas eu le temps car il était parti en mission peu après leur rencontre. Il était rentré blesser et c'était effondré dans ses bras, plongé dans un profond coma, presque mort…il perdait beaucoup de sang. Le saru avait quitté le Tenken avant son réveil mais l'avait veillé le plus possible avant de partir.
Il n'avait pas eu le temps de lui dire combien il lui était reconnaissant de lui avoir dit si gentiment que c'était « vraiment cool » qu'il soit une aberration, même si il « ne savait pas vraiment se que cela voulait dire » car au moins, il était véritablement « unique », aussi bien sur terre que dans le Paradis Céleste. (Les mots entre «» sont les paroles de Nataku (Voir Saiyuki Gaiden)).
« Merci Nataku. Toi au moins tu as compris que j'avais un cœur et une âme. Que je n'étais pas seulement un animal, une aberration, un être inhumain. »
Le saru se levât et déposa un baiser sur les joues de Nataku, comme il l'avait souvent fait avant, en le veillant.
« Merci mon ami, arigatô. »
Il s'apprêtait à re-rentrer dans le palais afin de retourner chez Bosatsu. Il se retourna une dernière fois,
« Je reviendrais Nataku,…tous les jours, jusqu'à ton réveil, jusqu'à se que tu accepte de jouer de nouveau avec moi, car tu es mon ami. Mon meilleur ami, car même si j'en avait plein, se serait toi que je chérirais le plus, Nataku. Et cette fois, je ne quitterais pas le Tenken sans avoir vue tes yeux reprendre vie… »
Gokû sortie du palais sans être dérangé par les gardes. Ceux-ci avait définitivement abandonné la lutte et rejoint les bras si attirant et accueillant de Morphée.
« POV Nataku. »
Attend… ne pars pas…pas encor….alors comme cela, tu ne m'avait pas abandonné ? Redis-moi ton nom, reviens…Tu ne m'en veux pas d'avoir nié ta présence pendant mon "rétablissement" ? Tu es vraiment un être exceptionnel et gentil…tu doit bien être le seul à grandir en gardant ton cœur enfantin. Tu es naïf sans vraiment l'être…Tu es resté avec tes opinions propres et tes sentiments. Tu es resté toi-même sans laisser les autres te pervertir… Même dans ton emprisonnement, Bosatsu m'a dit que tu restait le même…Je ne suis pas digne d'être ton ami… Je doit me réveiller… revenir a moi…Je vais y arriver…pour toi…mon ami….Mon seul ami…mais d'une valeur inestimable…Car pour toi je ne suis pas qu'une simple machine…à … Tuer
« Fin Pov »
La main droite de Nataku bougeât…très peu, mais suffisamment pour tomber de l'accoudoir, laissant le bras droit pendre dans le vide.
…
Les heures passèrent au Tenken et le soir arrivât. Les rougeurs apparurent dans le ciel, apportant la visite de la Déesse de l'Amour et de la Miséricorde auprès de l'ancien Dieu de la Guerre. Sa visite était quotidienne et presque ponctuelle…
« Bonjour, ou plutôt Bonsoir, cher Nataku. Gomen nasai, demo, je n'ai pas pus me libérer plus tôt. Gokû me donne bien du travail en plus. Pour surveiller tout ce petit groupe, il ne s'agit plus simplement de regarder dans mon miroir sur Gekaï mais il faut également que je cherche ce petit saru de partout. Je ne m'ennuie plus du tout ! Je n'en ai vraiment plus le temps ! »
La Déesse se tourna vers son "interlocuteur". Quelque chose la surpris. Elle ne vit pas bien quoi tout de suite. Elle compris au bout de quelques minutes (le temps que sa monte au cerveau (Dita : elle en a un ? KB : Bien sûr ! Sinon je ne serrait pas si intelligente ! Dita : Toi ? Intelligente ?Mouhahahahahaha !)). Le bras droit ?
Elle attrapa délicatement le bras droit du jeune homme et le reposa a se place.
« Que t'arrive t-il ? Gokû t'aurais t-il rendu visite ? Pourquoi, sinon pour cela, te serai tu enfin décidé a bouger… »
Neuf coups sonnèrent au loin. Elle devait rentrer si elle voulait manger avec le saru qui devait l'attendre et parler avec lui pour pouvoir en apprendre un peu plus sur l'emplois du temps de la journée de celui-ci. Avait il vraiment rencontré Nataku ?oui, elle en était sûre…mais, que lui avait il dit ?
« Je te laisse, Nataku. Je reviendrais plus longuement, je l'espère, demain… »
Elle allait sortir quand elle se souvint de quelque chose…
« Gyokumen à réussit a voler le sutra sacré de Genjo Sanzo, ce dernier ne le sait pas encore, en fait personne ne s'en est rendu compte…elle a envoyé Lee, son chercheur en personne…cela lui fait maintenant trois sutras sur les six…les avancés de ses chercheurs sont de plus en plus rapide depuis quelques jours. L'équipe de Sanzo étant pour le moment KO je pense qu'elle va en profiter pour planifier d'autre vols et ressusciter son cher époux…Gyumao… »
Elle sortit, laissant Nataku, elle en était sûre, en proie a une intense réflexion, malgré que son visage reste de marbre.
« Sur Terre »
Hakkai se réveilla le sourire aux lèvres. La veille il s'était endormi le cœur léger, enfin libéré. Il tourna la tête vers le kappa qui dormait, le haut du corps avachis sur le lit du brun. Quelqu'un frappa à la porte. L'infirmière entra quelques secondes après et fût heureuse de constater que l'un de ses patients était réveillé. Elle se dirigea vers le plus mal en point, un grand ange blond, qui depuis la veille au matin avait des mouvements prouvant qu'il s'en sortirais bientôt…ce n'était qu'une question de temps…
Après avoir accompli son travail auprès du premier, elle se tourna vers le couple, « je pensais bien que ces deux là étaient ensembles. ». Elle fit quelques vérifications, pris le pouls, observa les pupilles du youkais et fut heureuse de constater que ce dernier était bel et bien guéri. Elle annonça au brun qu'il pourrait sortir une fois son « ange rouge » réveillé. Elle sorti, laissant traîner derrière elle son rire joyeux et chantant et les abandonnant, seuls. Hakkai réveilla son amour en caressant délicatement ses cheveux rouge sang. Il put apprécier la douceur et la chaleur de la chevelure du tabou. Le petit saru n'avait pas eu tord en les comparant avec le feu. Où était ce dernier, à cette heure ? Le connaissant, il devait être en sûreté car il était fort et gentil…et puis Kanzenon veillait sur lui. Il ne put terminer ses réflexions car un démon rougeoyant profita de celle-ci pour lui voler un baiser, qu'Hakkai récupéra presque aussitôt.
J'ai une bonne nouvelle, commença Hakkai.
Ah ! laquelle, le coupa Gojyo ?
Je peux sortir!
Le kappa, fou de joie embrassa de nouveau l'homme de sa vie.
- Mais comment l'a tu su ? Questionna le rouquin
- L'infirmière est passée tout à l'heure…
- Nani ? Et tu ne m'as même pas réveillé, s'esclaffa le play-boy roux !
- Iie, je suis désolé mais je n'en avais vraiment pas le courage ! Pourquoi ? Cela te dérange t-il autant que cela ?
- Non, ne t'en fait pas,…bon, tu te prépare et on y va ? Pendant que tu t'habilles je vais chercher quelque chose.
- Bien.
Gojyo sorti et revint a peine cinq minutes après. Le brun était sous la douche, il ne l'entendit pas tout de suite. Le demi-sang alla au chevet de Sanzo et y renouvela les fleurs dans le vase, des fleurs jaunes au cœur brun, évoquant les yeux et les cheveux de Gokû, qui avait tout fait pour le sauver.
« Occupe toi de Sanzo, je t'en supplie,… »
C'était les dernières paroles du saru avant de disparaître dans un halo de lumière.
« - Je tiendrais ma promesse, espèce de baka saru. Même si cela me coûte. Je m'occuperais de cette pourriture de Bonze. Mais dépêche toi de revenir…ok ? »
A qui tu parle Gojyo ? demanda Hakkai.
Rien, ce n'est rien.
Hakkai trouva les fleurs très jolies et en voyant les couleurs de celle-ci et en les assemblant au bribes de paroles entendues, devina la promesse qu'avait dû faire son amour a Gokû.
Gojyo se retourna et embrassa Hakkai sans que celui-ci ne s'y attende. Le kappa attrapa le sac de ce dernier. Ils sortirent de l'hôpital et se dirigérent dans une ville voisine. Gojyo en profita pour raconter a son compagnon tout se qu'il avait loupé depuis le matin de cette journée désastreuse, du réveil a l'attaque, dans les moindre détails. Puis expliquer rapidement l'arrivée à l'hôpital.
Le lendemain Sanzo fût transporté dans un autre hôpital, au grand damne (ôji : et non grand dame comme tu dis dita ! (Dita : pffft…c'était un jeu de mot...sérieux sa s'écrit damne ?)) de l'infirmière de celui-ci qui s'en était entiché et voulait s'occuper de lui jusqu'à son réveil. Celle-ci abandonna la lutte en apprenant que son nouvel hôpital était plus perfectionné…mais en profita pour demander sa mutation… (Dita : Tien Sanzo, tu arrive a attiré des femmes, Toi ? Sanzo : C'est bien pour toi que je ne puisse pas bouger, sinon tu serai déjà semblable a une passoire neuve ! Dita : Gloups ! # ).
Il avait décidé de quitter définitivement l'endroit ou c'était déroulé l'attaque. Après avoir portés leurs condoléances et excuses pour la mort des jumelles à leurs parents. Ceux-ci n'avaient exigé qu'une seule chose, qu'ils disparaissent et loin. Ils ne voulaient plus les revoir, ils avaient trop de chagrins. Ce que le couple Gojyo Hakkai comprit facilement. Ils respectèrent le voeu des parents.
Ils prirent une chambre pour une personne (la seule qui restait) dans l'auberge prés de l'hôpital de la nouvelle ville, a plus d'une heure de route.
A SUIVRE…
« Fin Chap. VII… »
Dita : FINIIIIIIIIII, Vivement le chap. VIII…………..qui est déjà bien avancé…enfin fini…bon a pluch', je m'enfui avant que Sanzo ne me trouve…please…REVIEWSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS….
(Ôji : je serai toujours la pour te protéger de cet odieux Sanzo dita-sama ! je suis a genoux)
Dita : pffft…je fait se que je veut de se serviteur…Mouhahahahahahahahahaha ! bon…quand est ce que Hina me serat aussi dévoué ? espere…déséspérément…
sans la voir…je sent que Hina s'énerve et est prête a me frapper…j'ai peur !
Sanzo : koi ? tu es revenu ? tu veut vraiment te faire tuer ?
coup de feu…un, deux…trois ?
Dita :…il n'y a plus de Dita…elle s'est enfui…si elle a survécu au trois coup de feu de Sanzo…se qui n'est pas sûr…
Ps…REVIEWSSSSSSSSSSSss !
KISS,…
Dita…
