Son Dita : kikoo ! Encor moi ! Sa va ti ? Oui, oui, jusqu'à se que j'arrive vous vous portiez tous à merveille, mais il a fallu que j'apparaisse….g abandonné la jungle…c pas encor assez sûr ! #...mai ou vais je pouvoir me cacher ? Quelqu'un veut bien m'héberger…sans en profiter pour me tuer ? Hina ? (Nan, mauvaise idée….déjà qu'en cour c limite si elle ne m'égorge pas (ou ne me rue pas de coup) a cause de mes fautes,…alors chez elle….HELPPPPP ! (Ôji : moi je veux bien t'héberger pour la modique somme deeeeee … euh … bah en fait tu peu me payer en nature sa m'arrange ) SD : sale pervers ! # j'ai encore plus peur ! hina ! hébérge moi ! )
Bon aller…tant que Sanzo n'est pas là… (Il fume dehors, on a pas le droit a l'intérieur…c'est con,…sa doit être bon une clope sur l'ordinateur…dehors c'est chiant….surtout quand il caille et qu'il pleut…#….)
RAR :
Syt the Evil Angel : Merci bocoup pour cette reviews ! ce chapitre devrais te plaire…pour un sanzoXgokû tu devras attendre encor un peu…Gomen nasai…
Seilin: Sei Gojyo, je vous attend…a trois…on réussira a le vaincr…a bien se caché ! # voila la suite…et Sanzo ! a la niche ! ta pas a ennuyer mes reviewer et revieweuse ! compris ? Sanzo : ui, j'ai compris…tu veux vraiment cerver, hein ? Dita : gloups…a la prochaine reviews seilin ! bye ! (par en courant)
Chap. VIII : double réveil…
« Au Tenken »
Le jeune homme aux yeux dorés se réveilla pour une nouvelle journée qui allait sûrement être aussi remplie que les précédentes. Son sommeil avait encore était troublé par les souvenirs,…chaque nuit ils revenaient, et chaque nuit le petit saru déchirait un nouveau voile qui les dérobaient à sa vue…ils y arriveraient. Cela n'était qu'une question de temps, Kanzenon lui avait déjà affirmé,…ils reviendraient en temps et en heure !
…
Il faisait chaud, très chaud. Il entra donc dans la salle de bain. L'eau froide coulait sur son corps bouillant …cela lui fit le plus grand bien. Il allât ensuite satisfaire son estomac, qui était, comme toujours, nous devons bien l'avouer, désespérément vide !
Son devoir auprès de son estomac accompli, il partit rendre visite à Nataku. Les gardes somnolaient toujours, décidément, soit il n'y avait pas beaucoup de tour de garde, soit leurs postes étaient vraiment ennuyeux à mourir, soit, dernière possibilité, ils étaient les chouchous de Morphée.
…
«Bonjour Nataku ! Je t'ai apporté une branche de cerisier en fleurs. Ce sont mes fleurs préférées. Elles sentent tellement bon, avec leur parfum aussi léger qu'une brise fraîche au plus chaud de l'été…»
Le jeune homme déposa les fleurs sur les genoux de Nataku après les lui avoir fait sentir.
« Quand pense tu ? Les aimes tu ? »
Le saru s'assit en face de son ami dans la même position que la veille…il contempla longuement la vue de son jeune ami avec la branche lourde de fleurs posées sur les cuisses.
« Je me demandais, hier soir, ce que je pourrais bien te raconter quand je te reverrais…je pense que le mieux c'est de te parler de mes compagnons de route, Sanzo, Gojyo, Hakkai et Hakuryu.
Sanzo est le plus sévère, c'est lui qui commande, car c'est lui qui paye…avec la carte des trois je-sais-plus-quoi. Il s'énerve facilement, surtout quand Gojyo et moi on se dispute, ce qui nous arrive souvent. Heureusement il y a Hakkai ! Il arrive toujours à calmer les situations les plus critiques…Hakuryu et l'animal de compagnie de Hakkai ! C'est un dragon blanc –d'où son nom- qui se transforme en voiture ! C'est grâce à lui que l'on peut aller vers l'Ouest pour empêcher la résurrection de Gyumao.
… »
Le saru parlât à son amis pendant plus de deux heures, le temps passait et il lui racontait toutes les aventures qu'il avait vécu avec ses compagnons, les nombreuses attaques de youkais qu'ils avait essuyés, les combats avec Omura, Zenon et Shien…cela sembla le faire réagir…ses mains se crispèrent quand il parlât de Shien…mais le saru ne le vit pas, il avait les yeux fermés…
« Go... kû… »
Se ne fut qu'un murmure, mais il réussit à tiré Gokû des souvenirs de son ancienne vie quotidienne, quand il était sur Terre, qui affluaient en masse depuis l'instant ou il avait fermé les yeux. Nataku avait parlé ! Se n'était qu'un souffle, mais il avait parlé tout de même !
La main droite de l'ancien Dieu était posée sur les fleurs, un sourire timide était accroché à ses lèvres.
« Nataku, tu as bougé ! C'est super ! Continue comme cela ! Continue tes efforts !
- A…ri…ga…tô, souffla Nataku, bougeant à peine les lèvres.
- Pourquoi me remercie tu ? Je devrais m'excuser de t'avoir abandonné, il y a 500 ans, mais voila, je ne sais pas comment faire ! Et toi, tu me remercies ! Là je ne te comprends pas ! Tu devrais m'en vouloir, peut être même me haïr ! Peut après ton retour, j'avais promis de rester à ton chevet, pour te veiller jusqu'à ton réveil. Mais au lieu de cela, mes absences se sont multipliées, de plus en plus longues… ensuite je suis parti…je t'ai oublié pendant mes 500 années d'emprisonnement, et je ne me rappelais plus de toi. Du moins jusqu'à hier ! Pardonne-moi Nataku ! Je t'en supplie, PARDONNE-MOI NATAKU !
- Ne dit pas n'importe quoi ! Tu m'as veillé un mois, jour et nuit ! Sans quitter ne serait ce qu'une seconde mon chevet ! Je voulais te dire de sortir…mais j'avais peur, en me réveillant, que tu t'en ailles ! Ensuite Kanzen t'a obligé à sortir, et il avait raison ! Tu croyais peut être que je ne te voyais pas, ne t'entendait pas ?
De rage Nataku c'était levé, les fleurs étaient tombées à ses pieds…
Gokû n'en cru pas ses yeux ! Son ami était enfin revenu à lui…et d'une manière si brusque ! On pouvait enfin lire, sur le visage, d'habitude de marbre, la colère qu'il éprouvait face à l'injustice que s'imposait son unique ami… un ami plus précieux que sa propre vie…
Le saru se leva d'un coup et sauta dans les bras de son ami, lui plantant un énorme baiser sur chaque joue. Il était si heureux !
- Désolé Nataku, je ne voulais pas t'énerver ! S'excusa le singe.
- Arrête de t'escuser, nous somme tous les deux responsables. Oui, nous avons tous deux notre part de responsabilité dans cette séparation. Ah, mon ami ! Je suis si heureux de pouvoir enfin te serrer dans mes bras ! Si on sortait faire un tour, proposa l'ex-Dieu, j'ai l'impression de m'éveiller d'un trop long cauchemar. De plus, je ne supporte plus la vue de ce lac !
- D'accord !
Les deux jeunes hommes sortirent sous les yeux ébahis des deux gardiens – enfin réveillé ? (Bas, ils ont crié vachement fort n'empêche !) – qui ne savaient pas comment ils allaient expliquer au sage que l'ancien Dieu de la guerre, Nataku, était de nouveau apte à exercer ses fonctions.
…
Kanzenon Bosatsu arriva au palais de Nataku sur les coups de huit heures pour lui rendre sa visite quotidienne. Elle failli s'effondrer de surprise et de stupéfaction en voyant le siége vide de l'ex-Dieu de la Guerre. Il y avait des pétales de fleurs de cerisier répandus partout sur le sol de l'arrière cour et sur la surface de l'étang…la stupeur fut bientôt remplacée par la joie. À ce rythme là, elle n'allait pas retrouver son ennui avant longtemps, très longtemps ! « Encore un coup de ce cher petit saru… il va encore provoquer une sacrée pagaille au sein du conseil et même au sein du Tenken entier ! Mouhahahaha ! …J'ai hâte de voir cela…on va encor avoir de l'amusement pour un bon bout de temps ! »
Bosatsu reparti heureuse de sa courte – très courte – visite.
« Au Gekaï »
Quand l'ancien humain se réveilla par ce chaud début de journée, il constata la présence d'un intrus dans son lit…
« - rha ! Gojyo ! Qu'est ce que tu fou là ? Questionna Hakkai.
- Ba, j'en ai marre de dormir tout le temps par terre sur des mauvais futons. Alors je me suis dit que toi et Hakuryu n'aviez sûrement pas besoin d'un lit à deux places pour vous seuls ! Expliqua le Kappa pervers.
- Bon ok, mais je te signale que t'as perdu au Janken hier soir ! Mauvais joueur ! Pour la peine, tu ferras le lit… d'accord ?
- Ok ! Ok ! Mais pourquoi as-tu refuser que l'on dorme ensemble ? Je ne vais pas te dévorer ! (ôji : T sûr gojyo ? Gojyo : mêle-toi de la correction toi ! Le reste ne te regarde pas !) Demanda le rouquin.
Le brun aux yeux verts angélique ne releva pas la remarque et partie prendre une bonne douche car, malgré que le soleil soit à peine levé, il faisait déjà plus de 25°c. Le demi-sang refit le lit le plus rapidement possible. Puis il se dirigea vers la salle de bain, avec l'intention d'y rejoindre Hakkai. Il se retint cependant, préférant attendre le moment où son amour l'y convierait, même s'il devait attendre des années.
Il allait enfiler un pantalon et un T-shirt mais préféra rester en caleçon, abandonnant la lutte devant la température ambiante. Il laissa donc apparaître son corps merveilleusement musclé (Dita : Rha ! Mon chéri ! T'es trop beau ! Gojyo : je sais, je sais ! Dita : sa va les cheville ? Gojyo : oui, oui, pas de soucis ! Se n'est que la pure vérité, tu l'as dit toi-même ! (Dita : rha celui là ! Pas trop égocentrique ! # Mais je l'aime comme il est ! ) (Ôji : t'aimerai pas kil ne soit consacré ka toi et uniquement a toi ? (Mais c'est déjà le cas…dés qu'on est seuls tout les deux…(mmm….))).
Son compagnon sortit bientôt de la salle d'eau, portant, lui aussi, pour tout habit un simple caleçon. Son torse était encor humide de quelques gouttes d'eau égarée.
Le métis s'approcha de l'élu de son cœur, l'embrassa et se chargea de la précieuse mission consistant à éliminer l'ennemi. Il lécha toutes les gouttes d'eau qui profitaient du si beau et si fragile corps de son aimé.
« - Gojyo ! Qu'est ce tu fais ? Arrête, voyons ! Protesta l'ancien humain. »
Ce dernier tenta de s'échapper mais Gojyo eu tôt fait de le coincer contre l'un des murs de la chambre et appuya ses mains sur ce mur, de chaque côté du brun. Il coupa ainsi tous les issus possibles à Hakkai. Ce dernier ne se retint plus et se mit lui aussi à embrasser "son autre". Se fut un chaste baiser échanger en quelques seconde qui en appelait de plus torrides.
Le rouquin répondit presque immédiatement à ce tendre baiser. Sa langue caressa les lèvres de Hakkai. Il hésita quelques secondes puis entrouvris ses lèvres. La langue du Tabou, fort de cette autorisation, pénétra dans la bouche du brun et commença son exploration. Elle visita les moindres recoins de cette bouche tant aimée et désirée avant de s'amuser avec la langue de l'ancien humain. S'en suivit une longue et palpitante lutte. Joute que remporta, bien évidement le demi. Cette victoire était due, ne le cachons pas, au fait que celui-ci avait tout de même plus d'expérience que son compagnon. (Ôji : d'où son surnom de kappa pervers Sdita : exact !)
Les mains de l'être aux yeux et cheveux rouges quittèrent leurs appuis sur le mur pour partir visiter le corps prit au piège. Il manoeuvra de telle manière à ce que Hakkai butta et s'effondra sur le lit, l'hentai no Kappa allongé sur lui. Les mains furent bientôt relayées par les lèvres et la langue qui tentèrent d'apprendre par cœur les moindres courbes du corps de cet être chéri qui ne pouvait plus retenir les petits gémissements de plaisir qui commençait à s'élever dans la chambre. Les dents du cafard rouge se joignirent alors aux réjouissances (ou plus simplement « aux jouissance » et s'amusèrent avec les tétons du youkai.
Mais tout cela n'était que diversion, car la véritable action se déroulait plus bas… En effet, les mains du demi caressaient déjà le membre dur du brun, par dessus le caleçon. Gojyo embrassa fougueusement Hakkai, puis s'éloigna un peu, Hakkai le repoussant. Il continua tout de même ses caresses, tout en écoutant son amour.
Hakkai tenta de protester et de s'éloigner encore, ordonnant au rouquin d'arrêter. Le demi-sang rit quelques instants…
« - Pourquoi rit-tu, Gojyo ? demanda l'homme au yeux vert angélique. Arrête, je t'en supplie, arrête !
- On voit bien que ta supplique n'est là que pour la forme ! Je suis sûr que tu as autant envie que moi…si ce n'est plus, …d'aller plus loin… - sauf que tu n'est pas prêt, pensa le demi, d'accord, j'attendrais, j'attendrais le temps qu'il faudras…mais cela va être dur de me calmer…-
En effet, l'ero Kappa sentait la partie la plus intime de celui qui serai un jour, il se le promettais, son amant, devenir de plus en plus dur.
Hakkai se savait découvert, il ne savait plus quoi faire. Il décida donc de faire confiance en celui qu'il aimait, quitte à le repousser si vraiment il allait trop loin. Il n'était pas si faible que cela. Mais Gojyo se releva, glissa un « Gômen » et parti dans la salle de bain.
Malgré l'eau froide, il fallut a Gojyo un certain temps avant de réussir a ce calmer… il avait dû lutter plus d'un quart d'heure sous la douche.
Il avait à peine de réussi à se calmer tout à fait qu'il entendit Hakkai entrer dans la salle de bain. La porte de la douche s'ouvrit puis se referma… Gojyo senti le corps tiède de l'ancien humain se coller au sien…
« - Oui, tu as raison, moi aussi j'en ai envie, terriblement envie… »
A peine avait il fini de dire cela que Gojyo se retourna et repris ses caresses…
…
Il était plus de midi quand Gojyo sortit de l'auberge afin de rendre à Sanzo sa visite quotidienne. Comme il l'avait promis au Baka Saru.
Il avait dû refaire une deuxième fois le lit, l'ayant malencontreusement défait –oui, c'est sa Dita, on va te croire…avec ton esprit tordu- avec l'aide de Hakkai, qui avait refusé de l'aider à le refaire, Lui !
Ils avaient finis allongés côte a côte, en sueur, essoufflés, le sourire au lèvres… ils avaient fait un pour la première fois, ils s'étaient unis pour le meilleur comme pour le pire – à non, sa c'est pour les mariages…oups ! - . Ils s'étaient unis et s'étaient prouvés ainsi l'intensité de l'amour qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre.
…
Gojyo fit un petit détour et atteint le centre hospitalier vers treize heures. Il avait dû acheter des fleurs –avec la carte de Sanzo, bien sûr ! Pas avec SA tune ! # - et en avait profité pour fumer…à être enfermé dans un hôpital autant de temps pour veiller les deux blessés, il en avait oublié le bon goût de la clope.
Il renouvela les fleurs puis sortit à l'encontre d'une infirmière afin d'avoir des nouvelles sur l'état du Bonze.
« Ne vous inquiétez pas, il n'y a plus de risque d'hémorragie et le traumatisme crânien s'avère moins aigu que prévu. Il devra bientôt revenir à lui. Il aura peut être quelques difficultés au début à comprendre ou à s'exprimer...mais il n'y a rien de grave. Enfin je l'espère. »"
Gojyo retourna dans la chambre du Bonze et se mit à tout lui raconter. Pourquoi il était là lui qui se disait fort et aussi pourquoi il venait lui rendre visite. Et comme il avait envie de parler il lui résuma les événements depuis son coma à maintenant.
« Au faite, saleté de Bonze, les youkais on réussit à te voler ton soutras sacré. Je ne sait pas comment ils ont fait, ni quand, ... mais une chose est sure, on les avait tous exterminés. Quand je t'ai amené à l'hôpital, tu l'avais toujours. C'est au moment du changement d'hôpital qu'on s'en est rendu compte, Hakkai et moi. Il ne restait plus qu'un mot :
« Nous avons 3 des 6 soutras, bientôt 4. Avec mes plus sincères salutations,…nî. »
- Putain il m'énerve celui la ! C'est un malade mental ! En plus il se fout de notre gueule… et puis ce baka saru qui ne réapparaît pas…
- NANI ? »
Sanzo c'était relevé, les yeux grand ouvert. Il se tourna du coté du kappa, se guidant à sa voix.
- Que dit tu ? Plus de soutras ? Et cet animal juste bon à se battre qui a encore disparu. K'so ! En plus je suis toujours aussi aveugle…au fait, pourquoi toi tu parles ?
- Hakkai et moi avons trouvé la source du problème.
Gojyo était surpris, il avait répondu par réflexe, trop choqué pour réfléchir. Il avait failli tomber en voulant se relever de sa chaise. Sanzo avait réagit pile au moment où il parlait du saru, pour une coïncidence, s'en était une énorme, trop peut être même pour qu'il y croit !
L'infirmière, qui soignait un malade à coté et était sortie dans le couloir à se moment là ; entra précipitement dans la chambre du blond.
« - Il est interdit de crier ici, mes…il est réveillé ? ». Pour le coups, c'était elle qui avait crié. Elle était plus que surprise que son beau malade soit si proche de la guérison.
…
À quatre heure, Sanzo sortait de l'hôpital aidé (le plus discrètement possible, bien sûr) par Gojyo, et cela jusqu'à se que l'infirmière ne les voit plus. Là Gojyo laissa Sanzo se débrouiller seul.
…
Une fois à l'auberge, Hakkai et Gojyo lui avait ré expliquer rapidement se qui c'était passé…
Sanzo réfléchit quelques secondes avant de comprendre… (Ôji : il est un peu lent sur la gâchette le bonze (Dita : nan, il n'est pas lent, c'est juste que la situation est compliquer ! Sanzo : Toi aussi tu veut crever, Ôji ? t'enfuie, pas !au fait…merci Dita…toi au moin tu comprend la difficulté de la situation…Dita : en plus tu sors de l'hôpital…sa doit etre dure ? (faux cul… moi ? nan…(enfin si…mais…chuuut !)Sanzo : Arigatô de ton soutien…j'm'occupe d'Ôji et je revien !))
« BOSATSU ! »
Il avait crié, non, hurlé, si fort que Hakkai et Gojyo eurent peur un instant…
A Suivre…
Fin Chap. VIII
Sanzo : rha ! Il pleut encor, je suis trempé ! Jen ai marre ! Pourquoi je ne peux pas fumer a l'intérieur ?
Dita : c'est pareil pour tout le monde ! #
Sanzo : je suis un haut moine !
Dita : le jour ou tu arrêtera de fumer, de boire, de tuer n'importe qui pour n'importe quelles raison et que tu suivra la voie de Bouddha, je te considérerai comme tel !
Sanzo : Témé…bruit du chargeur
bruit du chien
Dita : oh !oh ! Calme, remet la sécurité !moi aussi je doit fumer dehors !
Sanzo : NON ! Jvé te buté ! (Ôji : naaaaaaaaaaaaannnnnnnnnn ! la tue pas ! on veut savoir la suite ! après … tu fait se que tu veux avec elle (euh … la fait pas souffrir kan même ))
Dita : plus la, elle est retourné dans la jungle, décidément, c'est plus sûr la bas !
Sanzo : en fait, Dita tu peut revenir…j'ai une nouvelle cible…Ôjiiii ?Où est tu Ôji-kun ? quoique je doit me venger…je suis toujours aveugle saloie d'auteuse !
Pour les reviews…sa marche, même au fin fond de la foret Amazonienne, marde, jme suis vendu, vite, ailleurs ! #…nan ôji tire toi ! séparé on a plus de chance de survivre !
Kiss, Son dita
