Bonjour! et ui, je suis de retour, petit rapel, les perso et l'univer saiyuki ne m'apartien pas! vive Minekura-sama!
ôji : sanzounet … on peut peut-être s'arranger … la violence ne résout rien …
Sanzo : j'men fou ôji ! Tu vas mourir ! Et ne m'appel plus comme sa ! ok ?
doux bruit d'un doigt qui se pose sur la gâchette, du chien qui et retiré
Ôji : ditaaaaaaaaaaaaaaaa ! Sauve moiiiiiii ! Ou gojyo ! Je sais que tu m'aimes ! Sauvez moiiiiiii !
Dita : soit tu m'apelle Dita-Sama, soit tu creve !
Gojyo : je n'aime QUE ma Dita d'amour !
Ôji survivrat il ? a vous de décider ! dite moi si je doit le sauver ou si je le laisse crever !
Annonce : les ajout de chapitre ce ferons plus éspacé…car avec les cours, je n'aurais plus trop le droit d'aller sur le pc ! désolé ! se sera un chapitre tout les un mois et demi, deux mois ! SUMIMASENNNNNNNN !
Réponses aux reviews (qui sont passer a trentes ! merci beaucoup !)
Seilin : euh…tu sort un bazzoka, et tu ne fais QUE assomer Sanzo ? t'aurais pas pus nous en débarréssé ? quoi que sans lui, le reste de ma fics tombe a l'eau ! bon allez, voila la suite !
The-Koruni: et oui, j'adore Nataku, alors, voila…je pouvais pas le laisser dans cette état ! sinan, demande a Kanzenon, je suis sûr qu'elle voudra bien t'aider, elle aime utilisé ses « pouvoir » et ainsi se montrer supérieur !
Syt the Evil Angel: sorry de te faire attendre…le lemon SanzoXGokû est prévu…mais pas encore écrit…vers le chapitre douze surment…vraiment désolé !Gomen nasai !en attendant, voila la suite !
Lillou: merci! Cela fait toujours plaisir d'avoir des reviews venant de « nouveaux/nouvelles » lecteurs (lectrices)…voila la suite !
Je suis toujours autant ému a chaque fois que je lis vos reviews….Arigatô (s'incline). Merci de m'encourager ! c'est un peu (beaucoup) grace a vous que je continue ! Thank you !
Chapitre IX : Révélation
- Pourquoi m'as-tu appelée ?
-Rend moi ce con de singe que je l'engueule pour sa connerie ! Mais qu'est ce que j'ai fait pour être entouré de cons comme ça ? De plus je suis son maître. Et son rôle était de protéger le sutra…cela lui fait deux conneries à son actif ! Argumenta le bonze.
-Est tu sûr que se soit uniquement pour ces raisons que tu souhaite le revoir ? demanda la grande Déesse de l'Amour et de la Miséricorde, Kanzenon Bosatsu.
-Haï ! aboya presque le bonze.
-Arrête de mentir…mon cher neveu ! pourquoi ai-je fait de toi un aveugle, d'après toi ?
-Alors tu avoue ! Pour t'amuser ?...
-Un peu oui…mais il y a une autre raison ! c'est tout simplement parce que tu te caches la vérité, Kanzen ! accepte de la voir en face…et tu retrouveras la vue. Dés que cela sera fait je t'emmènerais au Tenken pour que tu y retrouves Gokû. Mais je sais qu'il se trouve très bien au Tenken. Il y a retrouvé des amis de longues dates. Ces amis là au moins ne le trouve pas « inutile », n'est ce pas mon cher Kanzen ?
-Je m'appelle Sanzo, Genjo Sanzo ! et je ne vois pas comment il aurait pu retrouver des amis au Tenken…
-Tu crois quand même pas qu'il est né dans sa prison et y a passé toute sa vie ? Il a vécu avant…cher Kanzen Doji.
-Ne m'appelle pas…
-Trop tard, Sanzo, l'interrompit Hakkai, elle est déjà partie…
Hakkai arborait son sourire habituel toujours la pour apaiser et calmer ces trois compagnons…mais aujourd'hui, ce sourire était bien inutile…Sanzo ne pouvait pas le voir.
Sanzo se leva il se dirigeât vers la porte, aidé par les indications très discrètes d'Hakkai…qui se doutait que son ami n'aimait pas se sentir « réduit » ainsi, surtout pour le bon plaisir d'une Déesse qui se disait la meilleure de toutes et la plus belle. Tout cela parce qu'elle ne fait de sa vie qu'une longue recherche de l'amusement !
Sanzo descendit les marches, doucement, mais sans pour autant tâtonner, il avait une excellente mémoire et se souvenait du trajet fait avec Gojyo de l'hôpital jusqu'à l'auberge par cœur. De plus, même s'il ne voyait rien, ces yeux étaient ouvert…tout laissait croire qu'il voyait…et très bien même.
Une fois dehors il partit dans le sens opposé de l'hôpital. Avec ses vêtements et son chakra sur le front…les gens se poussaient sur son chemin.
Sanzo se dirigeât au hasard des rues se guidant grâce à son ouïe, qu'il avait très fine, heureusement pour lui, et au souvenir des autres villages…tous ces petits villages était construits de la même manière à quelques détails prés. Il tapait discrètement dans quelques cailloux…qui rebondissaient contre les murs avec un son plus matte que sur la route, afin de se diriger au son…plus on a d'indices mieux c'est.
Il réussit sans trop de difficultés à sortir du village. Le village était entouré de désert seulement troublé de ci de là par quelques montagnes…cela, Sanzo ne le savait pas…il y avait une oasis plus grande que le village à peine à 100 mètres. Sanzo se dirigeât dans la direction d'où provenait le chant des oiseaux. S'il y avait des oiseaux, il y aurait sûrement un arbre où ils sont perchés ? Il avait chaud…puis il entra sous le couvert des arbres où l'ombre et un vent frais lui fit le plus grand bien…
Il entendait au loin le bruit d'une source qui coulait sur deux mètres avant de replonger dans les entrailles de la Terre. C'était une source qui jouait à cache-cache avec la nature…si Sanzo avait pu la voir il aurait assisté au spectacle le plus merveilleux de sa vie. Le paysage était plus que magique. La rivière sortait sur un à trois mètre de temps à autre avant de replonger dans les entrailles de la mère de Gokû…elle brillait par endroit…les ombre jouaient sur son ventre, la chatouillait…et la faisait chanter un air si charmant et rafraîchissant. Des fleurs s'épanouissaient tout autour de Sanzo, c'était un véritable festival de couleur et de senteur…qui s'associait merveilleusement bien…Sanzo fut rapidement envoûté, malgré lui, par toutes ces senteurs. Il appuya son dos sur un arbre et se laissa glisser. Il se retrouva assis sur une racine confortable…les ombres faisait des ombres chinoises sur son visage. Le tout était tout simplement sublime…
À entendre, il ne devait être qu'a quelques centimètres de l'eau…et il avait raison…il attrapa le paquet de clopes qu'il avait piqué au Kappa pervers. Il en sorti une et se l'alluma en faisant attention de ne pas brûler ses cheveux.
« Pov Sanzo »
La vérité ?elle est drôle celle là ! Quelle vérité ? Il faut que j'engueule ce baka saru pour toutes ses conneries ! Voila la vérité ! Et puis je doit bien admettre qu'il peut s'avérer utile quand on est attaqués par des youkais…plus on est nombreux moins on a de boulot…et en plus il aime se battre…se qui fait qu'il en tue plus que Hakkai et moi…et sans leurs « rivalité » au combat…Gojyo se battra peut être moins sérieusement…que de problèmes en vue si il ne récupérait pas ce con !
« Il y a autre chose » souffla Bosatsu dans l'esprit du Bonze récalcitrant…sans pour autant que Sanzo ne s'en rende compte…elle l'observait depuis son retour, confortablement installée dans son fauteuil de voyeuse. (Dita : fait attention Bosa-chan de pas te faire arrêter pour voyeurisme ! ) .
Autre chose ? Je ne vois pas…vraiment pas…
« Fin pov »
Sanzo se mit pourtant à chercher pour comprendre ce que cette voix, qu'il croyait intérieure, lui avait soufflé. Il se mit à se souvenir de tout dans les moindres détails, depuis le moment où il avait entendu pour la première fois la plainte du saru qu'il avait délivré, jusqu'à sa disparition pendant les combats, où, d'après les dires de Gojyo, il l'avait sauvé…
Tous ces souvenirs défilaient en lui tel un film, non, tel un torrent dont il était incapable d'arrêté le flot implacable…il fut vite submergé par ces souvenir, son cœur s'ouvrit alors. Il était donc attaché à cet animal de compagnie, tel un véritable petit singe ? Il considérait donc Gokû comme un vrai animal de compagnie… ? C'était cela…il s'était habitué à sa présence, à ses jérémiades. C'est vrai que, maintenant qu'il y pensait, cela faisait vraiment vide sans ce saru pour se plaindre et crier a tue tête qu'il a faim…personne n'était là pour troubler le doux chant des oiseaux qui devenait de plus en plus oppressant !
« Ce n'est pas encore tout à fait cela, lui dit Kanzenon Bosatsu. C'est mieux, cher neveux, tu t'approche, pensât-elle, un sourire accroché aux lèvres…je vais peut être enfin réussir a tirer quelque chose de toi… ! »
Le bonze se rendit compte alors de quelque chose, quelque chose qu'il ressentait depuis le moment où le kappa lui avait annoncé que le saru avait disparu…il avait mal au cœur. Mais ce n'était pas un mal au cœur habituel, ce n'était pas comme si il voulait vomir, non…c'était différent. Il avait le cœur comme prit dans un étaux. Cela lui faisait mal, si mal,…tellement mal. Il devait arrêter de réfléchir, ne plus y penser, et peut être que enfin, cela se calmerais. Il devait rentrer à l'auberge. Là, Gojyo t'enterait de le tuer, ils s'engueuleraient, et au moins il ne penserais plus à tout cela…le demi allait être furieux…il ne restait plus qu'une clope dans le paquet du tabou, qui, pourtant, était neuf à peine trois heures auparavant. Oui, cela devait bien faire trois heures qu'il était là, voir même plus, beaucoup plus !
Mais le noir dans lequel il se trouvait, dû à sa cécité, était plus que propice a se genre de réflexion. De plus, maintenant, il en était certain, il ne pourrait plus ignorer sa douleur et le flot de ses pensées. Il savait intérieurement que tant qu'il n'aurait pas avoué la cause de sa douleur, que tant qu'il n'aurait pas retrouvé la vue, il ne pourrait s'arrêter de penser !
En plus, il devait bien le reconnaître, il était incapable de rentrer au village sans sa vue…#
…
Pourquoi avait-il mal au cœur ? Pourquoi souffrait-il de cette disparition ? Pourquoi ? Oui, il devait bien se l'admettre, il souffrait vraiment de cette disparition…. ! Pourquoi ? C'était donc plus que de l'affection pour un animal de compagnie qu'il ressentait pour Gokû ! Était ce de l'amitié ? Non, ce n'était pas cela,…c'était plus,…oui, …plus fort encore que cela…
Alors, que pouvait-il bien éprouver pour ce saru joueur et gaffeur ?
Les yeux de Sanzo s'agrandirent de surprise et de stupéfaction…il en lâchât sa clope d'effroi !
Serait ce possible qu'il…
- NON !
Il devait se raisonner…
Je suis un moine,…ok tout le monde sait que je ne suis pas « pur » comme le ferait croire mon habit…je fume, je bois et en plus j'ai du sang sur les mains…mais comme on le dit si bien, « l'habit ne fait pas le moine. » Mais de là à aimer quelqu'un… et de plus…un autre …homme… ! non, c'est impossible, je ne peux pas l'aimer…
Le bonze avait commencé son monologue par un petit chuchotement, qui c'était terminé pratiquement par un hurlement ! Il était en proie à un désespoir sans nom. Il se sentait au bord du gouffre…il devait se calmer…
Non, je ne l'aime pas, je ne peux pas l'aimer ! et puis de toute façon même si cela était vrai, si jamais je l'aimait, …je serait incapable de le protéger, je n'ai jamais été capable de protéger qui que se soit… !
« Flash Back »
- maître ! Sanzo-sama !non !
- reste derrière Koryû !
- Sanzo-sama ! non, je veux vous protéger !
- Reste derrière !
Mon maître et père c'est fait tuer devant moi, sous mes yeux, et je n'ai rien pu faire ! Pas même le venger ! Je suis vraiment minable ! Je ne suis qu'un incapable !
- je n'ai pas sus le protéger…
« Fin Flash Back »
- non, je ne l'aime pas ! … alors, pourquoi suis-je si mal ?pourquoi sa disparition me fait si mal et à la fois si…si peur… ? oui, si peur et mal que je pourrais en mourir ! oui, je l'aime ! j'aime ce baka saru,… j'aime Gokû !
À peine eut-il avoué son amour pour SON saru qu'il se remit a voir…il dût d'abord fermer les yeux que tant de luminosité faisait souffrir. Il clignât un peu des yeux, puis, au terme de grands efforts, il pus les rouvrir à nouveau…il se sentait tout d'un coup plus léger, plus serein, plus libre…même si une immense peur venait de s'insinuer en lui…une peur qu'il ne connaissait pas, la peur d'être rejeté !
Il devait maintenant rentrer à l'auberge, prévenir ses deux compagnon de route (lol, j'avais tapé « rute » et nan « route »…mdr…# (Ôji : vraiment l'esprit mal placé cette dita !)) qu'il allait s'absenter, rendre le paquet de clope vide à Gojyo (et oui, il vient de s'allumer la dernière !) et appeler cette chieuse de Bosatsu !
…
Sanzo frappât à la porte et entra. Les deux amants eurent juste le temps de ce séparer et d'ainsi mettre un terme à une séance très intensive et très intéressante, d'apprentissage des langues vivante. ( (Ôji : obsédée dita !)Dita : non, ils ont bien le droit d'apprendre des choses nouvelles !)
- Tiens, Gojyo, ton paquet de clope, annonce Sanzo en lui lançant le paquet.
- Mais il est vide ? rétorqua le demi après avoir attrapé le paquet au vol. Mon paquet neuf ! Bonze pourri ! je vais te tuer !
coup de feu
- Tu en est si sûr que cela ? pense tu vraiment pouvoir me tuer ? moi ? Je ne suis même pas sûr que tu arrives à m'effleurer !
Gojyo grogna puis partit s'acheter un nouveau paquet de cigarettes, admettant ainsi la supériorité de Sanzo…enfin plutôt la supériorité des armes a feu. (Dita : c'est pas du jeu ! Sanzo il a un flingue ! Comment mon frère et mon amour pourrait il rivaliser contre un flingue ! C'est un fou dangereux se sanzo ! Gojyo : Arigatô Dita de prendre ma défense ! Dita : Dô itashi mashite, c'est normal mon amour )
À peine le tabou fut-il sorti que Sanzo se tourna vers Hakkai.
- Je vais chercher le gaki. Je ne sait pas combien de temps cela va prendre…je pense que je peut vous laisser seuls tous les deux sans avoir à m'interroger sur l'état dans lequel je vais vous retrouver ? demanda Sanzo
- Ne tant fait pas, tu peut partir tranquille, je m'occupe de tout !
- Bien. Je te laisse la carte de crédit des trois oracles, mais n'en dit rien à Gojyo ! et pas de folie avec ! elle ne doit te servir que pour tout acheter se dont on aura besoin pour la suite du voyage…la bouffe, une nouvelle tente, l'ancienne est abîmé. Ah, et n'oublie pas tout se qui a été perdu ou rendu inutilisable lors de la dernière attaque. Je te fais confiance pour que à notre retour tout soit prés et qu'on puisse partir aussitôt, qu'il fasse jour ou nuit ! compris ? on a perdu assez de temps comme cela avec toutes ces histoires !
- Ok. Tu as entendu Hakuryu ? tu dois être en forme, et prêt ! expliqua l'ancien humain à son cher Dragon blanc.
- Hi ! répondit Hakuryu, en signe d'acquiescement.
- BOSATSU !
Une fois de plus, sanzo ne se contenta pas d'appeler la déesse, mais il cria son nom. Bosatsu apparut, s'approchât de Sanzo, et avant que celui-ci n'est le temps de dire quoi que se soit, lui attrapa le bras et tout deux disparurent dans un halo de lumière blanche. Hakkai et Gojyo allaient pouvoir être tranquilles, rien que tout les deux pendant quelques temps. L'ancien humain sourit. Les prochaines heures allaient être intéressantes pour le demi et lui, sur Terre.
- Hahahahaha… (rire étrange d'Hakkai que vous pouvez entendre dans « Ura sai » (la face caché de Saiyuki) a la fin de l'épisode 19 de Saiyuki Reload (Ôji : mouahahaha trop fort ce rire )).
…
Sanzo se retrouva seul dans un champ d'herbe rempli de lavande, qui poussait ça et là, de manière sauvage, à première vue. Sanzo ne prit pas le temps de pousser plus loin son observation. Il se trouvait face à un youkai brun aux yeux dorés qui, à cette heure étaient remplis de peur…il semblait en proie à d'horribles pensés intérieures.
…
On retourne un peu en arrière…mais au Tenken cette fois……
Cette après midi là, Gokû avait décidé d'errer dans le Tenken, pour se reposer d'une matinée éprouvante, composée de jeux avec Nataku. Ce matin, ils avaient dû exploser leurs record de bêtise de toute leur vie en seulement quatre petites heures…ils avaient vraiment bien ri ! Et tout deux étaient sûrs d'une chose, cette matinée resterait gravée dans leurs mémoires comme étant l'un de leurs meilleurs souvenirs !
Il avaient déjeunés ensemble, en compagnie de Bosatsu, puis Omura était venu chercher Nataku. Ils devaient se rendre à plusieurs réunions cet après midi. Ils étaient deux, deux à remplir la fonction de Dieu de la guerre alors qu'il ne pouvait y en avoir qu'un seul et unique Dieu par catégorie. Lequel d'Omura ou de Nataku devrait se charger d'une mission si lourde mais vitale pour Omura, qui serait jeté en prison si il n'était plus un dieu. C'était au conseil de trancher !
Voila donc notre saru qui se promène de ci de là en dépouillant les jardins qu'il traverse. Les jardins étaient tous aussi grand que celui de Bosatsu, voir plus. Ils étaient pour la plupart mieux entretenus qu'il put l'imaginer…c'était comme si chacun voulait avoir un jardin plus beau que celui de son voisin…et c'était un régal de se promener dans ces étendus immenses et magnifiques.
Le bouquet qu'il avait formé était multicolore et aux senteurs, encore plus envoûtantes que ses couleurs, qui se mariaient en un ensemble qui charmait et retenait l'œil.
C'est ainsi que Gokû atteint le jardin d'un dieu qui lui était inconnu, comme la plupart d'ailleurs. Entre les allées bien dessinées, finement sablées et bien entretenues, on pouvait voir des pelouses somptueuses peuplées de majestueux bosquets de lavande, qui était si nombreux et si imposants qu'on aurait cru que le jardin n'était composé que de ces bosquets.
Cette couleur, le Violet, cette senteur, si forte et pourtant si douce…
Violet, comme le souvenir,…non, Violet comme Ce souvenir…souffla Gokû…
Son rêve lui revint en mémoire…enfin, il s'en souvenir, de ce rêve qui n'en était pas un…
Ce baiser…si fugitif,…déposé sur la joue, puis un autre, qu'il avait offert, tout aussi fugitif, sur les lèvres cette fois,…des lèvres si douces,…un sourire…triste…une couleur, … l'or…l'or de son Taiyo qui à ce moment-là se teintait peu à peu de rouge, comme ce soleil mourant lors de l'un de ces sublimes couchers, mais là c'était différent. Ce murmure qui s'était échappé. Qu'avait-il dit déjà ? Il s'en souvenait maintenant…
Le rouge du soleil qui se voilait, le filet de sang qui tachait l'or des cheveux de Kanzen…le noir qui succédait au couché de soleil, la mort avait succédé à la vie de son amour. Ses yeux étaient restés ouverts et ses pupilles noires comme la mort se dilataient, tentant d'assombrir le violet des iris de Kanzen, ce violet, qui refusait de sombrer dans la mort…ce Violet qui l'avait marqué à vie…et qui rattachait désespérément se souvenir à la mémoire du jeune homme. Ces trois couleurs était encré en lui, le noir, le rouge et …le violet…
Ce souffle, ce murmure…sortant de la bouche chérie…il lui avait dit « penche toi », Gokû c'était exécuté. Il l'avait alors embrassé sur la joue et murmuré un « Je t'aime »…
Le jeune youkai c'était relevé, les yeux brillants de larmes…de tristesse et de joie…il ne lui avait jamais avoué…cela. Il était amant depuis maintenant deux mois…et en deux mois, le saru avait du se contenter de « moi aussi. »…et c'était maintenant, alors que l'or du soleil qu'était ces cheveux, se teignait de rouge, qu'il lui murmurait ces mots tant attendus !
- moi aussi, je t'aime. Je t'aime de tout mon cœur, de toute mon âme, de tout mon corps…Je t'aime, Kanzen…, lui avait alors répondu Gokû.
Puis Gokû c'était penché et avait déposé un baiser remplie d'amour au goût sucrée du sang du saru et amer de ses larmes. Peu après Kanzen avait laissé s'échapé son dernier souffle de vie…Gokû avait alors crié de toutes ces forces sous les ténèbres de la nuit, de la mort…
Il avait perdu son contrôleur, il était fou de rage…il avait alors tuer les youkais qui avaient tué celui qu'il aimait plus que tout…mais cela n'avait pas suffit à apaiser sa colère et son désespoir…il avait alors massacré les habitants du village tout proche, faisant plus de victimes qu'une armée de 20 hommes en deux fois plus de temps pourrait espérer en faire en temps de guerre, sauf que la paix régnait...et que les villageois n'aspiraient qu'a passer une nuit reconstituante.
C'est pour cela qu'il avait été condamné et c'était dans sa prison que Sanzo…Sanzo, la réincarnation de Kanzen, l'être chéri, …l'avait trouvé et libéré. Sanzo…il l'aimait tant, même sans savoir qui il avait été…il l'aimait…depuis longtemps, si longtemps !
…
Le soleil se parait d'une longue robe rouge quand gokû revint a lui…face a lui, il vit…
- Kanzen, …non…Sanzo ?
Un éclair avait traversé quelques instants plus tôt le regard de Sanzo. Le souvenir de sa vie intérieur s'était imposé à sa vue…
- Gokû, espèce de baka saru, dit il, en pleurs. Si tu savait combien je me suis inquiété…ne me refait plus jamais ça !
Sanzo était trop bouleversé pour faire attention au langage qu'il tenait au saru…celui-ci n'allait pas tardé à se rendre compte de quelque chose si il ne faisait pas attention ! Mais c'était plus fort que lui, il fallait qu'il libère son cœur…même si il s'avait qu'il ne devait pas, surtout pas !
- pourquoi ? demanda le youkai, qui n'en croyais pas ses oreilles. Je croyais que tu n'avais pas besoin de moi ! Tu as même dit que je n'étais qu'un animal ! Alors pourquoi te serais-tu inquiété pour moi ?
- Gomen, Gokû…si je me suis inquiété, c'est parce que je t'aime….
Sanzo se mordit la lèvre inférieure, et cachât sa bouche de l'une ses mains…qu'avait il dit ?les mots étaient sortis tous seuls !il avait trop parlé, et avec sa réaction, plus moyen de se contredire…il ne voulait pas lui dire, il ne devait pas lui dire…
Sanzo se retourna et s'enfuit…lui, fuir ? Décidément, aujourd'hui, il ne faisait que des conneries ! Il fut presque aussitôt rattrapé par Gokû. Il avait fallut plusieurs minutes à ce dernier pour comprendre les mots de son aîné, mais à peine eut il compris qu'il se mit à lui courir après…Même si le bonze avait une bonne centaine de mettre d'avance, l'aberration courait cent fois plus vite que lui, si ce n'était plus.
Il le rattrapa, se plaça face à lui et lui annonça, sans plus de préambule,
- Moi aussi, Sanzo, … je t'aime »
Sanzo l'attrapa par les épaules et le blottit dans ses bras dans une étreinte maladroite. Il le protégerais, quitte à mourir, car il l'aimait, plus que tout…
Mais que vas t-il advenir de nous ? Je sent que nous nous engageons dans une voie périlleuse…une voie sans possibilité de faire demi-tour…une voie sans issu…pensa le blond.
Le jeune youkai s'aperçu que l'humain était fatigué. Il se sépara de ses bras, à regret, et l'emmena chez Bosatsu. Le chemin se fit dans un silence lourd de pensée…Quand ils arrivèrent chez Bosatsu, Nataku n'était pas rentré et leur hôtesse s'était absentée. Ils dînèrent donc seuls, toujours dans le plus grand des silences. Bosatsu n'avait pu se résoudre à manger avec eux…elle arborait un sourire vainqueur et des éclats de rire s'échappait de temps à autre de sa gorge, de manière anarchique et aléatoire…
Chacun partirent se coucher dans son coin…pressés de se retrouver seuls pour repenser à cette éprouvante journée.
A SUIVRE…
Fin Chapitre IX…
Bonne annonce: Prochain chap.…vous saurait se qui se passe pendant se temps là entre un grand brun et un magnifique roux…sur un lieu nommé la Terre…"sugoi" (gokû)
Dita: euh, nan...toi tu ne le sera pas, c'est pas de ton âge!
Pub: je me permet de faire de la pub a Koruni, allez lire Motto Urasai, c'est vraiment génial! si vous avez besoin de rire, si vous etes triste ou déprimer, c'est le meilleur reméde que je vous conseil! vous en resortirer surment les larmes au yeux a force de rire!
Ôji : tapette ! tu t'es enfuis après ta déclaration dans le champs ! d'accord je m'en vais
sanzo : je te savait pas suicidaire, ôji !
sort son arme
Sanzo : maintenant que j'ai retrouvé mon gokû … je vais pouvoir faire la fête a se grand con d'ôji ! Où est tu que je t'envoi une belle balle de se merveilleux flingue dans ta sale tronche (plus précisément dans tes immondes tempes, ). Espece d'enfoiré !
ôji : je suis à coté de dita … tu sais … la demoiselle qui ne veut pas te laisser fumer à l'intérieur même par temps de pluie !
Sanzo : m'en fout d'elle … elle aussi elle doit sortir ! c'est pas de sa faute !
ôji : ditaaaaaaaaa … sauve moi ! Je t'en supplie ! Laisserais tu crever un ami devant toi ? N'aurai tu pas de cœur ? Je repose tous mes espoirs de survie sur tes épaules et te laisse décider de mon sort …
Dita : moi ? un cœur ? oui, mais que pour mon fiancé (Gojyo) et mon frére (Gokû)…, toi tu doit m'appeler Dita-Sama, et me promettre d'etre a mon service !
Hakkai : au faite, qu'est ce qu'il a d'étrange mon rire ?
Dita : en faite, il fait un peu gros pervers !
Gojyo : qu'est ce que tu fous avec ma sœur Tatsuki ? la nuit jentend ton rire, et sa me fait flipper !pas vrai Dita ?
Dita : ouai, sa fait peur !
Tatsuki : occupé vous de vos affaire, sa, c'est privé ! >. °
Reviewsssssssssssssssssssss, please !
