Kikoo, me revoila…et pour le plus grand plaisir de vos pauvre petit n'oeils, j'ai changé de corrécteur…qui est une corréctrice…je vous présente NANIE ! (pseudo : Nanie nouche, elle fait parti de ma liste d'auteur favorie, je vous conseil d'allez lire ces fic si vous aimez Harry Potter..)

Bon tout d'abord,

Sanzo : Koi ? Ôji est mort ?

Dita : nan, il se cache juste…


Je disait donc…pour commencer…RAR

nanie nouche : Thank You ! a la fois pour la reviews et pour avoir corriger...jt'atore, BAKA NEZUMI !

Syt the Evil Angel: Merci, c'est vrai qu'i m'en a fallu du courage...Entre oji et sanzo qui s'engueule sans arret et Gojyo qui en demande toujours plus… .

Lillou :merci, ce compliment me vat droit au cœur !ma fic génial ? nan…je croit que je vait m'évanouir…(encor une fois )MERCI ! et voila la suite, en ésperent qu'elle te plaise autant, sinon plus…

Seilin j'aime les souvenir…j'aime le violet, viola pourquoi j'associe les deux…avec la lavande et le lilas…merci pour cette reviews…et pour ta compréhension vi a vi de mon retard…(ki n'est pa encor tro gran…sa va…TT)…tous ces compliment…ARIGATÔ !


Et voila enfin le Chap. X : Une nuit bien chaude, sur Terre

« Gekkaï »

A peine Sanzo fut-il partit qu'Hakkai sortit rejoindre son amant qui devait sûrement passer sa colère sur de malheureux murs qui n'avaient rien demandé, à part les laisser soutenir les toits des maisons du village. Il devait aussi être en train de fumer une clope de son nouveau paquet.

Il retrouva Gojyo assit au pied d'une modeste maison, l'air songeur, un clope aux lèvres. Il s'assit prés de lui. Il se mit à lui expliquer ce que Sanzo lui avait annoncé quelques minutes plus tôt, ne lui cachant rien. Il lui expliqua ensuite ce qu'il devait faire pour leur prochain départ. Mais il lui avoua également que, devant le sourire de Bosatsu, il devrait au moins être tranquille cette nuit. Ce serait à eux dans profiter. Ils avaient la soirée et la nuit devant eux, rien que pour eux. Il suffisait juste qu'ils préparent les affaires pour le départ maintenant, pour s'en débarrasser le plus vite. Une fois le voyage reprit, ils n'auraient plus vraiment de moment d'intimité suffisamment prolonger pour pouvoir pleinement en profiter.

Après avoir dressé la liste de tout ce qui leur fallait, ce qui leur prit une bonne demi-heure, ils leur fallut plus d'une heure pour tout rassembler. Par chance, ils trouvèrent tout ce dont ils avaient besoin. Au moins, pas de risque de se faire engueuler parce qu'il manquait tel ou tel chose ! Ils rentrèrent épuiser à l'auberge.

- rha ! je comprends pas comment font les femmes pour supporter de faire les boutiques parfois toute une journée ! lança Gojyo.

- C'est vrai que face à elles nous ne faisons pas le poids ! consentit Hakkai.

Malheureusement pour eux, ils ne furent pas au bout de leurs peines !

Ils leur fallut encore une petite heure pour finir de préparer toutes les affaires, boucler les sacs et vérifier qu'il ne manquait rien, leur vie en dépendait !

Une fois tranquille avec tous ces ennuis, ils expédièrent un rapide repas au restaurant du coin de la rue et décidèrent de passer aux choses sérieuses. Sitôt rentré dans leur chambre, le brun se dirigea vers la salle de bain pour prendre une bonne douche bien méritée !

Il avait laissé la porte de la salle de bain ouverte, invitation muette à son ange rouge, qui l'accepta et le rejoignit assez rapidement, seulement quelques secondes après que l'eau n'est commencée à couler.

Le tabou arracha plus qu'il n'enleva son T-shirt et vira rapidement son pantalon. Il finit par expédier son caleçon à l'autre bout de la petite pièce, presque violement…il était pressé de rejoindre son amour. Il écarta le rideau de la douche afin de rejoindre l'ancien humain.

L'eau coulait sur le corps du brun, des volutes de vapeurs les entouraient, créant ainsi une atmosphère mêlant mystère et délice. Hakkai se poussa, laissant le tabou s'approcher de la source de l'eau. Ils passèrent plusieurs minutes ainsi étreints sous l'eau, ne pensant qu'à une seule chose, apprendre par cœur les moindres recoins de la bouche de cet autre qu'ils aimaient profondément. Puis leurs langues s'engagèrent dans un combat sans merci que gagna le demi youkais. Il gagna avec beaucoup moins de facilité que toutes ces fois précédentes. Si cela continuait ainsi, le youkai le surpasserait bientôt.

Hakkai avoua sa défaite et attrapa le gel douche. Il en fit couler un peu dans le creux sa main et commença à le faire mousser sur le corps du demi sang. Il commença par le torse,…les épaules,…

«Chaque nuit, j'apprends l'alphabet de ton corps »

Puis il enchaîna par le dos…ses caresses sensuelles arrachaient de petits soupirs de plaisir et de bonheur à son partenaire. Puis il se pencha et s'attaqua à l'intimité de son compagnon. Celle-ci frémit au contact de ses mains si douce. Elle finit rapidement par se raidir quand les mains de l'ancien humain commencèrent leur va et viens frustrant car lent et trop léger. Gojyo ne pu résister plus de quelques minutes et approcha sa main prés de sa chair dure dans le but de finir le travail bâclé de son amant. Celui-ci refusa et l'en empêcha. Le brun finit de savonner tendrement le corps d'apollon du roux.

Gojyo se calmât tant bien que mal - plus mal que bien…comment pourrait-il résister à son Hakkai ?- et se mit à son tour à accomplir sa mission. Celle-ci consistait à laver le corps si fragile de son ange aux yeux de couleur de l'angélique tout en l'emmenant au bord du gouffre du plaisir. Sans pour autant l'y faire chuter. Pour cela, il devra attendre un petit peu. Il devait être son « garde fou », comme par le passé, comme dans le présent et l'avenir…il devait le retenir jusqu'au moment propice.

Il commença son fastidieux travail par les jambes, puis il attaqua les bras, et enfin le dos et le torse du brun. Une fois cela fini, il embrassa l'humain puis se mit en quête de sa masculinité. Là, il fit jouer ses doigts avec le pénis de son amour. Celui-ci se mit rapidement à pousser de petits gémissements de plaisir qu'il ne pouvait retenir plus longtemps. Puis le demi youkais s'arrêta brusquement estimant le corps de son amant le plus propre possible. Ils se rincèrent mutuellement se couvrant de tendres caresses, de chastes baisers et de merveilleux petits suçons, bien voyant.

Leur douche prise, ils s'essuyèrent et, renonçant à se vêtir d'un quelconque vêtement -même un simple caleçon aurait était encombrant et gênant- ils se guidèrent l'un l'autre vers leur lit. C'était un lit de deux personnes, composé de leurs deux lits rapprochés. Il faisait chaud, très chaud, mais cela restait tout de même assez agréable.

Hakkai se retrouva rapidement allongé sur le lit, Gojyo étendu au-dessus de lui. Il s'installa confortablement et attrapa deux doigts de la main droite du demi sang et se mit à les lécher de la manière la plus sensuelle et efficace qui soit, afin de les lubrifier le mieux possible. Pendant ce temps, Gojyo s'afférait à lécher, mordiller et embrasser les moindres recoins de son amant…il passa un temps fou a taquiner les tétons de son aimé. Celui-ci gémissait, sans pour autant s'arrêter de sucer les doigts du rouquin.

Une fois que tous deux jugèrent que les doigts du roux étaient suffisamment lubrifiés, ils se sourirent et entamèrent les choses sérieuses…

Le tabou retira ses doigts de la bouche de l'ancien humain et commença par s'amuser à titiller le pourtour de l'antre de ce dernier. Hakkai gémit un « continue » aux intonations autoritaires malgré la faite que sa voix vibrait et défaillait de plaisir sur chacune des syllabes.

Le demi inséra donc l'un de ses deux doigts dans l'orifice, lentement, pour ne pas blesser son conjoint. Rapidement, sous les imprécations de l'apollon brun, le deuxième doigt rejoint son collègue. Débuta alors une danse composée d'un va et vient, qui avait pour rôle d' « échauffer » le brun, de le préparer à recevoir en lui le membre déjà dressé et douloureux de désir du roux

Quand le demi sentit que le brun aux yeux de l'angélique était prêt, il retira ses doigts et commença à y insérer son membre tout dur et gonflé. Il dû prendre sur lui pour se retenir et éviter d'entrer trop vite en Hakkai. Ses mains se crispèrent sur les draps, les froissant. L'ancien humain souleva sa tête et embrassa le rouquin. Une fois que le demi eut atteint le fond du couloir au jouissance (mouhahahahahahaha. Nanie : très poétique ! Dita : tu trouve aussi ? hahaha !) il entama dans ressortir encore plus lentement qu'il n'y était entré. Il y rentra à nouveau, faisant bien attention, pour ne pas faire de mal au brun. Le brun perçut ses pensées et mit ses hanches en mouvement sous le roux pour l'encourager à aller plus vite et plus profondément.

Les deux mains de Gojyo agrippèrent les hanches d'Hakkai et les deux amants mirent leurs mouvements en un commun accord atteignant ainsi les portes d'un paradis qui n'appartenait qu'à eux et à eux seuls. Ils gémirent tous deux en cœur et quand vint le moment de la libération tous deux défaillirent de plaisir et gémirent encore plus fort…

Puis le demi sang s'allongea, essoufflé, auprès de son ange frêle et fragile, qui venait de recevoir en lui sa semence.

Hakkai s'approcha de son démoniaque ami, démoniaque car l'amenant toujours plus loin sur la route des plaisirs, et démoniaque à la couleur sang de ses yeux et cheveux. Il se pencha sur lui et lui déposa un tendre baiser sur les lèvres avant de poser sa tête sur le torse du diable rouge. Il s'écoula ainsi un bon moment, tous deux reprenant leur souffle comme ils purent, tant bien que mal. Une fois un peu reposé, Hakkai se décida et se jeta à l'eau. Il ne voulait pas rester le jeune amant soumis. Lui aussi il voulait pénétrer l'homme de ses rêves. Il voulait l'emmener au bord du gouffre…il voulait lui faire partager le bonheur que Gojyo lui avait déjà offert à deux reprises. Le demi sang se laissa faire, un sourire à la fois amusé et protecteur sur les lèvres et un regard tendrement amoureux posé sur le brun.

Il s'ensuivit ainsi une nouvelle séquence de plaisir agrémenté de gémissements qui dura presque plus longtemps que la précédente, Hakkai se donnant entièrement à son unique amour.

« Je n'ai plus peur de rien

Je pourrais mourir demain

Sans aucune cicatrice

Ton paradis en premises

Avec toi j'ai caressé le ciel

Tu m'as offert le bonheur essentiel

Mon être par ton âme imprègne

Pour l'éternité… »

A peine une demi heure après leurs ébats, les deux amants dormaient d'un sommeil paisible et profond, que rien ni personne n'aurait pu troubler. Ils étaient vider de toute énergie mais remplit d'un sentiment de paix et de plénitude que rien ne pouvait dissiper. Ils dormaient comme deux petits angelots, deux petits bambins innocents, un sourire béat sur les lèvres et enlacés comme si c'était la première fois qu'ils se retrouvaient depuis des années et qu'ils avaient peur de se reperdre. Heureux,…prêt à mourir l'un pour l'autre…

« Ce regard perdu au loin

Entend la voix au fond du cœur

Tout en enlaçant

La lune encore bleue…

Ta force à toi qui court

Ouvre les portes encore neuves.

En éclairant la nuit éphémère…

Même si je suis seul

Je veux croire en toi.

Et à ce moment là,

Le monde bougera.

Qu'allons-nous donc trouver,

En mettant nos âmes à nue ?

Nous pourrons nous revoir ici,

Si c'est la vérité.

Qu'allons-nous donc observer,

En tendant cette main ?

Cette vérité que j'ai attrapé…

Laissons donc, il faut juste y croire ! »


Au Tenken

Gokû se réveilla de bon matin et couru, sitôt vêtu, dans la chambre que Nataku occupait ses derniers temps, dans la villa de Bosatsu. Il vivait ici afin d'être plus proche de son ancien ami, Son Gokû.

Il ouvrit la porte de la chambre de son ami et déboula dans sa chambre, sans prendre la peine, auparavant de frapper. Nataku dormait encore…Shien allongé prés de lui, très peu vêtu, la tête de Nataku sur son torse. Shien ouvrit les yeux, réveillé par l'entrer fracassante du Baka Saru. Le singe rougit, bredouilla un « sumimasen » inaudible et allait pour sortir de la chambre tout aussi rapidement. Shien l'en empêcha et lui annonça que comme il avait du travail, il pouvait rester avec Nataku sans que cela ne dérange. Il sorti sur ses quelques mots, après avoir enfilé ses habits.

Le jeune youkai s'approcha de Nataku, réveillé par le boucan de son ami et le réveille de son amant.

« Je le croyais mort ? Que fait-il ici ? demanda Gokû, intrigué

- Non, lui aussi a été sauvé de justesse avec Omura et Zenon, déclara le jeune dieu en s'asseyant sur son lit.

- Mais, pourquoi était-il avec toi ? insista l'aberration.

- En faite,…c'est que,…enfin,…bégaya Nataku, rougissant.

- Vous êtes ensemble, comme Konzen et moi ? il y a 500 ans environ ? c'est cela ?

- Hai ! demo, comment ce fait il que tu t'en souviennes ? tu m'as dit hier matin que tu n'avais aucun souvenir de avant ton emprisonnement ? m'aurais-tu menti, Gokû ? s'interrogea l'ex dieu de la guerre, surpris.

- Iie, je ne t'aurai jamais menti ! tu sais bien que tu es mon ami ! Sanzo est venue…et c'est à ce moment là, à peu prés que tous mes souvenirs me sont revenus, expliqua le saru.

- Ah, Sanzo…la réincarnation de Konzen, c'est cela ?

- Hai,…mais, comment le savais-tu ?

- C'est Bosatsu qui m'avait raconté cela, il y a bien longtemps…elle me tenait au courant de tout…des complots du Tenken, des guerres, et même de tout ce qui se passait sur Gekaï. Pendant ma longue « paralysie », elle me rendait visite tous les jours. Elle disait que ça l'occupait…Mais je n'avais aucun moyen de savoir si tout cela était vrai…

- Et ben pour ce point là, elle ne t'a pas menti en tout cas, assura Gokû. Et comme Konzen avant…j'aime Sanzo…

Nataku sauta au coup de son jeune ami fou de joie qu'il ait enfin reconnu son amour envers le bonze. Tous deux se mirent à lutter dans une bataille sans merci de chatouilles et de petits baisers déposer tendrement…une fois épuisés, ils s'allongèrent côte côte tous deux enlacés.

Ils étaient bien obligés de constater que, comme à chaque fois, ils étaient éxéquos.

Ils étaient heureux ensemble, mais tous deux savaient qu'ils devraient bientôt se séparer. Nataku se redressa et embrassa Gokû, sur les lèvres. Celui-ci rougit et rendit son baiser à son jeune ami. Malgré leur amour respectif pour leurs aînés, Shien et Sanzo, ils éprouvaient l'un pour l'autre une amitié, une tendresse et une affection sans limite…ils s'aimaient…beaucoup…et ne voulaient pas être séparés…

- Alors, qu'est ce qu'a décidé le conseil ? s'enquit le saru.

- Homura est le chef des armés, le dieu de la guerre et moi je suis son conseillé Tactique car je suis plus expérimenté au niveau des combats et son second en cas de problème. Lui, il sait se faire obéir que se soit des simples soldats comme des chefsde division, ce rôle lui va à merveille… expliqua Nataku.

- Yataa ! c'est exactement ce que vous vouliez tous les deux ! c'est trop super !

- Haï !

Ils restèrent encore quelques temps ensemble à discuter de choses et d'autres puis se levèrent. Ils avaient une matinée très très chargée ! Leur but étant de reprendre leurs sévices là ou ils les avaient laissé la veille ! Et oui, les deux monstres du Tenken étaient de retour pour une nouvelle matinée de bêtises !

Quand Sanzo ouvrit les yeux se matin là, il faisait déjà jour. Il avait dormi d'un sommeil profond, à peine troublé par les différents bruits extérieur. Il se prépara rapidement et revêtit des vêtements qu'il trouva dans le placard de sa chambre sur lequel Bosatsu avait déposé un mot.

« Tes vêtements étant sales, j'ai demandé à ce qu'ils soient lavés. Sers-toi dans ce placard, cher neveux. »

Il se regarda rapidement dans un miroir et se découvrit vêtu d'un jean et d'un T-shirt blanc. Cela lui allait très bien, autant au niveau de la taille, que du reste. (Imaginez ! rha ! rien que dit pensez…je bave !).

Quand Sanzo eut atteint la salle à manger pour prendre son petit déjeuner, il aperçut Gokû. Il allait l'appeler pour savoir quand il serait prêt à partir et où il pourrait trouver Bosatsu. Mais il ne le fit pas, trop choqué à la vue du deuxième gamin qui, après avoir rejoint le saru, l'embrassa,…sur les lèvres. Les jeune youkai pris la main du jeune second du dieu de la guerre et tous deux partir en courant et en riant, laissant derrière eux un moine déconfit…ils ne se souciaient pas du mal qu'ils avaient pu causer, par ces simples gestes, qui pour eux étaient normaux…

Le blond petit déjeuna, prépara ses affaires, prêt à repartir (Bosatsu : sur les conseil,...euh ordre de Dita, j'ai offert tous les fringues de l'armoire à mon cher neveux, Sanzo. Dita : euh,…en faite, c'était les vêtements de Konzen, logique que Sanzo les récupère…et ça lui va si bien… ! KB : oh, oui ! bave en cœur…). Il fût fin prêt au moment où la cloche sonna le dejeuner. Il avait perdu beaucoup de temps à admirer tous les vêtements que Bosatsu lui « rendait »…alors comme ça…tous ces vêtements lui appartenait, en quelque sorte. Il avait porté des vêtements si luxueux et d'autres si banals dans son autre vie ? Cela lui était assez étrange, à lui qui ne portait que sa robe de bonze…au moins maintenant on le reconnaîtrait moins facilement dans les villes qu'ils traverseraient à l'avenir.

Il sortit de ses songeries et décida d'aller manger et de repartir après, avec ou sans Gokû. Le saru avait l'air de se plaire dans les bras de ce jeune homme. En plus ils avaient le même âge. Le moine avait le cœur brisé, laminé par le sentiment d'avoir été trompé, mais c'était sûrement mieux ainsi…Le saru n'était pas à lui, il n'appartenait à personne !c'était un être humain, et c'était à lui de décider ce qu'il voulait faire de sa vie ! En attendant, le blond aux yeux améthystes avait une mission à accomplir : empêcher la résurrection de Gyumao, le dieu de la destruction.

Quelle ne fut pas la surprise de l'humain, quand il découvrit, assit à table où arrivant derrière lui, Zenon, Omura et Shien ! Il n'en croyait pas ses yeux ! Omura vint à lui et lui tendit la main droite en souriant et en lui lançant un « salut ! » joyeux et amical. Son sourire était si éblouissant et il avait l'air sincèrement heureux de revoir Sanzo. C'est vrai qu'ils avaient été de bons rivaux.

Sanzo serra la main à Omura et tous deux décidèrent de se placer en bout de table avec Zenon et Shien, pour pouvoir discuter un peu entre hommes, sans être dérangé. A peine furent ils installés que Nataku et Gokû entrèrent, en trombe.

« Nataku ! Attends moi ! Ce n'est pas du jeu ! Criait l'aberration en déboulant dans la salle à manger, à peine deux secondes après son jeune ami.

- J'ai gagné ! Rha ! t'as beau être un estomac sur pattes, c'est toujours moi qui arrive en premier à l'heure du repas ! fanfaronna Nataku.

- Ouais, mais tu triches ! déclara le jeune youkais en s'installant à côté de Zenon, après avoir serré la main a Homura, Shien, Zenon et lancer un rapide « salut » à Sanzo, en évitant un maximum son regard. Le jeune second fit de même avec son supérieur, le dieu de la guerre, Zenon et Sanzo, se présentant devant ce dernier.

- Bonjour, je m'appelle Nataku. Je fûs le Dieu de la guerre à l'époque où Gyumao vivait encore…

- C'est lui qui a tué et scellé le Dieu de la destruction, le coupa Shien.

- Shien ! Voyons ! Tu sais bien que je n'aime pas que l'on parle de « ça » !

- « ça » désigne les exploits de Nataku...c'est un combattant hors pair, et je suis très honoré de l'avoir pour second, expliqua Homura, mi rieur mi sérieux.

- Homura ! Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi ! Supplia Nataku.

- Non, ne t'en fais pas ! le rassura Homura.

- Enchanté. Moi je suis Sanzo, Genzo Sanzo, se présenta le bonze.

- Ah ! C'est donc vous, le fameux Sanzo. Gokû m'a beaucoup parlé de vous. Plutôt pas mal ! Mais je préfère tout de même Shien !

Le sou nommé rougit vivement et devint encore plus rouge quand Nataku vint à lui et l'embrassa devant tout le monde. Sa rougeur ne l'empêcha pas cependant de rendre à son jeune amant son tendre et profond baiser.

Zenon et Homura s'échangèrent un rapide regard, un petit sourire accroché aux lèvres.

- Bonjour à tous ! Je suis désolé pour le retard, mais je prenais des nouvelles de mes chers voyageurs restés sur Terre. Ne tant fais pas Konzen, pour eux, tout se passe à merveille, annonça Kanzenon Bosatsu, les yeux pétillants de malice et son sourire vainqueur aux lèvres. (Dita : sa va ? tu t'es bien rincé l'œil ? KB : oui, oui. Enfin…LES yeux ! Dita : °, il n'y a pas de limites à son voyeurisme…)

Elle s'assit, face à Omura, président ainsi, avec lui, la table composée de tous ses convives. Placé à sa droite se trouvaient, dans l'ordre du plus prés au plus loin, Nataku, Shien et Sanzo et à sa gauche, l'on pouvait trouver Jirou shin, Gokû et Zenon. Elle était vêtu de l'une de ses plus belle robe, enjolivée de ses plus beaux bijoux et parée de son sourire le plus vainqueur qui soit.

- Aujourd'hui n'est pas un jour comme les autres. Aujourd'hui nous fêtons la réussite de mon plan machiavélique. Je crois que Sanzo a besoin d'explications, déclara-t-elle une fois l'entrée et le Champagne servis.

- Comment ça ta réussite ? demanda, surpris, Homura. Il n'y a pas de victoire si tous les objectifs ne sont pas remplis ! A ce que je sache, il en reste encore deux…

- Non, c'est bon, ils se sont déclarés hier, le coupa la déesse.

- NANI ? hurlèrent presque en cœur Shien, Homura et Zenon.

- Et oui ! claironna Bosatsu. Je ne suis pas la déesse de l'amour et de la pitié pour rien.

- De quoi tu parles, vieille sorcière ? demanda gentiment Sanzo avec une pointe d'agacement tout de même apparente au fond de ses yeux et des intonations plus cassantes qu'il n'aurait dû. (Dita : si, si, il le dit gentiment…enfin, dans la mesure de ses moyens…un Sanzo gentil, envers notre Bosatsu adorée, ça existe ? NON, me répondrez vous, tous en cœur ! ).

- Je vais t'expliquer, cher neveu. Ici sont réunis trois des quatre couples que j'ai crée…enfin non, se rattrapa Bosatsu, que j'ai aidé à former. Premièrement, Homura et Zenon, ensuite Shien et Nataku et pour finir Sanzo et …

- Je ne crois pas être avec quelqu'un, que cette personne soit ici ou pas ! Si tu prétends en plus que je suis avec ce baka saru, tu te fous le doigt dans l'œil. Non mais arrêtes de délirer, et tu verras que lui, il n'est pas d'accord !

Sanzo se leva de table, inconscient que dans la phrase qu'il venait de lâcher et qui avait surpris tout le monde, tout portait à croire, par un habile sous-entendu involontaire, que lui, il était d'accord pour être avec Gokû. Son énervement donna l'impression, à l'assemblée, d'un homme déchiré par un sentiment trop nouveau et trop fort pour son propriétaire.

A suivre…

Fin de Chapitre 10…


Dita : Et oui, tout le monde était au courant des plans de Kanzenon Bosatsu ! Sauf Gokû qui l'avait apprit le matin même et Sanzo qui l'a apprit en plein repas !

KB : et oui ! Dés que l'un des couple était formé je les invitais à manger…avec le ou les couple(s) précédent si possible…sauf pour Gojyo et Hakkai. Mais je les ai mis au courant… mouhahahahahahahaha !

Dita : t'es vraiment doué malgré tout ! Tu tien bien ton rôle de Déesse de l'amour ! Quand a la miséricorde (ou pitié) t'as encor du boulot ma vieille ! Nyark nyark nyark…

KB : Veille ! et toi alors !

Dita parti pour évité d'énervé sa complice

Nanie : hum hum ! vive les fautes ! mais pas mal le chapitre, le lémon est excellent, ça change des deux premiers ! félicitations !bisous

Dita : Merci


Note : les poémes et phrase ne sont pas de moi…les paroles sont celle du générique de la premiere saisons…

Bon allez…je doit y allez…n'oublié pas, un reviews donne plus de courage que toutes les tasses de café du monde… c'est presque aussi bien que les calins de Gojyo…enfin…nan, peut etre pas comme même…Gojyo, jveux un calin !

See you,

Dita.