Me revoilà avec cette fois un chapitre de VCLS (Violet comme le souvenir). La prochaine fois, ce sera sur ment un chap. de Folie Orpheline et j'essaierais d'alterner, selon l'emploi du temps de ma sœur et du mien…se sera je pense un chapitre par mois...donc mi voir fin Novembre...chapitre deux de FO et décembre se sera de nouveau VCLS...et toujours les bonus vacance comme maintenant...(ba, ui, j'ai beaucoup plus de temps pour écrire en vac! )

En attendant…j'espère que ce chapitre vous plairas…

RAR

Fluffy : et ben ! Ce n'est pas trop tôt ! Nan, je plaisante ! Merci de t'être donner la peine de lire ma fan fics et merci pour ta reviews…j'espère que la suite te plaira et te fera pas regretter d'avoir perdu ton temps a lire les précédent ! Kiss

Lillou : merci ! Je suis ravie que ma fic te plaise ! Arigatô !

Seilin : voila la suite…j'espère que je ne t'ai pas trop fais attendre ? Si c'est le cas, je suis vraiment désolé ! Sumimasen ! Merci pour ta reviews !

EnvyXEd : NANI ? En retard ? Cela faisait a peine 24h que mon chap. était en ligne ! Tu as fait vite pour le lire ! et c'est a moi de m'excuser… je mets de plus en plus de temps a écrire…c'est que comme je retape…j'écrie plus en cour…j'écoute…alors, sa prend beaucoup plus de temps ! SUMIMASEN ! Et Arigatô ! Je suis ravi que ma fic te plaise !

Syt the Evil Angel : Merci pour ta reviews ! Attend, fallait bien rendre le bonze acariâtre un peu jaloux ! Je me suis bien amuser en écrivant se passage…et puis…d'une certaine manière…Nataku et Gokû s'aime énormément…je ferai bien une fic avec Nataku et Gokû ensemble…plus tard…

Misou : Bienvenue a toi ! Merci pour ta review…tu peux pas savoir a qu'elle point je suis ravie d'acceuillir de nouveau(lle) lecteur(rice) ! surtout si j'apprend qu'en plus ma fics leurs plait ! encore merci…et j'éspere que la suite te plairas…

Chap. XI : Le pique-nique.

Gokû était encore plus pâle que la nappe immaculée de la table ou se dressait le festin. Nataku se pencha et lui expliqua ce que sous-entendait la déclaration du blond. Puis avoua à son ami que le bonze les avait vue ce matin. Gokû comprit enfin. Ce n'était pas parce qu'il ne l'aimait pas que l'humain était parti, mais parce qu'il croyait que lui, Gokû, en aimait un autre. Il pensait qu'il aimait Nataku…

Le saru s'excusa auprès de leur charmante hôtesse et tenta de retrouvait son amour. Ils devaient s'expliquer…non, il devait s'excuser !

Il courut dans les couloirs, fouillant les moindres recoins de l'immense villa de Bosatsu. Ne le trouvant pas, il chercha dans les jardins alentours, demandant partout aux passants, s'ils n'avaient pas vu un homme blond aux yeux améthystes. Personne ne l'avait vue et le saru devait admettre qu'il ne sentait sa présence nulle part. Cela l'effrayait au plus au point. Qu'était-il sans Sanzo ? Rien ! il n'était rien sans lui…

Gokû se mit à errer sans but dans le tenken. Il était perdu. Son âme était comme arrachée hors de son corps. Mais cela était complètement différent de quand il perdait son contrôleur de force. Sons cœur le faisait souffrir le martyr.

A errer, le jeune youkais né de la montagne se retrouva dans le parc remplit de lavande, celui où il avait retrouvé la mémoire et Sanzo. Celui même où les souvenirs et l'esprit de Kanzen s'était éveillé en Sanzo. Il avait chercher partout, …partout sauf ici. Il avait donc fallu que le bonze fuit ici ! Gokû s'approcha de la silhouette assise à l'ombre d'un cerisier, le dos appuyé contre celui-ci et les pieds dans la lavande. Non, il n'avait pas que les pieds dans la lavande…il était entouré de plan de lavande. Le cerisier était encerclé par une rivière mauve.

Il s'en approcha doucement. L'homme était de dos, mais il était sûr et certain que c'était sanzo…son autre moitié, celui qu'il aimait plus que tout au monde !

Il enjamba les fleurs améthystes, s'approcha lentement et s'assit lui aussi dos à l'arbre.

Ils étaient dos à dos, juste séparés par un cerisier…en fleurs. Les pétales neigeaient tendrement sur eux et ce posèrent délicatement sur et prés d'eux.

« Nataku était un ami à moi, avant. Tu te souviens, celui à qui je tenais absolument à lui dire mon nom, celui que je veillais. Il n'est qu'un ami…je sais que notre comportement peut porter à confusion, mais il n'est qu'un ami. Si cela te dérange je ne recommencerai plus, promis ! Expliqua d'une voix tremblante le saru.

Cela me dérange ! Répliqua violement le haut moine.

Pourquoi ? Voulu savoir le jeune homme.

Lui n'est qu'un ami, mais il connaît le goût de tes lèvres…et moi, qu'est ce que je suis pour toi ?

Sanzo avait décidé de tout avouer, d'être sincère, quitte à se faire rejeter.

« Tant qu'à me brûler,

Autant me jeter dans les flammes.

Tant qu'à me mutiler,

Autant prendre la plus grande lame. »

Gokû s'était relevé juste après la déclaration du blond…il tourna doucement autour du cerisier et se retrouva face à Sanzo. Ce dernier fermait les yeux, s'apprêtant à se faire rejeter.

Le saru s'approcha lentement, se pencha et déposa tendrement ses lèvres sur celle de son aimé. Celui-ci fût surpris de sentir ce contact si doux…qu'était-ce. Un pétale…non…il ouvrit les yeux et vit l'aberration s'éloigner rapidement de lui. Il attrapa la main du fils de la Montagne et l'attira à lui…

Gokû s'effondra sur l'humain. Le blond rendit au brun le baiser échanger quelques instants plus tôt. Sa langue sortie et se mit à caresser doucement les lèvres du saru. Ce dernier entrouvrit doucement ses lèvres. La langue du blond profita de cette brèche et se faufila dans le sanctuaire sacré qu'était la bouche de son jeune amour. La langue du bonze attira celle de Gokû dans une danse caressante et sensuelle après y avoir découvert les méandres de la bouche tant désirée. Le contact chaud surpris la jeune youkais. Il s'éloigna rapidement… Ce baiser passionné était tellement nouveau…il ne ressemblait pas à ce qu'il avait connu avec Kanzen…tout en le lui rappelant tout de même…Il venait à peine retrouvé la mémoire et d'ouvrir son cœur…il lui fallait du temps.

Le saru expliqua sa réaction a Sanzo. Il lui demanda du temps, de ce contenter de moins pour le moment…le temps qu'il se fasse au faite qu'il se souvenait de tout et que Sanzo n'était pas Kanzen. Le bonze comprit et lui promit de faire des efforts et qu'il tenterait de patienter…cela allait s'annoncer dur pour lui…mais pour Gokû, il le ferait.

Gokû s'allongea prés de Sanzo et posa sa tête sur le bas ventre de ce dernier. Il écoutait la respiration de l'homme qu'il aimait tout en discutant de choses et d'autres avec lui. Ils restèrent ainsi de longues heures. Quand ils rentrèrent enfin, se fut main dans la main. Tous dormaient déjà quand ils poussèrent la porte de la demeure de Bosatsu. Un repas froid et un petit mot de leur hôtesse les attendaient sur la table de la salle à manger.

« Zenon et Omura dormant ici pour quelques temps, j'ai dû leur offrir la chambre de Sanzo. Désolée de ne pas avoir pu vous prévenir plus tôt mais vous étiez introuvable. Cette nuit vous serez obligé de dormir ensemble.

Avec toutes mes excuses pour le dérangement,

Kanzenon Bosatsu. »

La déesse souriait intérieurement quand elle les vit découvrir les mots. Elle ne pu s'empêcher de pouffer de rire quand ils prirent connaissance du contenu du mot. Il y avait des centaines de chambre avec chacune sa salle de bain dans sa villa. Elle savait que seul le saru en était au courant dans l'étrange couple –c'est vrai quoi, un couple composé d'un bonze et un singe, ça se voit pas souvent !-. elle savait aussi que le gamin n'en parlerait pas à son aîné car il ne voudrait pour rien au monde contre carrer des plans mis au point par celle qui l'avait sauvé…

Les deux jeunes gens prirent leur douche chacun leur tour, puis se couchèrent. Ils ne purent s'empêcher de se couvrir de tendres baisers et de délicates caresses. Leurs gestes restèrent innocents, aucun ne se fit trop entreprenant. Ils voulaient juste passer un moment de tendresse ensemble. Ils s'endormir dans les bras l'un de l'autre, heureux de partager un tel moment et de pouvoir vivre leur amour au grand jour, du moins pour l'instant. Une fois arrivés sur terre, ils savaient aussi bien l'un que l'autre, que tout serait terminé. A moins d'un miracle, il aurait du mal à se montrer devant Gojyo et Hakkai…les deux autres ne les comprendraient peut être pas…hakkai y arriverait sûrement, mais pas l'hentai no kappa !

Le lendemain le saru se réveilla dans un cocon de chaleur et de douceur. Il était entouré des bras de son aimé. Il l'embrassa tendrement, voulant le réveiller doucement. Ce qui réussit merveilleusement bien. Sanzo ouvrit lentement ses yeux, sourit tendrement à son conjoint. Il embrassa tendrement son jeune ami à son tour puis libéra le jeune saru de sa délicate étreinte. L'adolescent se leva et se dirigea vers la salle de bains pour prendre une douche et se préparer pour le petit déjeuner. Le jeune moine était étonné de voir avec quelle joie et quelle ferveur tous les jours renouvelés le saru se préparait pour l'un des trois événements les plus important de sa vie… Le Petit Déjeuner…il ne louperait aucun petit déj' pour rien au monde…cela était trop sacré pour le brun ! A chacun de ces repas, l'aberration connaissait ses moments de gloire au sein de ses exploits…(combien de dizaine de toasts au beurre de cacahouète mangerait-il aujourd'hui ? Accompagné de combien de pains d'épices entier ? Et combien de brioches dévorées ? Et les quatre quarts ? Les bananes, pommes, poires,… ? Tout cela en un temps record…). Cette pensée fit sourire le bonze.

Quand l'adolescent sortit de la salle de bains, Sanzo se leva pour prendre la place encore chaude de son prédécesseur. Il en profita pour lui voler un baiser passionné au passage, tentant d'en découvrir plus. Cela lui fût impossible, il finirait par y arriver. Le but était de ne pas forcer.

Une fois dans la salle d'eau, le blondinet se déshabilla, les yeux remplis de pensées. Comment le protéger ? Comment l'aider à vivre avec sa mémoire ? Et plein d'autres questions encore hantaient son esprit jusqu'au moment libérateur où la première goutte d'eau l'atteint. L'eau avait tendance à avoir sur lui des effets divers et puissants. Autant l'eau de pluie le déprimait, l'enchaînait au souvenir et le hantait, autant l'eau d'une douche, d'une cascade ou tout simplement d'une rivière le libérait de toutes ces chaînes, de toutes ses pensées inutiles ou impossibles à résoudre ou à faire aboutir à quelques choses de sensées. C'est ce qui se produisit à ce moment là. Son esprit s'éclaircit.

Pourquoi penser à tout cela ? La seule chose qui comptait était qu'il aimait Gokû et que ce sentiment était réciproque.

De penser à son amour, il sentit une étrange chaleur se concentrer dans son bas ventre. Il s'ensuivit un sentiment de démangeaison. Sans même penser à ce qu'il faisait, il attrapa son membre déjà dur dans sa main droite et se soutint de l'autre au mur. Il commença ainsi un étrange va et vient en pensant de plus en plus fort à son jeune amour. Le mouvement de sa main se fit de plus en plus rapide son souffle se fit plus court et plus saccadé. Il atteint bientôt le moment jouissif de la libération. A ce moment là, il tomba assis dans sa baignoire, le cerveau aussi vide que son regard. Ses forces l'avaient lachées, il avait le souffle coupé. Il lui fallut bien cinq à six minutes pour se relever et finir de prendre sa douche-ou plutôt la commencer-.

Le bonze sortit de la salle de bains seulement vêtu de sa serviette enroulée autour de ses hanches. Il avait complètement oublié de prendre un quelconque change avant d'entrer dans la salle d'eau pour se laver. L'aberration lui dit qu'il allait déjeuner car il avait trop faim et qu'il ne pouvait pas attendre qu'il soit habillé. Cela arrangea le moine qui attendit que le saru soit sortit et ait refermé la porte pour s'habiller tranquillement tout en pensant à l'attitude à avoir avec Gokû. Il décida finalement de laisser le temps agir ? Ils verraient bien tous les deux comment tout cela évoluerait.

Quand le blond au regard améthyste rejoint la table du déjeuner, le singe avait déjà dévasté la moitié des denrées présentes sur la table.

Il s'installa prés d'Omura et de ses deux acolytes. Ensemble ils refirent la politique et le gouvernement du Tenken, autour de leur verre de jus d'orange –attendez, vous croyez tout de même pas qu'jallais les faire commencer par de l'alcool ? En plus y'en a plus, j'ai tout bu ! (°)-. Ils ne virent même pas Bosatsu arriver.

Bonjour à tous ! Claironna la déesse de l'amour et de la miséricorde. J'espère que vous avez bien dormi…

Bonjour. Comment se porte notre charmante hôtesse ? Demanda Omura, toujours prêt à flatter et à couvrir de compliments celle qui lui avait réapprit le sens du mot « bonheur ». Ta robe est vraiment splendide, tu es chaque jour plus belle…

Merci Omura. Je me porte bien, comme tu peux le constater.

Elle s'installa à sa place et commença à savourer son petit déjeuner tout en s'imissant dans la discution des quatre hommes.

Il est clair que le Tenken court à sa perte ! Avec tous ces conflits pour le pouvoir, ces coups d'états avortés…et ces complots qui se crées par dizaines chaque jour ! peu d'entre eux arrivent à terme pour le moment, mais un jour, le Tenken disparaîtra…à moins que…

Cette déclaration jeta un froid sur l'assemblé. Seul Gokû continuait à manger et à parler avec un Nataku qui ne l'écoutait plus.

Ho ! Arrêter de faire ces têtes d'enterrement…je sauverai le Paradis Céleste de lui-même avant même que ce jour critique n'arrive ! annoncea kanzenon bosatsu. En attendant j'ai du boulot aujourd'hui. Sanzo, Gokû (l'interpellé s'arrête enfin deux minute de dévorer pour écouter), je ne pourrais pas vous ramener avant demain, à 11h environ sur gekai. Pour aujourd'hui, je vous propose un pique nique où vous voulez, vous avez le droit de circuler sur tout le territoire. Cela vous occupera et en plus vous serez mieux à manger dehors que seul à cette grande table !

Nataku, Omura et les deux autres pourront nous accompagner ? Demanda joyeusement le saru.

Non, ils ont beaucoup de réunions et de travail, eux aussi, aujourd'hui. Apprit le jeune singe de la bouche de la déesse.

Ok, tans pis ! On s'amusera sans vous, na ! Narguât Gokû.

Nataku lui sauta dessus pour se venger et gagna, comme d'habitude, très facilement. Cette « lutte » entre les deux ados fit rire le groupe d'ami et quand les deux jeunes hommes se décidèrent enfin à s'arrêter (il fallut attendre pour cela que Gokû s'avoue vaincu, ce qui n'était pas gagné ! ). Le petit déjeuner reprit son court dans une ambiance bon enfant où tout le monde parlaient et échangeaient des points de vue sur des sujets des plus banals.

Sanzo et Gokû flânaient dans le paradis céleste, découvrant des paysages plus somptueux les uns que les autres. Ils leur avaient fallut une bonne heure avant que le brun ne se décide à attraper la main de son aîné.

Il était bien une heure de l'après midi quand le couple découvrit l'endroit idéal pour leur pique-nique. Ils s'arrêtèrent dans un champ laissé à l'abandon où les fleurs et les mauvaises herbes poussaient selon leurs propres lois et leurs propres inspirations. Cela donnait des ensembles assez colorés et ordonnés. Ils s'installèrent au bord d'une charmante rivière qui glougloutait de cailloux en creux…

Ils étalèrent les victuailles fournis par les cuisiniers de Bosatsu. Ils y avaient tout juste assez pour nourrir trois adultes. La déesse avait dû oublier de mentionner que le saru était de la partie. Là, ils auraient sûrement prévu assez pour un régiment. Il n'y aurait jamais assez de nourriture pour nourrir l'aberration.

Ils mangèrent lentement -exploit de la part de gokû- profitant des rayons de soleil jouant avec le feuillage de l'acacia sous lequel ils s'étaient installés. Le vent soulevait tendrement leurs cheveux et faisait danser les fleurs et brindilles prés d'eux. Ils s'étaient mis pieds nus et laissaient l'eau chatouiller leurs orteils.

Quand ils finirent la dernière part de gâteau, que gokû avait laissait à sanzo, annoncant qu'il avait l'estomac plein, le soleil entamait déjà un début de descente vers les ténèbres, il devait être approximativement quatre heures. Sanzo eut du mal à terminer le dessert et fût surpris de voir le saru reput. Ils avaient profités de ce repas pour mieux se découvrirent.

Ils avaient vécu tellement longtemps ensemble qu'ils pensaient bien se connaître. Et bien, ils se trompaient ! Ils ne connaissaient quasiment rien l'un de l'autre avant ce repas. Les trois heures de celui-ci avaient suffit à commencer à combler leur ignorance.

Après avoir remballé les plats vides, ils s'allongèrent côte à côte. Le soleil était déjà bas quand ils se décidèrent à se lever. Ils rentrèrent main dans la main, malgré les regards noirs de certains passants.

Le lendemain, ils redescendirent vers onze heures moins dix avec leurs affaires. Quelle ne fut pas leur surprise de découvrir un mot de leur hôtesse Bosatsu sur la table à manger, où quelques heures plus tôt, le jeune couple avait déjeuné seul. Le message précisait qu'elle était absente aujourd'hui pour des raisons pour le moment privées ! Elle ajoutait aussi que leur retour était donc remit au lendemain, même heure.

Ils s'attelèrent donc à remonter leurs affaires dans leur chambre et d'y attendre le déjeuner, prévu à midi. Ils décidèrent d'aller se promener après le repas, afin de faire passer la journée.

Ils furent heureux de retrouver tous leurs amis réunis par le son de la cloche, annonciatrice des repas. Seuls Omura et Bosatsu manquaient, du fait de leur fonction de dieu assez importante au sein du Tenken… (nan, en fait, omura est important car c'est le dieu de la guerre, mais Bosatsu, elle, elle sait inviter dans la réunion…et comme d'hab' ils non pas pu la virer ! Elle est douée cette bosatsu ! Aussi douée que perverse !). Les deux jeunes gens purent apprendre par le biais de Nataku, le nouvel assistant d'Omura, que le Tenken était en état d'alerte depuis ce matin, pour des raisons qui lui était encore, soi disant, inconnues. Ses yeux mentaient, mais tous comprirent que cela devait rester secret et n'insistèrent pas, pour ne pas embarrasser le jeune aux yeux dorés.

Comme prévu, après le repas, le bonze et le jeune singe, sortirent pour faire passer le temps et tenter de passer un dernier bon moment au Paradis Céleste.

« Sa bouche est sanctuaire,

La plus sacrée des prières.

Sa langue y est pour moi,

Le pire des effrois, c'est froid !

Sa bouche est sanctuaire,

Le plus sacré des mystères.

Il est l'ange pour moi,

Je lui dis tout bas… » (1)

« - Je t'aime

Quoi ? Tu as parlé ? Tu penses à quoi ? Questionna gokû en pressant un peu plus fort la main du moine dans la sienne.

Je pensais à toi, motoyori (2) ! Répondit le blondinet, le sourire aux lèvres.

Nani ? Rougit gokû.

Sanzo se pencha alors, tout en s'avançant, le plaquant à un énorme chêne. Il embrassa le saru, sa langue se força un passage entre les lèvres du jeune singe. Celui-ci voulut s'éloigner brusquement mais il était bloqué. Il finit par y arriver au prix de quelques efforts.

Iie ! je ne suis pas …

Le blond lui saisit les lèvres à nouveau avant même que l'aberration n'ait le temps ni de finir sa phrase ni de réaliser ce qui lui arrivait. Le bonze retenta de s'introduire de force dans la bouche de l'adolescent.

Iie !

Le cri de gokû réveilla à peine sanzo de la folie dans laquelle il s'était enfermé…

Le saru s'enfuit en courant. Il courut tant et tant, sans s'arrêter une seule seconde. Il finit par s'effondrer à genoux, les fesses sur les talons. Ses avant-bras imitant ses jambes et tombant au sol. Sa tête chuta sur les bras. Il était recroquevillé sur le sol. Il avait courut plus de sept heures, et il lui avait semblé que cela faisait une éternité. Il faisait nuit et les étoiles brillaient déjà dans le ciel.

Ces étoiles que Kanzen aimait tant.

Sa rage et son désespoir avaient permis à Gokû d'utiliser sa force d'aberration sans perdre son contrôleur de force, ni même perdre connaissance. Maintenant, ses larmes coulaient plus fort que jamais. Son visage était si prés du sol qu'il les entendait tomber et s'écraser sur le sol. Elles parcouraient la distance les séparant du sol à une vitesse vertigineuse. Elles étaient si grosses et si nombreuses…

Pourquoi sanzo l'avait-il embrassé? Il savait pourtant pertinemment bien qu'il n'était pas prêt ! Pourquoi ? il avait tellement peur de le perdre lui aussi…(Nanie : quel naz ce sanzo ! Dita : jte le fait pas dire ! )

A SUIVRE…

Fin chap. XI !

1. parole de myléne farmer. Titre : QI, albums : Avant que l'ombre.

2. bien sûr

Dita : voila ! pour le moment la belle tirade de bosatsu n'as pas de rôle…mais je commence à sentir une Merveilleuse idée germer dans mon esprit…

KB : je confirme…son idée est véritablement géniale !

Mouhahahahahahahahahahahaha (fois deux)

Bon allez…a bientôt…et surtout, continuer a m'encourager grâce a vos reviews !

See you, Dita