Kikoo, me revoilà, je sais, j'ai été longue à écrire ce chapitre, Gomen nasai ! Le treize est encore plus dur à écrire. On approche de la faim euh, la fin et je ne veux surtout pas la bâcler…continuez à m'encourager…s'il vous plait ! Et si vous avez des idées…vous pouvez me les communiquer dans vos reviews ! Arigatô !
Disclamer : projette de demander à Minekura de m'embaucher comme scénariste…
En italique, les penser des personnages. Ce chapitre a été écrit sur du Noa, plus précisément sur les musiques « I Don't Know » et « Desire », je trouve que ces deux chansons vont à merveille avec ce chap.…(je note une traduction approximative à la fin, pour ceux qui ne comprenne pas un mots d'anglais…comme nanie quoi, lol)
Bon j'arrête de parler et je passe aux choses sérieuses avant de me faire tuer…
RAR
Seilin : Thank you pour ton soutient…tes reviews me font toujours autant plaisir…je suis ravi que ma fanfic te plaise..voila la suite…BONNE LECTURE ! (j'espere que ce chap. te plaira aussi !)
Menaline : OUHA ! j'ai les larmes aux yeux…sa te plais autant que sa ? Dita aux anges… Voila la suite…j'espere que je ne t'ai pas trop fait attendre…sinan, Pardonne moi !
Lillou : MERCI ! tes félicitations me vont droit au cœur !
EnvyXEd : Merci de m'encourager…toi aussi, bon courage…(tu me fait peur…je compte faire une fac de bio, moi aussi…). T'en fait pas…Gokû arrivera surment a trouver le bonheur…Pour Hakkai et Gojyo…je sait qu'on les voit pas beaucoup dans cette fics…j'ai un projet pour eux d'eux...sa s'appelera : Couleurs Maudites. Mais ce sera pour après cette fanfic…Voila. En attendant…profite bien du chapitre 12 !
NANIE : TU VAS ME FAIRE LE PLAISIR DE PATIENTER…JE T'EN SUPPLIE !Nanie-sempaï !
kyochan95 : LES 11 D'UN COUP ! OUHA ! (SANZO arréte de dire ke mes lectrices sont folle ! Sanzo : tu compte me contre dire ? Dita : euh…nan…les 11 d'un coup ?) merci de m'encourager…Voila la suite ! Bonne Lecture Kyo-chan !
Kokoroyume : ARIGATÔ pour ta review ! Rha…bienvenue a toi ! je suis vraiment tré ému a chaque nouveau lecteurs/lectrices…merci de m'encourager…c'est vrai qu'en plus j'en ai vraiment besoin en ce moment ! encore MERCI et à la prochaine !
Sahory : Tant fait pas, je compte bien finir cette fic…d'ailleur, voila un nouveau chap qui nous rapproche petit a petit de la fin…Merci pour ta review !
Chap. XII : Pourquoi ?
Gokû se releva difficilement et sentit dans sa poche le cutter qu'ils avaient utilisé, Nataku et lui pour préparer certains de leurs mauvais tours ? Il s'adossa au premier arbre venu, plus recroquevillé qu'assit. Il attrapa le cutter, déploya la lame, remonta sa manche gauche. Cela lui venait instinctivement, comme s'il avait fait cela toute sa vie. Il commença par caresser son poignet avec le flan de la lame froide. Des frissons se mirent à lui parcourir le dos. C'était meilleur qu'une caresse. Plus doux, plus calmant que tout. Il appuya la lame, puis se trancha la peau, ouvrant plein de minuscules vaisseaux sanguins. Son sang, ce liquide chaud et sucré s'échappa de sa blessure. Il porta son poignet à sa bouche et lapât le liquide carmin.
Il ne ressentit aucune douleur physique, juste une merveilleuse libération. Il se sentait vivant, humain. En un sens, il en avait la preuve…un être humain a du sang dans les veines, et lui aussi en avait. Il s'échappait et paradoxalement, le ramenait à la vie. Son bras allait être le miroir brouillé de son cœur déchiré et malmené.
Il recommença plusieurs fois avant de réussir à s'endormir, exténué par sa course.
De son côté, Sanzo était fou de rage contre lui-même. Pourquoi avait-il fait cela ? Pourquoi n'avait-il pas respecté sa promesse ? Il rentra au palais dans en espérant que Gokû rentrerait. Il devait s'excuser ! Il s'en voulait tant ! Pourquoi ?
« I don't know ! »
Il se coucha seul, Gokû n'était pas revenu…il avait demandé à Bosatsu d'envoyer des hommes à la recherche du saru, il avait un mauvais pressentiment.
« Pourvu qu'il ne fasse pas de conneries, si ce n'est pas déjà fait…pourquoi ai-je fait cela ? Je suis tellement con ! C'est moi le baka ! Pas lui ! »
Il s'effondra sur son lit et pleura toutes les larmes de son corps. Son maître lui avait toujours dit qu'il ne fallait pas avoir honte de ses larmes, car elles pouvaient être à la fois une force et une faiblesse. Mais les retenir ne peut qu'affaiblir l'être en peine.
…
Quand enfin on retrouva l'aberration, ce dernier avait eu le temps de laver le sang sur son poignet et c'est un saru exténué et affamé, d'apparence « normal » que retrouvèrent les hommes de bosatsu. Il leur expliqua qu'il s'était perdu et qu'il avait fini par s'endormir, sautant le passage plus sanglant…
Une fois au palais, Kanzenon les ramenant sur terre où leurs compagnons n'avaient pas eu le temps de s'inquiéter de leur longue absence. Bosatsu retourna seule au tenken, elle avait été tellement occupée ces derniers temps, et elle risquait d'être encore plus occupée ces prochains jours, qu'elle n'avait pas remarqué que le saru évitait absolument le bonze. Elle ne s'était aperçut de rien du tout.
Du retour chez elle, Bosatsu n'eut même pas le temps d'observer les retrouvailles du groupe, elle n'était même pas allée réellement sur Gekai, elle avait crut sentir une ambiance tendue…mais elle n'en était pas sûre. Elle devait retourner à ses préparatifs.
« Ils ne savent pas comment expliquer leur longue absence…ils ne savent sûrement pas s'ils peuvent parler de leur relation…cela ne durera pas, car s'ils ont vraiment du mal, je trouverai bien un instant pour les aider ! Pensa la déesse. »
Elle jeta un rapide regard sur terre et rentra dans son palais pour se diriger vers son bureau.
« Comment avez- vous pu vouloir être sourd, muet, aveugle ou que votre cœur s'endorme ?
Voilà ce que vous avez souhaité…j'ai réalisé vos vœux, et vous les avez vous-même brisé, pour mon plus grand bonheur, ainsi que le votre. Vous voilà enfin libre ! Mais je sens qu'ils ne sont pas au bout de leur peine…pensa la vieille en s'assaillant à son bureau où une pile monstrueuse de dossiers l'attendait. »
Sur GekaiIls mangèrent leur déjeuner en silence, n'échangeant que des banalités et reprirent la route aussitôt la note de l'auberge réglée.
La route se fit en silence, seul l'estomac du gaki se fit entendre mais celui-ci ne se plaignit pas, évitant d'énerver Sanzo…il ne savait pas comment se comporter avec lui.
Devait-il s'excuser de l'avoir repoussé ? Sanzo ne devait certainement plus l'aimer. Il devait certainement penser que Gokû n'était qu'un gamin indécis…
« Il doit douter de mes sentiments…mais je l'aime…qu'est ce que je dois faire ? »
« I don't know ! »
Ils roulèrent toute l'après-midi et atteignirent par chance un village avant la tombé de la nuit. Ils prirent quatre chambres de une personne, mangèrent et partirent se coucher.
L'ambiance de la journée et ces longues heures de trajet après un si long arrêt les avaient épuisé. Seuls Gojyo et Hakkai se souhaitèrent bonne nuit…( à leur manière s'entend…)
Chambre de Sanzo, POV Sanzo.
Il était épuisé. Il décida de prendre sa douche puis alla se coucher. Malgré sa fatigue, il n'arrivait pas à s'endormir, trop de pensées torturaient son pauvre esprit exténué. Il s'assit donc sur le rebord de la fenêtre et se grilla une clope.
Il doit penser que je ne l'aime plus…en plus il doit me haïr…pourquoi ai-je été si bête ? Il doit penser que je ne l'ai jamais vraiment aimé, que je voulais juste satisfaire quelques envies ! Mais tout cela est faux ! Je l'aime tant ! demain…demain il faudra que je lui parle, que je m'excuse…
Comment vas t-il réagirent ?
« I don't know ! »
Il continua à se torturer l'esprit, assis ou plutôt recoquillé contre la fenêtre, les joues de plus en plus humides.
Pendant ce temps, Dans la chambre de Gokû, POV gokûLe saru ne savait plus quoi faire…son corps allait exploser…il contenait trop de douleurs ! Cela n'était plus supportable…
Il attrapa son cutter. La lame, qu'il voulait pour nouvelle amie, déployée. Il commença à se caresser le poignet. Les flancs glacés de la lame finir par lui caresser le bras, de l'épaule au poignet, du poignet à l'épaule.
La lame devint tout pour lui à cet instant…elle allait décider de sa vie, de sa mort…elle allait juger la douleur de son cœur et de son âme. Ensuite, elle la reproduirait sur son bras gauche. Le miroir serait ainsi de plus en plus net.
Il trancha sa peau tendre et tiède, juste au-dessus des marques de la veille. Il ferait ainsi des graduations jusqu'en haut de son bras…plus sa douleur sera grande, plus le niveau montera…son bras comme reflet, la lame comme miroir.
Une fleur rouge éclot alors sur son bras,
« Flower, colored bright »
Puis fut remplacée par un mince filé de sang…il se sentit libéré. Toute cette douleur… Il recommença plusieurs fois, lapant son sang avec délice…la douleur physique effaçant la douleur que contenait son cœur…ce sentiment que tous le mal du monde s'échapper en même temps que son sang. L'impression de redevenir pur, de revivre…d'oublier la douleur…Enfin ce sentir libéré, ne plus avoir ces chaîne de douleur…pouvoir pleurer, car ses larmes aussi étaient prisonnières de son cœur…
Est ce que sanzo m'aime toujours ? Et si non, suis je capable de vivre seul ? De lutter seul ? Je suis fort, mais le suis-je toujours sans lui ?
« Flower, colored bright
I am strong, I can fight
But I don't know. »
« I don't know
I don't know! »
POV Sanzo
Je me sens si faible sans lui. Sans son sourire, que suis-je ? Les larmes fleurirent encore une fois au bord de ses yeux. Mais suis-je assez fort pour le protéger et surtout ne plus le blesser ?
« Flower, colored bright
I am strong, I can fight
But I don't know. »
« I don't know
I don't know! »
POV des deux.
Pourquoi lutter?
Je déciderai seul du chemin que suivra ma vie…
« Tower, brick and stone
Make my way on my own
But I don't know... »
Mais pourquoi continuer à vivre?
« I don't know
I don't know! »
POV Gokû.
Je pourrais mourir maintenant, m'envoler. Mais qu'est-ce que cela changera ?
POV SANZO
Je pourrais m'excuser tout de suite, mais m'acceptera-t-il de nouveau ?
Les deux :
« I don't know why, I don't know how
If I can fly, can I fly now?
Are my wings strong enough to bear
The winds out there?
Hey, I don't know. Tell me it'll never fade
And I'll go forth unafraid
'Cause I don't know.
Mon amour pour lui est si fort! Je ne suis rien sans lui, ma vie se consume, mon cœur brûle…je ne peux plus rester là, immobile…
Show me rain and flood
To cool the fire in my blood
'Cause I don't know.I don't know why, I don't know how
If I can fly, can I fly now?
Are my wings strong enough to bear
The winds out there?
Hey, I don't know » (1)
Fin POV des deux persos.
D'un même mouvement, ils se levèrent, allèrent à la porte, l'entrouvrirent et se retrouvérent face à face…
Gokû attendit un mouvement de la part de Sanzo, il n'osait pas bouger. Le Bonze sortit de sa chambre, sortit de l'auberge et alla faire un tour, cela le calmerait peut être.
Le saru allait retourner dans sa chambre, mais il se ravisa et suivit silencieusement Sanzo. Il sortit à sa suite et le vit entrer dans un bar. Le blond se dirigea vers une jeune femme seule, lui adressa la parole et s'assit à sa table. Le jeune saru ne remarqua pas que c'était la seule table de « libre » et repartit dans sa chambre, son cœur encore plus douloureux qu'avant…
…
Les jours passèrent, l'ambiance devenait de plus en plus lourde, malgré les efforts d'Hakkai et du rouquin.
Leur voyage se poursuivait, les rumeurs qui couraient chez les youkais disaient que cinq des six soutras avaient été rassemblés au château de Guymao. Ils devaient arriver au plus vite. Sans pour autant tuer Hakkuryu…c'était un être vivant, et lui aussi avait besoin de repos. Ils avaient donc décidé de continuer sur leur lancer, roulant du lever du jour au coucher du soleil, en faisant le moins de poses possible. Les nuits étaient courtes, les journées donc plus silencieuses car gojyo et gokû dormaient dés que possible. Le roux étant fatigué par les exploits sportifs de ses nuits et le saru par ses longues nuits à pleurer et à tenter d'oublier sa douleur…
Chance ou hasard, ils collectionnaient les auberges où ils ne restaient que des chambres individuelles.
« POV Gokû »
Cela faisait plus d'une semaine que cela durait. Chaque nuit, il tentait d'oublier la journée. Il était à la fois si proche et si loin de celui qu'il aimait !
A voyager prés de lui, il savait enfin ce qu'il voulait. Il faisait souvent semblant de dormir pendant leurs trajets, mis il avait perdu le sommeil. Son sang d'aberration le maintenais debout, mais si cela continuait, il s'effondrerait, il en était conscient. Il voulait être avec le Bonze, il l'aimait…mais cela était sûrement trop tard maintenant !
« With the breaking of the dawn
I will peak beyond the glass
There's an endless stretch of blue below
An ocean cold and vast
I am traveling again
Between the heavens and the clouds
Reaching out, turning a vision
Into a future, strong and proud »
« POV Sanzo »
Il me hait, j'en suis sûr, maintenant, cela est trop tard, je ne peux plus m'excuser…voyager prés de lui, être à ses cotés, tout en étant à des lieus de lui…c'est… c'est devenu trop dur…
Fin POV
« But I say, oh, - There's nothin more I desire
Than to spend my life with you
Setting me gently on fire.»
- Nous ferions mieux de nous arrêter, proposa Hakkai. La nuit est en train de tomber, Hakkuryu n'en peut plus et marcher jusqu'au prochain village s'avère impossible, se serait plus du suicide qu'autre chose.
- Où se situe le prochain village ? demanda quand même le bonze.
- De l'autre coté de cette forêt, à plus de trois heures en voiture. Nous devrions camper ici, cette clairière est parfaite. De plus, maintenant que l'on est arrêté, j'entends le bruit d'une rivière pas très loin.
- Ok, on descend. Gojyo, va chercher du bois. Le Saru ira chercher de l'eau pendant que Hakkai préparera un repas rapide, ordonna le bonze.
Sanzo aida Hakkai, pour une fois (c'est une chose rare de le voir aider…mais vaut mieux pour lui qu'il évite de penser en ce moment…), à déballer leurs affaires et à allumer un petit feu de camp, histoire de pouvoir manger chaud et éloigner les bêtes sauvages…
Une fois qu'ils eurent mangé le léger repas et qu'ils furent tous couchés et bien endormis, l'aberration se leva, prétextant un besoin naturel et une envie de marcher à Hakkai, qui prenait le premier tour de garde.
Le saru marcha pour s'éloigner un peu du camp puis s'adossa au premier arbre venu. Il sortit son cutter. Cela était devenu une habitude, ou plutôt une drogue, il ne pouvait plus s'en passer…
« We're a very special two
Only you can understand
Walking parallel, on separate paths,
But always holding hands.
As we lay our yellow bricks
On the road to something better
Can we find a point of meeting
And continue on together?»
« Au campement »
Hakkai réveilla Sanzo pour qu'il prenne son tour de garde.
- Au fait, se souvint-il avant de sombrer dans le sommeil, Gokû est partit faire un tour il y a déjà une dizaine de minutes…il devrait bientôt revenir, sort pas ton flingue au premier bruit…
- Pourquoi pas ? le singe grillé, c'est peut être bon…
L'ancien humain rit un peu, avant de s'endormir, trop fatigué pour ajouter quoi que se soit.
Cela faisait bien une demi-heure que Sanzo veillait. Il n'avait pas encore réveillé Gojyo pour qu'il prenne sa place, car il savait pertinemment qu'il n'arriverait pas à se rendormir, c'était déjà un exploit qu'il se soit laissé aller à rejoindre Morphée tout à l'heure. Autant que son insomnie soit utile et au moins, personne ne le dérangerait si les autres dormaient.
Quelques minutes passèrent encore. Le bonze était de plus en plus inquiet au sujet du saru. Il décida d'aller à sa recherche. Si le gamin c'était encore perdu, endormit on ne sait où, ou fait kidnapper, il allait l'entendre !
Il ne lui fallut qu'une dizaine de minutes pour le retrouver, assit par terre, dos à un arbre. Le saru ne l'avait pas entendu arriver.
Il le vit porter une énième fois la lame à son bras et se faire une profonde entaille au-dessus de la précédente. Il avait atteint le haut de son bras. Le bras gauche du saru était couvert de marques, formant comme une échelle ce qui était exactement ce que le saru avait voulu faire. Il avait réussit à créer l'échelle de sa souffrance, cette souffrance qui le possédait et ne cessait d'augmenter.
« And I say, oh, - There's nothin more I desire
Than to spend my life with you
Setting me gently on fire.»
Sanzo se précipita à lui et arrêta le mouvement du gaki qui allait encore recommencer après avoir lapé le sang qui coulait de ses blessures. Il lui arracha le cutter des mains et le lança au loin. Puis il le regarda droit dans les yeux.
« -Arrête ! pourquoi tu fais ça ?
- Parce que ! ça ne te regarde pas !
- Si cela me regarde ! tes sensé me suivre, et je ne veux pas d'un saru diminué prés de moi !
- J'ai mes raisons !
- Et c'est quoi, ces raisons ?
- Toi ! ne put se retenir de crier l'aberration.
… »
Cela lui avait échappé, il ne voulait pas qu'il sache que c'était à cause de lui qu'il souffrait et qu'il faisait cela. Sanzo ne savait plus quoi dire, il se croyait le seul à souffrir autant, et il voyait combien il avait eu tord.
Tous deux sentaient leur cœur comme prit dans un étaux avec l'envie de l'arracher pour ne plus le sentir, avec l'envie de se tuer pour ne plus souffrir…
« And I say, oh, - There's nothin more I desire
Than to spend my life with you
Setting me gently on fire.» (2)
« - Je t'aime, pardonne-moi de t'avoir repoussé. Je ne voulais pas te blesser, ne me hais pas, …je t'en supplie, s'il n'est pas trop tard ! Supplia Gokû, en pleure.
- C'est à moi de m'excuser, je t'avais promis de ne plus te forcer. J'ai trahi ma promesse. Pardonne moi Gokû, je t'aime ! »
Ils s'embrassèrent avec toute la tendresse, l'amour et la passion qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre et qu'ils avaient contenu si longtemps.
Ils restèrent seuls quelques instants dans les bras l'un de l'autre, en une tendre étreinte. Puis rejoignirent à contre cœur le campement.
…
Le voyage reprit aux premières lueurs de l'aube. Hakkai avait soigné le gaki sans demander d'explication, voyant ses deux compagnons peu enclins à en donner. Le château n'était plus très loin. La cadence de leur voyage pu donc ralentir un peu. Il fallait à tout prix qu'ils évitent d'arriver fatigués. Il fallait qu'ils soient prés à se battre.
« Pendant ce temps là, Au tenken. »
- Jirou-shin, Homura, Nataku, Shien, Zenon, je vous ai réuni aujourd'hui pour vous annoncer que je mettrai mon plan à exécution demain, à partir de 10h45 précise. Tenez-vous prêt, je ne veux pas que ces semaines de travail acharné ne tombent à l'eau ! Annonça la Déesse, de la manière la plus solennelle qui soit.
- Bien, Bosatsu-sama ! je sens que l'on va bien s'amuser, plaisanta Homura, esquissant un garde à vous.
- Vous êtes sûre que cela est bien sérieux, Bosatsu-sama ? demanda timidement Jirou-shin.
- Rha, quel rabat joie ! Allez, Jirou-san, admet que cela ne te déplairai pas que l'autre vieille folle réussisse son projet ? lança Nataku, au comble de la joie. Vivement demain !
Tous partirent à rire, même Jirou-shin-san, imaginant le lendemain.
- Demain sera un grand jour pour le Tenken, sûrement le plus grand de toute son histoire, réussit à lâcher Homura, prit, comme les autres, de fou rire.
« De nouveau sur terre »
« Au château de Gyumao »
- Dame Gyokumen, nous avons localisé le dernier soutra. Une équipe est prête à partir et attend vos ordres pour partir le récupérer, annonça Nîi. S'ils partent maintenant, ils atteindront le lieu où il est caché demain à la même heure environ, et s'ils rencontrent des difficultés, le soutra sera entre leurs mains au plus tard avant 11h demain. La résurrection de Gyumao pourra donc être lancée après-demain sur les coups de 10h45, 11h…
- Demain et Après-demain seront donc des grands jours pour Gekai, cela est une excellente nouvelle. Je veux qu'ils partent sur le champ ! tu sera récompensé pour ton travail, Nîi, si tu réussis à ramener mon cher et tendre époux à la vie, jubila Gyokumen.
- Ne vous en faites pas. Nous aurons fini les derniers tests d'ici demain soir.
Nîi s'inclina puis retourna à son laboratoire. Il devait finir son travail. Pour cela il devait entrer les derniers paramètres pour que tout soit parfait. Il n'aurait pas de deuxième chance, et il tenait absolument à voir ce qui adviendrait de la terre, après la résurrection du dieu de la destruction.
Fin Chap. 12,…À SUIVRE !
Je rappelle que les traductions sont APPROXIMATIVES. Je ne suis vraiment pas douée en anglais (nanie : parce qu'en français tu es douée ?Hum hum…je crois pas…Dita : Bouhouhou…tu es trop méchante…pour la peine, j'arrête la fanfic ! NAN je plaisante !Jamais je ferais une chose pareil !), et je déteste feuilleter les dicos le dimanche matin…mais le sens et plus que compréhensible…enfin il me semble…
I don't know (je ne sais pas.)
Fleur, de couleurs vives,
je suis forte et je peux me battre,
mais je ne sais pas.
Tours, de brique et de pierre,
Je construis seule mon chemin,
Mais je ne sais pas.
R : Je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas où ?
Si je peux voler, puis-je voler maintenant ?
Avec mes ailes assez forte pour me porter
Mes ailes au dehors ?
Hey, je ne sais pas.
Raconte-moi que ce n'est jamais pâle,
Et je n'avancerais jamais effrayé
Parce que je ne sais pas.
Apporte-moi la pluie et l'inondation
Pour éteindre le feu dans mon sang
Parce que je ne sais pas.
Je ne sais pas
R : je ne sais pas quand, je ne sais pas où…
Desire (Désir)
« Avec l'arriver de l'aube,
Je veut jeter un coup d'oeil furtif au delà du verre.
Cette interminable étendu de bleu
Qui devient
Un ocean froid et vaste.
Je voyagerais encore, entre les cieux et les nuages.
Je tendrais les bras, vers la route en vue
Dans ce future, fort et fier.
R: Mais je dit : oh, je ne désir rien de plus
Que de passer ma vie prés de toi,
Assisdoucement prés de feu.
Tu comprens, nous sommes tous les deux vraiment spécail.
Marchant parrallélement,
Sur des chemins séparé,
Mais toujours main dans la main.
Comme nous posons nous même les briques jaune
Afin de construire notre route.
Peux-tu trouver le point de rendez vous
Et continuer ensemble ?
Refrain.
Voila pour les trads!
Tout ce précipite, les choses se précisent,…nos quatre héros s'en sortiront-ils indemne ? à vous de voir, les paris sont lancés !
Et vous avez vu ça, cette fois j'ai réussi à mettre un « h » à Homura du premier coup, et non à la correction ! je fais des progrès ! (j'entends déjà Hina, Ôji, et Nanie arriver en gueulant : « Quoi DES PROGRES ? » et en me montrant mes chaps complètement raturés de rouge à chaque faute(Nanie : tu veux dire à chaque mot de chaque phrase !)…T.T bouhouhou….ne me tuez pas, PITIER ! SAUVEZ MOI, MES CHERS LECTEURS !)
Nanie : Tu écris de mieux en mieux(je parle pas des fautes bien sûr ! mais j'aime bien mieux que ceux d'avant ! en fait, à partir de 9 ou 10, ça m'a bien plu, avant aussi, mais moins ! là c'est de plus en plus excellent ! tu aurais pu parler un peu plus de ce qu'on ressent quand on se scarifie…là, y'a pas de sentiments ! enfin, un peu mais pas tant que ça ! mais sinon, c'est vraiment bien ! Super même ! bisous et bonne continuation !.
Euh, après ces retouches, je dois dire que, bon je suis pas mal déprimée aussi donc ça me touche plus, mais c'est encore mieux développé pour la scarification…bisous je t'adore Dita-chan…lol
Thank you, ma nanie chérie ! Bon allez, j'arrete mes blabla et vous laisse reprendre vos activités autrement plus intérréssante !
Je veux des reviews…ONEGAI !
See you,
Dita
