Voilà la suite! j'espère que cela vous plaira!
Hiiragi courait maintenant après Tachibana, celui-ci ne voulant plus lâcher le ballon. Harumoto s'en mêle et lui saute dessus. Cela finit en pagaille générale, comme d'habitude...
- [soupir] C'est bon les débiles, on arrête pour aujourd'hui. J'en peux plus.
Sumiré rejoint Minéfuji et Saeki sur le terrain.
- Tiens, salut ma ptite !
- Oh ? chochotte t'es venue ! Mais t'avais pas entraînement toi aussi ?
- Heu...Si, si mais on a finit plus tôt. Comment vont les garçons ?
- Humph.
- Minéfuji est contrariée car ils ne sont pas assez sérieux.
Sumiré esquisse un sourire :
- Oui j'avais remarqué mais ils sont ainsi et c'est peut-être pas plus mal...
- Un peu de rigueur ça aiderait quand même. Mais bon.
C'est vrai mais on les aime comme ça ! n'est-ce pas sumiré ? lui lance mika, qui n'en manque jamais une pour embarrasser la petite brune.
Et voilà celle-ci qui vire au rouge foncé.
Les membres de kouzu posés sur un banc de l'autre côté du terrain, essuient leur visage en sueur avec de grosses serviettes éponges.
Tachibana et Hiiragi observe le coin des quatre jeunes femmes.
- Tiens, sumiré n'a pas l'air très en forme aujourd'hui.
- Ah oui ? Je vois pas de différence dit le moustachu
- Si c'est vrai elle est pas pareil que d'habitude. T'es pas observateur Harumoto.
- Oh ça va le blondinet hein !
- De quoi ?
- Arrêtez vous deux ! Vous n'êtes pas fatigués ? J'peux vous faire du thé si vous voulez ! ;-)
Et ils partent tous dans un grand éclat de rire.
Hiiragi se tourne vers Tachibana. Toujours entrain d'observer sumiré (qui fait de grand gestes maladroits avec de la fumée lui sortant des oreilles, signe que mika a bien réussit son coup et ne lâche pas le morceau !), il a l'air soucieux. Mais dès qu'il s'aperçoit qu'Hiiragi le regarde, il reprend son air habituel.
- Humph.
- Humph.
Ils se comprennent. ;-)
- Salut.
Le jeune homme se tient maintenant derrière la jeune fille aux cheveux court, les mains dans les poches, sa serviette autour du cou et une paille dans la bouche
- Oh akané ! Bonjour ! je t'ai pas vu arriver.
Tout bas : « ça m'étonne pas... »
- On rentre ensemble si t'es prêt alors ?
Visiblement elle hâte de s'éclipser...
- Tu m'payes un bœuf au riz ?
Elle sourit. - C'est d'accord !
« ça c'est bizarre, elle accepte jamais sans rien dire normalement »
Sumiré s'adresse aux autre :
- Bon à demain vous !
Les chœurs :
- A demaiinn !
Hiiragi :
- Humph.
Tachibana :
- Humph.
(« à demain, bonne soirée » donc. ( traduction de l'auteur) lol)
Au resto :
- Raah trop bon ce bœuf au riz sumiré !
- Heureuse qu'il te plaise akané.
Le menton appuyé sur ses mains elle le regardait d'un air ravi.
- Qu'est-ce qui te rend si heureuse ?
- Toi ! répond sumiré avec des yeux rieurs
Akané avale de travers. Un instant plus tard, sumiré réalise ce qu'elle vient de dire.
- Je veux dire...Te voir manger de si bon appétit me ravie !
- kofkof hum bon. Tu veux quelque chose ? Une glace ?
-Oh oui avec plaisir !
« Qu'est-ce qui se passe ? C'est rare qu'il me propose de m'inviter. En tout cas ça me fait drôlement plaisir ! »
S'adressant au serveur :
- Vous pouvez rajouter une glace sur la facture siou plaît ?
Sumiré fait les gros yeux.
- Comment ?! c'est moi qui doit tout payer ? Tu n'es qu'un mufle akané !
- Allezz, arrête de râler sumiré ! Tu sais bien que j'ai pas de fric ! Tiens goûte donc mon bœuf.
Et il lui enfourne une grosse cuillérée de riz dans la bouche.
- Hick !
Elle devient soudain rouge jusqu'aux oreilles.
- Ben quoi ? Qu'est ki y'a ?
Sans prendre le temps de répondre, sumiré prend la carafe d'eau et la boit d'une seule traite.
- Y'a trop de piment dans ton truc ! T'es taré !
- Ah bon ? J'sens rien moi.
Sur le chemin du retour, sumiré reste en retrait. Akané devant, l'air nonchalant, mâchouille un cure dent. D'habitude c'est elle qui lui pose des question, qui le fait parler. Ce soir, rien, pas un mot. « Elle est vraiment pas dans son assiette ».
Juste avant qu'elle ne rentre chez elle, akané l'interpelle.
- Hey sumiré !
- Oui ?
- T'as l'air triste aujourd'hui. Te fais pas de bile pour rien, ok ?
- Ok akané, t'inquiète. Bonne nuit.
- Bonne nuit.
« Mais bon sang, où est passé son vrai sourire ? Il me manque. »
