Salut tout le monde ! Dita fait son grand retour…( noies le poisson…) bon ok, je le reconnais, je suis très très en retard…SUMIMASEN ! (s'incline, encore et toujours !)…pourvu que ce chapitre arrive a me faire pardonner…
Disclamer : Merci Minekura-sama, pour ce mangas génialissime et permettez moi d'utiliser quelques peu vos personnage…(sourire d'ange…)
Bon, pour les reviews anonyme et celles a auxquels je ne peu pas répondre…RAR :
kyochan95 : je ne sait pas si je t'ai déjà répondue…mais MERCI de me soutenir, encore et toujours…cela me fait vraiment très plaisir ! SANZO, si tu continue a martyriser mes revieweurs et revieweuses, t'es un homme mort ! (reviens a kyochan) sinon, tant fait pas, les tourment de mon petit Gokû ne seront peut être pas éternelle…a moins que…Mouhahahahahaha (rire sadique…)
EnvyXEd : voila la suite, dés que j'ai finit cette fic, ce qui ne serait tardé…je me met a l'autre…patience…(j'espère qu'elle te plaira…)
Merci également a tous ceux qui lise cette histoire, même s'ils ne laisse pas de reviews…bon allez, fin des blabla, et début du chapitre…
BONNE LECTURE !
Chap. XIII : Nouvelle alliance.La nuit était déjà tombée quand les quatre voyageurs atteignirent le village. Ils prirent deux chambres de deux personnes, les seules restantes. Seul bémol, qui n'en était pas vraiment un, et contre lequel personne ne protesta, les chambres ne contenaient qu'un lit double chacune.
- Gojyo et Hakkai, vous prenez la chambre 10, ordonna Sanzo.
Personne ne le contredit, chacun trouvant cette décision parfaite. Ils mangèrent dans le tumulte habituel, Gokû et Gojyo s'engueulant pour la moindre miette de nourriture, bien que la table soit couverte d'assez de mets pour nourrir une vingtaine de personnes affamées.
Après ce vif intermède, ils furent heureux de se trouver dans de confortables petites chambres.
-Chambre 10, Gojyo et Hakkai –
- Je vais prendre ma douche, pendant que tu finis ta clope, annonça le brun.
- Ok
Ils prirent leur douche chacun leur tour, pendant que l'autre était occupé à fumer ou à nourrir Hakkuryu. Quand le kappa pervers rejoignit son amant, celui-ci l'attendait patiemment, seulement vêtu d'un caleçon, tout comme son ange roux.
Le kappa s'approcha du brun et l'embrassa langoureusement. Ses mains partirent à l'assaut du corps d'apollon du brun.
L'ancien humain commença par résister, juste pour la forme, avant de se laisser diriger vers le lit double. Les yeux du kappa luisaient d'un éclat bien connu que l'on pouvait interpréter comme étant plus qu'une lueur de lubricité.
Il dévêtit le youkais aux yeux vert en moins de temps qu'il ne m'en faut pour l'écrire, puis l'allongea. Ses lèvres suivirent bientôt ses mains avant d'aller durcir le membre de l'amant. Gojyo léchait, caressait, titillait la verge d'Hakkai qui n'en demandait pas tant pour se durcir.
Bientôt la respiration du brun se fit plus courte, plus saccadée. Le roux continua sa fellation, jusqu'à la libération de l'ancien humain. Puis il retourna aux lèvres aimées.
Se fut le moment que Gojyo choisit pour lubrifier ses doigts et les insérer en Hakkai. Il habitua le brun à la présence d'un doigt, puis d'un deuxième. Quand il sentit son amant prêt, il retira ses doigts puis le pénétra doucement. Il attendit un peu, puis s'inséra plus profondément en celui qu'il aimait. Une fois qu'il eu atteint la prostate, et ainsi arraché un gémissement de plaisir de la part du youkai, le tabou débuta un lent va et vient.
Lorsque hakkai le supplia d'aller plus vite, le demi lâcha les draps pour se cramponner aux hanches de son amant.
Il accéléra le mouvement, allant encore plus loin, arrachant gémissements et soupirs de jouissance par millier et en offrant autant.
Puis se fut en un jouissement retentissant que le métis se libera en celui qui lui était soumis.
Gojyo s'allongea prés de son amant, le souffle court. Ils s'abandonnèrent à Morphée dans les bras l'un de l'autre et dormir le sourire aux lèvres, le cœur gonflé d'amour et de bonheur.
- chambre 9, Sanzo et Gokû –
Sanzo était assit sur le lit, adossé au mur fumant sa clope, il avait enfilé un jean et un t-shirt après sa douche, laissant la salle de bains au saru. Il vit bientôt le saru sortir de la salle d'eau, seulement vêtu d'un t-shirt et d'un caleçon tous deux trop grands.
- Tu pouvais la finir tu sais, lui dit gokû en s'approchant du lit.
- Elle était finit.
- Iie, tu venais de l'allumer, c'est idiot d'allumer une clope si c'est pour l'écraser tout juste après, déclara le saru, qui se trouvait à une dizaine de centimètres du bonze, debout au pied du lit.
- Ouais, sûrement. Mais avec une clope, j'aurai pas pu faire ça ! expliqua-t-il en souriant, mêlant les gestes aux mots.
Sanzo l'attrapa par le T-shirt et fit tomber le brun aux yeux dorés entre ses jambes. Il l'embrassa doucement, tendrement comme pour se faire pardonner de l'avoir fait tomber sur lui.
- Tu contais sortir ? demanda l'aberration, intrigué.
- Ouais, j'ai plus de clope. Mais je crois que ça peut attendre demain. Le bar est sûrement encore ouvert, mais je préfère te surveiller.
Gokû embrassa à son tour le bonze et tenta de se relever. Le blond l'en empêcha, le faisant tomber pour la deuxième fois en quelques minutes entre ses jambes. Il tenta de nouveau des excuses en embrassant son cadet. Gokû se vengea, acceptant nullement ses excuses répétées, par un baiser sauvage, mordant la lèvre inférieure du bonze. Ce dernier poussa un gémissement de plaisir, que la soudaineté du geste lui avait arraché.
Puis le saru allongea le bonze sous lui, laissant ses mains partir à la découverte du torse du blond. L'aîné chercha à nouveau à s'excuser par un chaste baiser mais finit par abandonner la lutte, laissant le gaki dominer.
Celui-ci apprécia à sa juste valeur la soumission de son maître et l'embrassa. Sa langue frôla les lèvres que le tabac avait parfumé du bonze. Puis les lèvres s'entrouvrirent, laissant pénétrer la langue rose et chaude du singe. Cette dernière mit peu de temps à trouver celle, plus froide, de l'adulte. Quand elles se trouvèrent, démarra une joute que le brun remporta haut la main, grâce à ses souvenirs et au conseil de son ami nataku. (et oui, ils n'ont pas eu QUE des discussions innocentes ! rha…on dirait des adolescentes amoureuses…° )
Puis leurs lèvres s'éloignèrent, le temps pour des mains innocentes d'enlever un T-shirt devenu inutile et encombrant. L'aîné fit de même avec celui de son cadet, mimant ses gestes comme un élève mime son maître.
Les lèvres de Gokû partirent à la conquête de la peau du moine au corps aussi pâle et pure que la toute première neige sous les premiers rayons du soleil.
Le blond se mordit les lèvres afin de retenir les gémissements qui menaçaient de sortir, signifiant la victoire totale de l'amant. Mais lorsque les dents du saru s'allièrent à sa langue pour titiller ses tétons, il ne pu se retenir et poussa un couinement de plaisir étouffé.
Le cadet accueilli ce son avec un sourire triomphant et se décida à aller délivrer le membre déjà dure du bonze. Sanzo commençant à se sentir vraiment à l'étroit dans son jean.
Gokû retira le jean du bonze et ses lèvres retrouvèrent le goût parfumé de leurs homologues. Pendant ce temps, l'innocente main droite s'amusait à exciter davantage la verge gonflée sous le caleçon tendu de son aîné.
Sanzo n'en pouvant plus, tenta de retirer son caleçon lui-même et de passer aux choses sérieuses. Mais c'était sans compter sur la perversité de l'innocent saru qui emprisonna les poignets de son aîné. Il se remit à l'embrasser, frôlant leurs deux pénis douloureux l'un contre l'autre au travers de leurs caleçons devenus serrés.
Sanzo suffoquait de plaisir et de douleur. Son souffle était de plus en plus saccadé. Ses gémissements plus présents que jamais. Il avait fermé les yeux. Il laissait carte blanche au gaki, qui savait profiter de cette aubaine.
Puis le bonze sentit un contact humide et agréable sur son bas ventre. Pourtant il avait toujours aussi mal, cela ne pouvait pas venir de lui. Il comprit bien assez vite d'où provenait ses sensations provoquant des vagues de plaisir. Ces vagues l'envahissaient, jusqu'à le noyer, puis se dispersaient jusqu'au moindre confins de son être.
Gokû, après avoir de nouveau abandonné les lèvres du bonze, s'était mis à lécher langoureusement le bord du sous-vêtement, puis le membre du blond à travers ce dernier. Enfin il libéra les poignets de son amant afin d'enlever le caleçon gênant. Il pu alors, accompagné d'un gémissement retentissant, attraper la verge du moine à pleine bouche, après l'avoir consciencieusement caressé de sa langue.
Il débuta alors son va et vient, Sanzo gémissant plus fort et courbant les hanches pour offrir une meilleur prise au saru. Ses mains se crispèrent sur les draps avant de s'enfouir dans les cheveux de l'amant tant désiré.
Le saru mena le bonze au bord de la libération mais s'arrêta avant. Les lèvres des deux amants fêtèrent dignement leurs retrouvailles, multipliant les petits baisers. Puis Sanzo attrapa la main droite du saru et lui lécha les doigts. Après avoir été parfaitement humidifiés, les doigts du saru décidèrent d'initier le bonze à une nouvelle forme de plaisir qui lui était jusqu'alors inconnu, comme le reste.
Gokû fit entrer un premier doigt, doucement, puis un deuxième. Il échauffa le blond aux yeux améthystes et quand il le sentit suffisamment détendu et tendu à la fois dans l'attente du moment crucial, il retira ses doigts et le pénétra. Il le fit doucement et tendrement, ménageant la première fois de son amour.
Les mains du bonze se posèrent sur les fesses tendre du cadet et l'incitèrent à entrer plus profondément encore. Le saru obéit, débutant un nouveau mouvement de va et vient, mais plus lent cette fois, avant de l'accélérer au fur et à mesure.
Le bonze accorda le mouvement de ses hanches avec celui du gaki et tous d'eux ne firent plus qu'un. Gokû empoigna le membre de son amant et le massa au même rythme. Ils se libérèrent à intervalle court, le blond dans les mains du saru puis le brun à l'intérieur de son aîné.
Tous deux se séparèrent, lentement. L'aberration s'allongea, pour ne pas dire s'étala, à moitié sur son amant, l'embrassant tendrement.
Tous deux reprirent calmement leur souffle.
Après avoir récupéré un souffle à peu prés régulier, se fût sanzo qui brisa le silence.
- Ne crois pas que ce sera toi qui dirigera, la prochaine fois…quoique…je ne peux pas dire que j'ai à me plaindre…Je t'aime, Gokû…
- Je t'aime, lui répondit le saru.
Le saru rougit violement, réalisant avec bonheur ce que cette simple constatation impliquait. Il avait réussi à donner du plaisir à celui qu'il aimait, et celui-ci comptait en faire de même envers lui.
Il s'endormit dans les bras de son maître, encore plus comblé que le plus heureux des anges au paradis.
Sanzo le suivit rapidement, aussi heureux que son amant chéri.
Le soleil était déjà à mi chemin de sa course dans le ciel entre 6h et midi quand les quatre voyageurs réussirent à s'arracher aux tendres bras de Morphée. Sanzo fût éveillé par Gokû, ou plutôt par l'estomac de gokû, qui commençait à avoir faim. Les deux autres quittèrent leur amant commun à cause de ce qui semblait être la course d'un troupeau de mille éléphants en rute dans le couloir. (euh, en fait, c'est gokû qui a faim…et qui court manger…). Sanzo se retrouva vite seul à méditer sur son bonheur présent.
« POV Sanzo »
Mmm…ce souffle, ces caresses, …si jamais on m'avait annoncé qu'un jour j'aurais droit à un réveille si doux et aussi merveilleux…je n'en aurais pas cru un seul mot, et je crois bien que j'aurais tué celui qui me l'aurait prédit.
J'ouvre les yeux, il m'embrasse, je lui rends son baiser, je me sens si bien…je suis…heureux, oui, c'est ça, tout simplement heureux…
- Tu dois avoir faim…si tu allais manger, le temps que je me lève ? si tu reste là, je crois que je vais faire semblant de me rendormir pour que tu continus…et on se lèvera jamais.
- Je crois aussi. Je m'habille et j'y vais,lui répondit un saru qui faisait concurrence avec la couleur des cheveux du kappa.
Ca y est, il est sortit. Jamais je n'aurais pensé dire un jour des choses pareilles. Hier soir, c'est lui qui a tout décidé…c'était si bon…mais la prochaine fois…
La prochaine fois…
« Fin POV. Chambre 10 »
- C'est quoi ce bruit ? demanda une masse rouge encore endormie.
- Je crois que c'est Gokû qui part manger ! plaisanta un brun tout aussi endormi que son compère.
- Mmmm…on a pas idée de réveiller les gens de cette manière…on aurait dit un troupeau d'élépha…
Il fût coupé par Hakkai qui s'était pris d'envie d'embrasser son amant.
…
Il était un peu plus de dix heures quand le haut moine sanzo et ses trois « fidèles serviteurs reprirent la route. Sanzo avait prétexté avoir mal dormi à cause des ronflements du saru et avait donc décidé de séparer le kappa du singe pour « plus de tranquillité ». Il se mit donc à l'arrière avec Gokû. Ils s'étaient tous couchés très tard, à cause de leurs exploits sportifs et étaient donc assez fatigués. Personne ne protesta, tous trouvèrent l'idée judicieuse.
Gojyo fut le premier à s'endormir, voulant remplacer Hakkai plus tard dans la journée, si celui-ci était trop fatigué. Gokû s'endormit à son tour peu après le kappa, laissant Hakkai et Sanzo seuls éveillés.
- Cela fait combien de temps ? demanda Hakkai, sur le ton de la discution, comme s'il parlait de la pluie et du beau temps.
- Quasiment deux semaines…mais on a eu une période assez dure. Et vous ?
Ils n'avaient pas besoin d'expliquer de quoi ils parlaient. Sanzo caressait la tête de Gokû qui se servait des cuisses de son maître comme d'un confortable oreiller combiné avec un masseur. Hakkai lui, observait plus que de nécessaire son voisin de gauche, avec de plus, de long regards amoureux.
- Deux semaines. Bosatsu nous a bien eu.
- Oui, mais nous ne sommes pas les seuls.
- Ah ? qui a-t-il d'autres ?
- Shien et Nataku ainsi que Homura et Zenon. Et non, ils ne sont pas mort, annonça le blond, devant l'air surpris du brun.
- C'est une assez bonne nouvelle.
- Mouai…cela reste à voir, lui répondit le bonze, septique.
Sanzo finit par s'endormir, avec son amant dans les bras. Ils formèrent alors un très joli tableau, Sanzo protégeant son élève et maître à la fois.
-10h45, Au Tenken-
Bosatsu entra violement dans la salle du conseil, qui à cette heure était occupée de tous les dirigeants du Tenken, en plein décision crucial.
- Aujourd'hui est un grand jour messieurs !
- Kanzenon Bosatsu ! vous n'êtes pas habilitée à vous introduire dans la salle du conseil ! et encore moins à un moment aussi critique !
- Je venais juste m'excuser pour toutes les fois où je vous ai dérangé. Voila, j'espère de quoi me racheter, dit elle en offrant à tous des friandises.
Bosatsu avait l'air si sérieuse et si désolée que personne ne souhaitaient lui faire l'affront de refuser ses excuses. Chacun goûta ses douceurs, sans se soucier de ce qu'elles contenaient.
- Même heure, Au château de Gyumao. –
Nîi entra dans la grande salle, tenant dans ses bras sa chère peluche et l'air satisfait.
- Bonne nouvelle, ma reine, annonça Nîi, nous avons le dernier soutra. D'après le micro dont je les ai équipé, vos hommes rentrent immédiatement au château.
- Parfait, continue comme ça, Nîi.
-Même heure, Quelque part sur la route –
Gojyo émergeait difficilement. Il avait été réveillé par un nid de poule. Cela faisait à peine une quarantaine de minutes qu'il dormait.
Il se tourna vers Hakkai, toujours aussi concentré sur la route, pour éviter un maximum les cahots et ainsi ne réveiller personne.
- Sumimasen, Gojyo.
- C'est pas de ta faute, ne t'excuses pas ! ronchonna le kappa. T'as vu l'état de la route…c'est déjà un miracle que j'ai pu autant dormir.
Gojyo se tourna, étonné de ne rien entendre venant de derrière. Il ne fut pas trop surpris de voir le saru dans les bras du blond, tous deux dormant le sourire aux lèvres.
- Alors comme ça ils sont enfin ensemble ces deux là ?
- Comme tu peux le voir. Ils peuvent remercier Kanzenon, c'est grâce à elle ! confirma le brun.
- Pour une fois qu'elle fait quelque chose d'intelligent. Au moins, ils ne nous embêteront plus. Et ce bonze pourrit devrait être moins nerveux maintenant, dit en souriant le roux.
Hakkai lui sourit en retour et le hentai no kappa, ne pouvant résister au sourire charmeur de son brun préféré, lui vola un baiser.
A peine Gojyo avait-il repris sa place après avoir embrassé l'ex-humain que ce dernier du piler. Kougaiji venait de faire une apparition fracassante devant la jeep.
Le violent coup de frein réveilla sur le coup le bonze et le saru, qui dormaient toujours malgré le coup de volant donné par le conducteur quand ce dernier s'était fait embrasser.
- Sanzo, bienvenu parmis les vivants. Nous avons une mauvaise nouvelle pour toi, commença le brun.
- Qu'est ce qui se passe encore ? Commença à s'énerver le blond. Qu'est ce que vous foutez là ? Vous m'avez déjà volé mon soutras je vous signale ! Que voulez vous de plus ?
- Nous sommes pas là pour nous battre. Gyokumen a rassemblé tous les soutras. Le message vient tout juste d'arriver.
- Cela doit vous réjouir. Vous êtes donc juste venus pour nous narguer, c'est sa ? s'énerva Gojyo.
- Non. Ce n'est pas ça, attends Gojyo. Laisse Ko s'expliquer, demanda Doku.
- Ok, mais faites vite, on est pressé…
Kogaiji remercia Doku du regard pour avoir momentanément calmé son frère. Puis il se tourna vers les quatre bîshos.
- J'ai compris il y a déjà quelques temps, que Gyokumen ne libèrera jamais ma mère. Alors, je suis venu vous aider. Seul l'idée de sauver ma mère me poussait à lui obéir. Elle veut juste être la femme la plus puissant. Elle veut gouverner le monde. Et elle pense y arriver grâce à mon père. Cette femme est ignoble.
- Tu as été bien naïf, lui lança Sanzo, apparemment indifférent au discours du prince youkais.
- Vous ne voulez pas de notre aide ? Vous ne comptez pas me pardonner mon erreur de jugement ? Demanda Ko.
- A une seule condition, quand on en aura terminé, je récupérerais mes deux soutras et tout sera fini, ok ?
- Bien sûr cela va de soi, répliqua Ko, les yeux remplis d'espoir.
- En outre, n'attends pas de moi que je libère ta mère. Je verrais ce que je peux faire, et j'accomplirais tout ce qui est en mon pouvoir pour la libérer. Car, cela fait également parti de la mission que m'a confié la trinité. Mais tu n'es pas censé le savoir, ko. Désolé, mais je ne veux pas te faire de faux espoir, pensa le bonze.
- Je ne vous demande rien, à part de l'aide pour arrêter cette folle.
- Alors c'est d'accord. Ne perdons pas de temps. Quand aura lieu la résurrection ?
- Demain, aux environs de onze heures, répondit Yaone.
- Nous avons peu de temps. Dépêchons-nous si nous voulons sauver lilin. On y va, ordonna le bonze.
- Vous saviez pour lilin ? s'étonna ko.
- Hai…
Lilin sortit de nulle part, restait en arrière pour attacher les moyens de transport youkais. (me souviens plus du nom…Hiryu, ou un truc comme ça ?Nanie : demande à fluffy ! elle seule peut t'aider…lol Dita : Fluffy ? Fluffy : se numéro n'est plus attribué…Dita : bon, ba tant pis…je laisse sa, je mettrait un Erratum au prochain chapitre si c'est pas sa !)
- Ne vous en faites pas, j'ai réussi à me sauver ! déclara joyeusement la youkais rousse.
- Tu es quand même en danger. Si Gyumao vit plus de 12h avec de ton sang dans ses veines, tu mourras.
- Je ne le savais pas, s'écria Yaone, paniquée.
- Lilin est en danger ? s'écria également le saru, enfin intéressé par ce qui se passait autour de lui. Qu'attendons- nous ! on y va !
- Haï ! ( fois 5 ou 6, enfin tout le monde sauf Sanzo, quoi.)
La nouvelle équipe partie, en direction de l'ouest, là où se situait le château youkai. Deux des nouveaux co-équipier dans la jeep, et les deux autres, montés sur leurs Hiryu, en éclaireurs.
TSUZUKU…
Nanie Nouche :Super lémon ! miam…à force de lire ce genre d'écrit je vais finir en manque !snifou... Bisousssss et ce chap était super ! vraiment ! c'est de mieux en mieux !bisousss..N'oublis pas de me faire un peu de pub.
Dita : Ok, ALLEZ TOUS LIRE LES FICS DE NANIE NOUCHE ! Catégorie Harry Potter ! merci pour la correction et le commentaire !
A la prochaine…en attendant…Please, REVIEWSSSSSSSSSSSS !
See You,
Dita.
