Bonjour à vous, qui malgré la longue attente êtes toujours là! Je suis sincèrement désolé de ce laps de temps qui s'est écoulé depuis mon dernier update... J'était complètement en panne d'inspiration... et entre temps j'ai commencé une nouvelle fic (qui n'est pas encore publiée) et j'ai un peu laissé tombé celle-ci. MAIS, je reviens en force... ATTENTION au rating ce chapitre est classé M et double M, et ce n'est pas pour rien. Donc, si vous n'êtes pas majeur et vacciné, je décline toute responsabilité... Aussi je tient à remercier tout ceux qui m'ont envoyé des reviews pour les autres chapitres... c'est en les relisant que je me suis donné une couple de coup dans le derrière et que je me suis remises à l'écriture... donc continuez à m'en envoyé tout plein... cela me donne du courage!
Donc sur cette note joyeuse, BONNE LECTURE et bons rêves (je ne dirai pas quels sortes de rêves... mais vous comprenez j'en suis persuader ;o) )
Chapitre 5
- Non mais quelle idiote !
Charlie sursauta et laissa glisser son regard vers la porte de la cuisine. Hermione y était enfermé depuis bientôt une semaine, n'en sortant que pour dormir ou prendre sa douche. Aujourd'hui ne faisant aucunement exception à cette règle, elle y était depuis l'aurore et refusait de le laisser entrer, sous prétexte que la préparation du véritasérum était d'une délicatesse peu commune et qu'il risquait de la déranger. Il n'avait pas osé la contredire, même s'il croyait que de cette façon elle pouvait l'éviter et ainsi éluder toute conversation tant soit peu priver avec lui. Ainsi il s'était installer dans le salon avec un rapport décrivant la santé de Shiva, le dernier dragon arrivé. Igor le lui avait remis la veille en laissant sous-entendre qu'il pourrait reprendre le travail. Mais il ne désirait pas tomber sur Youlos Cracovia, tant que la préparation de la potion ne serait pas prête. Car connaissant son ancien patron tel qui le connaissait, il ne lui laisserait pas le temps de dire quoi que ce soit qu'il se retrouverait marié à la peste de service. Ses pensée furent dérangées par un léger bruit d'explosion venant de la pièce d'à côté. Il se décida donc à franchir la porte qui le séparait d'Hermione afin d'essayer de lui apporter un peu d'aide. En poussant le battant il remarqua l'état bordélique de la pièce. Hermione était penché au dessus d'un énorme grimoire, le bout de sa plume frôlant sa joue, qui était marquée de petite tâche de cendre et ses dents triturant sa lèvre inférieure. Elle était si concentrée qu'elle ne remarqua pas la présence de Charlie.
- As-tu besoin d'aide ?
Hermione sursauta et renversa le pot d'encre qui alla s'écraser sur le plancher. Elle s'empressa de prendre la première chose qui lui tomba sous la main et se mit à éponger le dégât. Charlie attrapa un linge de table qui traînait par là et s'accroupit afin de l'aider. Dans sa hâte il calcula mal la distance et leurs têtes s'entrechoquèrent. Hermione recula et se frotta le crâne en grimaçant.
- C'est pour cette raison que je t'avais demandé de me laisser travailler seule. Dit-elle dans un sourire crispé.
- Désolé j'avais mal calculé la distance. Tu n'as pas trop mal j'espère ?
- Non non, ça va. J'aurai peut-être mal au crâne quelques heures, mais je devrais m'en remettre.
Elle se leva et essaya tant bien que mal de remettre un peu d'ordre sur la table. Charlie, la regarda faire sans trop savoir s'il devait l'aider ou déguerpir au plus vite. Son embarras fit sourire Hermione qui le regardait du coin de l'œil sans dire un mot. Elle trouvait sa façon d'avoir l'air d'un gamin malgré ses 26 ans, trop mignonne. Charlie lui essayait vraiment de voir ce qu'il pouvait faire mais ne trouvait pas. Alors il ne faisait que regarder autour de lui avec un air perdu. Hermione prit pitié et lui dit :
- Puisque tu tiens tant à m'aider tu pourrais peut-être me passer la poudre de perle qui est à ta droite.
- La quoi ? Demanda Charlie en se retournant pour apercevoir un petit contenant rempli de poudre chatoyante. Il le prit et le tendit à Hermione qui le vida dans le chaudron ce qui eut pour effet de dégager un petit nuage bleu.
- De la poudre de perle. C'est l'ingrédient ultime du véritasérum. Sans cette poudre le véritasérum n'est rien de plus qu'un sirop sans aucun effet. La perle, pierre de la pureté, serait le noyau de la vérité et de la sagesse. Ses nombreuses couches de nacre cacheraient la sagesse des dieux. Et toujours selon cette légende, les dieux étant des êtres purs et sages ne sauraient mentir. Dit-elle en levant un sourcil suggestif laissant très bien deviner ce qu'elle pensait de cette légende.
- Tu ne crois pas?
- Non pas plus que je crois en un ou plusieurs dieux. Si être supérieur il y avait dans cette vie, la souffrance n'existerait pas. Dit-elle d'une voix devenu soudainement plus dure. Passes moi la cuillère de bois s'il te plait.
Charlie la lui passa sans argumenter. Il Savait bien que lorsqu'elle prenait ce ton, il ne servait à rien d'insister. Elle se refermait comme une huître et ne disait plus rien. Il décida donc de la laisser seule et retourna dans le salon, mais sans avoir jeter un sort d'intimité sur la cuisine. Il venait à peine de franchir la porte séparant les deux pièces, que quelqu'un frappait à la porte. Il se dépêcha d'ouvrir et qu'elle ne fût pas sa surprise de tomber nez à nez avec Irina. Elle affichait un petit sourire qui se voulait séduisant.
- Que fais-tu ici ?
Irina ne prit pas la peine de répondre et poussa la porte pour se frayer un chemin à l'intérieur. Elle regarda autour d'elle et remarqua l'absence d'Hermione, son sourire s'élargie encore plus. Elle s'installa confortablement sur le sofa et attendit que Charlie prenne la parole. Ce dernier n'ayant visiblement pas l'intention de la prendre, elle n'eut d'autre choix que de commencer.
- Je vois que ta fiancée n'est pas ici.
Charlie suspicieux et ne voulant pas mêler Hermione à tout ça, ne fit aucun commentaire. Il se contenta d'approcher un peu et de redemander :
- Que viens-tu faire chez moi ?
- Voyons Charrrrrrlie, auparrrrrravant ta porrrrrrte m'était toujourrrrrrs ouverrrrrrte. Et pas seulement ta porrrrrrte si je me souviens bien. Dit-elle dans un sourire coquin.
Charlie soupira et souhaita soudainement ne jamais avoir connu cette femme. Elle était pire que la peste.
- Irina, pas que je m'ennuie en ta présence, dit-il sarcastique, mais j'ai autre chose à faire. Alors dis-moi ce que tu viens faire ici ou sors sur le champ de ma maison.
- Ne soit pas si méchant avec moi. Tu vas perrrrrturrrber notrrrre enfant. Dit-elle en posant sa main sur son ventre arrondi.
- Notre enfant ? Mais tu rêves en couleur. Rentres toi ça dans le crâne. Cet enfant n'est pas de moi. Ne le sera jamais. Je ne sais pas qui est l'imbécile qui t'a mise enceinte, mais une chose est certaine ça ne peut pas être moi.
-en es-tu cerrrrtain ?
Charlie la regarda avec un air d'incompréhension dans les yeux. Comment pouvait-elle lui poser cette question ? Elle savait aussi bien que lui, qu'il n'était pas le père. Elle s'approcha de lui et posa sa main sur son bras. Il le retira aussitôt, ayant l'impression d'être emprisonné entre les serres d'un dragon.
- tu dis toi-même ne pas te rrrrappeler ce que tu as fait ce soirrr là….
Elle baissa la voix et repris sur un ton qui fit frissonner Charlie :
- Tu ne sais pas ce qui s'est passé ce soirrrr là… et c'est pourrrquoi tu as si peur que je porrrte ton enfant. Tu es à ma merrrci Charrlie. Tu ne pourrrrras jamais me laisser tomber…
Charlie la regarda et remarqua la lueur de folie dans ses yeux. Elle était complètement folle.
- Tu n'es qu'une pauvre folle Irina. Je prouverai à tous que l'enfant que tu portes n'est pas le mien. Maintenant sors de chez moi.
À ces mots la folie de la Roumaine sembla se décupler. Elle se leva d'un bond et sauta sur Charlie pour le griffer et le gifler. C'est à ce moment qu'Hermione apparut dans le salon.
- Charlie je ne trouve pas…..
Elle laissa tomber le pot qu'elle avait en main, lorsqu'elle aperçut Charlie tenant les poignet d'Irina, afin d'empêcher cette dernière de le griffer. Elle ne se demanda même pas ce qu'elle faisait là, elle ne prit que sa baguette et lança un pétrificus sur Irina. Comme la Roumaine devenait raide comme la roche, Charlie se laissa tomber sur le sofa pour souffler un peu. Il passa la main sur sa joue, où du sang s'était mis à goutter. Hermione s'approcha de lui en contournant Irina, bien que cette dernière ne puisse absolument rien dans l'état dans lequel elle se trouvait. Elle posa sa main sur l'épaule du jeune homme et il tourna la tête vers elle. Hermione retint son souffle en voyant les longues éraflures sur la joue gauche de Charlie. Du sang dégoûtait de la blessure et maculait sa chemise. Hermione prit la première chose qui lui tombait sous la main pour éponger le sang, en l'occurrence sa propre veste, qu'elle enleva sans se poser trop de question. Elle appliqua le tissu sur le visage du garçon en lui disant de le maintenir en place le temps qu'elle revienne. Charlie lui lança un coup d'œil interrogateur.
- Où vas-tu ?
Pour toute réponse Hermione prit sa baguette et la pointa vers Irina qui se trouvait toujours sous le petrificus. Elle utilisa le sors de lévitation pour faire bougé la Roumaine et la mena à l'extérieur de la maison. Une fois la jeune femme dehors, Hermione lui lança le contre sort et retourna dans la cabane. Elle pût facilement entendre les jurons qui émanèrent d'Irina, sans toutefois en comprendre le sens. Lorsqu'elle eut refermé la porte elle s'avança vers Charlie et lui demanda de la suivre. Il ne posa aucune question et la suivi dans la salle de bain. Elle le fit asseoir sur la cuvette et fouilla dans la pharmacie à la recherche d'une potions ou pommade qui pourrait soigner les éraflures et coupures.
- sur la deuxième étagère à gauche.
Hermione se tourna et le regarda perplexe.
- la pommade contre les coupures, griffures, brûlure est sur la deuxième étagère à gauche. Dans un pot bleu.
Hermione trouva le pot en question et s'agenouilla devant Charlie. Elle prit une serviette, l'imbiba d'eau et entrepris de nettoyer les blessures du jeune homme. Charlie grimaçait un peu à chaque fois que le tissu entrait en contact avec sa peau. Hermione rigola de sa sensibilité ce qui amena Charlie à lui dire :
- C'est pas très drôle… ça pique affreusement !
- Oh pauvre petit bout de chou… Tu affrontes des dragons mangeur d'homme et tu n'es pas capable d'endurer une petite serviette !
Pour toute réponse, Charlie grogna, ce qui fit rigoler Hermione. Une fois tout le sang lavé, Hermione prit un peu de pommade sur ses doigts et entreprit d'en étendre sur les blessures. Le contact des doigts de la jeune fille fit frissonner Charlie. Hermione sentait comme une petite décharge à chaque fois que sa main effleurait la peau du jeune homme. Les éraflures ne paraissaient presque plus, lorsque Hermione déposa la pommade sur le comptoir. Elle leva la main pour essuyer une goutte au coin des lèvres de Charlie. Lorsque ses doigts touchèrent la bouche du garçon, leur souffle s'accélérât et une chaleur intense se répandit soudainement dans la salle de bain. Charlie déposa sa main sur celle d'Hermione et se rapprocha jusqu'à ce que ses lèvres effleurent ceux de la jeune fille. Elle ne fit plus aucun mouvement.
- Hermione…
La voix de Charlie était rauque de sous-entendus. Son souffle sur ses lèvres la mettait au supplice. Des frissons parcourait sa colonne et descendait se nicher dans son ventre. La tension était si palpable, qu'elle n'eut qu'une envie, celle que leurs lèvres se rejoignent afin de calmer cette chaleur dans son corps. Hermione sans prévenir colla ses lèvres à celles de Charlie. Le baiser était passionné, comme si leur vie dépensait du souffle de l'autre. Leurs langues s'emmêlaient et combattaient l'une l'autre en essayant toujours d'avoir le dessus. Les mains s'égaraient sur une épaule, dans le creux du dos, sur une hanche.
Charlie se leva obligeant Hermione à en faire autant, sans pour autant cessé de l'embrasser. Il l'accota sur le mur et approfondie davantage le baisé. Il laissa ses mains se balader sur le corps de la jeune femme. Il pouvait sentir les frissons de désir monter et descendre la colonne d'Hermione. Lorsque sa main se posa sur le sein de cette dernière et commença à en caresser le bout, Hermione gémit de satisfaction dans la bouche de Charlie, ce qui ne fit qu'accentuer davantage le désir de chacun.Il plaça ses mains sous les fesses de sa compagne et la monta d'un coup, l'accotant sur le mur derrière. Elle était positionné à califourchon sur les hanches du jeune homme et pouvait sentir toute l'ampleur de son désir. L'érection de Charlie était collé sur son propre sexe et lui envoyait des éclairs de plaisir à chaque fois que le jeune homme bougeait. Elle ne savait plus où elle se trouvait et s'en fichait royalement, tant et aussi longtemps que cette chaleur restait au creux de son ventre.
Ses mains se délacèrent du cou de Charlie pour venir caresses les pectoraux. Mais elle voulait les touchés, sentir la peau sous la sienne. Elle tira les deux côtés de la chemise et la fit descendre de ses bras, obligeant ce dernier à mettre fin au baiser. Il la regarda dans les yeux et elle pu lire la force de son désir. Son cœur chavira et ses lèvres retrouvèrent celles du jeune homme pour un autre baiser enflammé. Charlie redéposa Hermione pour avoir plus de liberté avec ses mains, n'étant plus obligé de la soutenir. Sa bouche quitta les lèvres, pour déposer de légers baisers papillon le long de sa mâchoire et de son cou. Il pouvait sentir les pulsations de son cœur en posant ses lèvres sur les veines de la jeune femme. Sa bouche continua son chemin et fini par atterrir sur l'épaule. Hermione ayant toujours été extrêmement sensible à cet endroit fût comme paralyser par les sensations qu'elle éprouvait. La langue de Charlie laissa un sillon brûlant de son épaule à l'échancrure de son décolleté … La camisole gênant le passage, Charlie fit glisser une à une les bretelle de ce vêtement gênant et fit lentement descendre le bout de tissus sur la taille de la jeune fille, libérant ainsi une magnifique poitrine emprisonnée de dentelle rose. Ildéposa ses lèvres à la limite du soutien-gorge, ne faisant qu'effleurer la peau sensible et de ce fait, rendre Hermione complètement folle. Ce manège ne dura que quelques secondes, Hermione en voulant plus, passa une main entre elle et Charlie, défit le fermoir de son soutien-gorge. Ce geste libérant les magnifiques seins de la jeune femme, Charlie prit un moment pour admirer ce qu'il pensa être la 8e merveille du monde. Hermione frustré de ce moment d'inaction, prit les choses en main. Elle voulait sentir la bouche de Charlie sur elle.
Elle prit entre ses doigts la pointe d'un de ses seins et commença à jouer avec le mamelon. Charlie surprit leva les yeux vers elle et vit l'empressement de la jeune femme. Son visage dégageait un érotisme d'une telle ampleur. Le fait qu'elle se donne elle-même du plaisir, rendit Charlie encore plus fiévreux et aussitôt, il embrassa le second mamelon dressé. Il le fit jouer entre ses dents un instant avant de se mettre à le sucer avec une ardeur décrivant mieux que tous les mots, son désir. La main d'Hermione n'avait toujours pas lâché son sein qu'elle malaxait avec un plaisir évidant. Charlie voyant que les seins pouvait se passer de sa bouche un instant, continua de descendre laissant des traîner brûlante sur le ventre de son amante. Il lécha le nombril, jouant avec cette cicatrice naturelle, mais ne s'y attarda guère. Sa main se dirigea sous la jupe d'Hermione, pendant que ses lèvres caressaient la peau tendre de son ventre. Il caressa un instant l'intérieur des cuisses, faisant naître une chair de poule, n'étant aucunement du à une fraîcheur excessive. Sa main se posa finalement sur la culotte de dentelles et il put sentir la moiteur qui s'en dégageait.
Il passa un doigt sous l'élastique et effleura tout juste son mont de vénus. Cela fût assez pour qu'il entende un gémissement sourd. Il sourit et passa ses deux mains sous l'élastique de la culotte qu'il fît descendre lentement, très lentement, même trop lentement au goût d'Hermione qui lâcha ses seins pour baisser sa culotte d'un vif mouvement. Elle dégagea le sous-vêtement d'un coup de pied et écarta un peu les genoux pour permettre une meilleure vue au jeune homme de son sexe. Charlie approcha sa main et passa un doigt léger comme un papillon sur les grandes lèvres. Il pouvait sentir l'excitation d'Hermione, ce qui rendait sa propre excitation, autant dire son érection, encore plus grande. Il déposa quelques légers baisers surson sexe, appréciant la douceur de la peau nue. Il adorait le sexe épilé de la jeune femme. Rien n'était plus doux à son idée que le sexe d'une femme épilé. Et encore mieux lorsque cette femme vous rendait fou au moindre regard. Son doigt se fraya un chemin entre les grande lèvres et caressa cette ouverture, faisant gémir la jeune femme. Il trouva le clitoris et commença à le faire rouler entre ses doigts. Sa bouche rejoignit bientôt sa main et il commença à lécher avec entrain le sexe de sa compagne. Sa langue s'insinuait en elle d'une façon si vive, qu'Hermione ne pouvait qu'apprécier et fermer les yeux d'extase. Elle ne pensait plus à rien, sauf au plaisir qu'elle ressentait en ce moment.
Ses mains prirent la tête de Charlie et le rapprochère encore plus de son sexe. Elle voulait le sentir plus profondément. Son souhait fût exaucer lorsque deux doigt remplacèrent la langue et commencèrent à faire un va et vient langoureux en elle. La bouche de Charlie était désormais occupée à jouer avec le clitoris. Le mouvement se faisait de plus en plus rapide et profond. Charlie adorait l'étroitesse d'Hermione et ne pouvait que s'imaginer à la place de ses doigts, ce qui rendit son érection douloureuse. Il décida de porter le coup de grâce à la jeune fille lorsqu'il inséra un troisième doigt et fit bouger sa langue sur son clitoris. Hermione sentit des picotements lui monter dans les jambes et elle se sentit soudainement exploser d'un plaisir inhumain. Ses muscles se serrèrentsur les doigts de Charlie et elle hurla de plaisir. Ses jambes devinrent molles et pendant quelques instants elle se sentit glisser. Elle s'étendit sur le sol, en reprenant son souffle pendant que Charlie remontait de ses baisers, son ventre. La poitrine de la jeune femme se soulevait au rythme effréné de sa respiration pendant que Charlie lui embrassait les seins. Sa bouche remonta jusqu'à celle de la jeune femme et scella d'un baisé cet extraordinaire orgasme. Le baiser dura longtemps et était doux comme un rayon de soleil.
Hermione fût celle qui le brisa. Elle repoussa Charlie. Ce dernier la regarda avec interrogation de peur de voir apparaître au fond des yeux d'Hermione une peur ou un rejet. Mais rien de tel, ne brillait dans ses yeux. Il ne put y voir qu'un désir profond. Elle le repoussa pour qu'à son tour, il s'étende sur le sol et elle se mît à califourchon sur lui, non sans avoir au préalable enlever sa jupe. Il pouvait admirer tout le corps de la jeune femme et ceci ne rendit son érection que plus douloureuse. Hermione qui était assise sur le sexe de Charlie pouvait sentir le membre du jeune homme et cela lui donnait une envie irrépressible de le prendre en elle. Elle se mit alors à défaire la ceinture et les boutons du jeans. Elle tiradesssus et le fit descendre. Par la suite elle joua un instant avec l'élastique du boxer, avant de passer la main en dessous et de caresser l'érection du jeune homme. Elle regardait Charlie en faisant ses mouvements tout en se caressant les seins de son autre main. Charlie, était tellement exciter, que ses yeux avaient peine à rester ouverts. C'est alors qu'il sentit son boxer glisser de ses hanches et qu'une main empoigna solidement son membre, pour lui intimer de vigoureux mouvements de va et viens. Son souffle, déjà accélérer par la douce torture, se bloqua complètement lorsqu'il sentit l'humidité de la bouche d'Hermione se poser sur son gland. La jeune femme était en train de le sucer et cela le mettait au supplice. Hermione prenait entièrement son érection dans sa bouche tout en caressant voluptueusement les testicules. Il savait qu'il ne tiendrait pas longtemps. Il réussit tant bien que mal à relever la tête et ce fût pour voir une Hermione, la bouche remplie de son propre sexe. Il reçut une décharge d'électricité dans le bas du ventre, ce qui failli bien le faire venir. Il regarda la jeune femme d'un regard implorant et lui dit :
- Hermi…one, s'il… te …
La jeune femme comprit et eu un sourire coquin. Elle se releva et s'empala sur le sexe dressé de Charlie. À ce mouvement les deux retinrent leur souffle. Lesexe d'Hermione était si serré que cela aurait suffit à faire jouir Charlie. Une fois le choc passé, Hermione commença de lents mouvements de bassin, ce qui les faisaient haleter et gémir de plaisir. Chaque mouvement de bassin, amenait une caresse ou un baiser sur le torse de Charlie. Hermione se pencha près de l'oreille du jeune homme et murmura :
- Charlie… touches moi… j'ai besoin de sentir tes mains sur moi…
Charlie se releva lentement et prit l'un des seins de la jeune femme entre ses lèvres, tout en lui caressant le bas du dos. Les mouvements se faisaient plus vite et l'on pouvait entendre le claquement de la peau contre la peau. Un bruit si érotique, qu'il en était presque de trop. Les mains de Charlie se glissèrent sous les fesses d'Hermione et les soulevèrent, ce qui fit sortir et rentrer plus profondément encore son membre dans son intimité. Les deux criaient presque de plaisir. Charlie désirait voir Hermione se toucher en même temps qu'ils faisaient l'amour. Il susurra donc à son oreille :
- Caresse-toi…
Hermione ne se le fit pas dire deux fois. Sa main rejoignit l'union entre leur deux corps et commença à frotter son clitoris avec entrain. Charlie s'étant décoller un peu pour apprécier la vue qu'il avait, remarqua l'extase se dessiner sur le visage d'Hermione, juste avant qu'il ne sente les muscles de cette dernière se serrer autour de lui et qu'il ne l'entende hurler son nom.
- oh Charlie… CHAAAAAAARLIIIIE !
Presque au même instant il se sentit venir et se déversa en elle, en un jet puissant. Il leur fallu quelques minutes avant de pouvoir bouger. Hermione était étendu sur Charlie, son sexe toujours en elle. Lui l'avait entouré de ses bras et essayait tant bien que mal de reprendre son souffle. Les minutes s'écoulèrent ainsi. Pas un mot ne se disait. Le seul bruit audible était celui des respirations qui peu à peu se stabilisait. Une fois qu'il réussit à reprendre tout son souffle, Charlie se pencha à l'oreille d'Hermione et lui murmura:
- Hermione, j'espère ne pas t'avoir brusqué. Je sais que tu es encore fragile… depuis des semaines que je te regarde et que j'avais envie de te dire ce que tu me faisais ressentir. Je t'aime Hermione.
La seule réponse qu'il reçu fût un léger soupir de contentement. Il leva un peu la tête et remarqua alors, qu'Hermione s'était endormie. Il laissa retomber sa tête et se dit pour lui-même :
- je souhaite sincèrement qu'à ton réveil tu ne regrettes pas ce que nous avons fait… moi je ne le regretterai pas…
Il tendit alors la main, pour attraper une serviette qu'il déposa sur le dos de la jeune femme et la serra très fort dans ses bras, en espérant qu'une chose, qu'au matin elle soit toujours là.
