j'y tenais pas, alors... Je publie le deuxième chapitre aujourd'hui ! j'étais tordue (comme boromir jme comprend) en l'écrivant dc si vous aimez pas vous pouvez le dire librement, car je suis en train de me manger le bras ! (pourquoi ? Je sais pas) et aussi, j'écrase parfois les moustiques contre un mur avec un rictus sadique... (jme comprend aussi)

BONNE LECTUUUUUUUUUUUUURE !


tensions


« Eh, réveillez vous, gros naze d'elfe ! »

Legolas regarda Gimli d'un air qui se voulait à peu près normal, mais jamais il n'avait tant souhaité quele naintrouve un rasoir, ne sache pas comment s'en servir, le prenne et se l'enfonce dans le pif pour se raser les poils du nez. Ensuite, il s'en serait servi pour les oreilles, et c'est à ce moment que Legolas entre en scène, et là, il lui aligne un pain dans sa gueule puis dans l'oreille de façon à ce que le rasoir ne puisse plus ressortir. Puis, il demande à son pote Harry de jeter un sortilège impardonnable sur le nain et…

- Oh, Legolas, levez vous, ondéjeune !

- Pas la peine de crier comme ça, gros moche qui pue ! Passez moi plutôt la confiture de le beurre, siouplé.

Gimli s'exécuta, tendant à Legolas un énorme pot de gelée de framboise sur lequel il était inscrit « a consommer avec beaucoup de modération », et un minuscule bout de beurre emballé dans un papier où il était écrit « Beurre de campagne », un peu au dessus d'une étiquette indiquant que le beurre en question appartenait à Frodon et Sam, et que le met était quelque peu aphrodisiaque. Bref, un beurre de Hobbit.

Toute la communauté était à présent installée autour d'une table de fortune, autrement dit, une pierre à peu près carrée autour de laquelle pouvaient tenir 9 personnes, en se serrant un peu. Les seuls qui manquaient à l'appel étaient Sam et Frodon… Et Aragorn bien sûr. Legolas, ne se souvenant même plus de la présence de Harry parmi eux, ne se soucia guère de savoir ce qu'il était advenu de lui… Sa seule préoccupation pour le moment était de trouver un coupable :

-Qui a bouffé tout le morceau de beurre ? Il était encore entier hier ! Non, non, NON ! JE N'ACCEPTE PAS !

Leggy s'était levé sur la table, du moins, avait essayé mais s'était rapidement rassit, du fait de ses courbature, depuis qu'il avait passé la nuit sur la pierre froide de la caverne ; personne n'avait cru bon de le réveiller pour qu'il aille s'installer sur les couvertures communes que Gandalf faisait apparaître : Pour que ses parfums d'elfe entêtants empêchent de dormir tout le monde ! Non merci !

Bref, lorsque Legolas cria une troisième fois au sujet du beurre, on commença à l'écouter…

Rapidement, des gloussements se firent entendre, particulièrement du côté de Boromir qui était de garde cette nuit là. Non, pour Boromir, ce n'étaient plus des gloussements mais un rire extrêmement sonore, et dérangeant. Qui plus est, le guerrier blond tomba de sa chaise en arrière, renversant au passage le petit déjeuner de Pippin, qui se retrouva lui aussi à terre, une galette de miel dans la figure.

Tout en se redressant, Boromir réussit à articuler des « beurre aphrodisiaque », « bruits provenant du coin de Frodon et Sam » ou encore « ça a du chauffer »…

C'est à cet instant que Legolas se souvint de Harry, et la mort de ce pauvre (hin hin hin snif) Sam…

L'elfese leva en un bond.

-QUOI QU'EST-CE QUE TU DIS, SAM AVEC FRODON ? MAIS C'EST PAS POSSIB'

-Et pourquoi ce serait pas possible ? demanda calmement l'un des hobbits, Merry, occupé à beurrer sa tartine avec ce qui restait du beurre aphrodisiaque.

-C'est vrai, ça, continua Gimli. On est tous au courant de la chose… D'ailleurs, c'est bien ça qui te fait faire des cauchemars dans « la communauté des elfes », non ?

-QUOI ! s'exclama Pippin, visiblement outré (on se demande pas ce qu'il fait mit son cousin la nuit) , tu dis nimp' retourne dans tes mines, c'est pas du tout ça c'est le manque d'oxygène dû à l'altitude !

-VOUS Y CONNAISSEZ RIEN ! C'EST LE BALROG J'VOUS DIS ! BANDE DE PECNOS !

Gandalf s'était levé et frappé de ses poings sur la table, écrasant la tartine que Pippin avait posée à côté de son chocolat chaud.

-Oh toi le magicien de mes deux, enfile toi un rouleau de PQ dans l'oesophage, on verra après ! Rétorqua Boromir, avant qu'un bol de café/bière ne se renverse sur sa tête

-NE ME PRENDS PAS POUR UN MAGICIEN DE PACOTILLE ! SI JE DIS QUE C'EST LE BALROG, C'EST LE BALROG !

VOOOOOOOOOOOOOOOS GUEUUUUUUUUUUUUUUUUUUUULES !

Cette fois, Legolas était bel et bien monté sur la table, une dague en main.

FERMEZ LA SINON JE REFAIS LE COUP DU SUICIDE !


faut pas croire, je suis déprimée, car je n'ai pas fini mon exposé que j'ai a faire avec mon groupe pour mardi donc c'est ambiance très morose en ce fin de chapitre snif snif ! et en plus, je suis OBLIGEE d'ecrire son exposé à mon ... -humf- cohéquipier c'est dégoutant hein ? JE SUIS MORTIFIEE !

¤babou¤

PS : pour me sauver, envoyez vos dons chez moi, un bon geste !

Ou biennn une tite rewiew...?