Disclamer:

/Musique du début du DA Batman/ Tudududuuuuuu...

/SilenTroman, outré/...!...! (Comment oses-tu! C'est un rival!)

Ah la ferme, faut s'entraider entre super-héros! Bref, tudududuuuuuuu... Le spot montrant un Quatre à poil dans une position aiguicheuse s'illumine sur les toits de la ville...

/Quatre/ HEEEY!

Oh, tu connaîs un autre truc pour l'attirer fissa toi!Parce que si oui, vive les scènes de ménages!

/Quatre/...

Quand même! Bon, dans la pénombre de son salon, la vile et fourbe et pô gentille Florinoir s'active sur son clavier(oui, ça m'arrive, figurez-vous!)...

/Flo/Gnéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhhéhé! Ils sont n'a môôôôôôôaaaa... N'AAAAA MOOOOOOAAAAAAAA!

/Duo, remue le popotin en faisant la danse du ventre/ Namoa, namoa, ohhhh, namoaaaaaaa...

Crétin, c'est pas le prochain tube de l'été! Comment qu'il casse mon groove...

Nous disions donc, La perfide Florifikeuze s'apprête à commettre son crime... Quand soudain!

/Heero, regard acéré/ Un imprévu dans un plan... Va falloir se battre en duel contre Zecks pour régler ça...

... EN QUOI FAIRE UN DUEL AVEC ZECKS PEUX T'AIDER DANS CE GENRE DE CAS! Ils m'éneerveeeeeeuh! Hem: Quand soudain!

/Wufei, brandissant son sabre le regard dément/ JUSTICE SERA FAITE!

...Beuheu, j'abandonne...

/Le carton de SilenTroman(marque déposée)/ TROWA, QUATRE,DUO, HILDE,RELENA, HEERO, WUFEI, ZECKS ET TREIZE APPARTIENNENT A L'ANIME GUNDAM WINGS, LA SUNRISE ET CIE. LE SCENARIO ET LES AUTRE PERSONNAGES SONT DE FLORINOIR, CETTE ANDOUILLE.

Heeeeeeeeeeey!


Merci aux lectrices qui ont laissés des reviews, je vous répond par le système Reply et Babou, pour ta suggestion, vu que tu n'es pas la première à ma le demander...J'y avais pas pensé mais c'est une idée que je vais sans doute appliquer!Merci à toi, en éspérant que tu pase du bon temps!


Attention, il y a un LEMON! Ceux qui ne supportent pas , NE LISEZ PAS!

Bonne lecture!


Trowa Barton soupira alors que ses doigts se faisait claquer par une main réprehenssive qu'il avait plus envie de qualifier de tyrannique.

- Tro-wa! Ne touche pas à ton bandage, tu risque d'aggraver ta blessure!

- Mais ça pique...

Un regard sévère du blond le fit taire et Trowa, comme pas mal de fois face à son amant, s'écrasa en boudant. Quatre pouffa.

- Si ton équipe d'athlétisme te voyait tirer la tronche comme ça...

- Qu'ils se prennent une planche dans la gueule et on en reparlera... Bougonna le brun à la mèche en relevant la main vers son front bandé, main que Quatre s'empressa de rabaisser.

Ils étaient dans la chambre du délégué blond, trois jours après la rixe dans les entrepots. Trowa avait eu droit à une petite journée d'examens pour sa tête mais la blessure était sans gravité et Quatre n'avait eu qu'une main meurtrie à force d'avoir cogné sur l'ennemi; le blond au visage angélique avait presque assomé autant de personnes qu'Abdul avec son direct du gauche.

Quatre fit courrir ses doigts le long de la machoire de son petit-ami en souriant tendrement. Entre l'hôpital, les dépositions et les inquiétudes parentales, ils n'avaient pas eu un moment bien à eux. Trowa ferma les yeux, acceuillant la carresse avec un ronronnement. Puis il saisit la main dans la sienne et la porta à ses lèvres, déposant de petits baisers au creux de la paume. Le blond retint un petit rire, ça le chatouillait( Bou diou, c'est neuneu!). Il releva légèrement la tête en ôtant sa main et embrassa son amant. Le baiser d'abord doux se fit plus profond et passionné alors que les deux garçons s'allongeaient sur le lit, Quatre au-dessus de Trowa. Le brun fit aller ses mains en dessous du tee-shirt que portait le blond et carressa la peau douce et pâle tout de même légèrement halée par le tennis et la natation que pratiquaient son amant. Amant qui gémit entre leurs lèvres scellées et se mit à onduler contre le corps devenant de plus en plus chaud au-dessous de lui. Les pantalons et les sous-vétements devinrent très vite indésirables et ils les ôtérent, mélants leurs mains sur leurs deux corps, de sorte qu'on aurait crû voir une entité inconnue ôter sa tenue en des gestes curieusement gracieux et empressés. Ils étaient habitués à se sentir, se toucher durant toutes les étapes de leurs unions et leurs mouvements emprunts d'habitudes et de tendresse passionnée en étaient magnifiés.

Ils furent nus l'un contre l'autre, se touchant, explorant les territoires à la fois connus et pourtant encore à découvrir de leurs corps. Ils n'avaient plus l'impatience de leurs premières fois et prennaient le temps de savourer l'autre, contents d'être ensembles et soulagés qu'il n'y ait pas eu plus de casse; ça avait eu beau n'être qu'une bagarre entre jeunes, il y avait failli y avoir des morts et ça aurait facilement pu tourner au drame.

Mais Trowa, qui, sous son caractère stoïque cachait un tempérament de feu, en eut bientôt assez et amorça un mouvement pour se retrouver au-dessus de Quatre.

- Oooh non monsieur Barton, vous restez là où vous vous trouviez...

Abandonnant le ton taquin, le blond passa une main légère comme une plume sur le bandage autour du front de son amant. Il se pencha vers l'oreille du brun et murmura d'une voix rauque et sensuelle tout en mordillant les alentours.

- Je ne veux pas que tu te blesse... Laisse moi m'occuper de tout...

Il mordilla le lobe du jeune homme frissonant et entreprit une descente entre jeux de langue, de dents et de lèvres sur le cou, la gorge, les clavicules, la poitrine, prennant tout particulièrement soin des deux tétons qu'il laissa durs comme de petites pierres. Il s'arrêta un instant à l'emplacement où il pouvait entendre le tempo effréné du coeur qu'il savait posséder, se délectant des preuves de son effet sur son athlète.

- Quatre... Lui parvint une voix essouflée. Pas que je n'aime pas que tu te repose sur mon coeur mais... Tu m'as mis dans un état... Qui demande ton attention dans les plus brefs délais!

Le blond émit un petit rire et déposa un baiser là où il entendait les pulsations le plus fort avant de continuer sa descente délicieusement taquine. Arrivé au nombril et au niveau des abdominos, il prit plaisir à gouter la peau ferme et chaude, à sentir les muscles rouler alors que son amant presque à bout s'agitait et gémissait de plaisir mélé de frustration.

- Qu... Quatre! Arrête de...

Le blond souffla doucement sur la peau humide de sueur et de ses administrations.

- Okay Trowa...

Et il prit en main l'érection de du jeune homme, imprimant un mouvement de va et vient tout en jouant avec les bourses et les courts poils bruns des environs du pénis. Trowa émit un soupir prononcé imitant vaguement le nom de son amant et arqua le dos, crispant ses mains sur la tête du blond afin d'attirer le doux visage vers ses lèvres avides. Il s'empara goulument de la bouche de Quatre et étouffa ses plaintes de plaisir en lui infligeant un baiser sauvage, imprimant à sa langue le rythme que la main du blond jouait sur son sexe vibrant. Quatre grogna, délicieusement perdu dans le ballet des langues, lui-même très excité par la tournure que prennaient les évènements. Il roula ses hanches sur l'abdomen du brun, frottant son érection contre la peau si chaude et légèrement moite de son amant. Celui-ci, bien que plongé dans le plaisir incroyable que lui donnait la main et la bouche du blond n'en saisit pas moins le message et s'empara à l'aveuglettedu membre nécessitant son attention, élicitant un gémissement. Peu sûr de pouvoir continuer longtemps à ce rythme, il lâcha la bouche de Quatre qui prit aussitôt une grande inspiration avant de retourner s'attaquer à la gorge de Trowa. Ce dernier renversa la tête en arrière, tentant de prévenir l'autre.

- Qua...Quatre... je...Je vais...nnmmh... Pas...

Déjà son pénis scintillait de petites perles blanches, signalant sa très prochaine jouissance. Quatre sourit contre la gorge qu'il suçait avec entrain, adorant sentir le grondement de la voix hachée et le pouls effréné de son amant contre ses lèvres. Il se releva, donna une dernière ministration au sexe engorgé et le lâcha. Trowa grimaça et se mordit les lèvres pour ne pas protester instinctivement, sâchant le meilleur à venir. Il caressa avec tendresse la joue du blond et ménagea de le retourner sur le dos, lui au dessus.

Quatre écarta les jambes, toujours tremblant et gémissant, Trowa n'ayant pas cessé de stimuler son érection. Le brun aggripa à l'aveuglette le tube de lubrifiant placé au pied du lit, en enduisit ses doigts et releva une jambe de sa main libre. Puis il entra un doigt dans l'intimité exposée par ses soins de son amant. Quatre se tendit lègérement mais oublia rapidement le tiraillement sous les distractions que lui procuraient la main et la bouche de Trowa. Satisfait, le brun en fit entrer un deuxième, puis un troisième, s'assurant de la parfaite accomodation de son amant. Celui-ci était au bord de la rupture, ses gémissements se faisant presque cris et ses hanches ne cessant de se lever et s'abaisser pour, et d'un, créer le plus de friction possible sur son pénis, et de deux, s'empaler sur les doigts qui le rendaient positivement dingue en effleurant son point G.

- T...Tro..Nnng!

- J'arrive Quatre, j'arrive... Haleta Trowa, fort impatient lui-même.

Il se plaça entre les jambes du blond, laissa Quatre fiévreusement enduire son sexe de lubrifiant et s'enfonça en lui, élicitant un cri simultané de la part des deux amants. Le brun trouva la force mentale nécessaire de laisser le bond s'accomoder à cette plus conséquente entrée puis il commença à se mouvoir.

Les deux garçons sombrèrent dans la passion, Trowa submergé par les murs chauds et étroits pulsant contre lui et Quatre rendu fou par les constants impacts contre sa prostate. Dans un sursault d'énergie, le blond retourna les situations et, s'appuyant sur le torse tremblant et humide de son amant, s'empala sur lui, rencontrant ses coups de hanches et accentuant leurs deux plaisirs.

Puis Trowa se cambra et jouit profondemment dans le corps du blond,les mains crispée sous l'oreiller derrière sa tête, criant son nom. Quatre ne tarda pas à le suivre, le dos arqué et les yeux clôts, la bouche ouverte sur le nom de Trowa. Puis il s'écroula sur la poitrine du brun, frissonnant sous le coup de l'après-orgasme.

- Wow...

- On devrait... subir du stress plus souvant...

Le blond émit un petit rire fatigué puis se releva juste assez pour rencontrer les lèvres de Trowa avant de fermer les yeux sur un soupir de contentement.

- Je vais faire abominablement cliché mais... Je t'aime Quatre.

Le blond releva les yeux sur son amant et se sentit presque au bord des larmes en voyant l'affection visible sur le beau visage habituellement soigneusement gardé du brun.

- Je... Je vais en remettre une couche, dans le cliché... Je t'aime Trowa...

Les deux amants rassasiés de sexe et de bonheur échangèrent un long baiser scellant leurs paroles puis se nettoyèrent sommérement avant d'arranger la couette autour d'eux et s'endormir l'un contre l'autre...

Jusqu'à ce qu'un petit rire se fasse entendre.

- Nmmh Tro? Bailla Quatre, dans les choux.

- Tout de même... Tu crois que sans Duo on serait comme ça maintenant?

Le blond sourit à son tour,en se rappelant le stratagème de leur ami châtain pour les mettre ensemble. Il avait encore les photos qu'ils avaient confisqué au natté après l'avoir coulé quelques dizaines de fois.

- Honnêtement...On serait encore en train de mourrir de frustration chacun de notre côté...

- Tu fantasmais sur moi? Demanda Trowa, taquin.

Quatre rougit et gromella.

- Oh et pas toi peut-être?

- No comment...

- Crétin...

- Je suis tombé amoureux d'un délégué aux pensées perverses...

- Tro.Wa! Dors!

- A tes ordres, mon amour obsédé...

- Hmmph! La prochaine fois, je suis dominant! Tu vas voir un peu...

Et les deux garçons s'endormirent en souriant.


Christophe pinça les lèvres et passa une main nerveuse dans ses cheveux en brosse. Que de soucis pour le capitaine de Montrouge! Cette bagarre générale lui avait valut un sermon par le proviseur, un intérrogatoire par la police et des joueurs invalides pour les prochains matchs... Pas qu'il appréciat beaucoup Delunes et Donovan, mais il lui fallait bien reconnaître qu'il s'agissait de deux damnés bon basketteurs... Puis maintenant qu'il savait toute l'histoire, il ne pouvait s'empêcher de se sentir légèrement coupable pour son silence...

Mais il était un Gilbert, et comme lui aurait dit feu-sa mère, emminante millitaire et femme de poigne, un Gilbert ne resasse pas le passé mais aiguille droit vers l'avenir, fixé vers son but!

Et son but, c'était d'atteindre le top du classement!

Il se planta devant sa glace et réaffirma son autorité devant lui-même. Les remplaçants allaient avoir du boulot, crénom! Et il lui fallait en plus veiller à la concentration de Maxwell mise à mal par son attitude trop protectrice envers son petit-ami, à celle d'Abdul, mise à mal par son hystérique copine toujours prête à lui sauter dessus -quel manque de tenue!-, freiner Julien dans son enthousiasme de pseudo-reporter, sans parler de Théo qui persistait à accepter la conduite inqualifiable de sa dévergondée de soeur!

Deux spots rouges apparurent sur les joues pâles du jeune homme en repensant aux constantes piques que lui envoyaient la jolie capitaine du club d'arts martiaux et il se mit une grande claque intérieure. Puis il réajusta son tee-shirt et sortit des vestiaires. Les autres n'allaient pas tarder à arriver et il lui faudrait de suite les canaliser, les évènements récents devant être sur toutes les lèvres.


Abdul échangea un baiser langoureux avec Hilde et laissa enfin partir sa petite amie. La jeune brune lui fit un clin d'oeil par dessous son front bandé et rentra chez elle. Le grand black eut un soupir énamouré fort peu viril et partit vers chez lui. Une semaine que LA bagarre avait eut lieu, ils en avaient enfin finit avec les flics et l'hosto et il avait enfin pu profiter de sa déesse guerrière... Et quel profit...

Après avoir faillit se prendre un poteau en pleine poire et qu'une gamine ait fui dans les jupes de sa mère, il se décida à redescendre de ses souvenirs érotiques et reprit une tête normale.

Les flics avaient bien entendu interrogés tout le monde, mais n'avaient embarqué que la bande de Merquise, étant été prouvé qu'ils avaient été les instigateurs de la rixe. La petite bande des "sauveurs" s'en était tiré avec un sermon et les rugissements des proches... Abdul grimaça en repensant à la réaction de sa mère, forte femme s'il en fut, qui avait failli émasculer le pauvre flic qui l'avait ramené chez lui... Le gars devait être bon pour une thérapie... De plus, le père d'Hilde, un type protecteur au possible avait manqué l'égorger lorsque sa fille était revenue avec sa blessure au front. Hilde avait dû simuler un évanouissement pour le salut de son amour...

Le garçon soupira puis repensa à tout ce qu'il avait apprit. Il n'avait jamais vraiment détesté le trio infernal. En fait, il s'entendait même plutôt bien avec eux, avant toute cette affaire de paris. Il avait eu vent des rumeurs, et même s'il s'était sentit trahit, il n'avait jamais souhaité ça...Tout de même, quel gachis... Yuy était un meneur de premier ordre, puis Jack et Tyler qui ne pourrait pas rejouer avant un bon moment...

M'enfin, il espérait que ce gros bordel serait suffisant pour refermer les plaies du passé. Théo avait aidé Jack, c'était énorme... Et il avait l'air plus... serain...Oui, c'était ça... Abdul sentait qu'un grand poid avait été oté des épaules du brun et ça le réjouissait pour son ami.

Il leva le visage vers le ciel et sourit largement.

Les problèmes se régleraient. Ils allaient tenir bon juqu'au retour des deux aliers blessés et jouer du basket pur et honnête. Il allait travailler des combinaisons avec Duo qui pourrait rivaliser avec celles de Jack et Tyler -du moins s'il arrivait à décoller le châtain de son petit ami- et il apprendrait à Julien comment tirer de bons trois points.

Mais là, de suite, il allait trouver le moyen de dénicher une copine d'Hilde afin qu'elle leur serve de couverture pour demain soir...

Sifflotant il sortit son portable pour appeler Relena Peacecraft, la moins cinglée des deux meilleures amies de l'amour de sa vie...

TBC...


Hem... Un chapître qui ne sert pas à grand chose sinon à foutre ce lemon que j'avais promis à Miss AngeLove... Voilà qui est fait...Le prochain chapître devrait être l'épilogue, m'enfin, sait-on jamais...