Le mur commença à faire des secousses si violentes que Roseline avait besoin de tirer Génis du danger. C'était comme il y avait un tremblement de terre dans ce petit coin de la chambre.
Roseline déplaça comme en dansant – Génis prit note de ceci pour plus tard. («Pourquoi?» Ses pensées roulaient, folles et rapides, dans sa tête. Pourquoi c'est si important si elle marche comme si elle était en train de danser?»)
Mais sa curiosité était engagée - il était une génie, après tout. Il dévisagea pendant le mur tremblant furieusement, jusqu'au point qu'il tournait complètement, une tour de trois cent soixante degrés. L'autre côté du mur révéla une petite porte grise.
Roseline sourira, excitée, à Génis avant de pivoter la porte ouverte. Elle était très petite, seulement cinq pieds et demi d'hauteur, mais assez grande pour que les deux jeunes pouvaient enter. Génis suivait Roseline et sa mâchoire tombait ouverte avec stupéfaction. C'était un autre monde derrière cette porte! (Ou, au moins, c'était sa première pensée quand Roseline ouvrait la porte.)
Génis regarda attentivement autour de lui-même. Ils étaient dans une autre chambre, plus petite que celle de Roseline et fabriquée avec des blocs de pierre. Le mur était couvert des livres ; des rayons et des rayons étendraient pour des mètres autour de la pièce. Ils étaient si bondés que Génis pouvait les toucher sans difficulté. Et, les livres! Il y avait touts sortes : les grands et les vieux avec les couleurs azurées, dorées, et écarlates.
Roseline marcha-dansa vers un coin de la petite chambre ronde. En essayant de ne pas se tomber, Génis la suivit en faisant un bel essai à décoller de Roseline (elle saisissait son poignet avec une prise formidable), mais sans résultat. Elle le guida vers une figure noire et ombreuse qui était cachée dans un coin.
--Qu'est-ce c'est, Roseline? Génis demanda en léchant ses lèvres.
--C'est la chambre à moi, évidemment, Roseline répondit avec un sourire si grand qu'elle ressemblait à Colette toujours-souriante pour un instant. Tu dois me regarder maintenant.
Et, avec ça, elle sortit un petit anneau doré de sa poche et le serrait contre son cœur. Elle chuchota quelque chose si doucement que Génis ne put pas l'entendre avant d'appuyer l'anneau contre un mur vide, gris et ennuyant. Génis remarqua, que, cet instant-là, les murs courbèrent un peu, quelques mètres d'où ils restaient. Ils formèrent maintenant une autre petite chambre.
Roseline avait presque fini avec l'anneau. Elle le glissa sur son doigt et sa paume alluma d'un feu intense, ce qu'elle transféra sur une petite chandelle cachée dans un trou dans le mur. La chandelle brûla d'une façon intense. La petite flamme sauta et dansa, brillant orange et jaune.
--Tu comprends ce que je voulais te dire? Roseline demanda, les yeux dansants comme la flamme qui sautait maintenant au-dessus de la chandelle.
Les propres yeux de Génis agrandirent – il savait ce qu'elle avait voulu dire dire, bien sûr. Un gros lit la couleur de la forêt avait été installé sous plus des rayons des livres («Elle aime lire, cette Roseline, Génis pensa en rougissant un peu»). Un bureau rectangulaire d'acajou restait dans un coin, avec un autre livre ouvert à la page six cent treize sur une petite nappe de soie.
--J-J'ai pensé que ta chambre était là-bas. Génis récupéra sa voix en indiquant de pouce l'autre chambre qui était en arrière des deux enfants.
--Non, il appartient à moi et Belinda, répondit Roseline joyeusement. On n'avait pas besoin d'une autre chambre, alors je le possède maintenant.
La main du Génis frotta un rayon jusqu'au-dessus de le lit.
--Peux-je les lire? demanda-t-il. Je vais les retourner – c'est garanti.
--Tu peux même les garder à ta maison pour quelques jours, accepta Roseline. J'aime lire, mais j'en ai assez. Il va pas me déranger.
Alors, ses gros yeux bleus brillants d'excitation, Génis enleva un gros volume la couleur du ciel du rayon. Il était épais (plus de mille pages de long), mais Génis croyait qu'il pourrait le lire en quelques jours. Il s'assit sur le lit de Roseline et commença avec la première page.
Génis reçut un choc à ce point-là : le premier chapitre de livre - qui parlait de l'histoire de Sylvarant – s'appelait «Isélia». Selon le livre, Isélia était une civilisation remontante de plus au moins l'apparition de l'homme.
Il informa Roseline de ceci, ses yeux grands comme des plats de nourriture. Elle soupira d'une façon étrange :
--Oui, on est ancien, n'est pas?
Fasciné, il lisait le livre azure jusqu'à dix-sept heures trente. Il ne savait pas que le temps passait si rapidement. Après tout, l'écriture du livre était minuscule et il était seulement rendu à page deux cent vingt et un.
--Je dois retourner chez moi maintenant, Génis admit à Roseline en abaissant les yeux tandis qu'il entendait l'horloge sonner dans la chambre de Belinda.
--OK, mais tu peux garder le livre pour la semaine. Rencontre-moi après l'école demain et je te dirais pourquoi.
De tout ce temps là, Génis remarquait qu'ils s'approchaient de plus en plus ; il pouvait sentir plus fortement l'odeur des roses qui suivait Roseline partout. Il s'approchaient, s'approchaient, s'approchaient—
--Roseline, es-tu ici? arriva une voix soudainement, en arrière des deux amis. C'était Belinda, qui entrait la chambre en claquant la porte. Heureusement, elle n'avait pas vu ce qu'ils faisaient. Je dois faire mes devoirs et je peux pas trouver ma plume.
--J'espère que c'est le l'heure de quitter, chuchota Roseline dans l'oreille de Génis. Tout à l'heure, alors.
--M-merci pour le livre, Génis dit en se levant sur des jambes tremblantes. Je vais le lire ce soir. Il serra le livre contre son cœur et agita sa main à Roseline avant de quitter la petite chambre secrète.
