Ahlala, je me répète mais merci pour vos reviews, je crois bien qu'il n'y a rien qui me fasse plus plaisir, sur cette triste planète… (Sauf si on m'annonçait que la période du bac se métamorphosait soudainement en un voyage gratuit en Egypte) (Ne rêvons pas)
Allongé à l'arrière du navire, l'escrimeur dormait, bercé par les mouvements du bateau ballotté par les vagues agitées de l'océan. Il aimait bien ces moments de répit. Personne pour lui hurler dessus, sous prétexte qu'il encombrait le passage. Personne pour lui crier dans les oreilles d'une voix horriblement plaintive que c'était l'heure de manger, et tu sais pas où est Sandy Zorro parce que je crève de faim ? Personne pour lui reprocher d'avoir dit à Luffy d'aller se servir tout seul dans la cuisine, ou pour l'insulter d'une voix désagréablement ironique. Personne pour lui faire remarquer que c'était mauvais pour la santé, de dormir dehors tout le temps, exposé au vent et aux sels marins qui s'incrustent sur la peau. Personne pour pouffer de rire à la vue des marques bleues, certes à présent beaucoup plus pâles, mais qui serpentaient toujours sur son visage. Personne pour l'empêcher de dormir par une présence désagréablement insidieuse et silencieuse.
Non. Personne. Le calme absolu.
Quelle douceur…
Tout doucement, sa perception du monde qui l'entourait, le chant des oiseaux marins, la mélodie aquatique de l'océan, les embruns qui humidifiaient agréablement sa peau, le soleil qui jouait sur ses paupières, la sensation rugueuse du bois contre son dos… Doucement, tout s'effaça… Pour laisser la place à un silence complet, opaque, bienfaisant, un néant qui ne tarderait pas à se muer en un profond sommeil…
« BOUH ! »
Zorro sursauta violemment, bascula sur le côté, sa tête heurtant douloureusement le plancher du bateau.
Il se releva, la bouche et les yeux écarquillés, posant un regard complètement perdu sur l'être qui se tenait près de lui.
« Qu… » tenta t-il vainement d'articuler, avant de s'apercevoir qu'il n'avait plus la moindre once d'air dans les poumons.
Il inspira bruyamment et reposa les yeux sur Chani.
La fillette fronça les sourcils et agita un petit index accusateur en direction de Zorro, de l'air qu'avait dû souvent prendre sa mère en la surprenant à piller les pots de confitures.
« Non non non, z'est pas bien… Il faut pas dormir comme ça… Zinon, » continua t-elle, ses yeux se teintant d'une lueur dangereusement métallique, « Ze vais pas être contente… Et za va mal ze passer… Ze vais donner une punition… »
Le jeune homme haussa les sourcils, abasourdi. Cette petite peste n'allait quant même pas lui gâcher les seuls moments dont il disposait pour se reposer un peu ?
…Le petit doigt continuait de s'agiter sous son nez, malveillant.
Si. Si, elle s'apprêtait à les lui gâcher.
« Mais si, ma petite Nami chérie, je t'assure qu'il faut que tu goûtes à ce cocktail, il est exquis ! »
« Je travaille, Sandy. Je n'en ai strictement rien à faire, de ton cocktail. »
« Ooooh, mon petit cœur en sucre enrobé de caramel cristallisé ! Tu es si délicieusement à croquer, quant tu fais semblant de m'ignorer ! Mais tu n'auras pas à te déplacer, je vais aller te le chercher ! J'en ai pour deux minutes, ma petite mandarine confite ! »
Et le blondinet s'éloigna vers la cuisine, deux énormes cœurs palpitants à la place des yeux, laissant la navigatrice réparer ses cartes avec mauvaise humeur en se demandant s'il était si flatteur que ça d'être comparée à une mandarine confite.
Sandy, un large sourire étirant ses lèvres d'une manière assez peu intelligente, poussa la porte de son lieu de travail, l'image fleurissante d'une splendide rouquine aux yeux brillants, entourée de roses et de diverses boissons dans lesquelles flottaient des petites fleurs de mandariniers se superposant entre son regard et le reste du monde.
Avant d'être brutalement dissipée par la vision de ce qui l'attendait dans la cuisine.
« Tiens, c'est toi, Petit Bout de Ch- QUEL EST LE SALAUD QUI A OSE TE LIGOTER COMME ÇA ? »
Et il se rua vers la fillette qui, solidement bâillonnée et ficelée contre une chaise, le fixait d'un regard impassible.
« JE SUIS SÛR QUE C'EST L'AUTRE ABRUTI DE FACE DE MELON ! MAIS QUELLE ESPECE DE MONSTRE, FAIRE ÇA À UN ENFANT ! Mais ne t'inquiète pas, Petit Cœur, IL VA PAYER ! CE SALE CRÉTIN SANS CŒUR ! ET AVEC LA FICELLE QUE J'UTILISE POUR MES GIGOTS, EN PLUS ! C'EST LUI QUE JE VAIS FAIRE CUIRE, CE SOIR, IL VA VOIR ! » hurla t-il en détachant les liens de l'enfant et en la soulevant dans ses bras.
Il se précipita sur le pont, toujours aussi furieux, et chercha l'escrimeur des yeux.
Personne.
La petite fille lui tapota l'épaule, puis, croisant son regard, lui indiqua silencieusement du doigt l'arrière du bateau.
« Merci, Petit Amour ! » s'exclama le blondinet en se dirigeant d'un pas décidé vers l'endroit désigné.
Zorro s'efforçait vainement de se rendormir. Il n'avait jamais réalisé qu'il fallait faire autant d'efforts pour réussir à dormir. Et qu'il y avait autant de conditions à réunir. Il fallait, par exemple, être entièrement détendu et se sentir en sécurité. Or, Zorro ne se sentait absolument pas en sécurité. Il avait beau savoir qu'après avoir enfermé l'autre horreur dans la cuisine, il ne risquait plus rien, il n'arrivait pas à s'en persuader.
…Tiens. Cette présence dérangeante, là, tout près, il était près à parier que c'était elle. Elle. Cette petite peste qui semblait avoir passé un pacte avec le diable pour lui mener la vie impossible.
Ses muscles se contractèrent sous sa peau. Il sentait la présence se rapprocher de plus en plus. Il pouvait presque voir l'exécrable enfant ramper vers lui, à quatre pattes, son visage aux yeux bleus, aux cheveux blonds et à l'air indéniablement hypocrite tourné de manière hypnotisante dans sa direction...
Il ouvrit précipitamment les paupières, décidant courageusement de faire face au danger.
Deux petits points rouges brillants, profondément incrustés au creux de nombreux replis de fourrure blanche, lui lançaient un regard insondable à trois millimètres de son nez. Ils surmontaient un museau pointu parsemé des restes d'une moustache animale.
…Un rat.
Zorro soupira, peut-être de soulagement, et envoya balader le rongeurd'un large mouvement de la main avant de se tourner de l'autre côté, bien décidé à plonger dans le sommeil du juste.
…Sauf qu'évidemment, le blondinet, l'autre monstre dans les bras, le fixait, visiblement pas de très bonne humeur.
Zorro se releva en soupirant lentement.
« Qu'est-ce que j'ai encore fait ? » grinça t-il en tournant vers le cuisinier un visage ravagé par les souffrances de sa vie quotidienne.
Sandy manqua de s'étrangler de fureur.
« Comment ça, ce que tu… MAIS ! TU LIGOTES UNE ENFANT SUR UNE CHAISE ET TU AS LE TOUPET DE ME DEMANDER CE QUE JE TE REPROCHE ? »
« Pourquoi tu hurles ? Tu peux vraiment pas t'exprimer calmement ? C'est fatiguant, à la fin… » marmonna l'escrimeur en se massant douloureusement les tympans. Ses yeux se fermaient tout seuls. Il avait besoin de dormir, bordel, il avait besoin de dormir…
Un hurlement gorgé de sanglots lui fit précipitamment lever la tête.
« Huh… ? »
« OUIIIIN ! »
Chani, s'agrippant fermement au cou du blondinet, pleurait toutes les larmes de son corps, le doigt pointé vers l'escrimeur.
« Mais oui, Petit Cœur, mais oui, » tenta de la calmer Sandy, « Je sais que le monsieur est un vilain monsieur, mais ne t'inquiète pas, on va faire très mal au vilain monsieur, et après tout ira pour le mieux, tu verras ! »
Les cris de l'enfant redoublèrent d'intensité, et elle commença à frapper le jeune homme avec fureur, ses petits poings crispés au point que leurs jointures en étaient blanches s'abattant sans aucune pitié sur le crâne de son blond protecteur, les bouts ferrés de ses jolis souliers vernis lui martelant les côtes sans interruption, ses petites dents blanches s'incrustant fermement dans la chair de son cou…
« AÏE ! A… Arrête, s'il te plaît, Petit Cœur, tu me fais mal… »
Mais c'était apparemment l'intention de Chani, puisqu'elle ne cessa pas pour autant, jusqu'à ce que le jeune homme ne soit forcé de lui faire toucher terre en la lâchant brusquement.
Elle courut vers l'escrimeur, tandis que Sandy massait douloureusement sa gorge rougie par les morsures de l'enfant, espérant du plus profond de son être que Chani réservait le même traitement au pirate aux cheveux verts.
Zorro observa la fillette filer vers lui à la vitesse de la lumière, le soleil créant une auréole lumineuse de cheveux blonds autour de son visage angélique.
…Complètement paralysé.
Non, non, non… C'est un cauchemar… Il faut que je bouge de là… Ce n'est pas compliqué, Zorro, tu fais juste un petit pas de côté au dernier moment, et elle va se retrouver projetée contre le bastingage, avant de basculer dans l'océan… Et on entendra plus jamais parler d'elle… La vie reprendra son cours normal… Je pourrais dormir… Autant que je le voudrais… Rhâ, je… Elle… Elle arrive…
…AU SECOURS, ELLE ARRIVE !
D'énormes larmes noyant ses joues rosies par le vent marin, elle se jeta avec violence contre les jambes de l'escrimeur, ne lui laissant absolument pas le temps de faire son petit pas de côté et manquant de très peu de le faire basculer lui dans l'océan.
« OOOUUUIIIINNNHHH ! » hurla t-elle, la puissance de sa jolie voix dérangeant jusqu'aux mouettes perchées tout en haut du grand mas. « Faut pas dormir, meuzieur… (snif) Faut pas dormir, ze veux pas que tu meures… Ze veux pas que tu zois malade… Ze veux pas… Ze veux pas… »
Sa petite voix se perdit dans les gros sanglots qui encombraient sa gorge, ne permettant plus aux deux pirates de distinguer ce qu'elle disait.
« oooOOOOOUUIIIIIINNNHHHH ! »
Les pleurs reprirent, de plus en plus violents, vibrant d'une profonde douleur et ne tardant pas à rameuter tout le reste de l'équipage au grand complet.
« Qu… Qu'est-ce qu'il y a, ma Petite Chérie ? Qu'est-ce qui se passe ? Tu t'es fais mal quelque part ? Qu'est-ce qu'elle a ? » balbutia Nami, contemplant avec effarement l'enfant toujours solidement ancrée aux jambes de l'escrimeur.
« Elle ne veut pas que Zorro dorme… Je crois… » murmura le cuisinier qui n'avait toujours pas cesser de se frotter le cou.
Sa voix fut masquée par le hurlement vivant qu'était devenue Chani.
« Quoi ? » cria Pipo pour se faire entendre.
« Je dis : elle ne veut pas que Zorro dorme ! »
« Et pourquoi ça ? »
« Mais qu'est-ce que j'en sais, moi ! »
« Elle est peut-être malade ? » intervint Chopper.
« Bah moi je la trouve en pleine forme, hein… »
« Elle a faim. Je suis sûre qu'elle a faim. »
« Tout le monde n'est pas comme toi, Luffy. »
« Et puis de toute façon, c'est impossible ; elle est venue se bourrer de galette beurrée à la cuisine, tout à l'heure… Elle était tellement mignonne, je n'ai pas pu le lui refuser… »
« Mais enfin, c'est mauvais de manger entre les repas comme ça ! Je t'interdis de recommencer à lui céder ce genre de choses ! »
« VOUS POURRIEZ PAS M'AIDER, DÎTES ? »
« Bah ça va, calme toi… T'as qu'à te débrouiller tout seul, après tout, ça à l'air d'être à cause de toi qu'elle pleure comme ça… »
« C'est clair. Et puis c'est toi qui l'as amenée à bord. »
« Je ne l'ai pas amenée, elle m'a suivit ! »
« Vous n'êtes plus obligés de crier, vous savez, elle a arrêté de pleurer… » fit calmement remarquer Robin.
Effectivement, depuis quelques temps déjà, les pirates se forçaient à élever la voix de la manière la plus inutile qui soit, la douce petite s'étant subitement tut.
Elle fixait un point précis, à quelque pas de l'escrimeur qui ne réussissait toujours pas à se défaire de son étreinte.
« Oh ! Une jolie souris ! » s'écria t-elle.
« AH ! UN RAT ! » s'écria Nami.
La jeune femme se précipita derrière Luffy, à la grande indignation du cuisinier.
Chani se précipita vers la « souris », à la grande horreur de la rouquine.
Et Zorro se précipita hors de portée de l'abominable fillette. A savoir au sommet du mas qu'il grimpa du plus vite qu'il le pouvait, se réfugiant dans les hauteurs sécurisantes de la vigie. A la grande indifférence de l'enfant.
…Elle venait de Se trouver un nouveau jouet.
Elle souleva lentement l'animal dont la fourrure, d'un blanc sale et râpée par endroit, laissait entrevoir une peau rosâtre et ridée où transparaissait parfois des veines d'un gris écoeurant. Ses minuscules petits yeux rouges s'affolaient en tout sens, et il lui manquait la moitié de sa queue, le bout qui restait se terminant par un moignon mal cicatrisé.
C'était par cette queue qu'elle le tenait, le balançant avec amusement la tête en bas. Des petits couinements à la fois rauques et stridents s'élevèrent dans les airs. Insupportables.
Chani gloussa, véritablement ravie. Son regard croisa celui de l'animal, éperdu.
…De l'autre côté de la table, Nami, blême, ne pouvait détacher son regard de l'enfant et de la « petite souris ». Il lui semblait que si elle se risquait ne serait-ce qu'à mettre en mouvement les muscles qui commandaient ses yeux, elle se mettrait à vomir sur le champ tout ce que son estomac n'avait pas encore digéré depuis ce matin.
Sandy la couva d'un regard inquiet.
« Tout va bien, Nami-Chérie ? Tu n'as pas faim ? »
Nami entrouvrit lentement ses lèvres tremblantes, émettant un son faible et inarticulé.
Chani approcha l'animal de son visage rayonnant, et picora un baiser sur les deux dents ébréchées et jaunâtres qui dépassaient de son museau allongé.
Nami plaqua une main contre sa bouche, se leva brusquement et se rua hors de la cuisine. A travers le rectangle de lumière que formait la porte encore ouverte sur le pont du navire, Sandy pu l'apercevoir se précipiter contre la rambarde du bateau et se pencher vers l'océan. Il grimaça, avant d'attraper un Chopper les joues gonflées de nourriture par le bras et de le traîner pour qu'il vienne l'aider à emmener la rouquine à l'infirmerie. La porte se referma sur les deux pirates.
Pipo observa le pan de bois tout en mastiquant un brocoli d'un air songeur.
Il venait de trouver une faiblesse à la navigatrice. Bon à se rappeler, ça.
…Quoique, dans un certain sens, il la comprenait, pensa t-il en s'apercevant que, lourdement perché sur l'épaule de Chani, l'énorme rongeur le fixait d'un regard désagréablement insondable.
L'animal ne tarda pas à se désintéresser de lui, la fillette lui ayant fourré d'autorité la tête dans une énorme poignée de brocolis écrasés qu'elle venait de piocher à pleines mains dans le plat.
« Bâh ché bien, elle ché fé un côpain, » mâchonna Luffy en avalant les brocolis de Nami, l'escalope de Nami, le dessert de Nami, le verre de Nami et l'assiette de Nami en une seule bouchée.
Robin bu délicatement une gorgée du verre de vin qu'elle tenait à la main.
« J'ai bien peur que son nouvel ami ne soit pas tout à fait du goût de Nami. »
« Bwâh pouwquoi ? »
Le rat émit un bruit proche du feulement d'un chat, les minuscules petits points rouges de ses yeux se mettant à briller étrangement, et son énorme corps graisseux se lovant de façon reptilienne contre le cou de la fillette.
« …Et ô faicht, il est woù, Jorro ? »
« Toujours sur la Vigie. »
« Fôt pas lui appowter quelquechoje à manger ? »
« (Avale, avant de parler, s'il te plaît.) Non, je suppose qu'il dort. Il paraissait exténué, tout à l'heure. »
A ces mots, Chani releva la tête tellement brusquement que Son nouvel ami dû s'accrocher au col de son T-shirt pour ne pas tomber.
Elle plaqua un regard ferme et décidé sur la porte qui lui bloquait le passage.
…Son gentil monsieur dormait encore ? Il osait ?
« Remarque, » continua la jeune femme brune, « Ce n'est pas de la plus haute intelligence de dormir sur la Vigie… Si quelqu'un nous attaque, ce n'est pas en dormant qu'il pourra nous avertir… »
« Bof, on est des pirates, on sait se défendre… »
Chani se pétrifia, ses doigts à quelques centimètres de la poignée de la porte.
Calant Son nouvel ami sous Son bras, elle se dirigea d'un pas décidé vers celui qui venait de prononcer cette phrase, à savoirl'être infâmequi avait un jour osé Lui piquer Ses sandwiches.
« Vous zêtes des pirates ? » demanda t-elle en fronçant ses blonds petits sourcils.
Luffy tourna lentement son regard vers l'enfant. Mâchonnant. Et méfiant.
« …Oui. »
Un gigantesque sourire étira les lèvres de la blondinette.
« Et ben mon Papa, y dit que les pirates z'est que de la vermine bonne à écarteler sur la voie publique, à pendre, à torturer, à emprisonner, à enterrer vivant, à arrasser la langue, et les yeux, et plein de restes, à esstraire le cerveau par le nez, à empaler, à faire mourir de faim, de soif, à crussifier, à faire cuire à petit feu doux, et tout tout plein d'autres zoses dont ze me souviens plus, » déclara t-elle d'une voix pleine de bonheur.
Un silence tendu s'abattit sur la cuisine.
Fufufu… Chani a un nouvel amiii… Fufufu…
…(Pardon.)
…Mais je l'aime bien, son nouvel ami, moi.
Bref.
Merchi boôÔôocoup d'être toujours avec moi, à lire cette fic complètement stupide, mais après tout, la stupidité c'est très bien, sans stupidité où donc irait le monde, je vous le demande.
…Je vais essayer de taper vite vite vite le cinquième chapitre, juré. (Je devrais pas promettre ce genre de choses, c'est méchant si je n'y arrive pas…)
Une ôtre pitite review ? Pour Bouchou ?
