Disclamer : Atf:RzZzZz /CC:Comme c'est agréable! /RR:Plait il? /CC:Le silence, Riff. / RR:Certes, quel poison avait vous utilisez dans son bol de céréale? /CC :Somnifère ...
Mon nom est personneChapitre second
Les cris des nobliaux apeuré se tarirent dans la dense noirceur de l'usine immobile. Soudain de large fenêtre rectangulaire s'ouvrirent jetant la lumière sur les tapis roulants immobiles et les hommes apeurés.
Cain par terre arrêta de tâtonnait à la recherche de son majordome et se jeta sur dans les bras encore un peu tremblant de celui ci qui assit parterre semblait se demander ce qu'il lui valait un tel geste.
- Monsieur, c'est n'est pas correcte en ses lieux. Sermonna Riff d'une voix éteinte.
- Que ce passe t'il, donc? Hurla Lord Fleiming, hors de lui.
Mary s'approcha de son frère qui pour une fois aider son domestique à se relever. Un ouvrier, couvert d'huiles et de graisses noires, entra dans la pièce en courant.
- Qu'est qui c'est passé? Demanda Cain à Riff.
- Je ne sais, My Lord, j'ai ressentit un vide, et puis plus rien.
- Un vide? Insista Marywather. Comme un esprit qui nous quitte?
- Arrête ca! C'est stupide.
- Mais ...
- Monsieur! Monsieur ! Votre ... Fils ! S'écria l'ouvrier
- Quoi? Qu'est il arrivé ? Cria l'industriel bouleversé.
Cain, fronça les sourcils. Il laissa Riff à la charge de sa sœur lui intimant d'aller à l'extérieur pour prendre l'air. Il s'avança vers Lord Fleiming qui hurlait sur son employé, alors que l'usine se vidait de ses actionnaires.
- Mon fils à disparut? Mais c'est impossible! Bande d'incompétent, comment cela à t'il put arrivé !
- Je ne sais pas, Monsieur, toute est allé si vite.
- Incapable !
- Excuser moi, Sir, mais j'ai ne savais pas que vous aviez un fils. S'interposa Cain.
Sa voix douce et pleine de suspicion, avait mise à mal la colère de son vis à vis, et avait permit à l'employer de s'enfuire.
- Et bien, ce n'est pas un enfant légitime, je préfère le cacher.
- Quel âge a t il?
- 17 ans. Pourquoi?
- C'est l'âge difficile... Cain hésita un instant, Une fugue?
- Impossible.
- Pourquoi cela?
- Il ne peut se mouvoir seul, il est totalement dépendant des autres.
- Quel tristesse. Cela ne m'étonne pas que vous le cachiez. Il pourrait faire mauvaise impression. Il s'agit donc d'un enlèvement. Mais pour qu'elle raison à t'on enlever votre enfant? Votre fortune est elle si important?
- Je me suis ruiné pour ouvrir cette entreprise! Je ne comprend pas! Comte Hargreave, j'ai beaucoup entendu parler de vous et de vos affaire, mes je ne veut pas que vous veniez fourrer votre nez empoisonné dans mes affaires. Je me chargerait seul de retrouver mon fils.
Cain ne répondit que par son sourire moqueur. Il cligna des yeux puis reprit la parole.
- Permettez moi de vous poser une dernière question, Sir, Quel est le nom de votre fils?
Lord Fleiming semblé complètement déboussolé par cette question, il ne répondit pas tout suite comme chaque père aurait pu le faire, mais son front se rida sous la réflexion. Il surprit le sourire de Cain.
- Cela ne vous regarde pas ! Retourner vous occupé de vos substances mortelles ! S'écria l'homme, furieux, avant de s'en allait d'un pas colérique vers l'arrière salle d'ou était venu la mauvaise nouvelle.
Cain le salua puis s'en alla rejoindre sa sœur et son domestique. Ce dernier debout, allait beaucoup et son visage s'éclaira lorsque le comte apparu. Sans un mots, les trois jeunes gent montèrent dans leurs voiture et s'en aillèrent.
- Monsieur? Hazarda Riff alors que son maître regardait par la fenêtre en souriant.
- Nous restons a Douvres un moment. Dit il simplement.
- Il me semble que Monsieur a trouvé de quoi s'occuper.
- Tout a fait. Confirma Cain avec le regard malicieux d'un renard tournant autour d'un poulailler impénétrable.
- Bha, ça veux dire que je vais encore m'ennuyer moi !!! J'en est marre de cette ville! Geignit Mary croisant les bras sur sa poitrine pour mieux bouder.
Le lendemain matin dans un hôtel luxueux au centre de Douvres, Mary dormait, et Cain, dans le gigantesque salon dorée et tapissée de l'hôtel, tentait en vain de jouait aux échecs avec Riff.
- Voyons Riff, Mary ma ressemant compté votre engouement pour ce jeux. Pourquoi aujourd'hui me refuse tu, une simple partie amicale?
- Je suis désolé, My Lord, mais le cœur n'y est pas.
- Ou est il alors?
Le grand homme au cheveux blanc, malgré son jeun âge, s'arrêta de tourner en rond et leva la tête vers le plafond peint d'un bleu ciel encombré d'angelots gras et jovial accompagnant de jeunes déesses aguicheuses à moitié nues. Le comte s'amusaient avec les pièce en toisant son valet avec intérêt.
Soudain celui ci eu un geste, étrange qui n'échappa pas à Cain. Riff posa sa main droite sur la gauche de sa poitrine, sur le cœur. Le doute s'insinua lentement dans l'esprit vif du noble.
- Tu agis curieusement, depuis peu. Qu'est ce qui te trouble ainsi?
Riff ne répondit pas et vint s'asseoir en fasse de son maître. Il attrapa le cavalier et le fit sautait par dessus les pions pour le placer en première ligne.
- Voilà qui est mieux! Mais ton silence ne me plait guère. Sache que tu pourra toujours tout me dire, même si cela paraît ridicule. Tu es pour moi bien plus qu'un ami.
Le pions noir de Cain s'avança de deux cases comme pour provoquait l'armée adverse par sa solitude sur le champ de bataille.
- Je ne vois pas ce que vous voulez dire. Je n'ai rien à dire. Tous vas bien.
Un pion blanc se rapprocha du noir téméraire.
- Je te connaît mieux que quiconque. Tu m'as élevé. Alors je sais aujourd'hui, que quelque chose ne va pas.
Le fou sombre dansant sur les cases blanches menaça soudain le cavalier égaré. 1
- My Lord, je suis désolé, mais ... vous ne pouvez comprendre...
- Comment savoir, alors que tu ne m'as encor rien dit?
Un autre cavalier d'albâtre galopa vers un carré noir prêt a faire tomber le pions trop courageux.
Riff ne dit rien, mais le regard dorée, insistant de Cain, le fit doucement chancelait.
- C'est ... Une voix dans ma tête. Pas une voix, une présence presque palpable qui ...
Cain se mit a rire sous cape, alors qu'il avançait l'un de ses pions d'une case. Riff se tut aussitôt extrêmement blessé. Il savait que Cain se serrait moqué, il l'avait prévenu et pourtant il avait parler.
- Moi qui disait a Mary que les fantômes n'existait pas. Me voilà bien ridicule.
Cain reprit soudain son sérieux et lança un regard inquiet vers Riff, désappointé.
- Alors elle disait vrai, tu es possédé, par une sorte d'esprit frappeur?
- Plait il?
- Oui un esprit frappeur éprit de vengeance car assassiné par un proche l'aillant trahit et toujours en liberté.
- My lord, vous divagué. Il ne s'agit nullement de cela.
- Alors qu'est ce?
- Je ne sais pas exactement, je crois que quelqu'un me parlais, dans ma tête. Nous avions des discutions intéressantes, il voyait à travers mes yeux et mes pensés. C'est avec lui que je jouais.
- ...Ais ? Pourquoi en parle tu au passé?
- Depuis mon malaise, je n'entend plus rien.
- Qu'elle sympathique coïncidence! S'exclama Cain, de plus en plus excité par l'idée d'une futur enquête ors du commun aux promesses de complexité.
Cette après midi, j'aimerai que nous allions tout deux à l'usine. Je voudrais mettre mon nez un peu partout.
Cain joua et la partie s'éternisa jusqu'au dîner. Il remontèrent à se moment, cherche Mary qui sommeillait encore, le voyage l'avait épuisé pour manger. Le comte annonça à Mary qu'ils retourneraient à l'usine sans elle. Le petite fille ne fut pas de cette avis et se reteint de respirait jusqu'à en devenir bleu et que Cain cède à cette menace puérile. Mary ne voulais pas rester dans cet hôtel trop froid, malgré les nombreux chandeliers et moquettes épaisse et ne voulait surtout pas les laisser seul tout les deux.
Le temps le permettant, le ciel nettoyé de sa grisaille moutonneuse, la petite troupe anoblie s'en alla à pied jusqu'à la fabrique de lord Fleiming.
Les même cheminés qu'ils avaient vu cracher, hier, une épaisse fumé noir, semblées assoupies. Les larges portes étaient closes, et rien de trahissait une quelconque activité.
Depuis quand un simple incident comme celui d'hier provoque la paralysie de tout une usine? Demanda Cain, connaissait parfaitement la réponse.
- Il est vrai que tout cela est étrange.
- On entre, et on verra bien ce qui ce passe! Proposa Mary.
- Bon idée, ma sœur.
- My lord, on ne peut pas...
Riff aurait beau parler, le comte ne l'écoute pas et s'escrimait déjà aidé de Marywather à faire bouger la lourde porte qui n'était pas fermée.
Le majordome haussa les épaules et s'en alla les rejoindre. Quelque seconde plus tard il était tous dans l'usine, noir comme les fours qui servait à y fondre le métal des diverses pièces qu'ils avait fut défiler. Par clairvoyance ou par chance, le comte avait apportait avec lui dans une sacoche, que Riff portait, quelques bougies, les allumettes, des clefs, des tournevis et d'autre ustensile que l'on attribuerait plus à un voleur qu'a un comte fortuné.
La faible lumière des bougies éclairaient le sol bétonné et irrégulier de l'immense salle. Lentement ils avançaient vers le fond de la salle qu'ils ne voyait pas, les rayons jaunes des petites flammes noyés dans l'obscurité et le gigantisme de la pièce froide.
Il trouvèrent une petite porte de bois, par laquelle était entré l'ouvrier annonciateur de mauvaises nouvelles. Riff approcha les bougies de la poignée. Cain y posa la main. Elle était glacé. Il la tourna lentement et dans un petit claquement, qui résonna sinistrement dans toute l'usine, le porte s'entrouvrit. Il la poussa. Elle donnait sur une obscurité encore plus dense. Ils entrèrent, ramassé sur eux même, courbé, les bras pliés prés du corps. Ils était dans un large couloir se perdant dans le noir.
Mais soudain, une vive lumière blanche, tombant du plafond, les aveugla.
A suivre ...
Remarque :
1 – Et moi comme une tatillon que je suis, j'ai mon jeu d'échec a côté de moi et je réplique les coup. On peut pas dire que je ne boss pas sérieusement sur mes fics ! En tout cas j'espere que cette rigueur ne sert pas a rien.
Réponses au reviews :
Merci beaucoup pour vos remarque cela m'aide beaucoup n'hésité pas a me faire remarqué mes erreurs comme ça je progresse plus vite et en plus ca me motive a écrire.
Gayana : Merci beaucoup pour ta remarque, j'espere que ces quelques expliquations ne t'on pas du tout eclairer ;ppp Pour savoir ca qu'a riff encro plus présisement attendre la suite.
Elenaure: Merci beaucoup pour tes compliments, suite à ta remarque j'ai fait quelque recherche (et oui je suis tendance maniaco-dépressive) et jack l'éventreur (si il y a un rapport Cain enquête dessus!) date de début XXem, à cette époque l'électricité était largement répandu. De plus l'électricité à était découverte au environ de mi XIXem (voir avant je ne sais pas trop), ensuite l'Angleterre fut très précoce en matière de révolution industriel et enfin ... Attendait de lire la suite !!! - (comment ca je cache plein de trucs !) Si tu as d'autre critique aussi intéressantes n'hésite pas, je suis très puriste et j'aime que tout soit bien comme il faut dans ce que j'écrit.
Nelja: Je suis contente que ma fic te plaise et c'est a toi de juger du sénario qui j'espere sera à la hauteur. Pour le mystere, j'adore fair durer le suspence ca doit être une nevrose chez moi lool.
A la prochaine
