Mon Nom est personne

Sixieme Chapitre

Note : Désolé pour le retard, mais la lecture du tome 3 de god child a foutu en l'air mon histoire, alors j'anonce que cette histoire ne suivra pas l'histoire réel de Riff, milles excuses.

Note 2 : Désolé pour le retard j'ai eu beaucoup de mal avec ce chapitre, merci pour vos commentaires et encore désolé pour les fautes d'orthogrpahe mais je n'ais pas trouver de beta pour ce chapitre ... Avi aux âmes charitables ...

Pourtant il était le seul, le seul survivant. Ce ne pouvait être possible, on lui avait toujours dit qu'il était le seul à avoir survécu. Et si un autre avait échappé aux flammes. C'était la preuve qu'il n'était plus seul. Mais on lui avait menti, il avait vécu tranquillement alors qu'un autre l'accusé peut être de ne pas avoir était la. C'était à lui de s'occupé de sa famille. Qui d'autre? Qui d'autre vivait comme lui avec cette peur du feu. Si avait été adopté ce devait être un enfant, plus jeune que lui sans doute. Son jeune frère ? Sa petite soeur? Ho non sa petite soeur, si petite, si gentille il l'avait abandonnée. Il s'en voudrait toujours...

Une main se posa sur sa joue et la caressa lentement.

- Riff, tu pleure ?

C'était la voix de Caïn qui lui chuchotait ces mots avec inquiétude et la main de Caïn qui essuyait la larmes qui courait sur la joue du majordome.

- Veuillez m'excuser, toute cette histoire me touche.

- Je comprend, nous n'avons plus rien a faire ici. Rentrons!

Riff se leva et voulut prendre l'ouvrage pour aller le reposé, mais le conte l'en empécha et lui intima d'aller prendre l'air. Il s'executa à contre coeur mais l'air poussiereux et vieux de la bibliothèque lui faisait tournait la tête autant que toute les nouvelles donnés du problème. La date inscrite sur l'acte d'adoption du fils de lord Fleiming et celle de l'incendit de son ancien chez lui, celui qui avait tué toute sa famille ou peut être pas toute finalement. Cette simple idée lui retrounait l'estomac. Il l'avait abandonné qui que ce soit, il l'avait laissé à un autre.

- Tu m'inquiete beaucoup, mon ami.Dit Cain en épousetant son complet noir enpoussièré. Et ne t'excuse pas. Ce serait à moi de le faire. Allons y.

Ils cheminèrent en silence, Riff ne sachant que dire obnubilé par ses tourments et le conte ne voulant pas pour une fois dérangé son ami.En arrivant dans la large cours de la demeurent Hargreaves, ils furent acceuillit par les rires des deux enfants assises dans l'herbe aprés avoir déménagé tout les jouers de la chambre de Marywather dans le jardins. Elles s'amusaient et cela rassura Caïn qui craignait pour le bonheur de Beth. Quel choque elle avait du subire. Le conte connaissait cette douleur.

Les deux s'approchèrent des deux fillettes s'échangant tasses et petites cuillères et l'installèrent parmis les peluches et les poupées de porcelaines. Marywather les gratifia d'un sourire angelique leurs mettant tout de suite couvert en porcelaine et ours en tissus dans les bras, mais Beth se contanta de détourner le regard en serrant méchament une poupée de chiffon.

- Ne préfériez vous pas un vrai thé et de vrais gâteaux ? Demanda Riff.

- Non. Répondit la cadette des Séfira catégorique avant de se levée et de partir.

- Hé ! Parle pour toi! Répliqua Mary menacant de boudée comme il lui sier si bien. Moi j'en veux !

- Vous en aurais miss ... Mais ais je dit quelque chose de mal?

- Non Riff je ne crois pas. Cette enfant à perdu son frère et nous étions present. C'est de ma faute.

- Monsieur ...

Caïn le fit taire d'un geste, puis se leva pour rentrer. Riff ne le suivit pas et resta avec Maryweather qui continuait de bouder. Il essaya de la convaincre qu'elle devait prendre soin de Beth et qu'elle devait être compréhensive, mais rien y fait elle se contenta de demander du thé et des petits gâteaux.

- Bien je vous les apporte mais veuillez ranger tout cela la nuit tombe et il risque de pleuvoir.

La jeune fille ronchonna, mais s'executa alors que le majordome s'en aller faire bouillir de l'eau. Il croisa le conte affalé sur le sofa sombre tripotant le fou noir avec une expression de profond concentration sur son visage livide. Riff le laissa tranquille et remplit patienment la bouilloir pour le thé.

Lorsqu'il aporta l'anglaise boisson le conte n'avait pas bougé. Le majordome posa une tasse avant de monter le service à thé dans la chambres des filles.

Les pieds sur la table basse en bois précieux, vautré sur la canapé moueleux en cuir noir cain sirotait le liquide dorée. Qu'est ce que tout cela veu dire ? En quoi tout cela profiter il a delihal? Ca n'avait aucun sens et pour Caïn tout dejait avoir un sens, son père avait toujour un but. Il ne se rendit pas compte que Riff assis a ses côtés buvait son thé dans un perplexité quazi semblable.

- Il faut aller voir Lord Fleinming.dit simplement le domestique.

Caïn ne repondit pas encore absorbé par ses reflexions et soudain il se leva alla repossait la pièce sur l'echiquier et annonça qu'ils allaient se rendre chez le susnomé, sans surprendre Riff habitué depuis longtemps au saut d'humeur de son employeur.

Le caleche noir s'arreta devant l'appartement du lord.

Le comte des poisons cogna rapidement le heurtoir de bronze en forme de dragons.Les deux hommes attendirent quelque minutes avant qu'une jeune soubrettes ouvre le porte et annonce leurs noms au maitre de maison. Celui refusa de les resevoirs mais lorsque que Caïn avait quelque chose en tête on ne pouvait le lui refusait.

- Que me voulais vous ?

- Nous aimerions en savoir un peu plus sur votre fils.

Caïn accompagna ce dernier mot d'un signe de ces deux index, intimant a son vis à vis que fils n'était pas le terme aproprié.

- Qu'insinuez vous?

Nous avons fait une petite recherche simple et il s'avere que feu votre femme est décédé peu de temps avant qu'apparaisse votre fils...

- De quel droit ...

- Un homme, et un ami est mort quelque heures seulement aprés l'enlevement de votre fils. Une secte est la dessous et j'ai forte a parié que ces deux histoire sont liés. Alors s'il vous plait messieu dite nous qui est cet enfant.

Lord Fleinming hésita longement tripotant sa moustache avec angoisse. Finalement il invita les deux jeunes hommes à s'asseoir et fit servire un thé. Une fois la domestique partie et une gorgée d'infusion longuement gouté, il commença sont récit.

- En ce temps la j'était dans les pompiers volontaire, c'est ce jour que mes actes me valurent le titre de lord. Il y eut un incendie terrible dans un maison bourgoise du nord de londre, cétait le plus effroyable incendie que je n'ai jamais vu. Nous étions arrivé trop tard, les parents, des medecins, les domestiques et les enfants, tous étaient morts, brulés, carbonisés, c'était horrible. J'avoue que mon estomac n'a pas resité.

Riff s'agita sur son siege. La tête lui tournait. Caïn posa une main rassurante sur le genoux du major d'homme qui attrapa cette main et la serra fort, aussi fort que sa douleur.

- Puis par miracles, nous retrouvames deux enfants vivants. L'un était indemne, les cheveux étrangement blanc. Comme les votre, c'est étonnant.

Riff serra plus fortemment encore le main de Caïn, qui commençait seulement à comprendre le trouble de son ami. Fleimming s'amusa de la cohensidance et reprit.

- L'autre était très brulé, il ne resemblé plus a un être humain. Nous l'avons soigné et puis un homme richement vetu au regard mauvais à pris avec lui le premiere enfant et ma donné une forte somme pour que je m'occupe du deuxeime, mais je venais de perdre mon épouse et je n'avais pas envie de m'occupé d'un gamin infirme. Mais il m'a promis de payer tout ce dont j'avais besoin, je n'avais cas le contacter. C'était un certain Delilas... Dehale...

- Dhelilale !S'exclama Caïn.

- Oui voila. Vous le connaissez ?

- Peut être bien. Souffla Caïn pestant interieurement contre son diabolique géniteur. Et ensuite?

- Et bien je l'ai soigné et élevé, un jour... Vous allez me prendre pour un aliené, mais un jour il a réussi a faire bouger des choses. Voyez vous, il est totalement paralizé, il a du developper des capacités autre pour compenser son infirmité. Un don du ciel ce gosse. D'ailleur il adorait jouer aux echecs avec sa nurse. Des qu'il a su faire...ca... il a deplacer les pieces des échiquiers, c'était terrifiant et façinant. Aprés quelque mois il pouvait soulevait des charges énormes, la pauvre en voyez de toute les couleurs.

- Et vous l'avait utilisé pour votre propre profit. Gronda Riff.

- Je l'ai sauvé ! Il me devait bien cela !

- Ce n'est qu'un enfant ! S'emporta le majordome. Qu'en avait vous fait ? A quoi servait cette cuve remplit d'un liquide puant ?

Riff s'était levé écrasant de sa taille monsieur Fleiming, fou de rage. Le comte tirait sur la manche de son ami pour le calmé en vain.

- Riff que vous arrive t il, vous obliez la bien séance. Mon ami !

Ces derniers mots interpellaire le grand homme aux cheveux blancs qui s'excusa et se rassit calmement.

- Je vous prirez de finir votre thé et de sortir.

- Avant, repondez à la derniere question que vous a posez mon compagnon.

- Comme je vous l'ai dit précedement, c'était un grand brulé. Ses plaies non jamais totalement guerient, et pour le soulagé nous le plongions dans un liquide spéciale de ma conseption.C'est ce que vous avez vu.

Le lord se leva calmement et designa la porte de sortit.

- Maintenant ayez l'obligeance de quitter mon domicile, vous n'étiez pas les bienvenues.

Les deux hommes ce levèrent et ce dirigèrent vers cette sortit suivit de prés par monsieur Fleiming, comme s'il avait peur que ces hôtes improvisé ne s'incrustent dans la moquette.

- Avant que nous partions, j'aimerai vous dire que ce que vous avez était atroce, mais ceux qui on enlevé votre soit disant filssont pires que des monstres. Ils vous on manipulé toute ces années, méfiez vous desormais, vous ne leurs êtes plus utiles, votre vie et peut être en dangers.

La voix de Caïn était douce et son petit sourire narquois donnait l'impression qu'il se delecter de la peur qui aimanait des cet homme. Celui devint rouge de fureur et ouvrit la porte avec violent puis poussa les deux jeunes gens dehors en jurant et les traitant de tout les noms qu'il connaissait. La porte claqua.

- Riff, je suis désolé de tout cela. Souffla Caïn , prenant ls bras de son ami.

- Non, my Lord, au contraire. Désormais je ne suis plus seul.

Le comte se mis sur la pointe des pieds et pris la joue de son majordomes pour qu'il se raproche de lui. Alors il posa ses levres sur ces peau blanches et souffla ensuite.

- Allons, tu n'as jamais était seul. N'est il pas?

- Oui, my lord, je suis désolé.

Riff se baissa un peu plus posa lentement sa tête sur l'épaule de son supérieur. Le prince des poisons passa ses bras malingre autour des larges épaules du domestique et carressa ses cheveux blancs et soudain les genoux de Riff s'effondrairent et les larmes coulairent le long des joues et du costume de Caïn.

La devant le palier d'un lord de pacotille le pilier soutenant toute la vie de Caïn Hargreave s'écroula.

A suivre ...