Taku

Titre : Watashi no Hikari – Chapitre 4

Auteur : Taku

Genre : action/aventure, romance, yaoi

Base : Yu-Gi-Oh !

Note : Cette histoire est dédiée à ma petite Thémis ! Bonjour à toi et gros bisousss ! (Même si on se voit presque plus :'( )

Sarya13 : Ben, « Watashi no Hikari » veut dire « Ma Lumière » et « Mou Hitori no Boku » signifie « Mon Autre Moi » ! Et la suite ariiiiive ! lol

Fushicho : Vi, vi ! Tant fait pas, elle vient !

Golden Sun 17 : lol ! Oui, c'est vrai qu'il y a beaucoup de question mais je vais essayé de répondre sans trop dévoiler l'histoire ! Donc « Watashi no Hikari » signifie « Ma Lumière ». Yami semble être une personne à qui il ne faut pas avoir confiance, d'APRÈS Mokuba, bien entendu. Et tu sauras dans ce chap, comment a t'il pu savoir que Yugi est la lumière de Yami. Mokuba, un petit faible pour Yugi ? Héhé ! Là, je dirais rien !

Syt the Evil Angel : Merci, bon courage à toi aussi ! (ps : QUOI ? Atemu est le père de Yugi ? tombe dans les vapes)

Alexia : Ca, ta raison ! C'est la GRANDE question de cette fic : Yugi se tournera vers Seto ou vers Yami ? Et, comme tu avait dit, il y aura des complications amoureuses, mais entre qui et qui ? L'histoire nous le dira…

Thémis/Ambre : MA PUPUCE D'AMOURRRRR ! Voilà un autre chap pour toi, ma grande ! Vi, vi ! Mes fics sont toujours yaoi, mais je préfère garder mes couples secrets car si je te le dis, ça va gâcher tout le suspense de l'histoire ! Gomen !

4rine : Je suis dans tes favoris ? Merci, merci ! J'te fais de gros bisous !

Sogna : Elle arrive, elle vient ! lol

Thealie : Gna ? Qu'est ce que tu ne comprends pas ? Je peux t'expliquer le chapitre si tu as du mal à me suivre, ça ne me dérange pas !

Note : D'autres illustrations vont bientôt arriver pour cette fic, et je précise, dans mon profil, qu'ils ne sont pas à moi, malheureusement !

Watashi no Hikari

1ere Partie

Chapitre 4 : Kaïba, le garçon de glace

Mokuba court dans un des nombreux couloirs du manoir. Il stoppe, subitement, sa course à une grande porte en chêne vernie et décorée avec des papiers d'or. Avec un énorme sourire, il tape à la porte et sans attendre, il entre. Il est, dorénavant, dans une salle qui est sombre à cause des rideaux tirés. Elle n'est éclairée que par une lanterne sur un bureau occupé. De nombreux fils électriques d'ordinateur sont répandus sur la moquette et sur le bureau. Tournant le dos au jeune garçon, un jeune homme pianote toujours son ordinateur, assis confortablement à son vaste bureau. Il n'avait pas levé le regard vers Mokuba quand ce dernier était entré. Le petit garçon s'approche, doucement, vers son grand frère, toujours occupé.

« Seto, je dois te parler… »

« Je n'ai pas le temps, Mokuba ! coupe Seto. Reviens plus tard ! »

Mokuba reste près de lui : il a l'habitude que son frère a un comportement agressif, mais il n'arrête pas de pianoter cet ordinateur depuis…

« Tu travailles toujours sur ta défaite, Seto ? » demande, prudemment, Mokuba.

Seto arrête ses activités et met sa tête entre ses mains.

« Je… je ne comprends pas… Comment a-t-il fait pour me battre ? J'avais toutes les chances de le battre et j'ai échoué… Pourquoi ? »

« Parce qu'il recherche sa lumière, et rien ne lui fera détourner de sa route… »

Seto regarde son petit frère, légèrement surpris. Il rie légèrement.

« Ah ah ! Sa lumière ? Il ne sait même pas à quoi elle ressemble ! Comment peut-il la trouver ? »

« Oui, c'est vrai ! Il nous l'avait dit, juste après notre défaite, mais il avait ajouté qu'il reconnaissait sa lumière au premier regard… »

« Hum ! » fait Kaïba, ne croyant pas aux mots que son rival avait dit ce jour-là.

« Et je pense que c'est pareille pour nous… Nous pouvons reconnaître sa lumière au premier coup d'œil… Tout notre être nous le fait sentir… »

« Mais… qu'est-ce que tu racontes, Mokuba ? »

Mokuba fait un énorme sourire joyeux, un sourire qu'on n'avait plus vu depuis longtemps.

« J'ai trouvé la lumière… »

Seto écarquille les yeux de stupeur.

Y.Y.Y.Y

« Attends-moi, Seto ! »

Mokuba suit tant bien que mal son frère qui se précipite vers sa chambre. A l'instant même que Mokuba avait dit où se trouve la lumière, Seto s'était levé comme un diable et avait couru vers la chambre de Mokuba, qui se trouve à l'autre bout du manoir. Mais, à ce moment précis, ils ont fait près du trois quart du chemin.

« Mais attends ! Mais att… »

Mokuba heurte son frère en plein fouet, sans que ce dernier ne bouge d'un pouce. L'enfant se tient le nez douloureux, légèrement en colère.

« Mais pourquoi tu t'es arrêté comme ça ? »

« Tais-toi, Mokuba, et écoute plutôt ! »

Légèrement surpris, Mokuba tend l'oreille et parvient à entendre quelque chose : une chanson. Une belle et mystérieuse chanson qui n'a pas de paroles, juste des sonorités. On peut entendre très bien, mais Mokuba était trop occupé à suivre son frère qu'il n'avait pas fait attention… Mais… quelle belle voix… elle envoûte l'âme et charme les cœurs…

« Quelle belle voix… » fait Seto, surpris d'entendre cela dans son manoir. « Est-ce un ange qui chante cette mélodie… ? »

Cela provient de la chambre de Mokuba. Les frères Kaïba s'approchent doucement de la porte. Instinctivement, Mokuba tient le bas de la chemise de son frère. Ce dernier pose la main sur la poignet de la porte puis ouvrit, lentement et discrètement.

Un petit adolescent est assis près de la fenêtre grande ouverte, chantant sa mélodie. Sa chevelure tricolore danse avec le doux vent du printemps. Des oiseaux sont posés sur le rebord de la fenêtre et sur ses épaules, écoutant sa douce chanson. Il a l'air si heureux en compagnie des animaux. Les rayons du soleil accentuent la couleur rubis de ses yeux et la pâleur de son visage. Les rideaux jaunes se balancent grâce au vent, faisant une allusion à des ailes sur le dos du petit adolescent. Seto et Mokuba sont émerveillés par ce spectacle rare et beau.

« Un ange… » murmure Seto.

Mais ce mot est plus bruyant que Seto croyait. Le petit adolescent arrête, soudainement, sa chanson et tourne la tête vers les frères. En les voyant, il se lève, subitement, faisant fuir ainsi les oiseaux. Une grosse couleur rouge gagne ses joues.

« Ah….ah… vous êtes là… ? » bégaye le petit adolescent, tripotant ses doigts, signe de timidité.

Mokuba secoue sa tête pour partir cet étrange souvenir merveilleux, puis il se précipite vers le petit adolescent.

« Yugi ! s'exclame Mokuba, un grand sourire au lèvres. Comme tu chantes bien ! »

« Ah… euh… merci ! » répond Yugi, encore plus rouge qu'avant. Puis il lève la tête vers un Kaïba, immobile. « Euh… b'jour… »

Seto cligne des yeux en s'apercevant que cet ange lui parlait. Il s'approche donc et lui fait un tout petit sourire.

« Bonjour. »

« Il s'appelle Yugi ! s'exclame Mokuba, prenant la main de Yugi. Je l'ai trouvé dans une ruelle ! »

« Ah, et qu'est-ce que tu faisais dans un ruelle ? » dit Seto, en fronçant les sourcils, à son inconscient petit frère.

« Ben, je me suis promené comme d'habitude et j'ai vu une petite lumière dorée au fond d'une ruelle ! Comme je suis très curieux, je suis allé là-bas pour voir ce que c'était ! Et j'ai trouvé Yugi par terre, le pauvre ! »

« Tu étais par terre ? demande Seto à Yugi, surpris. Comment ? »

« Je… je ne sais pas… je… je suis amnésique… » ment Yugi.

« Oh ! Et tu as quel âge ? Le même âge que mon frère sans doute. »

Yugi fronce les sourcils, vexé.

« Non, j'ai 15 ans ! »

Les frères Kaïba sont très surpris : Yugi fait très jeune pour son âge, mais c'est ce qui fait tout son charme.

« Oooooh ! fait Mokuba. T'as le même âge que mon frère alors ? »

« Ah ? Ton frère a 15 ans aussi ? »

« Viiiii ! »

« Yugi, sais-tu que quelqu'un te cherche dehors ? » demande Seto, avec un air, étrangement, sérieux.

Yugi le regarde pendant un bref moment et baisse la tête, rouge. Il sait que Yami le cherche mais, normalement, il doit être amnésique. Il devait jouer la comédie, même s'il déteste mentit. Prenant son courage à deux mains, il regarde Seto, les yeux rubis un peu fuyant.

« Ben, non ! Je ne sais plus rien… Qui est-ce qui me cherche ? »

Seto hausse les épaules.

« C'est pas important… »

Yugi écarquille les yeux : pourquoi Seto ne lui a pas répondu. Qu'a-t-il en tête ?

« Dis, dis Seto, dit Mokuba, joyeux, prenant le bras de Yugi, il peut vivre avec nous ? »

« Non, Mokuba, dit précipitamment Yugi, rouge de confusion. Je ne vais pas vous importuner ! »

« Mais tu vas vivre où si tu ne veux pas ? »

« Ben, je ne sais pas… euh… A l'hôtel ! Mince, je n'ai pas d'argent… euh… ben… »

Seto regarde, attentivement, Yugi qui s'embrouille tout seul pour trouver une réponse. Ce garçon ressemble à son rival mais en même temps, il est l'opposé de son double ténébreux. Seto fait un sourire discret : il a la chose la plus importante de son rival, il avait dépassé ce dernier. Et puis, pourquoi rendre Yugi à son double alors qu'il pouvait très bien le protéger lui-même ! Il doit le protéger, car Yami ne serait jamais capable de protéger qui que ce soit ! Et puis, dorénavant, Yugi est SON ange, SA lumière ! Ce n'est plus celle de Yami ! Seto se surprend lui-même de penser comme ça… Mais il faut dire, Yugi est mignon et il semble tellement fragile qu'on croit qu'il va se briser à la moindre attaque. Mokuba semble aussi attaché à Yugi et cela se voit ! Il n'a pas arrêté de tenir soit sa main, soit son bras. Seto pense que son petit frère a la même idée que lui : garder Yugi loin de son double. Les Kaïba sont très possessifs, c'est leur plus gros défaut. Seto fait un autre sourire aussi discret que le premier : Mokuba avait raison, on sent quand c'est bien la lumière recherchée qui se trouve devant nous ! On le sent au plus profond de notre être ! Et puis, il faut dire la vérité, Seto commence déjà à s'attacher au petit ange aux yeux rubis.

« Yugi, dit Seto, doucement, reste près de nous ! »

« Mais… »

« On a une belle chambre qui t'est destiné. Et puis où iras-tu si tu refuses ? Tu dormiras comme un mendiant sur le trottoir, et je refuse, catégoriquement, cela. »

Yugi écarquille les yeux, ainsi que Mokuba. Le petit adolescent verse, malgré lui des larmes mais c'est des larmes de joie. Il n'est pas du tout habitué à une chaleur humaine pareille, et ça lui fait tellement plaisir. Par contre, les frères Kaïba sont paniqués à voir Yugi pleurer.

« Pourquoi tu pleures, Yugi ? » demande Mokuba.

« M… merci… Je… je suis… tellement heureux… »

Yugi sent une main se posée sur sa tête et caressée ses cheveux : c'est Seto.

« Ne pleure pas… » dit simplement Seto, avec un petit sourire.

Yugi sourit à son tour : un grand sourire d'une personne heureuse.

A suivre…

REVIEWS, please! taku. faites pas attention au fautes d'orthographes, je ne me suis pas relue ! ''