Salut à tous ! :)

Quelques mots sur cette fiction : Les étoiles filantes sont les larmes du ciel. Du moins c'est ce que disent toutes les histoires. Alors comment expliquer que l'une d'elle ait rendu le sourire à une petite fille ? L'espoir que lui apporta cette rencontre changea radicalement son destin et celui de toute une nation. – Clexa –

Les personnages de la série The 100 ne m'appartiennent pas, tout comme les musiques que je peux utiliser dans l'histoire.

Je remercie tout particulièrement MaraCapucin d'avoir accepté d'être ma bêta et de relire mes nombreuses fictions pour que la lecture vous soit plus agréable, mine de rien c'est beaucoup de travail.

Je vous souhaite une bonne lecture et je vous retrouve en bas ! :)


Étoile filante

Chapitre n°10 - Petit Poucet

Lost and insecure, you found me, you found me

Lying on the floor, surrounded, surrounded

Why'd you have to wait ?

Where were you ? Where were you ?

Just a little late.

You found me, you found me.

The Fray – You Found Me

# Raven #

Je me suis éloignée du campement. J'ai du mal à assimiler les reproches silencieux de Clarke. Evidemment, je sais qu'elle a raison. Je n'aurai pas dû mettre ma vie en danger, mais qu'est-ce que j'aurai pu faire d'autre ?

Les regarder s'entre-tuer ? Hors de question ! Je me suis promise de ne plus jamais être spectatrice de violence quelle qu'elle soit, comme de ne plus la subir. J'en suis tout simplement incapable après ce que j'ai vécu dans le passé.

J'inspire profondément afin d'enfouir profondément les souvenirs qui tentent de se réanimer. Je sors une feuille de papier de ma poche. Elle est déjà pliée en deux. Je la lisse parfaitement avant de commencer à former un origami qui représente un corbeau, mon préféré. De toute façon, je forme essentiellement des oiseaux. Le pliage calme mes nerfs et me permet de reprendre le contrôle sur mes émotions.

Je viens de finir mon troisième origami que je coince entre deux pierres quand je retrouve enfin mon calme. Je vais pouvoir retourner avec les autres sans avoir la sensation d'être au bord de l'implosion. Le tout, c'est de savoir si j'en ai réellement envie. J'ai tendance à m'isoler, ce n'est pas nouveau. Ce n'est pas pour rien que j'ai toujours le nez dans un nouveau projet. De cette manière, je mets les autres à distance.

Il y a peu de personnes qui s'accrochent assez longtemps et qui me paraissent assez importantes pour que je m'y attache. Je n'aime pas m'exposer et hormis Clarke, tout ce qui se rapproche d'une relation est pour moi superficiel. Je fais semblant. Ce n'est pas difficile, c'est le reste qu'il l'est, comprendre et s'adapter aux émotions des autres est un vrai calvaire.

Comprendre et s'adapter est fastidieux, trouver quelqu'un d'honnête est quasiment une mission impossible, à ce stade autant essayé de compter tous les flocons de neige pendant une tempête d'hiver. Non, le plus sûr c'est de se concentrer sur un seul, en connaître par cœur toute sa splendeur. Pourquoi s'embêter avec les autres ?

- Je suis fatiguée, je souffle.

Ce n'est pas un problème de sommeil, enfin pas seulement mais un constat de mon état général. Sur l'Arche, il faut constamment faire attention à ce que l'on dit ou fait. La moindre petite erreur se solde par une condamnation à mort. Je relâche petit à petit ma vigilance ce qui révèle l'énergie que je devais dépenser afin d'être tout le temps en alerte. Je crois que même si je dormais des jours durant, je ne pourrais rien faire pour rattraper toute cette fatigue accumulée. Et je ne parle même pas du stress que toute cette vigilance a engendré.

Je me lève et fais quelques pas vers le campement avant de m'arrêter net. Je décide finalement de retourner vers le point d'eau. J'en ignore la raison mais là-bas, je me sens particulièrement en sécurité. C'est peut-être le cadre qui me rassure ou alors, l'idée folle de pouvoir revoir cette femme qui est apparu les permiers jour, tel un mirage.

Au stade où j'en suis, je pourrais presque classer mon comportement dans la case de l'obsessionnel. C'est fou quand on y pense… je ne ressens pas ce genre de chose pour les humains. Si encore c'était une machine hyper sophistiqué, jamais vu, je comprendrais. Mais là, je n'ai aucune explication logique.

Une simple et bête fascination.

Je m'installe au bord de l'eau, retire mes chaussures et trempe mes pieds avec sur les lèvres une fin sourire. C'est tellement agréable. C'est une sensation vraiment nouvelle. Je me souviens encore parfaitement de ce que j'ai pu ressentir après plusieurs jours de privation de ce liquide vital. L'eau était sur l'Arche le bien le plus précieux après l'air alors qu'ici, il y en a à foison.

J'envie véritablement les natifs qui ont toujours vécu avec cette richesse.

Je n'arrive même pas à imaginer à quoi une vie sans rationnement peut ressembler. Enfin, je n'y parvenais pas avant. Maintenant que je peux vivre avec cette grande étendue d'eau qui semble s'étirer jusqu'à l'infini, je ne compte plus machinalement le nombre de gorgées que je peux avaler dans la journée. Je suis attristée en pensant que des centaines de personnes sont encore obligés de vivre ainsi sur l'Arche, c'est pour cette raison que je comprends Clarke qui fera tout son possible pour qu'ils puissent nous rejoindre.

Et en même temps… je suis terrifiée.

Je soupire en me penchant assez pour toucher la surface fraîche du bout des doigts. Quand je relève assez les yeux pour observer mon reflet, j'écarquille les yeux de terreur. Une ombre se dresse derrière moi. Je n'ai pas le temps de réagir qu'on me force à me redresser, bloquant mes bras dans mon dos avec un lien. Si je cherche d'abord à me débattre, je cesse très vite tout mouvement. D'abord parce que je suis déconcertée par la pénombre et la chaleur qui s'abat sur moi quand un tissu opaque est enfilé violemment sur ma tête. Ensuite parce que je sens parfaitement les contours d'une arme placée pile dans le bas de mon dos.

Quand on me force à avancer, je ne fais ou ne dis rien pour protester.

D'ordinaire, je serai déjà en train de chercher une solution pour me sortir de cette situation. Mais à cet instant précis, je n'ai aucune idée. Rien ne vient à part : placer un pied devant l'autre sans trébucher de préférence et ne rien faire qui pourrait mettre ma vie en danger.

Je respire difficilement sous le sac que j'ai sur la tête. L'air est chaud presque douloureux à inspirer. J'ai aussi du mal à suivre le rythme effréné que mes kidnappeurs m'imposent. Je respire trop vite. Je vais m'épuiser. Pourtant, je sais parfaitement comment rationner mon air et je suis endurante mais pas aujourd'hui. Non. Pas aujourd'hui.

Un geste un peu plus violent me force à rejoindre le sol. Si mes mains étaient libres, j'aurais pu me rattraper mais je tombe sur le côté puis en arrière et fini sur le dos, les coudes écorchés, la respiration complètement coupée. Je parviens à prendre une première inspiration digne de ce nom et je me force à trouver une solution. Je ne peux pas abandonner aussi rapidement. Je suis certes perdue mais pas démunie. Je me redresse, grimace, j'ai mal partout.

J'essaye de retrouver assez d'aisance pour atteindre l'une de mes poches. J'ai forcément quelque chose à portée de main qui pourrait m'aider à m'en sortir. Je me contorsionne non sans mal, je glisse mes doigts dans l'ouverture gauche de ma poche, rien d'autre que du papier. Je jure entre mes dents. Mais je ne perds pas plus de temps et passe à droite. Quand je trouve finalement un tournevis, je jubile. Je vais enfin pouvoir concrètement essayer de m'en sortir.

Étant donné la situation, ma dextérité n'est pas trop mauvaise. Je parviens après un certain temps et sans trop gesticuler pour ne pas me faire remarquer à glisser le plat de l'outil entre deux pans de la corde. J'entends des chuchotements mais quelque chose rend leurs voix imperceptibles donc même en restant attentive, je ne parviens pas à comprendre la situation et les raisons qui ont poussé ces personnes à me traiter de la sorte.

Je continue de m'activer sans aucune garantie que ce que je suis entrain d'accomplir puisse réellement être utile. Mais c'est toujours mieux que d'abandonner bêtement. Alors, je m'acharne. Je retiens des gémissements de douleur quand le tournevis glisse un peu trop loin et entre en collision avec mon avant bras gauche. Je perçois des petites gouttes de sang perler sur ma peau et s'écouler jusqu'au bout de mes doigts.

J'arrête tout mouvement quand je remarque que quelqu'un s'approche. Je suis de nouveau surprise par le pas lourd de mes assaillants. Jusqu'ici, les natifs m'ont plus que surpris sur leur discrétion. Je sais grâce à Clarke qu'ils sont plusieurs à nous observer en permanence, ordre de Lexa. Pourtant, je n'ai jamais repéré aucun d'eux.

Avant aujourd'hui, hormis Lexa et cette femme que je n'ai pu qu'entrapercevoir, je dois dire que je doutais légèrement de la véracité de leur existence. Après tout, je suis avant tout une scientifique. J'aime percevoir les choses pour tenter de les comprendre. Mais bon, je dois avouer qu'une arme c'est plutôt convaincant comme preuve.

Je suis violemment saisi par les pans de ma veste. Je suis remis debout tellement vite que j'en lâche presque mon outil. Je peine à trouver le sol. Je bats des pieds à plusieurs reprises avant d'enfin être capable de me tenir debout. J'étouffe un gémissement quand ma peau nue s'égratigne. Je place le tournevis de tel façon à ce qu'il ne soit pas visible pour ceux qui m'entourent et j'avance calmement, en espérant un autre arrêt. Comme je ne vois rien, je ne peux pas continuer de tenter de me libérer.

C'est trop dangereux, si je ne les distingue pas, la réciproque n'est pas vrai.

Nous nous arrêtons de nouveau mais je comprends que cette pause sera de courte durée, personne ne m'a forcé à me mettre à terre. A contre cœur, je range mon outil. La prise que j'effectue sur lui devient douloureuse. En le replaçant, je sens au moins un origami tomber de ma poche et ça fait tilt. Je ne peux peut-être pas me sortir de cette situation merdique seule mais il y aura peut-être quelqu'un d'attentif qui pourrait me retrouver et m'aider.

Alors quand nous recommençons à marcher peu de temps après cette révélation, je sème derrière moi des bouts de feuilles pliés en forme d'oiseaux, tel un Petit Poucet particulièrement consciencieux.

Je suis encore malmené un moment avant d'être contraint de nouveau à m'installer à même le sol. Cette fois, j'ai quelque chose de dur dans le dos, peut-être un tronc d'arbre. Je ne suis sûre de rien. Je prends le temps de retrouver mes esprits pour tenter à nouveau de m'échapper. Je suis épuisée, par la douleur mais aussi par le rythme que m'ont imposé mes tortionnaires. Mes mains tremblent légèrement sans que je ne parvienne à en reprendre le contrôle.

Je suis prête à reprendre ma tentative désespérée pour m'échapper quand je perçois des hurlements. Je tressaille. Je préfère qu'ils évitent de retourner leur colère contre moi. Je n'entends que des bribes de leur conversation, encore une fois je ne comprends pas grand-chose mais ce qu'il en ressort c'est qu'ils vont manquer de temps.

S'ils veulent déguerpir en me laissant de côté, je suis pour à 100% mais de préférence, je préférerai qu'ils ne me laissent pas saucissonner !

Ou alors plan B, je peux toujours me lever et partir le plus vite possible en courant en priant pour ne pas me prendre un arbre en pleine tête ou pire une balle dans le dos.

Les idées se bousculent à mille à l'heure mais je ne trouve rien de vraiment satisfaisant. Je suis sur le point de mettre un nouveau plan brinquebalant en place quand je sens une main se placer sur mon épaule. Je suis sur le point de hurler mais au dernier moment, une autre main se place approximativement sur ma bouche. Mon cœur bat à tout rompre.

Cette fois, c'est le néant total. Je ne sais plus du tout quoi faire.

Je m'attends à ce que ma situation s'aggrave à tout moment. Pourtant, je parviens encore à être surprise quand je sens la cagoule s'éloigner de mon visage avec une grande douceur. Je m'apprête à être ébloui par la lumière incandescente du soleil. Mais la nuit est déjà tombée. Je prends une forte et grande inspiration. Qu'il est bon de respirer normalement. Je tourne la tête vers la personne qui vient de me rendre cette liberté. Mais je ne distingue pas son visage puisque celle-ci est déjà dans mon dos pour délier mes mains.

- Qui êtes-vous ?

Ma voix porte à peine pourtant, celui ou celle qui est venu à mon secours tressaille légèrement et agrippe assez fortement mon poignet. Le geste pourrait être désagréable et pourtant, il électrise tout mon corps. Je ne connais pas ce genre de phénomène. Mais je comprends au moins une chose, je dois rester silencieuse. Mon sauveur se redresse assez pour que je puisse l'observer pourtant, je n'obtiens aucun détail qui me permettrait de le ou la décrire. C'est frustrant !

Je meurs d'envie de demander quelle est la suite du plan. Mais le silence règne toujours, du moins entre nous deux parce que mes kidnappeurs, eux, ne sont pas avares en mots. Je plisse les yeux pour mieux les distinguer et fronce les sourcils quand leurs silhouettes finissent par se dessiner. Ils sont très étranges, pour ne pas dire difformes et puis c'est la révélation : ils portent des tenues étanches de survie !

Je ne comprends pas. L'air ne serait-il donc pas respirable pour tout le monde sur Terre ? Est-ce que subitement, mes poumons vont se mettre à brûler de l'intérieur ? Non… ce serait stupide. Je ne suis pas médecin et pourtant, je sais au moins ça : si la Terre avait dû nous tuer, elle l'aurait déjà fait.

Quand la personne à côté de moi se redresse, je m'apprête à en faire de même mais avant que je ne pense à me lever, une de ses mains se pose avec force sur mon épaule m'empêchant de le ou la suivre. Mais je ne veux pas rester là moi ! Je pense que mon sauveur comprend ce qui me tracasse parce que si je l'ai senti déterminé quand il s'est levé, là il hésite. Je me sens soulagée. Il, elle… ne dit-on pas que le masculin l'emporte toujours sur le féminin ? Cette règle est stupide mais pour m'empêcher de devenir chèvre, on va dire il pour le moment, s'accroupit devant moi. Je l'entends parfaitement soupirer par le nez avant de tendre sa main gauche vers moi.

Je ne comprends pas ce qu'il attend de moi. La seule chose qui me vient c'est à mon tour tendre mon bras vers lui. Mon geste est difficile, j'ai vraiment mal partout. Je me force à ne pas grimacer quand il vient saisir avec une grand douce le dos de ma main qu'il pose dans sa paume. Mon cœur manque un battement avant de se la jouer grand huit. Non mais c'est quoi cette réaction ? Et encore, si j'avais su ce qui va suivre… je vais finir par crever à cause d'une stupide crise cardiaque si ça continue.

Il dépose d'un geste lent, presque timide et teinté d'une grande délicatesse un de mes origamis dans la paume de ma propre main. Il ne me faut pas longtemps pour décréter que son geste ne peut vouloir dire qu'une chose : fais-moi confiance. Je n'ai pas le temps d'aller plus loin dans ma réflexion qu'à nouveau il se remet sur ses pieds, un battement de cils et il disparaît.

Qu'est-ce que… pourquoi je ressens cette étrange sensation de familiarité, presque de déjà-vu ?

Comme je n'ai rien d'autre à observer ou plutôt que de me concentrer sur mes assaillants me fait complètement flipper, j'accorde toute mon attention à la grue. J'ai un moment de flottement quand je la reconnais.

Impossible.

Ce serait vraiment cette femme ? Celle que j'ai vu près du point d'eau lors des premiers jours ? Elle était réelle ?

Je la cherche pour tenter d'assimiler cette image à celle que je connais déjà. Je veux me redresser mais je me souviens de la pression de sa main sur mon épaule. Elle voulait que je sois discrète. Alors, je vais l'être.

Du moins, c'est la décision que je prends avant… avant d'entendre le premier cri. Avant... avant de voir un homme être propulsé vers moi. Avant… avant de voir le sang sur sa tenue orange. Avant… avant de voir une marre d'un rouge effrayant et pourtant déjà trop familier se ruer vers moi. Avant… bien avant d'assister au dernier souffle de vie de cet inconnu.

Il souffre et ce n'est pas à cause de l'entaille certes profonde mais inoffensive à son épaule. Il hurle de douleur. Je connais ce genre de mort. C'est l'air qu'il respire qui le tue, lentement, perfidement… c'est atroce.

Je ne peux pas assister à ce genre de chose plus jamais. Je perds le contrôle. Je ne suis plus maître de mon propre corps quand je me redresse vivement. Je reste d'abord complètement figé quand j'assiste à une deuxième exécution. Cette femme… cette femme est entrain de les tuer. Pourquoi ? Les larmes montent. J'ai envie de manifester mon désaccord, de hurler plus fort que les mourants pour qu'elle arrête mais tout ce que je peux faire c'est : m'enfuir.

Je cours le plus vite et le plus loin possible. Mon état de panique me fait perdre le contrôle de ma respiration et réduit mon champ de vision. Je me cogne un peu près dans tout ce qui se dresse sur mon chemin pourtant, je continue parce que je ne peux pas revivre ce genre de scène. C'est au-dessus de mes forces. Plus jamais ! Je ne veux plus jamais assister à la mort d'une personne.

Je ne peux pas le supporter… je me sens trop impuissante pour ne pas dire insignifiante.

Je prends un coup un peu plus violent dans le flanc gauche, juste en dessous des côtés. J'y plaque ma main et quand je l'emmène dans mon champ de vision, je reste bouche bée. Je saigne. J'ai mal. Je m'arrête brusquement et me maintiens debout grâce au tronc d'un arbre. Je suis complètement essoufflé et chacune des inspirations et des expirations que je prends fait monter les maux de mon corps. C'est horrible.

Puis, je réalise que je ne me suis pas assez éloignée. J'entends toujours les gémissements d'agonie et les cris. Je plaque mes deux mains sur mes oreilles et je ferme les yeux. Je me répète les mots que Clarke murmure à mon oreille à chaque fois que je fais une crise de panique mais rien n'y fait. Je ventile d'autant plus, souffrant d'avantage et je fini par m'écrouler.

- Es una pesadilla, es una pesadilla, es una pesadilla… me despertaré.


Voilà pour le nouveau chapitre de cette fiction. J'espère qu'il vous a inspiré et qu'il vous a plu ! Des suppositions pour la suite ? J'ai hâte de connaître vos réactions sur ce second chapitre axé sur Raven. Comme vous l'aurez certainement deviné, elle était sur le point d'entrer dans la Montagne mais heureusement Anya était là. Bon… Le côté tuerie a réveillé des peurs très ancrées chez Raven mais tout va bien se passer. Enfin… normalement.

Les Notes :

Note n°22 : The Fray est un groupe de rock américain, originaire de Denver. Il est formé en 2002 par Isaac Slade (voix et piano) et Joe King (guitare et voix). Le groupe est complété par la suite avec Ben Wysocki (batterie) et Dave Welsh (guitare). Le groupe produit leur premier album en septembre 2005. Puis en mars 2009, le groupe sort un nouvel album intitulé The Fray. Ce dernier est vendu à plus de 300 000 exemplaires avec le single You Found Me qui devient l'un de leurs singles les plus vendus. Vous avez peut-être entendu une autre de leur How To Save a Life chanson très connue à plusieurs reprises dans Grey's Anatomy.

Note n°23 : Le Petit Poucet est un conte appartenant à la tradition orale, retranscrit et transformé par Charles Perrault en France et paru dans Les Contes de ma mère l'Oye, en 1697. Un bûcheron et sa femme n'ont plus de quoi nourrir leurs sept garçons. Un soir, alors que les enfants dorment, les parents se résignent à les perdre dans la forêt. Le Petit Poucet espionne la conversation. Alors il se munit de petits cailloux blancs qu'il laissera tomber un à un derrière afin que lui et ses frères puissent retrouver leur chemin.

Je suis évidemment ouverte à toutes les critiques, qu'elles soient positives ou négatives, à condition que le commentaire soit constructif.

En espérant vous retrouver pour le prochain chapitre !

GeekGirlG