Disclaimer: toujours rien n'est à moi.
Bonjour à tous, vous avez tous remarqué la petite erreur dans le prologue et je suis vraiment désolée. J'ai vérifié sur papier et je n'avais pas vu de faute dessus, j'ai dû le taper automatiquement sur le clavier. Donc je m'en excuse encore et encore!
J'ai quand même été très heureuse de recevoir des reviews, d'autant plus que je n'en attendais pas vraiment.
Réponses aux reviews:
bill: Je suis désolée de m'être tromper. J'ai corriger le chap ne t'inquiète pas.
Hisoka: Je suis heureuse que tuais aiméce premierchapitre. J'ai corrigé l'erreurà propos deCédric. Et je ne sais pas encore avec qui je vais mettreHarry...Si tu as des suggestions, je t'écoute. Et pourquoi t'aime pas le couple harry/Ginny? Moi celui que j'aime pas c'est Harry/Cho.
Missannie: Voilà la suite! Pour les mains en feu, je crois que je vais te laisser le découvrir, sinon où serait l'intrigue? C'est gentil, d'avoir lu et merci.
Sally Makey: Merci d'avoir aimé. J'ai corrigé la faute et merci de me l'avoir signalée. Voilà la suite qui, j'espère, sera à la hauteur de vos espérances!
Encore merci à tous les lecteurs, j'espère que vous allez aimer ce premier chapitre. Juste une petite chose avant de vous laisser lire: si il y a trop de fautes d'orthographe ou autre, j'en suis désolée.
Fay Potter.
Chapitre 1
Une semaine plus tard, la situation de Harry n'avait pas changé d'un pouce malgré le fait qu'il se soit habitué à l'apparition de la lumière régulièrement. Il arrivait même à la contrôler à peu près. Cependant, il attendait toujours l'arrivée de Dumbledore qui à son avis tardait à venir. Son humeur s'était un peu améliorée avec le message de son directeur mais aussi une petite lettre envoyée par son parrain, sirius. La communauté magique ne savait pas encore pour son innocence, il restait donc en cavale. Harry savait pourtant que Dumbledore l'aidait du mieux qu'il pouvait. Harry souhaitait plus que tout rendre une liberté et une nouvelle vie. Étant donné qu'il avait gâché sa vie en prison pour un crime qu'il n'avait jamais commis. Sa lettre avait vraiment fait plaisir. Elle l'avait en quelque sorte apaisé.
'cher Harry,
J'espère que tu vas bien? Je sais, c'était une question stupide! Cette année n'a pas été simple pour toi, j'imagine. Je suis sûr que les choses s'arrangeront bientôt. Ne te culpabilise pas, ce n'était pas de ta faute. Le seul fautif étant Voldemort, tu n'as pas à te torturer l'esprit à cause d'un pareil détraqué mental! Dumbledore m'a dit que tu ne resterai pas longtemps chez les Dursley, je m'en réjoui, ils n'auraient rien fait pour que tu te sentes mieux. J'ai l'impression que nous allons bientôt nous revoir, alors je voulais ajouter que si tu as besoin de te confier à quelqu'un, je suis là. Quoi qu'il en soit, ne laisse pas trop de choses enfouit au fond de toi, parles en à quelqu'un.
Ton parrain Sniffle.
PS: c'est ce que ton père aurait fait dans ta situation.'
Ces mots l'avaient frémir. Le jeune sorcier avait répondu à son parrain quelques mots pour le rassurer de son état. Il ne se sentait pas prêt à se confier plus que ça si tôt. Mais il était d'accord sur le fait que les Dursley ne feraient jamais rien pour l'aider. Cette semaine, l'oncle Vernon avait décidé que la cheminée et la voiture méritaient d'être nettoyé tous les jours. Et à chaque fois qu'il le voyait sans rien faire, il trouvait une autre tâche tout à fait inutile à faire comme nettoyer une deuxième fois les assiettes qu'il avait nettoyer cinq minutes plus tôt ou encore changer la disposition des meubles du salon. Ca aurait pu être hilarant si cela n'arrivait pas toutes les dix minutes.
Harry venait de s'asseoir pour se reposer après avoir lavé toute la cuisine. Vernon se précipita vers lui sans attendre et grogna:
"c'est l'heure du dîner! "
Harry leva les yeux vers lui d'un air las et se redressa sans protester. Pour une fois, qu'il lui demandait quelque chose qu'il aimait bien! Le jeune sorcier aimait beaucoup cuisiner et c'était bien la seule chose qu'ils aimaient aussi en lui.
Après le dîner, il put enfin avoir la paix. A la suite d'une douche rapide, il s'effondra sur son lit et sombra dans un sommeil très profond. Un sommeil plutôt agité…
Une forêt. Il se trouvait dans une forêt. Il faisait nuit noire, une nuit sans lune. Et pourtant, il voyait très bien. Il marcha droit devant lui dans le noir, sans heurter les arbres se trouvant sur son passage. Il avait l'impression d'être suivit. Il commença à courir et par la même occasion s'enfoncer encore plus dans les bois . Il courait à en perdre haleine sans arrêter. Ce n'était pas la peur qui le poussait à agir ainsi. Ce n'était pas non plus la colère. Il sentait que cette présence n'était pas une menace, elle voulait s'amuser et lui aussi. Il s'arrêta et se retourna brusquement avec une rapidité étonnante pour un 'simple humain'. Et face à lui…une…
Harry se réveilla brusquement mais nullement effrayé. Il était intrigué par ce rêve. Maiis pourtant, la fin ne lui revenait pas. Ce n'était pas le rêve qui l'avait réveillé. Il était persuadé qu'il y avait quelqu'un dans la pièce. Il scruta par deux fois sa chambre mais ne vit rien du tout. Il se leva lentement, avec vigilance. Harry fit mine d'aller jusqu'à son bureau. Et tandis qu'une de ses mains prenait sa baguette de sa poche avant, l'autre allait encore de rouleau à rouleau.
La personne, qu'elle soit du côté du bien ou du mal, était juste derrière lui. Il sentait son regard sur sa nuque et entendait sa respiration. Sans prévenir, il pivota sur ses pieds et pointa sa baguette dans le vide, la sentant toucher quelque chose d'invisible.
"Qui que vous soyez, sachez que je n'hésiterai pas à m'en servir si vous m'y obligez!" Prévint il sur un ton grave.
Dans un silence pesant, Harry vit une silhouette bien connue de tout les sorciers se matérialiser devant ses yeux. C'est alors qu'il se rendit compte qu'il venait de menacer le plus grand sorcier du monde. Qu'il tenait encore sa baguette pointer sur le cou du seul sorcier que craignait Voldemort… Albus Dumbledore….
"oups…" (moment de silence très très embarrassant)
Tandis qu'Harry enlevait sa baguette avec un air fautif, Dumbledore, lui, souriait d'un air amusé. On aurait même dit qu'il était ravi.
"Je suis moi aussi content de te revoir Harry!" Dit il d'un air enjoué.
Harry rougit et se confondit en excuses.
"Je suis désolé, je ne… Je croyais que… ennemi je pardon je ne recommencerai plus…je…" Balbutia t il avant de s'arrêter en entendant le rire de son directeur.
Celui ci se calma progressivement, tandis que le jeune homme le regardait sans savoir quoi faire et se sentant encore assez gêné.
"écoute Harry, ce n'est pas grave… au contraire, même!" Dit Dumbledore, une fois calmé, les yeux brillants d'une nouvelle flamme." Cela prouve que tu as des capacités qu'il nous faudra développer pendant quelques temps."
"un entraînement? Où? "
"tu verras Harry" Dit il avec un sourire énigmatique." Prends ta valise et suit moi. "
Il se détourna et se dirigea vers la porte. Harry le suivit, emportant sa lourde valise tant bien que mal, vers la porte d'entrée des Durley.
"oh et Harry…tu peux utiliser de la magie à présent, précisa Dumbledore sans se retourner. "
Harry s'arrêta, surpris des paroles de son directeur.
"Quoi? Mais je ne suis qu'au premier cycle, non? Je n'ai pas le droit d'utiliser ma baguette en dehors de Poudlard sous peine de renvois! "
Le vieil homme se tourna vers lui et le regarda, les yeux pleins de malice.
"Qui a dit que tu devais utiliser ta baguette" Fit il en souriant.
Harry le regarda un instant sans comprendre . La magie sans baguette… Il n'était pas sûr de ce qu'attendait Dumbledore de lui. Faire de la magie sans baguette lui était déjà arrivé mais toujours de façon inattendue et instinctive. Il n'était pas sûr de réussir quelque chose maintenant et sans apprentissage. Mais d'un autre côté, ses chances de gagner contre Voldemort seront faibles avec cet état d'esprit. Il ne faut plus compter que sur soit même et non sur les professeurs. Les cours normaux ne seront pas suffisants pour le battre, il faudra développer ses propres capacités pour y arriver. Et après tout, tout était possible si il avait la volonté nécéssaire pour le faire. Sentant le regard de Dumbledore sur lui, il le va les yeux et croisa son regard.
"Le Ministère ne détecte pas la magie sans bagette?" Demanda Harry, décidé.
"Non, il y a bien peu de personnes capables d'en pratiquer."
Encore une chose à classer dans les bizareries de Harry Potter, pensa le jeune homme las. Puis il commença à fixer sa valise sans cligner. La première tentative ne fut pas concluante. Harry décida de changer de technique et se concentra encore plus. Et peu à peu, il sentit la magie se déplacer en lui, bouillir et s'agiter, prête à sortir. Réprimant un geste brusque, Harry leva lentement la main vers la valise et laissa la magie se libérer en tentant de la limiter au besoin du sortilège. Cela prit une dizaine de minutes mais, murmurant un 'Wingardium Léviosa', le lourd bagage se souleva lentement et se déplaça selon le désir de Harry qui en fut fier. Pour une première fois, ce n'était pas mal. Sans rien dire, n'attendant aucune parole de son directeur, il entreprit de descendre les escaliers, tentant de faire le minimum de bruit. Il ne put donc pas voir Dumbledore sourire de façon étrange et murmurer: "Si tu savais à quel point ce que tu viens de faire est exeptionnel, Harry... Un jour peut être apprendras tu à aimer plus ta personne".
Sortant de la maison, Harry demanda où ils allaient. Mais Dumbledore refusa de le lui dre avant leur arrivée. Dumbledore se dirigea au plus grand étonnement de Harry vers la maison de Mme Figgs. Il le regarda sonner en se demanda quelle était son idée. Quelques instands plus tard, la vieille femme, habillée d'un peignoir rose et de pantoufles en forme de tête de chat, ouvrit sa porte quelque peu endormie. En voyant, ces inattendus invités, elle ouvrit largement la porte et sursauta:
"Albus! Que faites vous ici à cette heure de la nuit?"
"Bonsoir Arabella" Dit Dumbledore. "Nous venons utiliser votre cheminée si vous n'y voyez aucun inconvéniants, bien sûr!"
"Non absolument pas! S'empressa t elle de dire en s'écartant pour les laisser passer.
Ils entrèrent dans la modeste maison dont le mobilier ne laissait vraiment pas paraître que la personne est y habitant faisait partie du monde de la magie. Si les Dursley savait ça, pensa Harry en souriant, ils déménageraient aussitôt. Sans perdre plus de temps, Dumbledore alluma un feu magique et y jeta de la pourdre à cheminette. Et au plus grand étonnement de Harry il jeta un sort dessus au lieu de dire le nom de leur destination:
"Namus"
Il jeta un oeil vers Harry et s'engouffra dans le feu. Voyant son directeur disparaître, Harry se réveillé et l'imita. Il fut prit dans une sorte de tourbillon, avant d'atterrir à genoux dans une autre cheminée. Il n'avait jamais aimé la poudre à cheminette mais alors ça c'était dix fois pire. Le jeune homme sortit de l'âtre en frottant ses genoux endoloris et se mit debout. Enfin, il contempla la pièce où ils se trouvaient. En fait, ils étaient à Poudlard, dans le bureau du directeur. Celui ci, alla jusqu'à une armoire et prit une montre usée et s'approcha d' Harry.
"Ceci est un portoloin. Il nous permettra de nous rendre à destination! Je sais que tu n'aime pas ce moyen de transport mais ne t'inquiète pas il n'arrivera rien" Dit il.
Harry regarda Dumdledore puis l'objet ensorcelé. Le souvenir de cédric n'était que trop présent dans sa tête. Lors de la troisième tâche du Tournoi des Trois Sorciers, Voldemort avait transformé le Trophée du vainqueur en portoloin en s'arrangeant que Harry soit le premier arrivé à lui. C'est ainsi que Cédric et lui se retrouvèrent dans un cimetière en compagnie de mangemorts et de Voldemort lui même. Cédric fut tué tout de suite devant les yeux d'Harry qui avait participer involontairement à la renaissance de Voldemort. Harry ferma les yeux pour ne plus voir Cédric raide mort devant lui. Ses nuits, depuis cet évènement, étaient remplies de cette image en plus de celle de la tête de serpent de Voldemort. Harry, décidé, pris fermement le portoloin et attendit la sensation désagréable que lui procuraient les portoloins.
Au Terrier, l'ambiance était en général chaleureuse malgré les moments tendus où ils pensaient à Harry et aux évènements présents. Tout le monde essayait de profiter des moments de paix restant avant le retour de la guerre. Les jumeaux faisaient des blagues très souvent, pour détendre l'atmosphère ce qui n'empêchait pas leur mère de les gronder. Ces petites disputes faisaient rire toute la maison. Bill, Charly et Mr Weasley étaient presque constamment en mission mais pour Dumbledore qui au contraire du ministère prenait le retour de Voldemore très au sérieux.
Ron et Hermione, qui était au Terrier depuis deux jours, passaient beaucoup de temps ensemble. Ils pouvaient rester pendant plusieurs heures à parler ce qu'ils n'avaient jamais fait avant. Les disputes étaient de moins en moins fréquentes, presque inexistantes. D'autres fois, ils se regardaient droit dans les yeux sans ciller, essayant de deviner les pensée de l'autre. Ron avait peu à peu pris conscience de ses sentiments après avoir analyser la jalousie qui l'avait envahi en voyant Hermione aux bras de Krum. En rentrant chez lui l'été, il resta de nombreuses journées couché sur l'herbe à réfléchir. Personne ne le dérangeait, même pas les jumeaux. Ils croyaient qu'il s'inquiétait de l'état de son meilleur ami. Bien sûr c'était le cas. C'était un des sujets qui le maintenait dans les songes. Le mage le plus puissant et le plus déjanté de la planête était rescussité et un vent de guerre s'apprêtait à faire son apparition dans le monde des sorciers. Mais sans s'en rendre compte, Ron laissait ses pensées dévier vers une jeune fille aux cheveux longs bruns et ébourriffés. Il la revoyait le regarder avec cet air réprobateur qui ressemblait tant à celui de leur professeur de Métamorphose. Et son air sérieux qu'elle s'efforcait de garder tous le temps au plus grand damne de Ron. Ses sourires, ses petites mous, ses colères, ses petites manies adorables... Ron adorait tout en elle. Et maintenant qu'elle était au Terrier, il tentait du mieux qu'il pouvait d'éviter de montrer son amour pour elle. Mais c'était juste juste. Une fois alors qu'elle était en train de lui crier dessus pour une figure trop dangereuse effectué au quiddich, il dut la regarder trop intensément car elle lui demanda pourquoi il la fixait de cette manière. Ron se rappelait très bien de son visage se réchauffer, comme pris en faute mais il se souvenait aussi de la subite rougeur qui avait envahie les joues d'HERMIONE... Depuis ce jour là, il commença à espérer que ses sentiments soient réciproques. Mais alors Ron essaya de s'appliquer pour lui plaire au lieu de l'embêter, ce qu'il faisait si bien d'habitude.
Remarquant ses efforts, Hermione s'étonnait de la volonté de Ron mais ne comprenant pas les motifs. Cependant elle savait une chose au moins: elle l'aimait depuis sa première année, et elle en était sûr et certaine. Ses discutions avec lui lui procuraient un réel bien-être. Car bien qu'il ne le montrait pas très souvent, Ron pouvait être adorable et attentif aux besoins des autres. Ces derniers temps, la jeune fille avait besoin de parler des évènements tragique qui frappaient le monde entier. Et Ron était là pour la prendre dans ses bras et la consoler (en rougissant! ).
Ginny, elle, aimait les voir ainsi: si complices, si désespérement amoureux, si naïfs... Elle avait parfois envie de les secouer et de leur dire que la vie étai courte et qu'il fallait en profiter puisqu'ils s'aimaient. Elle les regardait souvent se taquiner gentiment et les enviait... Son esprit était encore envahie par les images d'un certain sorcier aux yeux verts émeraudes qui la fascinaient tant...
Harry et Dumbledore atterrirent devant une pièce simple, n'ayant qu'une porte et une fenêtre donnant sur l'extérieur. Dumbledore désigna une chaise à Harry de manière à ce qu'il soit confortablement assis pour lui parler. Celui-ci s'exécuta et regarda la petite cabane avec plus d'attention. Celle ci était très simple, néanmoins confortable. Elle ne possédait que quelques meubles mais ceux ci étaient disposés de manières à enjouer la pièce. Une table accompagnée d'une seule chaise trônaient au milieu de la seule pièce de la cabane,un lit se trouvait dans un coin ainsi qu'une petite armoire à ses côtés. Harry pensa à proposer au vieil homme sa chaise mais celui-ci prit la parole au moment où le jeune garçon voulait se lever.
"Je t'ai amené dans cet endroit pour que tu puisses t'entraîner à faire de la magie sans baguette..." Commença Dumbledore. " Mais tu devras le faire seul, sans mon aide car de toute façon elle ne te sera d'aucune utilité" Termina t il en voyant Harry ouvrir la bouche pour l'interrompre.
Harry fut intriguer par ses dernières paroles.
"comment ça?"
"c'est poutant simple Harry!" Fit le vieil homme en riant." La raison pour laquelle je ne peux t'enseigner cette magie est que je ne suis capable de faire que de très banales sorts sans baguette. Et encore, toute ma vie j'ai maintes fois essayé d'en apprendre plus mais cette dicipline n'est pas donnée à n'importe qui."
Le jeune homme était stupéfait. Dumbledore, le plus puissant de tous les sorciers de cette époque ne pouvait pas faire de magie sans baguette! Et il pensait que lui serait capable d'en faire.
"Croyez vous vraiment que je puisses faire quelque chose que vous même n'êtes pas capable d'accomplir correctement?"
"ne te sous-estimes pas Harry" Dit doucement Dumbledore.
"Comment voulez vous que je ne me sous-estimes pas quand on voit mon faible niveau de magie? Je ne pourrais jamais vous dépasser et devenir plus fort que vous! Et même si c'était possible, deux mois ne seront pas suffisant pour réaliser cela!" Fit Harry.
"Nous en reparlerons plus tard, Harry. Pour l'instant, il ne faut pas que tu perde espoir!" Dit le vieil homme en le regardant dans les yeux d'un air grave. "L'amour et l'espoir devront être ton réconfort, ta force. La haine et la colère seront laissé à Voldemort. Rappelle toi, Harry, que tu ne pourras compter sur personne à part toi. Je sais que tu as peur pour tes amis, je sais que tu as peur de les mettre en danger constant (Harry ouvrit la bouche pour protester mais Albus continua)... Ne m'interromps pas s'il te plaît. Tu as peur que tes amis meurent, c'est pour cela que tu veux t'éloigner...mais...Harry, tes amis, eux, ne veulent en aucun cas t'abandonner donc la seule façon d'être à leur côté est de pouvoir les protéger et enfin vivre ta vie. (Il fit une pause et continua) Se sont avec tes pouvoirs que tu devras le vaincre Harry, se sera toi et seulement toi qui pourra le vaincre..." Termina-t-il en soupirant.
Harry resta silencieux et attendit que son directeur, et en quelque sorte, mentor continu.
Si quelqu'un avait regarder par la fenêtre, il aurait vu un bien triste tableau. Un vieil homme semblant parler à un jeune homme assis. Ce jeune homme semblait pendu aux lèvres du viel homme. Celui-ci, tandis qu'il parlait, regardait le jeune homme d'un air triste, semblant penser que la vie n'avait pas épargner le pauvre garçon: une enfance malheureuse passée dans un placard, aucun amour maternelle ou paternel, ni autre d'ailleurs , puis une scolarité qui n'arrangeait rien... les confrontations avec voldemort... N'était-ce pas assez alors pourquoi en rajouter? Mais hélàs, il avait caché la vérité trop longtemps, c'était sa destinée, il en était donc le principal acteur. Il avait le droit de savoir...
Peu après, Albus Dumbledore, ayant fini de dire tous ce qu'il avait à dire, se retira et laissa Harry toujours plongé dans ses pensées, seul...
Voilà, surpris? Non? Si vous n'aimez pas, dîtes le moi. Les chapitres seront de plus en plus long en général. Je mettrai un chapitre ou mercredi ou samedi ou Dimanche.
Bye et à la prochaine.
Fay Potter
