Ma belle tante
Chapitre 2e
On allait bientôt avoir un tournoi d'escrime et je voulais inviter ma tante à venir me voir. Je me douchai, enfilai de nouveaux vêtements, me parfumai, comme à mon habitude et je sortis, prenant mon nouveau CD de Garbage pour le lui faire écouter. Une fois devant chez-elle, je trouvai la porte ouverte et j'entrai.
Il n'y avait personne dans le salon, ni dans la petite cuisine. Je déposai mon CD sur une table basse et me dirigeai vers la chambre, puis ouvris la porte et c'est là que je vis quelque chose qui me cloua sur place. Ma tante Lettice et Fanny étaient allongé à moitié nu sur le lit et des rubans rouges-roses joignaient leurs poignets.
- Je... je... je suis vraiment désolé, je n'aurais pas dû... pardon.
Je sortis immédiatement de la pièce et j'allais partir, quand Fanny arriva derrière moi et me prit par le bras.
- Attends Julien, me dit-elle, ne pars pas.
- Je ne voulais pas vous dérengez, mais je m'en vais...
- Non. ne t'en vas pas, reste.
- Je reste, mais...
Alors que ma main était sur la poignée de la porte, prête à l'ouvrir, elle m'arrêta, tourna la clé et me dit:
- Ne pars pas Julien, s'il-te-plaît.
Au début, je ne voyais pas pourquoi elle me demandait cela, mais je compris quand elle se mit à me caresser le torse et m'observer d'un regard sensuel.
- Non Fanny, je lui dis, arrête...
Mais je ne voulus pas qu'elle s'arrête, cette belle brune aux yeux noisettes m'envoûtait et me faisait chavirer par dessus bord.
- Viens, me dit-elle, viens!
Je la suivis jusque dans la chambre, où ma tante était resté et nous attendait. Fanny ferma la porte derrière elle et se retourna doucement vers moi, puis me retira ma chemise noire et me poussa dans le lit. Les odeurs de l'encens me montaient à la tête et je voyais ces deux femmes, tel que deux vampires, me monter dessus et me caresser le corps. Lettice et Fanny se déshabillèrent et s'embrassèrent charnellement devant moi, pour m'exciter. Je me relevais pour les rejoindre, mais Lettice m'attrapa les poignets et me fit allonger sur le lit. Fanny vint s'asseoir sur moi et me massa le torse à l'aide de ses doigts de fée. Sans me retirer mon pantalon, elle monta plus haut et arriva au niveau de ma tête, quand je compris ce qu'elle voulait. Lettice me lacha les mains et je pris Fanny par la taille et ramenai son bassin vers ma bouche et me mis à lui embrasser le sexe, pour qu'elle se réchauffe un peu, quand elle rejetta la tête par derrière et poussa un léger soupir:
- Haaaah!
Je sortis ma langue et lui effleurai légèrement le contour de son sexe, puis voyant qu'elle en voulait plus, je fis pénétrer ma langue dans son vagin et je la tortillais, jusqu'à ce qu'une substance blanchâtre s'en dégagea. Mes mains sur ses hanches, je la faisais venir vers moi, puis la repoussais et ainsi de suite et elle se laissait manier, alors que Lettice était à ses côtés et lui massait les seins. Ma langue sortit de son vagin et je m'approchai délicatement de son clitoris et le tâtai doucement du bout de ma langue.
- Ouuuhhh! gémit-elle, Julien!
Qu'est-ce que j'aimais la voir ainsi, je jouais d'elle comme d'un instrument de musique où je connaissais par coeur les notes. Lettice posa ses mains sur les miennes et m'aida à maintenir Fanny, car je ne pouvais pas la soutenir tout seul. Je fus plus à l'aise pour lui caresser ce petit organe qui devenait dur et ma langue adorait cela.
- Haaaa ouuii, haaa ouuii, prononcait-elle à mi-voix, Juliennn, Julieennn!
Comme j'aimais qu'on prononce mon nom de cette manière, ça me rendait plus fort et plus sauvage, le poil s'hérissait sur ma peau. C'est moi qui dominais et je faisais d'elle ce que je voulais et elle continuait de gémir, de crier en soulevant son bassin et le rabaissant. Plus elle jouissait, plus ma la langue devenait habile et rapide dans ses mouvements.
- Haaaaahhh, hhhaahhh, hhahh, hhahh, Jjjuliennn! criait-elle à présent et ça me produisait des frissons dans la chair.
Alors que son plaisir aboutissait à la fin, elle se mit à se crisper et son vagin se contracta à plusieurs reprise et elle hurla:
- Jjjulienn arrête, arrête, tu me fais mal, je t'en supplie, arrête. Haaahh, Jjjuliieenn!
Et plus elle me suppliait, plus j'avais envie de l'entendre crier et plus ma langue allait vite. Elle tenta de se retirait, mais je lui enlaçai les bras autour de sa taille et l'obligeai à rester sur place, mais elle n'en pouvait plus et ses cuisses se mettaient à se refermer.
- JULIENNN!
Je finis par la lâcher et elle tomba à la renverse sur le lit, haletante. Je me jetais sur elle et l'embrassai passionnément. Je la désirais, je la désirais, cette belle brune qui prononçait si bien mon nom.
à suivre!
