Ma belle tante
Chapitre 3e
Alors que je l'embrassait, Fanny me repoussa et ma tante me plaque contre le lit. Sa partenaire posa sa tête contre mon épaule gauche et mit sa main sur mon torse en suivant, de son index gauche, le mouvement irrégulier de mes pectoraux.
J'avais les cheveux tout ébouriffés sur la tête et la sueur me gagna quand Lettice versa sur ma poitrine du miel assez chaud. J'hurlai de douleur, mais je la laissai faire. Elle se pencha sur moi et lécha le liquide moelleux, jusqu'à ce que sa bouche fut enduite de miel. Je lui pris la tête dans les mains et l'embrassai pour goûter à cette substance à mon tour, en lui passant la langue sur les lèvres, puis elle se releva.
- À ton tour maintenant, me dit-elle en me retirant mon pantalon et mon boxer.
Fanny était toujours allongé contre moi et elle me caressait le visage en m'embrassant les oreilles et le cou.
- Arrêtez putin! voulais-je crier, je vais devenir fou!
Mon corps était enflammé, je n'avais jamais vécu un ménage à trois et c'était super. Ces deux femelles me retenaient prisonnier de leurs liens et je ne pouvais m'en échapper vivant.
Lettice s'empara de ma verge et effleura le bout à l'aide de sa langue et je ne pus retenir un cri de douleur ou plutôt, de plaisir. Je me mordis les lèvres à les faire saigner et j'hurlais, tel un animal sauvage:
- Haaannnhhh annn, Huummnn!
Fanny me suçait les mamelons et Lettice le penis et je tressaillis, malgré moi à ces langues et à ces lèvres chaudes et mielleuses. Mes mains comprimaient les draps au point de les déchirer et mon corps se soulevait. J'avais les yeux mi-clos, la respiration saccadée et une fièvre commençait à me dévorer. Je ne pensais plus qu'à cet instant et j'en oubliai même qui j'étais.
À ce moment, une immense chaleur entoura mon sexe et j'ouvris la bouche et hurlait à pleine voix mon plaisir.
- Lettice……Let…tice…aaaaaaah…nnnnnn……naah…
Lettice montait, déscendait, s'attardait sur le bout avec sa langue, puis redéscendait et jouait avec mes testicules à l'aide de ses doigts. Ce mouvement de va-et-vient le long de mon membre me faisait cabrer le bassin, de façon à former un arc, puis elle le replaçait dans sa bouche, fermait ses lèvres et aspirer, mais cela faisait plus mal qu'autre chose, il y a une sacré pression qui se produit et qui sert mon membre.
- Ahhhhhhhhhhhhh! Letticeeeeeeee! criais-je.
Fanny s'était relevé, mais je la rattrapai et portai ses lèvres aux miennes. Je lui tenais la tête si fort, qu'elle voulut se relever, mais je ne pouvais pas, je n'arrivais pas à la lâcher. Elle réussit alors à se détacher de mon étreinte, mais comme je ne laisse pas partir une proie aussi facilement, je lui bondis dessus en oubliant ma tante, la pris dans mes bras, ne voulant plus la lâcher, puis je la pénétrais de toutes mes forces, jouissant du plaisir qui me restait avant d'atteindre l'orgasme. Un cri retentit dans tout l'appartement, moi et Fanny hurlâmes en même temps et ma tante observait la scène avec satisfaction. Je m'arrêtai enfin, essoufflé et observait le visage de Fanny, les joues toutes roses, les yeux fermés, les cheveux mêlés autour d'elle, le corps tendu. Je m'allongeais près d'elle et elle me prit dans ses bras, en posant sa jambe gauche sur moi. Lettice vint à son tour s'allonger sur moi et je leur caressais toutes deux les cheveux, puis le sommeil finit par gagner sa place parmis nous.
Fin!
Valeine
