V cherche F désespérément
Spoiler, rating et disclaimer …. Aucun changement… pour l'instant…. mais, bientôt… !
Encart publicitaire : un OS très particulier… Je n'avais jamais lu une fic d'un style semblable auparavant… D'une auteuse, Enclume, qui n'a pas publié depuis un an… Nymphadora Tonks en est le personnage principal, en quête d'idendité : Pâte à modeler et si vous voulez copierdans l'adresse URL, voici l'adresse que vous taperezderrière le double barre slash et les 3W. et après le début
fanfiction point net slash s slash 1674922 shlash 1
La p'tite citation toute fraîche du jour ! Il n'y a pas de problème qu'une absence de solution ne puisse résoudre ! (Didier Boutrolle)… si Dumby pouvait s'y référer…. Sev apprécierait.
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14- Dumbledore ex machina.
Mercredi 16 octobre
- Bonsoir Severus, je pense que je ne vous dérange pas ce soir ? demanda Dumbledore qui était entré dans les appartements du professeur après avoir frappé, mais sans attendre la réponse. Vous êtes très occupé ces derniers temps. Difficile de vous parler seul à seul.
– Mon activité justifie largement mon salaire, Albus. Entre les corrections, les retenues et les préparations de potions pour les différents professeurs de cette école, je ne chôme pas. Sans parler de mes missions pour l'Ordre, énuméra un Rogue visiblement fatigué par toutes ces tâches. Mais puis-je vous convier à partager une tasse de thé ? La note m'informant de votre visite ne précisait pas explicitement l'heure de votre venue, juste « après les cours ». J'ai pris sur moi de demander aux elfes de préparer quelques douceurs. Que me vaut l'honneur ? questionna-t-il non sans une certaine ironie.
– Certes, vous êtes très pris Severus ; Mr Thomas, Finnigan et Londubat, Miss Granger lundi soir, Miss Parvati mardi, j'espère que pour vous le mot correction est bien distinct de celui de retenue mon cher. Je ne souhaite pas me trouver dans une situation où je ne pourrais prendre votre défense face à des parents légitimement en colère, car vous auriez manqué de correction, de retenue… n'est-ce pas ? énonça doucement mais fermement le directeur, tout en regardant fixement son interlocuteur, un sourcil largement arqué au-dessus de la monture de ses lunettes.
Rogue contempla le feu brûlant dans l'âtre, son regard s'assombrissant à chacun des mots prononcés, malgré la lueur des flammes se reflétant dans sa prunelle.
– La question ne se pose même pas. Par contre, j'aimerais que vous répondiez à la mienne. Votre venue a-t'elle un rapport avec ma mission ?
- Ooohhh ! Des muffins au chocolat ! Quelle bonne idée ! Il y a tellement longtemps que je n'en avais mangé… au moins quatre jours ! J'en aurais presque oublié leur saveur… Avec un nuage de lait je vous prie, Severus.
Ce dernier sentit soudain plusieurs pulsions l'assaillir au même instant, et il lui aurait été difficile de décider laquelle était la plus attirante. Etait-ce ébouillanter le vieux chnoque à l'aide du thé ? Ou bien lui fracasser la théière sur son crâne déplumé ? Ou encore lui fourrer le plateau entier de muffins dans le bec et dans les trous de nez jusqu'à ce qu'il en meurt étouffé ? Mais le plus jouissif, estima-t'il, aurait été d'être pourvu de quatre bras afin de réaliser ces trois actions toutes en même temps.
Alors qu'il restait immobile, la théière en l'air, le thé débordant maintenant de la tasse dans laquelle il le versait, Rogue remarqua le regard inquisiteur de Dumbledore. Il se souvint des capacités de son vieux maître en Occlumencie. Il s'empressa de brider ses pensées défoulantes et nettoya les débordements d'un rapide mouvement de baguette.
– Un autre muffin avec votre thé ? demanda-t'il en faisant diversion avec le plateau et la tasse.
– Merci Severus, avec plaisir. Avez-vous utilisé la fiole jointe à la note ? interrogea le directeur comme si de rien n'était.
– Mouaif… se renfrogna à nouveau Rogue repartant dans ses récriminations silencieuses… Deux heures ! En deux heures sa peau s'était marbrée, plissée par endroit. Il était sûr d'avoir une éruption cutanée dans deux jours. Il serait en plein bourgeonnement pour le rendez-vous. Et il était sensé être irrésistible ! Deux heures avaient été nécessaires pour rincer ses cheveux poissants. Il s'était souvenu de leurs craintes de calvitie lorsqu'il avait cru s'arracher les cheveux à vouloir retirer cette poisse baveuse de chenilles les recouvrant.
– Je m'en aperçois… en vous observant… Dumbledore laissa planer un silence lourd de sous-entendus. Vous avez dit que vous prépariez toutes sortes de potions pour les professeurs de l'école, reprit-il.
– Pas uniquement pour les professeurs. Mme Pomfresh a souvent recours à mes services pour les préparations plus délicates.
– Et … en auriez-vous d'avance ?
- Albus, ne tournez pas autour du chaudron. Quelle potion vous intéresse à ce point ? Je n'ai aucun filtre de rajeunissement ni de succédané de ce produit moldu, le viagra. Rien non plus contre les obsessions saccharotiques. Ni érotiques d'ailleurs.
– C'est vous qui vous vous égarez mon cher, s'empourpra Dumbledore. Je me contenterais de polynectar.
– De polynectar ? Diantre, et pourquoi faire ?
- Pour me transformer en Miss NakedWitch 2005 et me jeter au cou de Voldemort pour l'étrangler, par Merlin ! Avez-vous égaré tous vos neurones dans votre pensine, Severus ? Mon cher, vous devez vraiment être surmené pour ne pas anticiper davantage les réponses. Vous m'aviez habitué à plus d'esprit. Dès que vous le pourrez, un peu de repos vous fera le plus grand bien.
– C'est ça, j'y penserai entre un Doloris du Distributeur-Automatique et une mission burlesque pour l'Ordre ; et vous vous chargerez de me remplacer auprès de mes élèves… sans oublier de corriger les parchemins en retard. Et j'oubliais le plus beau ! Les fameuses journées de formation pédagogique à Londres imposées par La Grande Hippopotamesque Inquisitrice ! C'est sans doute cela que vous appelez des vacances !
- Ne vous énervez pas ainsi mon cher, votre teint se brouille à nouveau. Il faudra refaire un masque à l'argile verte suivi d'un cataplasme au concombre frais, ce soir.
– Et pourquoi pas à la bouse de dragon pendant que vous y êtes ! Le don de soi à des limites, et j'…
- Revenons au polynectar si vous le voulez bien, après cette interruption momentanée de votre cerveau. En avez-vous d'avance ?
- Chaque semaine, je débute la confection d'un petit chaudron de cette potion. Vous savez qu'il faut un mois entier pour l'élaborer et qu'elle ne se garde que peu de temps. Par Salazar, pourquoi vous intéressez-vous autant au polynectar ?
- Severus, voyons, le rendez-vous…. La mission ! Qui aura bien lieu samedi prochain à la même heure.
- Soyez plus explicite. Mes neurones ont soi-disant besoin de vacances.
– Le polynectar est la solution à notre problème, voyons !
- Nié ?. ?. ?. ?. ?. ? (1)
- Severus, réfléchissez je vous prie. Tonks ! Lupin ! Malfoy ! Voldemort ! Au testage, cuissage, couchage, montage, fourrage ! Appelez ça comme vous voudrez. Vous …testerez Nymphadora mais seulement en apparence.
– Comment cela en apparence ? Vous croyez que Malfoy va se contenter d'un vague mirage ou des quelques cris de jouissance que poussera la candidate grâce à ma performance ?
- Un peu de pudeur, je vous prie. Non, en apparence seulement car elle sera dans vos bras mais pas avec vous. Mon cher Severus, revoyons ensemble les données du problème si vous le voulez bien :
a) Vous devez… tester la candidate qui n'est autre que Nymphadora Tonks.
b) Lucius Malfoy sera tout prêt pour vérifier que vous remplissez comme il faut… votre mission.
c) Si vous n'honorez pas Nymphadora et votre mission, vous craignez pour votre avenir, à juste titre. Le petit Tom n'aime pas qu'on lui désobéisse.
d) Si vous honorez Nymphadora et votre mission, vous craignez pour votre avenir, à juste titre. Remus n'aime pas qu'on touche à celle qu'il convoite.
Ai-je bien résumé le problème ?
- Fort bien mais je vous ferais remarquer que nous n'avons pas avancé d'un poil de troll.
– Vous oubliez le petit E ! Comme Espoir !
- Ou comme Echec !
- Ne soyez pas défaitiste voyons ! Vous me rappelez l'optimisme débordant de notre chère Sibylle ! Le petit e), c'est votre polynectar. Vous devez être là, Lucius doit vous voir, Remus ne veut pas que vous touchiez Nymphadora. Il prendra donc votre place.
– Je sais bien qu'un membre en vaut bien un autre… et ne prenez pas cet air égrillard, je parle de ceux de l'Ordre du Phénix. Tonks ne s'en plaindra peut-être pas… Et cessez de rire sottement je vous prie, ne cherchez pas la petite bête dans mes paroles innocentes ! s'énerva Rogue.
– Mais c'est vous qui la cherchez mon cher ! Vos expressions sont tellement imagées…
- Ce qui va se dérouler également et Lucius n'est pas aveugle… à moins que… voulez-vous dire que… Remus va prendre mon apparence ?.
– Godric tout puissant ! Vous comprenez enfin !
– Je vois plusieurs écueils à votre plan. Tout d'abord, l'apparence physique seule ne suffira pas à duper Lucius. Je sais que la voix peut également être maquillée. Mais mes inflexions, mes réparties spirituelles, ma démarche, ma prestance… et d'autres talents que je vous laisse imaginer..
– Et que Lucius ne doit pas avoir souvent lorgnés ; à moins que vous m'ayez tout deux cachés des inclinaisons particulières. Pour éviter toute complication, l'échange n'aura lieu qu'au tout dernier moment.
- Dois-je vous soumettre au chantage, à la menace ou à un sort impardonnable pour qu'enfin vous m'expliquiez clairement ! s'énerva Rogue.
– Non, les mots magiques suffiront.
– Lesquels ? Foutremerlin !
- S'il vous plaît, bien entendu.
– SiousplaitAlBUUUUSSS !. !. !. !. !. !
- Demandé aussi gentiment, on ne peut rien vous refuser… même pas notre chère Nymphadora ! Donc, vous vous rendrez samedi au Chaudron baveur où vous avez rendez-vous. Convenons qu'elle vous aura prévenu par hibou express au dernier moment… Et avertissez Lucius le plus tard possible qu'il n'est que le temps d'arriver. Après un bref entretien… amical, sans chantilly mais avec sourires et amabilités..
– Fadaises vous voulez dire !
- Comme vous voulez mais ayez-en au moins l'apparence. Vous monterez ensemble dans la chambre qu'elle a déjà retenue. Remus vous y attendra.
– Je croyais que c'était avec Tonks que je devais passer un agréable moment ! Pas avec Lupin ! Et je ne le crois pas très indiqué comme matrice pour la Reproduction Suprême.
– Ce n'est pas à un vieux sorcier qu'on apprend à faire une farce, Severus, je vous vois venir avec votre grand nez. Remus attendra votre arrivée, à Nymphadora et vous, dans la chambre, bien caché. Cette pièce se prêtera parfaitement à notre mystification. Nulle armoire, pas de tentures ni de recoins sombres, mais juste un cagibi dans lequel Lucius sera obligé de se cacher. Je l'imagine mal accroupi dans le couloir en train de regarder par le trou de la serrure l'avancée de l'action.
– J'ose espérer qu'il y a malgré tout un lit dans cette chambre, grommela Rogue qui était de moins en moins enthousiasmé par les idées du vieil homme… ( Mais l'avait-il été un jour ?) Et si le cagibi est réservé à Malfoy, où donc compte se tapir Remus en attendant de prendre ma place ? Sous le lit ? Sortie peu discrète garantie !
- Voyons Severus, il faut toujours porter ses yeux au ciel !
- Vous avez raison Albus, je m'aperçois que ces fichus elfes ont encore oublié de faire les toiles d'araignées…Je vais leur passer une de ces potions ! Ils s'en souviendront jusqu'au retour de Salazar, vous pouvez me faire confiance Mais je ne vois pas le rapport avec ma mission.
- Mais mon cher ! C'est vous qui en avez une au plafond ! Je parlais du ciel de lit ! Remus vous y attendra grâce à un sort de Lévitation et à la cape d'invisibilité. Ce n'est pas par hasard que la chambre choisie contient un grand lit avec baldaquin. Dès que vous vous serez… mis en tenue, ou plutôt sans devrais-je dire, Remus boira la potion. Une fois la transformation achevée, vous échangerez vos places discrètement par un double Transplanage bien coordonné
– Vous prétendez que tout ceci va se dérouler dans la tenue des tous premiers sorciers ? Nu comme un ver ? Il n'en est pas question ! Comment disiez-vous déjà ? Un peu de pudeur je vous prie ! Je connais des situations plus excitantes pour monter au ciel, le septième bien sûr ! Et pas dans le ciel de lit ! Et qu'avez-vous envisagé ensuite ? Je ne suis pas certain d'être désireux de l'apprendre, mais la curiosité est la plus forte…
- Par Merlin…vous y patienterez jusqu'à la fin.
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Samedi 18 octobre
Une haute silhouette sombre se découpait dans la lueur grise de cet après-midi maussade. Ce samedi 18 octobre était comme tous les autres jours de cette semaine, pluvieux. Peu de monde dans les rues de Londres et Charing Cross Road n'échappait pas à la règle. C'est pourquoi cet individu vêtu d'une ample cape noire passait complètement inaperçu. Il semblait savoir où il se dirigeait et accordait peu d'importance aux rares passants qu'il croisait ou qui allaient dans la même direction que lui. Il aurait dû.
Il n'avait pas encore atteint le Chaudron Baveur qu'il fut saisi par un forte poigne l'attirant contre son gré dans une ruelle perpendiculaire, à demi dissimulée par des bennes à ordures et de vieux débris attendant d'être embarqués. A moitié traîné malgré les efforts qu'il faisait pour se libérer, il n'eut cependant pas le temps de sortir sa baguette. L'étreinte se relâcha et il put contempler malgré la faible luminosité des lieux, le responsable de ce wizardnapping. Il n'en fut pas étonné outre mesure.
– Remus ! Comme c'est aimable à toi de me faire découvrir tes quartiers préférés de Londres. Mais tu ne m'en voudras pas de ne pas m'éterniser. Une jeune pondeuse m'attend. Et tu ferais mieux de te dépêcher toi aussi.
– Rogue, tu ne crois pas que tu vas te soustraire à une petite discussion. Nous avons à parler tous les deux.
– Et de quoi ? Du temps qu'il fait comme tout sorcier civilisé ? Je crois que toi et moi échappons à cette catégorie. Ni mes antécédents ni ta lycanthropie ne nous mettent en bonne posture pour être inscrits au Who's Wiz.
– De ce qui est sensé se passer cet après-midi.
– Comme je suis étonné ! ricana Rogue. En fait, ce qui me surprend le plus, c'est que tu ne sois pas venu plus tôt me parler. Albus a-t-il attendu le dernier moment pour te mettre au courant de son « génial plan » ?
- Non. Il m'a fait promettre de ne pas te parler et encore moins de t'agresser.
– Comme il va être déçu quand il va découvrir que tu as rompu ton beau serment ! railla le maître des potions.
– Je ne t'ai pas agressé… pas encore tout au moins. Et si personne ne l'en informe il n'aura aucune raison de l'être, répliqua doucereusement Lupin. La lueur animale dansant au fond de ses prunelles dissuada Rogue de poursuivre dans cette voie.. et il ne pensait pas à la ruelle nauséabonde… Pourtant, la pleine lune étant encore loin. Mais Rogue ne tenait pas à découvrir quelle part du loup ou du Lupin pouvait être réveillée par un fort sentiment de jalousie. Il attendit prudemment qu'il poursuive.
– Severus, tu te souviens de ta promesse… Il n'est pas question que tu touches à Nymphadora.
– Je n'ai pas pour habitude, je te l'ai déjà dit il y a peu de temps, de rompre mes engagements. Ne pas la toucher… Je peux t'assurer que je ne coucherai pas avec elle. Tout au plus vais-je m'allonger quelques secondes à ses côtés le temps que tu me remplaces. Et je te prierais de faire vite ! Si tu ne veux pas que je sois dans l'obligation d'aller plus avant dans ma mission.
– Je ne te le conseille pas. Dans ton propre intérêt.
– Pas de menaces avec moi ! J'en ai déjà tellement reçues que je suis immunisé. Dumbledore t'a-t'il raconté par le menu le déroulement des réjouissances ? demanda un Rogue goguenard.
– Rouais, répondit Lupin entre ses dents.
– Alors tu seras prié de ne rien laisser pendre du ciel de lit qui puisse offenser notre vue.
– J'en attendrai autant de toi, rétorqua celui qui tentait difficilement de garder son calme… une promesse était une promesse… Et tu seras prié de regarder ailleurs !
- Pour ce que ça m'intéresse ! Il y aura bien assez de Lucius pour se rincer l'œil de vos ébats ! Je me tournerai et compterai les centaures. Mais la pensée que tu vas avaler une gorgée de polynectar contenant un de mes cheveux que tu as toujours tant appréciés, compense tout le désagrément de la situation. Sans parler du reste !
- Le reste ? Mais quelle idée perverse traverse encore ton esprit malade ? s'inquiéta davantage Lupin.
– Eh bien… Tu vas être moi !
- Je le sais ! Et alors ?
- Je constate que tu n'as pas compris toutes les implications, s'amusa Rogue. Il faut aux yeux de Malfoy, que le professeur Rogue, mangemort à ses heures, peu attiré par le troupeau femelle, couche avec la candidate pour contrôler ses aptitudes à cet acte. En aucune façon, il ne doit penser qu'il a devant lui le Lupin déguisé en Severus faisant l'amour à sa copine… Y avais-tu pensé sous cet angle, dis-moi, Remus ? insista-t-il sadiquement.
Remus avait pâli à l'énoncé des faits.
– Pas de gentilles, ni de caresses, ni de mots doux, ni autres fadaises ou trolleries. Tu dois te comporter comme le mangemort que je suis supposé être, se sachant surveillé par Malfoy et en mission pour le Mage Noir. Du sexe à l'état brut. Lucius ne doit avoir aucun doute, aucun.
A ces mots, le visage de Lupin passa d'un teint maladif au rouge vermillon. Ses mâchoires se crispèrent et avant que Rogue n'ait eu le temps de poursuivre par quelque plaisanterie salace, les mains du lycanthrope l'agrippèrent à la gorge, démontrant que la limite du supportable venait d'être franchie pour l'homme et son loup. Le professeur des potions sentit l'air lui manquer rapidement et crut sa dernière venue quand son ancien condisciple approcha lentement son muffle de son grand nez busqué.
– Salaud, émit simplement dans un souffle Lupin, leurs visages n'étant qu'à quelques centimètres l'un de l'autre.
– Lâche-moi, arriva à gargouiller « sa victime ».
La poigne sur son cou se relâchant, Rogue en profita pour poser ses mains sur les épaules de son adversaire afin de le repousser. Les deux hommes ne se quittaient pas des yeux ; la colère et la peur brûlaient dans leurs deux prunelles. Le loup céda finalement la place à l'homme qu'il habitait et le corps à corps cessa.
« Ce n'est pas que je m'ennuie en ta compagnie, reprit Severus reprenant son faux air d'impassibilité, mais j'ai une candidate qui m'attend… et toi aussi. Je crois qu'il serait judicieux que tu te dépêches d'arriver avant Malfoy, si tu veux pouvoir t'installer confortablement en nous attendant. Si par malheur il y parvenait avant toi, je me verrais dans la regrettable obligation de jouer mon propre rôle jusqu'au bout…
Et songe que cela aurait pu être pire… si tu avais pris ma place pour tester… Ombrage par exemple ! »
Lupin ne daigna même pas répondre. Il tourna vivement des talons et quitta à grandes enjambées la ruelle sombre, se dirigeant rapidement vers le Chaudron Baveur. Il savait que Rogue avait malheureusement raison et cette pensée le rendait fou furieux. Perdu dans ses réflexions, il ne prit pas le temps, lui non plus, d'observer la rue et les êtres qui s'y trouvaient. Il aurait dû également.
Un gros chien noir avait précipitamment fait demi-tour en le voyant surgir ainsi… Un chien pas tout à fait comme les autres comme vous pouvez bien le deviner… Un chien qui avait décidé de suivre son ami lorsque ce dernier avait quitté le 12 square Grimmaurd. Il pensait bien, étant donné la mine sombre affichée par Lupin depuis la veille, que le rendez-vous de la semaine dernière n'avait pas eu les suites qu'il escomptait… Et c'était simplement en se fiant à son « flair » qu'il avait décidé de le filer. Mais là, il n'était pas sûr de ce qu'il venait d'entre apercevoir… Qu'avaient donc fait les deux hommes serrés l'un contre l'autre ? Que s'étaient-ils donc murmurés ?
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(1) le Nié est une marque déposée Ayla corporate limited !
Pour les RAR, vous les trouverez toutes à cette adresse à taper derrière le double slash et les 3W de l'adresse URL point livejournal point com slash users slash zazaone tiret inférieur(touche 8) rar slash
...ou passez par mon profil !
Donc, plus de RAR ici….. Grrrrr….. si vous saviez le paquet de grossièretés que j'ai pu sortir lorsque, tard dans la nuit j'ai découvert le mail de FFnet Mode d'emploi, nous informant de l'interdiction dorénavant de répondre aux RAR dans les chaps !. !. !. !. !. !. !. !. !
Je ne passe jamais par la page d'accueil lorsque je me connecte à Feufeupasnet. J'ouvre directement à la page de présentation des nouvelles fics HP. Vous n'allez pas me dire que les administrateurs ne pouvaient pas envoyer un mail pour nous prévenir ! Un des plus grands sites de fanfics !. !. !
Bref, je suis furax ! Ils ne sont même pas foutu d'utiliser pour les liens mail une police de caractère standart qui accepte les accents… Je ne sais pas si cela vous est déjà arrivé, mais la suppression des lettres accentuées rend parfois le texte incompréhensible. Il faut donc retourner sur le site pour relire et répondre…bel avantage.
Et moi qui aime relire les RAR que j'envoie pour ne pas me répéter (enfin j'essaye..), pour personnaliser, je fais comment maintenant ? Je n'ai pas de trace des RAR envoyés… et pour les réponses à mes reviews ? Je dois me contenter de ces mails m……..iques ? (la grossièreté me reprend…pas bon signe…)
Les RAR écrites par un des persos sous forme d'une histoire, comme à la fin du chap 10 vont disparaître ?… On fait comment Chimgrid, qui est une habituée de cette pratique (c'est elle qui me l'a soufflée) , les autres et moi ? …Là, je pense que je tricherai…. Chapitre annexe ou quelque chose du même style….. ou écriture du chap sur mon LJ, que n'importe qui peut consulter…
Enfin, quand je suis lectrice, j'adore lire les RAR que font les auteurs aux personnes que je connais.……… FINI ! Plus possible !
Beaucoup d'inconvénients pour un très léger avantage… un lien mail, qu'ils pouvaient de toute façon mettre ne place comme la plupart des sites de fanfics, sans pour autant interdire ce superbe et enrichissant moment que son les RAR !
L'auriez vous compris ? Je suis hors de moi !. !. !. !
Merci d'avoir lu mon coup de gueule… De le dire, de l'écrire et le publier, ça fait du bien…. et encore plus si vous y répondez !
Gros zoubis baveux à tous et toutes en attendant et merci encore une fois de m'avoir lue ! SSSMMMAAARRRCK !