IGNOTI NULLA CUPIDO (On ne désire pas ce que l'on ne connaît pas)
Coucou me revoilà avec une fic ce qu'ou s'y qui nous propulse dans le 17 éme siècle ,où la magie était perçue d'un mauvais œil, et où la rencontre Hermione/ Draco fera beaucoup de remue-ménage.
1)Chapitre : Cogito ergo sum (Je pense donc je suis)
Ce jour d'été était tout bonnement magnifique, le soleil brillait, l'air était parfumé de rose .Le marché était resplendissant , les commerçants criaient de leur voix roque ( dix balles ou je remballe !mdrr).Elle était là, cette fille si fraîche, si belle que beaucoup regardés .Ses cheveux bruns tombés en cascade sur son dos semi couvert , sa robe blanche et parme, cintrée sa taille et laissé voir ses jolis formes. Elle était si pure mais inaccessible, elle était l'élève et l'enfant des maîtres d'armes du village. On disait d'elle, que s'était une femme plus que douée pour l'adresse de l'épée, et ça oh oui elle était, mais peu de gens le savait .Hermione n'était pas une de celle qui se vantée et se dévoilait à n'importe qu'elle inconnu. Ce lundi comme a son habituel jour de marché, Hermione avait promis à Adam et Sam qu'elle irait acheter des commissions.
Adam et Sam étaient les maîtres d'armes du village, leur agilité et talent pour l'art du combat étaient connus, ils étaient les cousins éloignés de notre Hermione Granger. En plus de tenir une salle d'armes, ils tenaient une Taverne. La vie leur souriait, les filles allaient et venaient dans leur lit, ils n'étaient pas l'exemple type de l'homme pour Hermione. Hermione dirigeait, souvent le soir, la Taverne avec Adam. Adam et Sam savaient, ils savaient qu'Hermione étai pourvus de dons de la naturels, plus communément appelé maléficisme à cette époque. Ils savaient que leur Hermione était unique, et c'est à cause de cela qu'ils avaient décidé avec d' oublier cette histoire de magie la journée pour ne pas éviter les soupçons, la vie de simple moldu était déjà bien compliqué à cette époque pour en plus commencer à se singulariser par la magie, ce don plutôt vue comme une abomination.
Bref, pour en revenir à cette magnifique journée d'été, tout paraissait si magnifique…enfin presque.
Hermione venait d'acheter du pain lorsque des bruits de fers de chevaux se furent entendre, les portes de la muraille du château s'ouvrirent , pour laisser entrer une cavalerie bien chargés conduit par un seigneur inconnu par tous.
Les cavaliers galopaient à présent dans la ville et s'approchaient dangereusement du marché, ne freinant en aucun cas leur allure, beaucoup de paysans dans la cohue s'éloignèrent de l'entrée du château et donc de la place.
Hermione n'avait pas prêtée attention à eux mais lorsqu 'elle les aperçurent galopant, ne se souciant pas des villageois ,un sentiment de mépris s'était fait sentir en elle.
'Qu'ils descendent un coup de leur chevaux, que je m'en fasse un ou deux, ils verront de quoi sont capables les habitants de Nara .Ils sont méprisants, ils leur suffit d'un cheval et d'une épée pour se sentir supérieur.'
songea Hermione.
Hermione allait s'écarter pour ne pas se faire piétiner quand elle remarqua, en plein milieu du trajet de nos chers chevaliers, un enfant.
« Marianne ! »cria -t-elle.
La petite Marianne âgée de 4 ans était la fille de la voisine d'Hermione, elle vivait juste à côté de la Taverne, et venait tous les soirs voir Hermione, le temps que sa mère cuvait son vin, comme chaque soir et que son père allait courir les filles de joies qui bordaient les rues des quartiers sombres de Nara.
Marianne n'entendait rien et continuait à jouer à terre avec la poupée que lui avait offerte Hermione il y a 2 mois. Marianne ne bougeait pas, les cavaliers était à 20 mètres, 15…10…5….Hermione ne prit pas le temps de réfléchir, elle lâcha son sac de commissions et fonça récupérer Marianne ne se souciant pas des cavaliers qui arrivaient à grands galops. Comme un réflexe maternel, elle prit Marianne dans ses bras pour la protéger. De nombreux cavaliers réussirent tant bien que mal à l'évitait mais l'un de ses prétentieux ne prit pas la peine de s'écarter , s'efforçant de penser que la jeune imprudente s'en irait. Quand subitement à un mètre d'elle , son cheval freina brutalement, le forçant à tomber de son cheval, se ridiculisant devant tous les villageois.
Comme fou de rage ,il prit son casque, le lança par terre. Il était grand , blond, les yeux d'un vert jaillissant. Tout en lui sentait la prétention, et sa soif de pouvoir, il semblait narcissique, intéressait par sa simple personne. Il se releva , laissant des regards haineux à Hermione , cette dernière se redressa et chuchota à l'oreille de Marianne :
« Dis à Adam et Sam, que je rentrerais plus tard. Allez file ! »
Marianne suivit son conseil, et partit en courant vers la salle d'armes.
Hermione ne comprit rien à l'instant qui suivit, son visage se tourna pour observer le cavalier , quand subitement une main l'agrippa par le col et un autre vint s'abattre sur sa joue,. Son visage angélique était marqué d'une main d'homme, aucune larme ne vint, aucun gémissement de douleur. Le cavalier fut surpris d'un tel manque de douleur comme si cette fille était insensible. Hermione était à présent allongée sur le parterre de la place du marché, ses cheveus cachés son visage.
« Présente moi tes excuses guenon ! Tout de suite ! » cria –t-il.
Le cavalier s'approcha , leva brutalement le visage d'Hermione et subitement cria :
« Tout de suite ! »
Encore plus hors de lui , le cavalier leva sa main prés à frapper une nouvelle fois, quand Hermione reprit ses esprits et empoigna son bras. On ne sait comment cela fut possible mais le cavalier ne put s'opposer à sa force, à la force d'une simple femme, son égaux était touché, comment cela était possible. Une si jeune femme dotait d'une si grande force, non il devait révé .Il tentait en vain de forcer Hermione à lâcher prise mais rien à faire.
Il tremblait maintenant de fureur.
« Présentez moi vos excuses Monsieur !Tout de suite ! »
« C'est une blague ! Laisser moi rire ! »
Il se redressa, s'épousseta, il la regardait , elle se levait à son tour. Sa fierté en avait pris un coup, mais sa colère le gagnait et il empoigna son épée, il était hors de question qu'elle le ridiculise, quitte à ce qu'il la tue. Il dégaina son épée du fourreau. Le bruit d'un claquement d'épée se fit entendre.
« Je vous déconseille cela ! »déclara un homme.
Impossible quelqu'un avait surpris notre cher cavalier et avait devancer son attaque, protégeant ainsi Hermione du coup.
« Qui êtes vous ! Comment osez vous vous interposez entre moi et cette intolérable lépreuse ! Laissez moi régler mes comptes ! »
« Je ne vous laisserai pas faire du mal à mon ptit orchidée ! Et je vous conseillerez vivement de remonter sur votre cheval et vaquez à vos affaires ! »
« Adam tu sais très bien que je déteste ce surnom ! » s'écria Hermione pour détendre l'atmosphère.
Le cavalier tenta une joute, mais Adam contra le coup.
« Vous avez de la chance que Nathanaëlle Malefoy n'a pas de temps à vous consacrer. Mais croyez moi, vous allez entendre parler des MALEFOY ! Oh oui croyez moi, cette ville nous appartiendra tout comme toi ! » dit-il en pointant Hermione du doigt.
« Je vous déconseille de vous approchez d'Hermione ! »Adam se tenait devant Hermione comme un protecteur telle un grand frère.
« Merci je pourrais au moins mettre un nom sur ce visage arrogant. »
Il ramassa son casque, remonta sur son cheval, et partit en direction du château.
« Il est gonflé ce type ! » déclara-t-elle.
« Rentre à la maison, Sam t'attends pour l'entraînement. »
« Qu'y a t-il ? Qu'est-ce que j'ai encore fait ? »
« La prochaine fois n'attire plus les regards sur toi ! Evite de te frotter à … »
« Aux nobles, vas –y dit le ! A la classe supérieur, car moins je suis quoi ? Hein ? Une paysanne ! Crois tu qu'ils sont meilleurs que nous ? »
« Ce n'est pas ça Hermione tu le sais très bien ! Mais c'est eux qui ont le pouvoir !Maintenant rentre ,on en reparlera plus tard ! »
' Plus pour longtemps, je ne me laisserai pas faire par ces Malefoy, et leur supériorité !'
Et bah voilà j'espère que cette fic vous plait, au fait c'est un HG/DM ! Allez gros bisous ! et à très bientôt !
Annabanana-the-cold.