Auteur : Keiko (Mais je serais archangel.gaia sur ce site)

Rating : M : ! ATTENTION YAOI ET SCÈNES EXPLICITES ; VIOLENCES !

Spoilers : Un peu (beaucoup) de chaque tome.

Pairings : Beeeeen, vous verrez bien !

Genre : Drama, Romance, Aventure, suspence…

Disclamer : Tout ce qui appartient à Rowling lui appartient et tout ce qui m'appartient m'appartient surtout les nouveaux persos (pas tous) que j'ai créé et façonné depuis plus de 15 ans maintenant, donc PAS TOUCHE.

Summary : La promo de Harry est enfin diplômée et ils retournent chez eux, avant d'entrer dans le monde du travail. Mais cela n'est pas simple pour Harry qui doit « collaborer » avec Dumbledore pour faire tomber le plus grand mage noir de tout les temps !


Nemesis and Soul Mates: Heaven strange, Hell welcoming.


Blabla de l'auteur : kikouuu tout le monde ! Je sais ! j'ai pris tout mon temps, comme d'hab' ! Mais là, j'ai une excuse en béton et qui malheureusement pour moi, continue à être vrai (mais pas trop ! lol !). Mon PC avait eu de gros problèmes allant jusque n'a ne plus vouloir s'allumer ! Après j'ai eu la connexion Internet ! Et ce problème là persiste (n'est-ce pas Ertis ! V.V'). Bref ! Mais entre-temps, j'ai décidé d'écrire en parallèle d'autres histoires que j'hésitais à publier en premier avec celle-ci (il y en a deux principales, en plus des autres) et j'ai pensé à deux autres histoires, dont une basé sur un événement passé dans ma famille et qui est relaté un peu partout (le même type de « problème ») dans les mangas ou les fics, aussi, et des livres (cette histoire sera très courte)… Seule Ertis connaît la teneur de ces projets, qui ne verrons le jour dès que j'aurais un nombre suffisant de chapitres en avance ! D'ailleurs Ertis m'a proposé un projet de collaboration, dont j'ai l'honneur d'y participer avec joie, car c'est quelqu'un de talentueuse et j'apprécie fortement ses œuvres ! (Si ! Si ! C'est vrai !).

Remerciement des posteurs anonymes : Minimala (merci pour ta review, et tu n'es pas en retard, le brevet est plus important ! je suis sûr que cela va bien se passer pour toi ! et je suis ravie que ma fic te plaise, surtout que ce chapitre marque le vrai début de l'histoire ! (Enfin ! J'y croyais plus !). Kisu).

Note :

'Pensée des persos'

'Fourchelangue'

'Télépathie'

To beg supplier en anglais.

Onii-san -->onii-chan -->oni-san -->oni-chan -->Grand-frère

BONNE LECTURE !


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Chapitre 4 : Un tacticien de génie

Les rires d'une fillette…

- Reviens ici !

Innocente.

- Non !

Qui résonne dans les couloirs.

- Allez, Ri ! Tu vas attraper froid comme ça ! Cria le jeune homme indigné.

- Non ! Non ! Non ! Je veux jouer !

- Mais t'es nue comme un vers ! Où crois-tu aller comme ça ! Cria l'homme excédé, toujours en train de courir derrière la fillette.

- N'importe où, gloussa celle-ci.

- Grrrrrrr !... Elle veut ma mort ! C'est sûr !

En toute insouciance.

- Attrape-moi si tu peux ! Cria joyeusement la petite fille.

Il s'arracha les cheveux avant de poursuivre un petit vers luisant.

Oui. Luisant.

La fillette en question s'était échappée de la salle-de-bain alors qu'il était occupé à ranger le bac et autres ustensiles qui avaient servis au nettoyage du corps avant le bain proprement dit.

La fillette, donc, courait et sautillait comme une puce enragée à travers les couloirs de la demeure, dans le plus simple appareil, tout mouillé et ses longs cheveux blonds collés sur chaque parcelle de sa peau ambrée.

- Elle va attraper froid si je ne me dépêche pas ! Grognais-je. Et moi avec !

En effet, étant donné que nous prenions nos bains toujours ensemble, j'étais aussi nu qu'elle, l'eau suintant lentement de mes cheveux mouillés ajoutant une couche de gouttes d'eau qui cheminaient innocemment le long de mon corps musclé.

C'est en passant devant un des nombreux miroirs qui s'égrenaient à un rythme régulier, que je me rendais compte à quel point cette situation était incongrue. Dans les pays occidentaux, on aurait qualifié cette situation de scandaleuse, même si cela se passait ainsi pour nombres d'entre eux. Alors qu'au Japon, il n'y avait aucune connotation sexuelle lorsque les membres d'une même famille prenaient le bain ensemble ! C'était la normalité même ! On ne pensait pas à autre chose !

Il s'arrêta soudain.

Il avait repéré les traces de pas mouillés de la fillette.

Elle était toute proche. Il s'avança à pas de loup et se positionna silencieusement derrière elle. Elle était devant lui et regardait si, à l'angle de ce couloir, le prédateur ne s'y trouvait pas.

- Je te tiens ! M'écriais-je. Je la tenais sous les aisselles, tendue devant moi. Elle tourna comme elle le pu sa tête vers moi, tandis que je la ramenais dans notre salle-de-bain sous les regards moqueurs de nos elfes de maisons.

- Dis ! Dis ! Ry-nii-san (Grand-frère Ry)! On pourra déjeuner sous les cerisiers qui peuplent notre domaine ? Me dit-elle avec de grands yeux mouillés façon « Chat Potté » dans « Shreck » et sa bouche en cœur.

La sonnette d'alarme se déclencha. C'était une de ses tactiques pour m'atteindre et, ainsi, arriver à ses fins diaboliques.

Je ne dis rien.

J'entrais dans notre salle-de-bain typiquement japonaise, mais en plus luxueux. Le sol était en marbre blanc et les murs recouverts de lattes en bois précieux sombres, qui supportaient sans problème l'humidité ambiante, comme pour les saunas. La seule exception était la petite alcôve sur ma droite qui était tout en marbre. Il y avait des bancs et des robinets, un renforcement situé en hauteur dans le mur organisé en étagères où l'on pouvait apercevoir divers ustensiles nécessaires au nettoyage du corps. C'était le coin où on se lavait entièrement avant de se diriger vers le bain chaud proprement dit. Ce coin-là se trouvait sur ma gauche. On pouvait apercevoir une « baignoire » de la taille d'une petite piscine peu profonde. Juste assez pour être immergé à hauteur de la poitrine pour un adulte, les petits enfants mettant un tabouret au fond de l'eau pour s'y asseoir, lorsqu'ils ne nageaient pas dans la baignoire. Notre baignoire s'étendait d'un bout à l'autre de la pièce, qui était 3 fois plus grande que mon ancien dortoir chez les Gryffondor.

C'était d'ailleurs dans cette même baignoire que j'appris à ma fille à nager. Après tout, rien de mieux qu'un environnement sécurisant et connu pour une première fois !

Bref.

Je jetais, littéralement, mon chargement dans la baignoire avant d'y entrer moi-même, me plongeant lentement dans le bain chaud.

- Aaaaaaaah ! Quelle quiétude !...

SPLASH ! SPLASH !

- Aaaarrg ! RI ! J'égouttait mon visage que miss-j'obtiens-ce-que-je-veux-avec-mes-beaux-yeux avait sauvagement aspergé. Quoi !

- Alors ? On y va ?

- Non.

- Pourquoi ?

- Parce que.

- Parce que quoi ?

- Je ne veux pas.

- …

- … Oh ! 'Elle me fait ses yeux larmoyants et ses lèvres tremblotantes… Tiens bon ! T'es un père ! Un homme ! Sévère, dur et inflexible !' Non ! Tu n'as pas à discuter mes ordres.

- Meuuuh pôpa…

- Tu as fait une bêtise aujourd'hui. C'est ta punition ! Tu mangeras sans aucunes distraction ! 'C'est bien ça. T'es fort. Continue'.

- … Steuplaît, me dit-elle tristounette en se rapprochant de moi dans le but de me faire un câlin.

- Non, Shiori, ça suffit ! Arrête de discuter mes ordres, dis-je fermement en la repoussant. 'Ouais, tu touche au but ! Elle se relâche ! T'es trop bon !'

- … Snif ! Snif ! Elle tenta une approche.

- Ri ! Dis-je impérieusement. 'Purée ! Lâche pas le morceau mon gars !'

- Tu es parti, loin de moi, pendant 5 ans. Tu m'abandonnes alors que moi, j'ai toujours été sage ! Snif ! Snif ! Et maintenant que tu es enfin là ! Snif ! Snif ! Je pensais… Je pensais…

- Ri…, dis-je plus mollement que je ne l'aurais voulu. 'Oh non ! Ne flanche pas, ne flanche pas ! Elle a fait une bêtise…Elle veut juste te faire culpabiliser pour arriver à ses fins, alors que tout était entendu avant mon départ !'

- … Qu'on pourrait passer un moment agréable ensemble ! Snif ! Surtout que tu me reproches tout le temps de me comporter comme une adulte !

- Mais… 'C'est trop tard ! Elle m'a eu ! Je le sens !'

- … Snif... Allez… Snif… Pour fêter nos retrouvailles ! Ggrrrff snif, continua-t-elle larmoyante, en ravalant sa dernière larme.

- Ffffffffff… 'Elle est venu. Elle a vu. Elle a vaincu.' Ok… Juste pour le déjeuner. Mais le reste de la journée, tu la passeras dans ta chambre, à lire, écrire et à réfléchir sur la bêtise que tu as faite, et ses conséquences ! 'Pffff ! T'es qu'un pauvre naze qui n'sais même pas dire non à une gamine de 7 ans, mais qui peut défier les plus grands mages sans problèmes ! Pffff ! Chui un idiot fini !'

- Arigatô, Ry-nii-san ! (Merci, grand-frère Ry)

-Aaaaaah! Soupira-t-il. Il est temps que je me case avec quelqu'un qui ne se laissera pas avoir avec toi! Disait Harry d'une manière tragique, en caressant la tête de sa sœur.

- Aaaaaah ! Imita Shiori. Il est temps que tu te rendes compte de la chance que tu as d'avoir une amie, une sœur et une fille telle que moi, dit-t-elle d'un air hautain avec son petit nez retroussé pointé vers le haut.

- Et pas prétentieuse en plus, disait Harry, sarcastique.

Mais la petite Shiori n'avait rien entendu. Elle était retournée jouer avec les quelques jouets aquatiques que j'avais préalablement mis à l'eau.

Il s'enfonça encore plus dans le bain et se laissa envahir par cette sensation délicieuse que l'eau chaude lui procurait. Ses muscles se détendirent et ses sens s'aiguisaient.

Il pouvait clairement entendre les bruits d'eau que faisait Shiori en jouant et nageant dans le bain. Il pouvait presque voir la scène sous ses paupières fermées.

Il se laissa porter par les souvenirs des cinq dernières années passées à Poudlard. Même s'il avait passé des moments mémorables, il était plus que ravi d'en avoir fini.

Cela faisait trois semaines qu'il savourait la tranquillité dans lequel il nageait.

Il se pencha sur les relations qu'il partageait avec sa sœur. Elles étaient intenses, pures, à la fois simples et compliquées. En fait, …

CRACK !

Je sursautais violemment et me retournais comme je pu vers l'origine de ce bruit.

- Pardonnez-moi de vous déranger pendant votre bain, maître, mais un courrier urgent provenant du mage blanc Dumbledore vient tout juste de nous parvenir.

- Est-il parvenu par le chemin ultra sécurisé ? Demanda Harry soudainement redevenu sérieux.

- Oui, maître. Répondit simplement l'elfe de maison.

- Et ? Fit Harry en levant un sourcil interrogateur.

- Et il semblerait que vous aviez plus que raison maître. En plus des nombreux sortilèges de pistage apposés sur cette missive, cinq aurors suivaient à la trace le cheminement de la lettre. Mais grâce à vos précautions, les gêneurs n'ont pu atteindre votre maison de Londres.

- Et ma doublure ?

- Votre doublure, maître, est en permanence surveillé par des aurors, une fois repéré, maître. Mais rassurez-vous, maître, votre double fait ce qu'il faut pour n'apparaître qu'ici et là, sans jamais les mener chez vous, maître.

- Et qu'en penses-tu ? Répliqua Harry inquiet de la tournure des évènements.

- Plus ils persisteront, plus ils finiront par trouver votre demeure londonienne. De plus, maître, leur acharnement à vous débusquer m'inquiète sérieusement, dit très sérieusement l'elfe de maison.

Harry replongea dans ses réflexions. La situation exposée par son elfe de maison le laissait perplexe quant aux motivations de Citronman. Il émergea de nouveau dans le monde réel et prit la lettre posée sur un plateau d'argent savamment ouvragé.

- Merci, Mochi (prononcez « Mo-tchi »). Avant de te retirer, tu pourrais donner la consigne de mettre ce que j'ai préparé dans un panier pic nique, s'il te plait.

- Bien entendu, maître ! Répondit respectueusement Mochi en s'inclinant légèrement devant Harry avant de disparaître dans un « crack » sonore.

Une petite main se posa sur son bras nu. De grands yeux de couleur or le scruta durant quelques secondes. Et il plongea avec joie dans ce regard innocent qu'il aimait tant.

- Tu te sens mieux ? Murmura Shiori.

- Beaucoup mieux, oui. Et c'est grâce à toi. Termina Harry par un doux sourire.

- Moi ?

- N'oublie pas que tu es l'incarnation de mon soleil, de ma source de vie ! Et après ce « choc », cela me faisait du bien d'avoir quelqu'un à mes côtés. Un visage ami.

- Dis, onii-san, tu ne me laisseras jamais tombé toi aussi ? Quoiqu'il arrive ? De la même façon que, moi, je le fais avec toi ? Pour toujours ?

- Bien sûr, Ri ! Mais qu'est-ce qui se passe ? Qu'est-ce qui t'inquiète ? Dit Harry un peu inquiet.

- L'avenir…, (Shiori se blottissait dans les bras protecteur de son frère aîné, et reprit), … L'avenir est bien trouble. Ma vision est brouillée. Mais ce qui est sûr, c'est que je n'ai vu que ténèbres, douleurs, peines et trahisons. Mais malgré cela, presque par hasard, comme un coup de chance, j'ai aperçu la petite lueur qui brillait pourtant depuis le début… Elle se tue, plongée dans un monde qui lui appartenait.

- Et qu'en conclus-tu ? Souffla doucement Harry.

- Dans les semaines qui viennent, de grands malheurs nous arriverons, ainsi qu'à nos proches, comptant dans nos véritables alliés. Tout se qui se passera sera déterminant pour le futur de ce monde. Mais ! Mais… A un moment donné, alors que l'on sera au bord du précipice, un puissant allié réussira enfin à repousser l'ombre qui souhaite ta fin. Cet allié est là depuis le début. Nous avons sûrement déjà eu un contact avec elle – la lueur d'espoir, j'entends – ou nous en auront bientôt un. Il faut juste… ne pas la rater. Ne pas être aveuglé par les ténèbres. Ajouta la fillette en regardant intensément son aîné droit dans les yeux.

Le temps s'étira lentement, laissant le jeune homme comater dans les dernières révélations de sa sœur.

- Bon ! Il est temps de s'habiller ! Allez ! Ouste !

- YATTA !

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L'envie.

Des halètements.

Le bruissement de la soie.

Un parfum enivrant, entêtant, excitant.

Un corps jeune alangui contre un corps mûr.

Vu de l'extérieur, il était facile de deviner que dans cette immense chambre luxueusement décorée, des ébats sexuels venaient de se terminer.

L'air était encore chargé de phéromones.

La convoitise.

Deux hommes étaient au milieu d'un lit king size démesuré et ronde, placé au centre de la chambre. Tout tournait autour de ce lit aux draps de soie carmin et aux larges oreillers pourpre foncé. C'était une chambre circulaire. Sur le sol était posé un épais tapis rouge. Les murs étaient parcourus de portes-fenêtres de types victoriennes aux sommets bien arrondis qui laissaient facilement entrer la lumière. Mais les voilages roses pastel et les lourds rideaux pourpre foncé obstruaient la lumière du jour ; Les murs étaient tapissés de papier peint épais et à relief jaune. Des deux côtés du lit, on pouvait toujours voir des poufs et des canapés louis XIV rouge et aux moulures or avec, ici et là, des petits coussins rose et violet disposés tout le long des murs, avec de petites tables basses en bois rose et des bibliothèques basses fait dans le même bois. Il y avait un espace aménagé pour une coiffeuse et un autre pour un bar à alcool. Au nord et au sud de la pièce reposaient à bonne hauteur de grands et larges miroirs aux moulures dorées qui agrandissaient encore plus la chambre, et l'illuminait encore plus lorsque les rayons du soleil s'y reflétaient. On pouvait apercevoir, sous chacun de ces miroirs, en leur milieu, une porte, ronde, qui menait soit dans une immense salle-de-bain, soit dans un vestibule avec l'entrée à l'étage et une autre pièce où se trouvait une penderie tout aussi démesurée que le reste.

La jalousie.

Une main mutine se promena sur le torse du jeune homme et commença à tracer diverses arabesques qui le firent soupirer de plaisir.

Le jeune homme se mit totalement sur le dos pour mieux s'offrir aux caresses voluptueuses et regarda le grand lustre placé juste au-dessus de sa tête. Son amant lui avait confié que ce lustre imposant de 1m20 d'envergure était coulé dans de l'or le plus pur et qu'il ne voulait pas que du vulgaire cristal de baccarat orne le lustre en or massif. Alors, il avait fait monté d'énormes diamants purs, sculptés en forme de goutte avec des facettes pour plus d' «éclats luxueux », lui avait-il avoué.

Sont les pires sentiments de l'humanité.

L'homme le plus âgé déposa une multitude de baisers secs et brutaux, presque affamés, comme s'il voulait dévorer cette jeunesse pour la faire sienne. Il enserra la verge de son compagnon qui soupira de plaisir tout en l'embrassant sauvagement.

Il descendit vers le cou alors que sa main droite effectuait de lent va-et-vient. Le plus âgé, qui était allongé sur son côté gauche à la droite de son compagnon, avait passé son bras gauche derrière la nuque du plus jeune, qui commençait sérieusement à s'échauffer. La main gauche reposait au-dessus de l'épaule du plus jeune et les doigts s'activaient autour du téton durcit du jeune homme. Les doigts finirent par titiller, pincer, rouler, agacer le téton érectile. Le jeune homme se mit à soupirer de plus en plus fort dès que la bouche vorace de son amant repris possession de sa bouche, entraînant leurs langues dans un ballet frénétique.

Le plus âgé des deux retira son bras gauche derrière la nuque de son amant pour se relever un peu et se mettre à califourchon sur lui. Leurs organes en érection se frôlaient donc, déclanchant des décharges de plaisir chez les deux partenaires. Le jeune homme se mit à onduler de plaisir pour en avoir plus. Son amant penché au-dessus de lui passa sa langue sur ses abdos bien dessinés et s'éternisa dans le nombril de son amant frétillant.

Car ce sont eux qui mènent les plus grands hommes à leur perte.

- Ooooh !... Brian !... Mmmmm… Aaah !... Vite !... Encore… Plus!

Brian se concentra alors à lécher sur toute la longueur le pénis de son compagnon, dont le bout commençait déjà à perler. Il l'engloba alors tout entier dans sa bouche et fit des va-et-vient de plus en plus rapide. Au moment où il sentit que la délivrance allait venir pour son Apollon, il arrêta brusquement ses caresses.

- Aaaargh ! Non ! NO! I beg you! Come on! Please take me! Take me, NOW! I beg you!

Brian savait qu'il le frustrait en plus de lui faire du mal. Car laisser un homme avec son désir à ce stade là le faisait immanquablement souffrir.

- Ceci est ta punition pour ton excès de colère.

- Non !... Il n'est pas mort de t…

- TU N'AVAIS PAS À LE FAIRE ! J'ai besoin de lui pour me débarrasser de cet épineux problème !

- Briaaaaan… Il souffrait. Il avait mal. Alors qu'il dirigea sa main pour finir le « travail », Brian lui pris violemment la main fautrice et allongea tout aussi violemment son amant sur le dos. Il passa les jambes de son amant autour de son cou et, à genou entre les jambes en question, son phallus au garde-à-vous, il le pénétra telle une bête enragée.

- Mais tu sais très bien que je t'aime W2R, alors je te pardonne. Cela pourrait nous servir de toute façon.

Sur ces paroles, il le besogna de plus en plus fort et de plus en plus vite. Une de ses mains s'activa à la même cadence que ses coups de butoir sur le sexe gonflé de sang de son amant.

Et c'est cinq minutes après qu'ils connurent la délivrance ultime.

Leurs corps retombèrent mollement sur les draps défaits du grand lit. Ils se regardèrent quelques instants avant de se sourire cruellement.

- Il est temps de nous occuper de notre souriceau et de son gros rat.

- En effet.

- M2S ! Viens ici immédiatement !

- Oui, mon maître.

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- Quelles sont vos suggestions ?

- Nous avons déjà affaiblie leur défense et ébranlé leur convictions, maître. Disait le brun aux mèches orange.

- Nous les avons profondément infiltré, aussi. Continua le ténébreux à la peau blanche comme de la cire.

- Nous devons frapper plus fort ! Renchérit le blond-blanc aux allures d'aristocrate.

- Je vois. Dit posément le grand Lord noir face à ses trois généraux.

- Il faut s'en prendre à un symbole de pouvoir universel. Ajouta le ténébreux.

- Cet empoté de ministre de la magie fera l'affaire… Disait calmement le seigneur des ténèbres.

- Devons-nous le supprimer, my Lord ? Demanda l'aristocrate.

- Que nous le tuons ou pas, il est bien trop malléable… Nous pourrions l'utiliser pour l'exécution de certains de nos plans, mais le problème est qu'il est directement et presque totalement sous l'influence de Dumbledore. Constata le ténébreux.

- Il faudrait un des notre à sa place et écarter le vieux cinglé du ministère une bonne fois pour toute ! Proposa le brun aux mèches orange.

- Nous nous occuperons de cet aspect dans un deuxième temps. Trancha le Lord noir.

- Ce plan est tortueux ! Je ne pense pas que le vieux parchemin citronné y pensera ! Surtout que l'attaque s'effectuera d'une manière qui ne nous ressemble guère ! Tout sera enfin prêt pour la semaine prochaine.

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Quelque part dans la banlieue Londonienne, dans un hôtel particulier.

Harry était confortablement installé dans un canapé 6 places en forme de « L » tout en cuir de buffle de couleur vert foncé. Il était nonchalamment adossé au dossier de ce coûteux canapé et tenait dans sa main gauche une petite coupelle blanche contenant du saké.

Il était plongé dans ses pensées qui, inévitablement, le menaient à douter de son choix d'aider le vieux croulant. Il bu son saké.

Il tenait toujours la missive de Dumbybeurk dans sa main droite qui reposait le long dossier.

Il soupira.

Il jeta la missive sur la table basse, prit la bouteille de saké qui reposait sur l'épais tapis rouge sang et la bu au goulot.

Si sa Shiori le voyait, elle se serait transformée en harpie moralisatrice. Bon, c'est vrai, il avouait que ce n'était pas une raison de se réfugier dans l'alcool parce qu'il flippait comme un malade quant aux conséquences de la décision qu'il avait prise. C'était la meilleure et la plus plausible de toutes. Et celle qui ferait le moins de victimes collatérales.

Il regarda sa grande horloge à pendule sur pied en pin massif, (il n'y aurait jamais sous son toit de contre-plaqué), et soupira de plus bel.

- Vive la potion de déssoulage et d'haleine fraîche ! S'écria-t-il.

Il se leva avec la grâce du félin et prit sa petite veste en coton et cachemire blanc et fila rejoindre le vieux directeur dans un resto du coin.

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Chez MacDonalds, fast food moldu, dans le Winchester.

Harry poussa la porte du célèbre fast food et chercher du regard Dumbledore.

Il le trouva finalement assit devant une petite table pour deux avec, devant lui, un plateau sur lequel s'entassaient 4 grandes frites, 6 méga mac (big mac à 4 étages) et 2 maxi boissons dont un foncé (du coca, assurément !).

Il s'installa sur la chaise qui était en face du vieux directeur de Poudlard de manière détaché et lança sur le ton de la conversation :

- Vous allez tomber malade en mangeant tout cela, à vous seul.

- Sluuuuuuuuurp ! Fit Dumbledore en buvant un de ses breuvages. Mais c'est si bon ! Dit-il en léchant ses lèvres sucrées par la boisson.

- Que buvez-vous ?

- Du coca-cola light lemon ! Je fais attention à ma ligne ! Rajouta-t-il en mordant à pleine dent son méga mac.

Harry leva un sourcil, puis décida d'entrer dans le vif du sujet :

- J'ai lu votre missive et j'y ai réfléchit à la meilleure solution pour résoudre le problème qu'Il pose.

- Je t'écoute, dit joyeusement le vieil homme au regard pétillant.

- J'ai tourné et retourné la question 100 fois dans ma tête, et je pense avoir trouvé le meilleur plan que Voldemort mettra en action ! J'en suis même sûr ! Le seul hic est la résolution de ceci.

- C'est-à-dire ?

- Le meilleur moment pour lui de frapper un grand coup sera dans une semaine. Ses actions précédentes démontrent son acharnement dans le désir de vous miner aux yeux de la population sorcière, ainsi que d'affaiblir considérablement les défenses du ministère.

- Où veux-tu en venir, dit sérieusement le vieux directeur.

- Arrêtez de me couper la parole ! J'y viens.

Le vieux directeur repris la dégustation de son cinquième méga mac, de son quatrième paquet de frite et de finir sa deuxième boisson au citron.

- Je disais donc, pour vous achevez et vous déstabiliser, il est dans l'obligation de s'attaquer à un symbole fort, quel qu'il soit, mais suffisamment lourd pour tout faire basculer en sa faveur.

Dumbledore fit mine de s'arrêter de manger pour mieux écouter Harry exposer ses suppositions.

- Dans une semaine, le ministre de la magie anglais Fudge reçoit à demeure le grand Conseil International des Ministres Sorciers. C'est à ce moment là qu'Il frappera.

- Par Merlin ! Je n'y avais pas du tout pensé, dit sincèrement Dumbledore.

- Il faudrait donc lui tendre un piège. Une embuscade. Voilà comment il faudra agir…

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Quelque part, dans une ville du pays de Galles.

Lord Voldemort tenait personnellement à participer à cette mission de la plus haute importance. Ses hommes et lui-même avaient tout préparé dans les moindre détailles. Ils avaient prévus divers scénarios si cela tournait mal et les solutions à ces imprévus. Ils étaient confiants.

Il était 2h du matin passé dans les rues de la ville de Cardiff, dans le pays de Galles. On était en fin juillet et les soirées étaient toujours aussi chaudes et sèches.

Ils se trouvaient dans un quartier d'entrepôts où se mêlaient de grands hangars pour accueillir les participants aux concours, des boîtes de nuits avec la sono à fond, des bureaux, des centres de stockages. Le quartier était aussi bien animé le jour que la nuit, bien qu'isolé d'un peu de tout. Cela ne poserait aucun problème si quelqu'un provoquait un incident sonore par mégarde.

Mais le maître-mot était la discrétion et la précision.

En face de lui se tenait un petit immeuble de six étages. Cela ressemblait à des bureaux préfabriqués empilés les uns sur les autres. Cet immeuble, qui avait une rue parallèle à chacun des ses quatre côtés, formait un petit bloc dans le quartier et le dernier étage s'éteignit enfin.

La réunion était finie, les premiers ministres sorciers des États du monde allaient sortirent dans quelques minutes.

Le groupe de Voldemort était posté dans l'immeuble en face de la cible (l'immeuble où se déroulait la réunion), dans le troisième. Ils avaient une vu plongeante sur la sortie principale de l'immeuble. L'immeuble de Voldemort se trouvait lui aussi entouré d'immeubles.

L'immeuble situé en face du côté gauche de la cible n'avait qu'un terrain vierge et plat à sa gauche. Dans cet immeuble se trouvait le groupe de Lucius MALFOY, posté au rez-de-chaussée, prêt à intervenir, baguette à la main.

Dans l'immeuble situé en face du côté arrière de la cible, se trouvait le groupe de Severus. Lui aussi pouvait voir, du haut de son cinquième et dernier étage, le terrain vague placé à sa droite. Devant lui se tenait la sortie de secours de l'immeuble-cible. On n'était jamais trop prudent, on ne savait pas avec quelles certitudes les cibles mouvantes allaient se diriger. Tous ses sens étaient alertes. Et ses hommes, comme tous les autres mangemorts, étaient en position, baguette en main.

Et enfin, dans l'immeuble en face du côté droit de l'immeuble-cible, se trouvait le groupe d'Evan ROSIER. Cela faisait 4h qu'ils étaient en position au rez-de-chaussée de ce hangar de travail d'un étage à suffoquer de chaleur en attendant la sortie de leurs victimes. Cela faisait 4h que l'immense barrière anti-transplanage était posée autour des quatre bâtiments investis qui devait mesurer au moins 1 km de diamètre en prenant l'immeuble-cible pour centre.

C'était la puissance phénoménale de chaque chef de groupe qui permettait une telle « débauche » d'énergie. Au moins, leurs victimes ne pourraient s'enfuir ni en transplanant ni en portoloin, d'ailleurs. Leur maître avait depuis « découvert » une nouvelle fonction au bouclier anti-transplanage : il avait ajouté l'option anti-portoloin, aussi bien dans sa fabrication que dans son utilisation.

Des éclaireurs étaient allés vérifier plus tôt dans la journée, que les futures victimes se réunissaient bien en ces lieux.

Le ciel aussi était surveillé. Aucun balai, tapis volant ou autres objets magiques non-identifiés ne pouvaient survoler la zone protégée par l'immense bouclier multifonctions.

C'est à ce niveau de réflexion qu'il vit le signal lui indiquant que le spectacle allait enfin pouvoir commencer !

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Voldemort avait lancé le signal dès qu'il vit les lumières s'éteindre.

Le show allait pouvoir commencer !

Tous se mirent en position d'attaque, baguette prête à lancer le sortilège de la mort.

Le premier homme sorti. Puis deux, trois …. Et le manège commença.

- AVADA KEDAVRA ! Hurla Voldemort.

- REFLECTO ! Hurla une autre voix.

Et c'est à partir de ce moment-là que tout merda.

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- IMPEDIMENTA ! Hurla de nouveau Voldemort pour éviter son propre sort. Il porta son regard vers l'endroit où le sort avait été contré, mais ne vit qu'une troupe d'aurors qui fusaient vers l'extérieur. MERDE ! C'est quoi ce bordel ! S'écria-t-il fou de rage.

- Maître ! Cria un des mangemorts pour couvrir le bruit des sorts et maléfices qui fusaient. Que faisons-nous ?

- On se replit en essayant de faire quelques prisonniers, répondit le Lord noir après analyse de la situation. Il faut comprendre comment le ministère a été prévenu !

Les groupes de Voldemort et de Severus étaient à l'abri dans les hauteurs des immeubles. Ce n'était pas le cas des groupes de ROSIER et de MALFOY, qui était rapidement rejoint par les aurors.

Lucius venait tout juste de recevoir l'ordre de replis avec prisonniers de guerre, lorsqu'il se fit intercepter par un des mangemorts de son groupe.

- Milord ! Quels sont vos ordres ? Demanda-t-il, alors que les autres soldats tentaient, tant bien que mal, de repousser l'ennemi.

- On a ordre de replis ! Et il nous faut le plus de prisonniers possible. Nous sommes 24… Je veux huit prisonniers minimum.

- Bien chef !

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- STUPEFIX ! Lança ROSIER sur un auror qui fut ramené en sûreté au manoir avec quatre mangemorts.

- RICTUSEMPRA ! Lança un autre auror avant de lancer un sortilège de jambe en coton.

- Essayer de prendre un ministre ! Lança ROSIER.

Sa troupe s'était déployé autour de l'immeuble-cible et s'approchait à grand pas de l'endroit où étaient regroupé les ministres affolés.

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- COMMENT ÇA, ÇA NE FONCTIONNE PAS ! Hurla de rage le ministre de la magie de Maanchourie. Vous aviez dit que nous pourrions nous enfuir par portoloin puisqu'il n'existe pas de bouclier anti-portoloin, éructa-t-il de nouveau.

- TAISEZ-VOUS ! Cria TONKS énervée. Le tacticien de Dumbledore a prévu une autre solution au cas ou !

- Dites plutôt qu'il était au courant et qu'il avait prévu le coup pour monter au créneau et prendra ma place, dit d'une traite le ministre de la magie anglais, Cornelius Oswald FUDGE, de son petit nom !

TONKS bouilla littéralement de rage. Elle était déjà littéralement épuisée par tout le boulot que lui refilait le professeur Dumbledore, qui commençait sérieusement par lui sortir par le trou des yeux. Et voilà que cet empoté de premier ministre rajoute sa sauce et provoque des remous, alors que ce n'est ni le lieu ni le moment de le faire. Mais alors, vraiment pas !

Mais elle fut coupée dans son monologue par la douce voix de son supérieur.

- … MAIS VOUS ALLEZ ME RÉPONDRE QUAND JE VOUS PARLE, OUI ! Eructa-t-il. Espèce d'empotée à la solde de l'ennemi ! Lui dit-il de sa voix mélodieuse en lui postillonant en pleine figure.

'Calmes-toi … Calmes-toiiiiiiii ! Ne lui arrache pas la tête, non, ne lui lance pas de crutio … Ce n'est pas bien ! Méchante fille ! Il faut être gentille et obéissante§ Jettes-lui un avada en pleine poire !

Elle le regarda avec un regard noir.'

- Arrêtez de prendre vos désirs pour des réalités ! Quel exemple vous montrez aux autres ministres de la magie ! Vous devriez apprendre leur sang-froid et leur lucidité ! Si vous avez fini avec vos délires, j'aimerais vous ramener dans un lieu sûr ! Un plan de secours a été prévu pour ça ! Lui lança-t-elle de sa voix la plus glaciale. 'Ooooh que ça fait du bien, par Merlin !'

FUDGE bouillonna de rage ! Il allait apprendre à cette garce à le respecter !

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Voldemort avait déjà attrapé et ramené au manoir deux aurors avec d'autres hommes à lui, lorsqu'il aperçu, au loin, FUDGE 'Quel imbécile détestable, tout de même !' qui s'énervait contre une jeune auror qui, visiblement, avait la même envie de le massacrer.

Il souriait à pleine dent car les ministres constataient, avec effrois et étonnement, que les portoloins ne fonctionnaient pas. Normal. Puisqu'il est l'inventeur de ce barrage spécial.

- Ils sont fait comme des rats ! Dit-il en ricanant. Toi ! Prends ce type-là et rentre avec lui au manoir ! Endormez tout les otages !

- Oui, seigneur ! Répondit le fidèle mangemort en s'attaquant déjà à sa cible.

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La troupe de ROSIER se focalisait sur la prise en otage d'un ministre de la magie étranger. Ils virent avec satisfaction les forces adverses faiblirent.

'Tant mieux ! Nous commençons nous aussi à faiblirent !'

- Regardez celui-là ! Il pointa du doigt un ministre asiatique. Prenez-le ! Il s'est isolé, l'idiot !

- Oh ! Lui ! On l'aura, milord ! Dirent les mangemorts en ricanant méchamment.

De son côté, Severus et ses hommes ne subissaient aucune perte ; Ils se contentèrent de rester à couvert (Ordre du Maître !) et lançaient discrètement des sorts mortels pour protéger les leurs. Personne ne se doutait de leur présence.

'Parfait ! Nous bénéficions de l'effet de surprise pour une attaque en retraite, ainsi !'

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Lucius aperçu sur sa droite, TONKS et FUDGE qui se disputaient. La jeune femme semblait au bord de la rupture d'anévrisme.

Il l'aimait bien, cette jeune auror d'une maladresse « particulière ». Les sorciers qu'il connaissait lui mangeaient dans la main ou le détestaient (la jalousie !) et le montraient bien. Mais elle, malgré sa réputation « infondé » de mangemort froid, sanguinaire, cruel et sans cœur, et de son haut rang d'aristocrate, l'abordait simplement. Comme l'homme qu'il était. Elle l'appréciait tel qu'il était et restait franche avec lui.

Elle semblait hésiter entre l'avada kedavra et le coup de poing en plein dans la face de FUDGE.

Il décida de l'aider ; Cela le soulagera de supprimer cet ordure à la connerie transcendale ! 'Tient ! Un auror ! Tant qu'à faire…'

- AVADA KEDAVRA ! CRUTIATUS ! Cria Lucius en lançant le sort avec force sur le profile de FUDGE.

Puis il vit, comme au ralenti, le sort se diriger sur FUDGE qui, au même moment, tirait violemment TONKS vers lui, en reculant un peu, et lui donna un puissant coup de genou au ventre.

Le sort allait la toucher.

Le sang déserta le visage de Lucius.

Et il cria à pleins poumons :

- NooOoOooOOOOooooN !

Fin du chapitre 4


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Keiko : Aaaaaaah ! Enfin fini !

Tout le monde : C'est pas trop tôt ! 9a fait quand même un mois que te teste pour taper ce texte !

Keiko : Maieuh ! C'est trop long ! T.T ''

Dumby : J'ai un rôle intéressant !

Voldy : Moi, justement, c'est ce qui me fait peur !

Keiko : Pourquoii ? O.ô'

Harry : Tu aimes dumby…

Voldy : … autant que tu déteste FUDGE…

Ron : … on se retrouve avec des rôles peu « commun »…

Hermione : … qui ne laisse rien présager de bon pour nous !

Keiko : …

Tout le monde : …

Keiko qui fait un rire méga sadique de la mort.

Tout le monde : GLOUPS !

Keiko : Bref ! Comme vous le pouvez constater dans mon profile, j'ai n'ai pu me restreindre à une seul fic… Celle qui n'a toujours pas de titre aurait pris la place de celle-ci, mais vu que je n'arrive toujours pas à me décider… A LA PROCHAINE !


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Allez dans mes favoris auteurs et lisez les fics de « Mambanoir » et de « Samaraxx », ainsi que de « Ertis » ! Ils valent le détoure !


Le mercredi 10 mai 2006, 22H04.

17 pages Word, Times New Roman point 14 (histoire), point 12 (le reste).

publié le mercredi 10 mai 2006 à 22H34.