« Blanche
Neige debout !
C'est Noël !
—J'me lève
dans cinq minutes.
—Immédiatement sinon je monte !
—O.K.
O.K. t'as gagné ! »
Elle se leva et chercha des yeux son uniforme.
« Tan, où sont mes habits ? »
L'elfe
de maison surgit
« Voici la robe que vous mettrez
aujourd'hui. »
Une robe blanche avec un col carré, des manches courtes et une jupe plissée qui arrivait aux genoux ceinturé de rouge avec des chaussures de même couleur. Heureuse Tilia l'enfila et laissa ses longs cheveux détachés (n.d.a. : elle a le look petite-fille mais elle n'a que 12 ans !).
Lorsqu'elle arriva dans la salle commune, James et Sirius la bombardèrent de papier cadeau.
« T'as
mis un quart d'heure, espèce de fille !
—Je suis
une fille, espèce de crétin !
—Viens ouvrir
tes cadeaux petite Blanche-Neige !
—J'ai des
cadeaux !
—Ouiiiiiii ! »
Elle avait reçu une boîte de friandises de la part d'Anna et Dicey, un livre de Lily avec un mot : « Je l'ai choisi gros exprès pour que tu puisses taper les deux autres et leur faire très mal. » et des maraudeurs plein d'ingrédients qui n'étaient pas sur le marché (n.d.a. : illégaux quoi !). Elle jeta un coup d'œil à Sirius qui lui répondit qu'elle n'avait pas à poser ce genre de questions. Un grand paquet attira son attention, elle l'ouvrit et découvrit un phœnix, la courte note qui l'accompagnait indiquait : « Ta mère l'appelait Fumsec »
« Fumsec,
expliqua la jeune-fille, j'espère que tu t'entendra bien
avec Nagini !
—Nagini ! s'exclamèrent les
deux hurluberlus qui fixaient le phœnix avec de grands yeux.
—Heu…
J'ai très faim !
—Le long serpent porte un nom !
Je me suis toujours demandé pourquoi il t'obéissait !
—Ton
hibou t'obéit, non ?
—O.K., on va manger !
maugréa Sirius qui ne voulait pas se mesurer à Tilia
(n.d.a. : il était sûr de perdre »
Dans la grande salle, il n'y avait plus qu'une table.
« Ouaw
on dirait une piste de danse, s'exclama Sirius. Tu danses
Wantiliana ?
—O.K. fit celle-ci.
D'un coup de baguette, James mit de la musique et Sirius et Tilia se mirent à danser un rock endiablé. A la fin de la chanson, ils furent salués par les applaudissements des professeurs. Sirius se mit à saluer son public, puis les Gryffondors s'assirent avec leurs professeurs.
Les plats étaient excellents et les 3 élèves ne se souciaient pas de la discussion de leurs professeurs. Mais un groupe de mot résonna à l'oreille de Tilia : « Vous-savez-qui » :
« Il
refuse de discuter et massacre des moldus.
—Il humilie le
ministère.
—C'est un monstre.
Tilia contenait difficilement sa rage. Mais le professeur de divination ajouta :
« Il
est in-ca-pable d'aimer !
—Qu'en savez vous !
fit-elle de sa voix la plus froide. Et comment savez-vous qu'il
refuse de discuter, lui avez-vous proposé ?
—Tilia…
commença le professeur Dumbledore.
—Vous le critiquez,
mais vous ne le connaissez pas ! Vous ne lui avez jamais
parlé ! Si, lorsqu'il était jeune, vous ne
l'aviez pas ignoré, il ne ferrait pas ça maintenant !
Et le pire, c'est que vous le critiquez dans son dos car vous
n'osez pas lui parler ni même pronnoncer son nom. Celui du
plus grand sorcier de tous les temps : Lord Voldemort !
Pendant
un instant, elle tremblait de rage puis elle sembla se ressaisir et
sortit de la salle dignement. Lorsqu'elle fut à l'abris
des regards, elle se mit à courir. Elle déboula dans la
bibliothèque et se mit à pleurer de rage, puis de
tristesse. Son père était-il comme tout le monde le
décrivait ? Elle ne remarqua pas que se ailles sortaient
de son dos.
« Sirius,
elle est ici ! Tilia, qu'est-ce qui… Par Merlin !
—James, elle va bien ? Merde ! Tilia, tu es une…
une… une pas-humaine !
—Sirius quelqu'un viens !
—Oh
Merde ! Miss Sortis veuillez m'excusez, mais je dois vous
enlever. »
Sans
attendre de réponse il la pris dans les bras et avec James, il
s'enfuirent. Ils arrivèrent essoufflés à la
salle sur demande et Sirius déposat Tilia su un grand
canapé.
—Ici personne ne viendra.
—Ecoute
Wantiliana, on veut pas te brusquer, mais on aimerai savoir quand
même ! On sait rien sur toi et toi, tout sur nous et là,
d'un coup tu réagis, bizarrement !
—Si je vous le
dit, vous allez me détester.
—Jamais.
—O.K.. Bon
comme vous avez pût le remarquer je ne suis pas totalement
humaine ; ma mère était une elfe des bois.
—Des
bois ?
—Bon, lorsque les sorciers découvrirent les
elfes des bois, ils furent impressionnés car tout était
propre chez eux et les elfes étaient d'une grande bonté.
Et quand ils rencontrèrent les elfes de maisons, ils
retrouvèrent la même propreté. Les elfes des bois
voulaient la liberté, tandis que ceux de maison voulaient
servir les sorcier.
—O.K.
—Donc ma mère était
une elfe des bois…
—OK et pourquoi tu as défendu…
—Hé
vous deux ! Je crois que j'ai trouvé ce qu'il nous
fallait pour la carte, s'exclama Sirius.
—James tu te rends
compte, lorsqu'on était à la bibliothèque
Sirius refusait de toucher, ou même regarder un livre, il
arrive dans cette salle et prend un bouquin et trouve la solution !
C'est Zarbi !
—Ouais, tu peux plutôt dire :
« c'est Sirius ! »
—Bon maintenant
que j'ai trouvé, j'attends tes compliments ma petite
Blanche-Neige !
—Mon cher petit Siriuchounet tu n'es
qu'un rustre, un pervers, un débile mental et un abruti de
première ! lui susurra Tilia.
—Je n'en demandait
pas tant !
—Mais si ! J'insiste Siriiiiii
Bon repli tes ailes!
