Disclamer : Ils ne sont pas à moi. Quel dommage ! Et pourtant c'est pas faute d'essayer… Pouff, la vie est trop injuste.
Catirella : Hlo ! toujours merci pour Duo. Il est tout content avec les gâteaux que je lui fais. Et toi ? tout se passe bien aces Heechan ?…
Hlo : Je suis super mature.. je boude… Heechan est merveilleux, tantôt tendre, tantôt volcanique, … Le super pied ! Mais j'ai plus les deuuuuuux………… T'étais pas sensée me le rendre dimanche ? T'es sûre que tu veux que je continue à corriger ? (oui, oui, c'est un chantage !)
Catirella : Pour Dudule… Ce soir ta pas oublier ! …Et n'oubli pas Heero…
Couples : Duo/Heero - Quatre/Trowa
Genre : Ben pas de genre spécialement.
Hlo, béta de Catirella :
J'aime bien la puce..
Et je me répète : Quatre est un homme, un vrai ! (heu… l'ange gardien là, le prêt de Quatre c'est UNE soirée, t'as de la chance que j'étais dans un bon jour…)
Et on entend enfin le son de la voix de Trowa… Il est totalement OCC ! Vous voilà prévenus, ne vous effrayez pas. Il est super sympa comme ça
Et Duo…. Troooop attachant ! Vive mon chéri !
Je m'excuse pour le temps de correction… C'est entièrement ma faute si cette fic a mis si longtemps pour être publiée. Attention, je l'adore ! C'est une de mes préférée. Demandez à Cat, je suis une puce électrique à chaque nouveau chapitre. Mais vous avez vu la longueur ? Je stresse à chaque fois. Ça me prend des heures à corriger… Au secours !
Une béta lectrice qui appelle à l'aide
Note de l'auteur : Bien… Vous avez l'air d'aimer cette fiction alors on y va pour le trois. « Hlo…Respire et reste détend toi…! ». Biz, Cat
ooWoo
WINNER Company III
ooWoo
La voiture les conduit maintenant chez les Chang. Dans moins de 5 minutes ils y seront.
Duo joue avec sa natte, signe de nervosité, et Quatre le regarde avec beaucoup de peine pour lui.
Pensée de Quatre : « Faites qu'il y arrive… Ma puce, tu dois trouver le courage en toi… Toi seul peut y arriver… »
Perdu plus au moins dans leurs pensées respective, ils sursautent quand le véhicule s'arrête devant une maison typiquement Chinoise. Duo ne bouge pas et Quatre lui caresse les cheveux.
« Allez Duo… Il faut descendre maintenant… »
« Oui… Je descends… »
Ils sortent tous les deux de la voiture et se dirigent vers l'entrée de la maison.
Quatre frappe à la porte et, quelques secondes plus tard, une femme vient leur ouvrir en s'inclinant.
« Bienvenue à vous messieurs. Maître Yichang vous attend avec les enfants » En Chinois
Quatre ne comprend pas un traître mot.
« Merci de votre obligeance Madame, nous vous suivons » En Chinois
« Qu'est-ce qu'elle a dit ? Et que lui as-tu répondu ? »
« Elle nous a souhaité la bienvenue et nous a prévenu que Maître Yichang nous attend avec les enfants… Je l'ai remerciée et là, nous la suivons… »
« Merci. J'aurais dû prendre option Chinois au lieu de Suédois ! »
« Baka… Et ça c'est Japonais, pas du Chinois ! »
« Et idiot c'est quelle langue ? »
« Les enfants ! Comme ils ont changé… »
Duo ne peut retenir ses larmes à leur vue. Les deux enfants se précipitent dans les bras de leur oncle qui est maintenant à genoux.
Les enfants ensembles « TONTON DUO…… »
Ils se jettent dans sur lui en pleurant. Quatre pleure à son tour, la femme a préféré prendre congé et Maître Yichang a les yeux qui brillent.
L'avocat leur laisse le temps de se retrouver. Des câlins, des bisous et surtout un besoin de chaleur paternelle de la part des deux petits bouts de chou.
Duo les couvre de baisers et les serre très fort dans ses bras.
« Tonton Duo, pas si fort ! J'arrive plus à respirer moi… »
Duo sourit. Chun lane, du haut de ses 4 ans, était toute mignonne. Elle avait une petite robe jaune vichy, typiquement Européenne, et Wang, qui avait 6 ans, portait un superbe ensemble short et chemise. Sûrement l'uniforme de l'école où il devait être inscrit.
« Tonton… »
« Oui mon poussin ? »
« On va rester avec toi hein ?… On ne veut plus rester tous seuls dans la maison… Chun lane , elle a peur et moi aussi… Tu vas nous emmener avec toi, hein, dis ?… »
Duo ne sait pas quoi répondre. Il ne sait pas ce que Wufei et Meiran ont exactement demandé dans leur testament. Il lève les yeux vers Maître Yichang qui les regardait. Et celui-ci lui fait oui d'un hochement de tête. Duo ferme les yeux dans un soulagement, puis les rouvre.
« Oui mes chéris… Vous allez rester avec moi ! Je vais vous ramener avec moi à notre hôtel et ensuite en France. Vous voulez bien venir en France ? »
Une seule voix « OUI ! »
Les enfants sont blottis dans les bras de Duo, le sourire aux lèvres, et des larmes coulent le long de leurs joues si petites.
« Mes amours, je dois, avec tonton Quatre, parler à Maître Yichang. Vous voulez bien aller jouer dans le jardin pendant ce temps-là ? »
Ils regardent en direction de Quatre qu'ils n'avaient pas encore réellement vu. Ils laissent Duo pour aller sauter dans les bras de Quatre qui les réceptionna tous les deux.
« Tonton Quatre, tu es là aussi ! »
« Oui Wang je suis là ! Tonton Duo avait besoin d'un traducteur de Chinois… »
« Mais tonton… Tu ne parles pas Chinois… »
« Oh ! Oui ! Tu as raison Chun lane. Ce n'est pas grave, je suis heureux de vous avoir dans mes bras tous les deux… »
Il les embrasse et les enfants lui rendent ses bisous.
Il les repose au sol.
« Allez jouer maintenant. On vous rejoint dés que nous avons fini avec Maître Yichang. »
Wang tient sa petite sœur par la main.
« Tonton Duo ?… »
« Oui Wang ? »
« Vous partez pas sans nous hein !… On veut plus dormir ici sans papa et maman… »
Duo se retient de pleurer.
« Non, mon cœur… On ne partira pas sans vous. Promis. »
Wang et Chun lane lui font un grand sourire et ils se dirigent vers le jardin.
« Maître Yichang, je pense que vous avez compris qui est qui. »
« Oui M. Maxwell. Et je suis heureux de voir que M. et Mme Chang ont confié leurs héritiers à une personne digne de leur donner tout l'amour dont ils auront besoin au fil du temps… »
« Merci. Bien que j'aurais préféré ne jamais avoir à le faire à leur place… »
« Je comprends… Si nous nous asseyons ? Nous serions mieux pour parler des dernières volontés de M. et Mme Chang concernant leurs enfants et leurs biens. »
Ils prirent place tous les trois. La femme, qui était en fait la nourrice des enfants, leur apporta du thé avec des gâteaux. Duo lui demanda si elle pouvant préparer deux valises ou sacs de vêtements, photos, doudous et jouets pour les enfants. Elle lui dit que « Oui » et prit de nouveau congé.
Maître Yichang leur lut le testament et leur expliqua les circonstances de leur décès.
« Ils m'ont tout légué mais pourquoi ? Je ne comprends pas… Pourquoi n'ont-ils rien donné à leurs enfants ? … »
Les lois sont différentes ici M. Maxwell. Je pense qu'en faisant cela, ils ont pensé que vous protégeriez au mieux leur héritage ainsi que cette maison… »
« Oui je comprends… Je prendrai toutes les dispositions dès mon retour en France. Par contre, je souhaiterais que ce soit vous qui vous occupiez des biens ici en Chine. Si vous le voulez bien Maître Yichang. »
« C'est un grand honneur M. Maxwell et j'accepte avec joie… »
« Bien. Voilà au moins un point de réglé. Pour la maison, ne changez rien… Je veux que lorsque nous reviendrons ils retrouvent tout comme aujourd'hui. Maintenez les dépendances et la maison propres, je vous ferai parvenir l'argent nécessaire à son entretien, ainsi que pour celui de leurs sépultures, tous les ans »
« Oui M. Maxwell, tout sera fait selon vos désirs… »
« Merci Maître Yichang. »
Quatre n'a rien dit. Il n'avait rien à ajouter, juste être au côté de Duo, dont il est très fier à cet instant. Il se contenta de les écouter en buvant son thé et en mangent des petits gâteaux.
« Je peux emmener les enfants avec moi ? J'ai pris votre hochement de tête pour un oui … »
« Oui bien sûr vous pouvez les emmener avec vous. Je suppose qu'ils n'iront plus à l'école maintenant ? »
« Non, ils n'iront plus à l'école ici… Nous allons profiter de notre séjour avec eux, le temps que les derniers papiers soient prêts ainsi que leur visa. Nous allons faire plusieurs choses avec eux… »
« Comme aller sur la sépulture de leurs parents… »
« Oui je comprends M. Winner et je vous ferai prévenir à votre hôtel dès que tous les documents seront prêts. »
Il donne à Duo un trousseau de clé.
« Ce sont les clés de la maison ainsi que celle de l'autre voiture… »
« Je n'ai pas pensé à la deuxième voiture ! »
« Je la ferai entretenir, ne vous inquiétez pas, de cette façon, lorsque vous viendrez, vous aurez un moyen pour vous déplacer. »
« Merci Maître Yichang… Je ne sais pas comment vous remercier d'avoir pris toutes les dispositions pour les enfants depuis le décès de leurs parents… »
« Moi j'ai une petite idée. »
« Vraiment ? »
« Donnez-moi des nouvelles des enfants régulièrement avec quelques photos si cela vous est possible… Je me suis attaché à eux. Je n'ai pas de petits enfants et je n'en aurai jamais, hélas. Mon fils unique est mort lui aussi dans un accident de voiture, donc je suis à même de comprendre la douleur des enfants ainsi que la vôtre… »
« Je suis désolé pour votre fils. Mais il n'y a aucun problème, je prendrai vos coordonnées lorsque nous nous reverrons et je vous donnerai les miennes, puisque celles sur le testament ne sont plus les bonnes … »
« J'en serais ravi. Bien, je vais prendre congé… Je vous laisse le soin de dire à la nourrice ce que vous avez convenu pour elle. Bonne fin de journée à vous Messieurs… »
« A vous aussi Maître Yichang et encore merci pour tout… »
« Au revoir Maître Yichang à dans quelques jours. »
Puis il prit congé en laissant Quatre et Duo ensembles dans le salon. Pendant que Duo regarde en direction de l'endroit où Maître Yichang avait disparu, Quatre prend un petit gâteau dans une de ses mains.
« Duo… »
« Oui ? »
« Ouvre la bouge ! »
Duo qui n'a pas envie de réfléchir s'exécute.
Quatre lui fourre le gâteau dans celle-ci et lui referme avec un doigt sous le menton.
« Mâche ! »
« Mouifch !…. »
Duo est obligé de mâcher le gâteau et de l'avaler.
« QUATRE !… »
« Je sais, tu n'as pas faim…Ecoute, Duo ! Je n'ai rien dit quand je t'ai demandé si tu avais faim à l'hôtel, quand tu m'as répondu non… Tu as bu ton thé sans rien manger. Alors, c'est pas un petit gâteau qui va te tuer ! Et que vas-tu dire aux enfants quand il sera l'heure de passer à table ce soir s'ils te dissent « J'ai pas faim », hein ? Dit moi, toi qui est l'adulte, que vas-tu leur dire ? « C'est bien, ne mangez pas » ? Combien de temps, dis moi, combien de temps vas-tu les laisser sans rien dans le ventre ? Allez, réponds-moi ! J'attends ! »
Duo baisse la tête. Quatre a raison. Il ne laissera pas les enfants sauter plus d'un repas, et encore…
« Excuse-moi Quatchou, tu as raison… Je ne laisserais pas les enfants faire ce que moi je fais… Pardon Quatchou ! »
Quatre en profita pour prendre un deuxième petit gâteau et lui présenta devant la bouche.
Duo lui sourit et ouvrit celle-ci où le petit gâteau trouva sa place.
« Tu me fais faire le tour des lieux que je ne tombe pas des nues si les enfants me parlent de leur maison… »
Duo qui mâche son petit gâteau.
« Hum hum… »
Il avale.
« Oui… Je te fais visiter et ensuite tu rejoints les enfants dans le jardin pendant que moi je vais parler à la nourrice et lorsque nous viendrons pour qu'elle leur dise au revoir, tu pourras aller demander au chauffeur de mettre leurs affaires dans le coffre de la voiture… »
« Pas de problème, heureusement qu'il parle anglais sinon j'était pas dans le caca moi… »
Duo rigole. C'est vrai que le Suédois pour draguer les superbes spécimens masculins en Suède était très utile. Mais en Chine, son utilité n'existait pas.
Ils firent donc le tour de la maison, Quatre repéra les chambres des enfants et les deux valises prêtes. Duo guida Quatre jusqu'au jardin et les enfants lui sautèrent dessus dès son arrivée.
Duo trouva la nourrice et lui fit part de son attention de la dédommager pour ce qu'elle avait fait, ainsi que pour la perte de son emploi. Il lui dit aussi de se mette en contact avec Maître Yichang pour un éventuel travail. Elle le remercia infiniment, le dédommagement lui permettait de lui laisser le temps de se retourner au vu de la situation.
Tout le monde était dans le jardin maintenant. La nourrice fit ses adieux aux enfants et Quatre alla trouver le chauffeur pour les valises.
Duo avec ses neveu et nièce font une dernière fois le tour de la maison pour la journée.
Il est 17h45, ils sont tous les quatre dans la voiture qui les ramène à l'hôtel.
18h35, ils sont de nouveau dans la suite et les enfants foncent vers la grande baie vitrée pour voir Pékin en hauteur.
Duo et Quatre sourient devant leur émerveillement.
Les valises sont déposées par un employé de l'hôtel dans la chambre qui serra celle des enfants durant leur séjour, et il lui donne un pourboire en dollar. Il avait pensé à prendre ce qui lui restait de son dernier voyage au USA. Demain, il se procurerait des CNY (1).
Il est 11h35 en France, Duo demande à Quatre de rester avec les enfants pendant qu'il appelle Heero.
Paris
« Oui, Heero Yuy, je vous écoute… »
« Heechan, c'est moi ! »
« Mon ange… ça va ? Alors les enfants ? »
« Ils sont avec nous… Je suis leur tuteur légal jusqu'à leur majorité, voir sûrement la fin de leurs études ! »
« Je suis heureux pour toi… Ils vont bien ? «
« Oui, c'est dur mais… Quatre est là heureusement… »
« Tu manges ? »
Un blanc…..
« Duo ! … Tu es toujours là ? »
« Oui, oui, je suis là Heechan… »
« Duo, j'espère que tu as mangé un peu ! »
« Je… Je n'ai pas beaucoup mangé…. »
« DUO ! »
« Je vais manger ce soir, promis, et je vais faire des efforts. Ne sois pas en colère après moi ! »
Heero soupire. Même à des milliers de kilomètres, il avait peur de sa colère. Ce n'est pas ça qui allait le faire manger.
« Duo, je ne suis pas en colère… Mais mange un peu… Tu dois donner l'exemple aux enfants… »
« T'as parlé à Quatchou ou quoi ? Il m'a tenu les mêmes propos, c'est dingue ! »
« Quatchou ? … C'est quoi ce surnom ? »
« Oups ! Surtout ne lui dis pas sinon je suis mort, et tu ne veux pas qu'il me tue, hein mon amour ? »
« Ouais ! Ne change pas de conversation la puce… »
« Hé ! Pas la puce Heechan… T'as croisé Barton ? »
Pensée d'Heero : Pourquoi il me pose cette question ?
« Non, pas eu le temps. Je m'occupe plus ou moins de trois postes en même temps, donc je n'ai pas le temps de faire la causette au nouveau… »
« Bon, ben, ce n'est pas grave… Tu préviens Hilde pour les enfants ? L'avocat nous a dit que dans 4 jours au plus, tous les documents seront prêts ainsi que les visas pour eux. Je serai plus au moins leur nouveau père à ce moment-là… »
« Je t'aime mon ange… Je peux t'appeler ce soir ? »
« Bien sûr, mais n'oublie pas le décalage horaire… Appelle sur mon portable au cas ou je serais avec les enfants. Je t'aime aussi Heechan… »
« Je t'aime Tenshi… A ce soir ! »
« Oui ! A ce soir mon amour… »
Heero raccroche et il sourit en pensant à son ange.
Il regarde sa montre, 11h 43. Il prend sa veste et quitte le bureau de Quatre.
« Hilde ! »
« Oui Heero ? »
« Duo vient d'appeler, il a la garde des enfants… »
« Super ! Ils reviennent dans combien de jours ? »
« Quatre jours tout au plus d'après les dires de l'avocat. Je descends voir Réléna, tu nous rejoints pour midi ? »
« Pas de problèmes, je serai là, je passe un coup de fil pour qu'une hôtesse les rejoigne dans 3 jours à leur hôtel et tout, et je descends »
« A tout de suite. »
« Oui… »
Heero prend ce maudit ascenseur et arrive enfin à l'étage souhaité.
« Salut Réléna ! »
« Heero ! Il est déjà midi ? »
« Non, je suis venu aux nouvelles et par la même occasion t'annoncer que Duo était l'heureux tuteur des deux petits bouts… »
« C'est super. Donc, on va pouvoir acheter pleins de jouets et … »
« Oh oh, on se calme ! Tu ne vas pas les pourrir avant qu'ils ne soient déjà là… T'es pire que ma sœur ! »
« Rabat joie ! »
« Réléna, je… ? »
Trowa Barton s'arrête de parler en apercevant un homme dans le bureau de son assistante.
« Excusez-moi, j'ignorais que vous aviez un rendez vous. »
« Non, je vous en prie. Laissez-moi vous présenter… Heero, je te présente M. Trowa Barton le nouveau directeur marketing… M. Barton, vous avez devant vous M. Heero Yuy notre directeur informatique qui pour le moment officie comme sous-PDG et DRH pour raisons, dirons nous… Hum… Raisons familiales… »
« Baka ! »
« Merci Heero, je n'en attendais pas moins de toi… »
Heero tend la main à ce fameux Barton.
« Enchanté, désolé pour hier mais, comme l'a si bien dit votre assistante, des raisons inattendues m'ont fait quitter mon poste initial vers d'autres obligations… »
Pensée de Heero : « Oui… Ben, maintenant que je l'ai vu, je comprends mieux le pourquoi du comment… Celui-là ! Il ne peut pas s'empêcher de penser au bien-être des autres au détriment de lui-même… Il faut dire que là, il a fait fort, le type même de Quatre version homme… Reste à savoir si… Homme, il aime ? »
« Je suis ravi moi aussi de vous rencontrer, j'ai tellement entendu parler de vous depuis hier… »
Heero lève un sourcil.
« Vraiment ! »
Il regarde Réléna.
« Hé !… Ce n'est pas moi ! »
Trowa rigole et Heero le regarde à nouveau.
« Non, Réléna n'y est pour rien ! Je dirais que la gente féminine de la société est très au fait de votre personne, comme de celle de M. Winner et M. Maxwell. Et le fait que vous ayez dû quitter votre poste pour remplacer au pied levé les deux têtes de la direction, à circuler comme une traînée de poudre et les questions concernant leur absence fussent de tous côtés. »
Heero est stupéfié, ce type parle comme Duo…
« Tout va bien M. Yuy ? »
« Hn !… Oh, oui… J'ai eu l'espace d'un instant l'impression d'avoir Maxwell en face de moi… Whoua ! Vous parlez toujours autant ? »
« Le poste l'exige plus au moins. »
« Oui bien sûr ! »
« Trowa ? Je m'absente durant deux heures ce midi, je dois accompagner Heero pour un affaire urgente… »
« Vous êtes ensembles ? »
Réléna éclate de rire.
Pensée d'Heero : « Putain ! Il est direct ce type… J'aime bien. Au moins on tourne pas autour du pot. »
« Non… Nous ne sommes pas ensembles à moins que nous formions un couple à trois… Hilde vient toujours ? »
« Oui. Et tu es une baka… »
« Et de deux… »
Trowa éclate de rire à son tour.
Pensée d'Heero : « Je crois que je vais bien m'entendre avec lui. J'espère que le grand blond aussi par la même occasion. »
Hilde arrive juste à cet instant en criant.
« Allez ! On va les acheter ses lits pour les petits ? Oups !… Désolée, je ne vous avais pas vu… Monsieur ? »
« Barton… Trowa Barton »
« Ah oui, vous êtes le nouveau directeur marketing, Anne m'a parlée de vous ! Enchantée, je suis Hilde Schbeiker, l'assistante de M. Winner… »
Trowa la regarde avec de grands yeux. Hilde sourit.
« Appelez-moi Hilde, ça ira plus vite, mon nom de famille est imprononçable… »
« Merci ! Vous avez des enfants ? »
Pensée d'Heero : « Mais c'est qu'il est curieux en plus ! »
« Non, ce sont les enfants d'un ami qui arrivent en début de semaine prochaine. »
Réléna et Hilde le regardent et sourient.
« Oh ! J'ai un fils de 6 ans, je me demandais juste s'il y avait beaucoup de personnes qui avaient aussi des enfants et si… Enfin bref, ce n'est pas le moment, vous devez partir acheter des meubles. Je vous laisse… Réléna, on peut se voir à votre retour ? »
Pensée d'Heero : « Merde ! Il a un fils. (les yeux d'Heero devient vers la main gauche de Trowa) Il n'a pas d'alliance, bien que cela ne veut rien dire… J'ai bien peur que les plans de mon ange ne voient pas le jour. »
« Bien sûr, Trowa. Je viens immédiatement après avoir posé mes affaires. »
« Merci ! Bien, bonne après midi à vous… »
Heero et Hilde « Merci, à vous aussi… »
Heero et Hilde se regardent et se retiennent de rire. Trowa retourne dans son bureau.
« Je me demande qui est le ou la baka dans l'histoire ! »
Après avoir dit cela, Réléna se lève et les rejoint et rajoute :
« Heero, ne drague pas ma petite amie ! »
« Heero, tu me trouves belle aujourd'hui ? »
Le dit Heero lève les yeux au ciel et sort du bureau, suivi par deux femmes mortes de rire.
« Vous êtes deux onnas bakas … »
Ensemble « MERCI HEERO ! »
Puis ils prennent ce maudit ascenseur.
Retour à Pékin 19 heures.
« Duo ! Les enfants ! Il est l'heure de descendre manger. »
Les trois concernés arrive avec un regard qui en dit long.
Pensée de Quatre : « C'est pas vrai, j'en avais un et maintenant, j'en ai trois… Je ne vais jamais y arriver !… Bon. Je n'ai pas le choix… »
« Je ne veux aucune objection sinon je me verrai dans l'obligation de mettre une fessée au premier qui rechigne ! »
Duo et les enfants se regardent.
« Mais Quatre, je suis trop grand pour une fessée… »
« Ne crois pas ça Duo ! Et par la même occasion, je me verrai dans l'obligation de le dire à un certain Heero qui pourrait bien t'en donner une deuxième dès ton retour en France… »
Pensée de Quatre : « Comme ça il verra tes fesses toutes rondes… Hé hé… »
Duo a viré au rouge et les enfants sont tout sourire que leur tonton risque la même punition qu'eux s'il ne mange pas.
« C'est du chantage ! T'as pas le droit… »
Duo dit cela avec un air boudeur qui plut encore plus au enfants.
Quatre lui lance un regard avec un sourire en coin que Duo ne connaît que trop bien. Duo soupire. Il sait que Quatre est capable de mettre les deux menaces à exécution de par son côté sado-maso. Donc le choix est rapide… Aller manger ! Et puis, ne l'avait-il pas promis à Heero au téléphone ?
« D'accord… On va manger les enfants ? »
Ensemble « Oui tonton… »
Chun lane qui tient la main de Duo, tire sur celle-ci.
« Oui Chun lane ? »
« Qui c'est Heero ? »
Duo repique un fard et regarde Quatre qui se retient de ne pas éclater de rire. En pensant très fort « Chacun son caca. ».
« Je vous le dirai lorsque nous remontrons après avoir dîné d'accord ? »
Ensemble « D'accord tonton… »
Puis ils sortirent tous les quatre de la suite pour se rendre au restaurant de l'hôtel où Quatre avait réservé une table dés leur retour de la maison de Wufei et Meiran.
Duo jouait avec son plat, mais un coup de pied de la part de Quatre le força à le manger, ce qu'il fit. Les enfants mangeaient doucement mais plus que leur oncle.
Duo tenta un petit regard d'attendrissement en direction de Quatre qui n'eut aucun effet, il dut donc manger au moins les trois quarts de son assiette de pâtes commandée par Quatre.
Les enfants, eux, avaient eu des frittes avec un bifteck haché et ils étaient tout contents, ça les changeait du riz.
Quatre lui avait très faim, donc il avait commandé une bonne entrecôte avec trois tonnes de frittes et une sauce au poivre. Heureusement que le restaurant servait de la nourriture des quatre coins du monde.
Le dessert passa plus facilement. Indécis, Quatre avait de nouveau commandé pour Duo. Les enfants voulaient des glaces et ils ont eu chacun 3 boules avec leurs parfums préférés.
Duo n'avait pas entendu ce que Quatre lui avait commandé, mais lorsque le serveur posa devant lui une magnifique coupe de glace avec une dame blanche et un coulis de chocolat, ses yeux s'agrandirent comme s'il venait de recevoir son premier bonbon. Quatre lui avait commandé une pêche melba, un de ses péchés mignons.
Vers 20 heures, toute la petite famille remonta dans la suite, les enfants se précipitèrent devant la télévision et Quatre en profite pour faire un bisous sur la tempe de Duo.
« Je suis fier de toi, tu as bien mangé, je ne te mettrai pas de fessées… »
Duo lui sourit.
« Oui, mais tu m'as mis un coup de pied ! »
« On ne joue pas avec la nourriture ma puce ! »
« Quatre, tu avais promis pour « La puce. » ! »
« Regarde les enfants… Je pense qu'ils ne doivent pas nous entendre, vu qu'ils sont collés à la télévision… »
Duo rigole. Il est vrai qu'ils sont scotchés à celle-ci à moins de deux mètres. Duo les rejoint en prenant Chun lane dans ses bras pour aller dans le canapé un mètre derrière. Quatre en fit autant pour Wang.
Ils regardèrent la télévision une petite heure puis Duo leur dit qu'il était temps d'aller au lit.
« Tu viens avec nous tonton ?… »
« Oui Chun lane, je viens vous coucher mais je ne dors pas avec vous d'accord ? »
« Oui tonton… »
« Quatre, tu viens avec nous ? »
« Non je vais téléphoner à Shiryana, elle m'a dit que si je ne la rappelais pas plus longtemps après mon appel lors de notre arrivée, elle viendrait me donner dès mon retour en France un cours de… Enfin, tu sais quoi… »
Duo sourit. Oh que oui il savait de quel cours il parlait, il y avait eu droit une fois quand Shiryana était elle aussi de passage chez Quatre, et depuis il filait droit en sa présence, car il n'avait pas envie d'avoir un deuxième cours gratuit, même à son âge.
Duo se rendit donc avec les enfants dans leur chambre où il y avait deux lits jumeaux.
Une fois les dents lavées, Chun lane se coucha, son frère se mit à ses côtés et Duo leur lit une histoire du livre que Wang lui avait donné.
L'histoire prit fin et la question de savoir qui était Heero refit son apparition. Duo leur avait promis, et une promesse à des enfants doit toujours être honorée.
« Vous vous rappelez lorsque je suis venu aux dernières vacances et que votre papa vous a expliqués que je n'aimais pas les filles mais les garçons ? »
« Oui tonton. Et même que vous pouvez pas avoir de bébés. »
Duo sourit à Chun lane, elle est trop mignonne.
« Et bien Heero est l'homme que j'aime… »
Les yeux des deux enfants s'ouvrent en grand.
« C'est vrai tonton ? Tu as un amoureux ? Et papa et maman, ils le savaient ? »
« Oui Wang, tes parents savaient que j'aime Heechan. »
« Il ne s'appelle pas Heero ? »
Duo rigole.
« Si Chun lane, excuse-moi. Heechan c'est le petit nom que je lui ai donné, comme lui il m'appelle Tenshi.. »
« Ange ! »
« Oui ange. Wang, tu connais un peu le japonais ? »
« Non, mais papa, il appelait maman comme ça parfois et un jour je lui ai demandé ce que cela voulait dire. »
Duo les regarde. Il les aime depuis leur naissance. Wufei et Meiran lui avaient fait une grande joie en lui demandant d'être le parrain de leurs deux enfants.
« Tonton ?… »
« Oui Wang ? »
« Il vit où Heero ? »
« Il serra à la maison lorsque nous reviendrons en France, mais je suis presque sûr qu'il viendra nous chercher à l'aéroport. »
Les deux enfants sont tout sourire.
« Vous êtes contents ? »
« Oh oui ! On va avoir deux nouveaux papas ! »
Duo ne sait pas quoi répondre à Chun lane. Un père ne peut pas se remplacer. Il soupire.
« Mon cœur, Heero et moi nous ne sommes pas de nouveaux papas. Ton papa, qui est au ciel, restera à tout jamais unique, comme ta maman… Je suis votre oncle ,et pour Heero, c'est à lui de vous dire comment il veut que vous le considériez. »
« Comme tonton Quatre et tata Réléna et tata Hilde et.. »
Duo repart à rire.
« Oui Wang, comme eux tous. »
« Tonton ? »
« Oui mon cœur ! »
« Mais toi… Tu es plus qu'un tonton dans mon cœur ! »
L'émotion et trop forte pour Duo et des larmes coulent le long de ses joues.
« Tonton !… Pourquoi tu pleures ? Je t'ai fait du chagrin ?… »
Duo prend Chun lane dans ses bras et l'embrasse sur les cheveux.
« Non mon cœur, ce que tu m'as dit me touche beaucoup et je vous aime moi aussi très fort. »
Il les regarde tous les deux.
« Je ne peux pas remplacer votre papa, c'est trop tôt dans mon cœur, mais je vous promets que nous en reparlerons, d'accord ? »
Wang se rapproche de Duo et se colle à lui.
« Oui tonton, je veux bien attendre que tu veux bien que l'on t'appelle papa. »
« Chun lane ? »
« Je t'aime tonton et je veux pas te faire pleurer alors je vais faire comme grand frère. »
Et Chun lane lui fait un gros bisous sur la joue.
Après un gros câlin à trois, Duo les borde chacun dans leur lit, éteint la lumière et laisse la porte entrouverte. Il rejoint Quatre qui l'attend, assis sur le canapé avec son portable à la main.
« Alors, tu as sauvé tes fesses ? »
Quatre lui sourit.
« Hum… Mais de justesse, elle est impossible. Elle croit que j'ai encore 10 ans, j'en ai quand même 29 ! »
Duo a envie de rire mais se retient, il ne veut pas que les enfants se relèvent pour savoir pourquoi il rigole.
« Ils dorment ? »
« Non pas encore… C'est pour ça que je me retiens de rire, je n'ai pas envie de voir deux petites têtes dans l'entrebâillement de la porte. »
Quatre sourit. Ses pensées : « Duo a déjà des réactions de papa, je savais qu'il rependrait le dessus dès que les enfants seraient avec nous. »
Duo prend place à ses côtés.
« Tu leur as parlé d'Heero ? »
« Oui. »
Quatre attend la suite qui ne vient pas, il lui tire sur la natte.
« Aie !… »
Duo regarde Quatre sans comprendre pourquoi il venait de la lui tirer et la prend dans sa main pour qu'il ne renouvelle pas la démarche. Quatre lève les yeux au ciel.
« Et ?… »
« Et quoi ?… »
« Idiot… Ils ont réagi comment ? »
« Oh ! Désolé, je n'avais pas compris… Ils l'ont très bien pris. Remarque, Wufei leur avait déjà expliqué que j'aimais les garçons quand je suis venu la dernière fois… Quatre, ça fait drôle de parler de lui au passé… Je … Je fais des efforts… Mais… Mais, c'est dur… et…et… »
Quatre le prend dans ses bras quand les larmes refont surface. Il lui avait bien dit qu'il avait le droit de craquer. Sa puce était encore fragile et les enfants avaient dû lui faire revivre des moments forts.
« Ça va mieux ? »
« Oui… Merci Quatchou. Il est quelle heure ? »
Quatre regarde son portable qui s'est mis automatiquement à l'heure de Pékin.
« 22h42. Tu es fatigué, tu devrais aller te coucher, je vais rester un peu le temps que les enfants s'endorment, si ce n'est pas déjà fait et j'irai moi aussi au dodo. »
« Il n'est que 15h42 à Paris. »
Duo soupire. Quatre le regarde sans comprendre.
« Pourquoi ? »
« Heechan doit m'appeler ce soir, enfin le soir en France et c'est l'après-midi là bas… »
« Il va t'appeler sur quel téléphone ? »
« Mon portable, juste au cas au j'aurais été avec les enfants je l'aurais mis en vibreur comme ça ils n'auraient pas été réveillés. »
« Tu penses entendre la sonnerie de ton portable si tu dors ? »
« Je ne sais pas… Je n'ai pas eu encore l'occasion de tester ! »
« Et bien l'occasion vient de se présenter, alors tu mets la sonnerie de ton portable à fond et fais un gros dodo. »
Quatre lui fait un bisous sur le front et Duo lui sourit puis se rend dans sa chambre en laissant la porte de celle-ci entrebâillée. 10 minutes plus tard, la lumière de la chambre de Duo est éteinte. Quatre reste encore une petite demi-heure à lire divers magazines en anglais que l'hôtel fournit dans les chambres de grand standing.
Avant d'aller se coucher, il vérifie que les enfants dorment bien et va jeter un coup d'œil dans la chambre de Duo. Il sourit lorsqu'il voit le portable de celui-ci à 5 centimètres de sa tête sur l'oreiller.
Il quitte la chambre en silence et se dirige vers la sienne, il éteint la pièce principale et rentre dans sa chambre en laissant à son tour la porte aux trois quarts fermée.
Le lendemain matin 8h35, salle de bain.
« QUATRE ! »
Quatre arrive en courant.
« Quoi ? Pourquoi tu as crié ? »
Duo a le visage tout rouge et se morde la lèvre inférieure en regardant Quatre d'un air tout penaud. Celui-ci voudrait bien savoir pourquoi Duo l'a appelé en hurlant son prénom.
« Duo, dis-moi pourquoi tu es tout rouge et pourquoi tu m'as appelé en hurlant mon prénom ? »
« Je ne sais pas comment on lave une petite fille… »
Quatre pend conscience que Duo a un gant dans la main que Chun lane est dans la baignoire assise avec 30 cm d'eau. Il sourit et comprend mieux l'appel au secoure de son petit frère depuis toujours dans son coeur.
« Ne te moque pas, Quatre ! Je n'ai jamais fait ça avant et Chun lane dit que c'est toujours sa maman qui l'a lavée… J'ai peur de faire mal… ou de lui faire mal ! »
Quatre s'approche et lui donne un petit bisous sur le front.
« Je ne me moque pas ma… Désolé ! … Duo. »
Quatre remonte les manches de son pull et lui prend le gant qui se trouve dans sa main.
« Je vais te montrer… Avec tous mes neveux et nièces que j'ai gardé quand j'étais au lycée et à la fac quand mes sœurs sortaient en solo avec leur mari, j'ai appris vite fait crois-moi, surtout quand tu as une Shiryana aux fesses. »
Duo lui sourit et observe attentivement tous les gestes de Quatre. Il lui explique qu'une petite fille est fragile à la nénette, l'expression fit beaucoup rire Duo et Chun lane, et qu'il ne fallait pas aller trop loin avec le gant.
Il expliqua aussi à Chun lane que maintenant elle était une grande fille et qu'elle devait commencer à se laver toute seule. Que Duo resterait à ses côtés mais qu'elle devait apprendre tout cela comme quand elle va aux toilettes.
Chun lane lui sourit et lui dit que demain elle le ferait comme une grande ! Duo posa la main sur l'épaule de Quatre, celui-ci leva la tête de la baignoire pour le regarder, et dans un échange mutuel, Duo le remercia pour ce qu'il venait de faire avec Chun lane.
Vers 9 heures, tout le monde était prêt et le petit déjeuner les attendait dans la pièce principale, commandé par les bons soins de Quatre. Duo le maudit du regard, mais Quatre le poussa gentiment vers une chaise et le calvaire de Duo recommença.
Pensée de Duo : « Mais pourquoi il y a trois repas par jour… Pouff, il ne va pas me lâcher et après Heechan va prendre la relève et Heechan lui, il ne va pas faire des menaces, mais directement les appliquer… J'ai pas faim… »
Duo avait posé son coude droit sur la table et sa tête reposait maintenant sur le poing de son bras. Il regardait la tasse de chocolat chaud que Quatre venait de lui mettre sous le nez et soupirait.
Les enfants eux avaient une serviette autour du coup. Wang avait mis celle à sa petite sœur et ils mangeaient une viennoiserie avec un verre de jus d'orange chacun, ne voulant pas de chocolat ce matin.
Une main se posa sur les cheveux de Duo, il releva la tête et vit le sourire de Quatre.
« Ne mange pas si tu n'as pas faim, mais boit ton chocolat que tu ais au moins quelque chose de chaud dans le corps… »
Duo lui rendit son sourire et mit deux sucres dans sa tasse qu'il mélangea avec une petite cuillère. Et au bout de 5 bonnes minutes, il le but à petites gorgées.
Quatre souriait en le regardant. Les enfants avaient pris une deuxième viennoiserie chacun et Quatre trempait ses croissants dans sa tasse de café noir avec un sucre.
A 10 heures, tout ce petit monde était en route pour aller se recueillir sur la sépulture de la famille Chang.
OWARI…III
Les périples du personnel de Winner Company vous intéressent toujours ? (Ho oui, c'est mieux que la télé réalité ! Pas d'accord bande de petits curieux ?) Dois-je déjà prévoir un IV ? J'attends vos reviews pour me lancer à nouveau dans les aventures de tout ce beau petit monde. (Parce que tu essayes de nous faire croire que tu n'y travailles pas déjà ? Allons Cat, soyons sérieux, ce n'est qu'une technique pour avoir des review… Hlo)… Non, Hlo… J'ai encore rien commencer pour une fois… Je dis toujours la vérité… Biz à toi et merci pour la correction. Cat
Catirella
(1) CNY - RENMINBI YUAN : Monnaie chinoise, du moins ce que j'ai trouvé sur le net.
