Quand Imagination devient Réelle.
Chapitre 8 : Dispute et animagus
Harry se releva lentement et regarda autour de lui. La plupart des élèves avaient le teint pâle, certains même semblaient être prêt à tourner de l'œil. Puis comme une explosion, la salle fut envahit d'un boucan monstre que même Dumbledore eut du mal à arrêter. Il du employer la méthode forte : une détonation magique. C'était maintenant au tour d'Harry d'avoir le teint pâle et de se sentir nauséeux.
Il avait pu saisir quelques paroles et celles-ci semblait très peu glorieuses :
« C'est un fourchelangue et il traîne avec Severus. C'est peut-être à cause de lui qu'il est à l'infirmerie ? » était la parole la plus gentil du lot. Les plus méchantes venait de son père et de Peter, ce maudit rat.
« On ne sait rien de lui ! C'est peut-être le fils de Vous-savez-qui ! Et les autres ses gardes du corps »
« Et d'ailleurs, l'un deux a l'air plus doué pour le corps à corps » ajouta d'une voix nasillarde Peter.
« Jeunes gens, veuillez-vous calmer ! »Hurla Dumbledore que cette situation énervait aussi. « Cette affaire n'est pas aussi dramatique que vous semblez le croire ! »
« Comment ça pas dramatique ! Mais vous voulez rire ! C'est un fourchelangue, une langue réputée comme celle des mages noirs. De plus, on ne connais rien de ce type… ! riposta James.
« La ferme Potter, sa vie privée ne te concerne en rien ! »Dit Lily en se levant
« Enfin ! Jeunes gens, veuillez vous calmez et vous rasseoir sur le champs. Je suis sûr que monsieur Prince, ici présent a une très bonne explication ! »
Un long silence s'installa après son petit discours. Tous semblaient attendre quelque chose.
« Monsieur Prince… Nous attendons ! »
« Hein, quoi ? C'est que… »Dit Harry, gêné de devoir étaler une période de son enfance qu'il n'aimait pas du tout
« Monsieur le directeur, ne vaudrait-il pas mieux que cette discution se fasse dans votre bureau ? » Essaya Narcissa.
« Mais bien sûr allons dans le bureau de Dumbledore, pour que la vérité nous soit cacher car le démon et sa clic aura fuit chez son père, le grand Lord Voldemort ! » cria James. Toute la salle frémit à ce nom, sauf quelques uns dont Harry et sa clic, comme disait James
« Voyez, il n'ont même pas peur d'entendre ce nom qu'ils doivent tant aimer ! » Rajouta Peter de sa petite voix.
Harry grinça des dents. Comment osaient-t-ils dirent ça ? Lui, le survivant, lui dont la vie avait été détruite par ce putain de con de mage noir de mes deux ! Lui être le fils de ce bâtard, mais ils l'ont bien regardé ou quoi ?
Draco, sentant la colère qui bouillait dans les veines de son petit… -Non , il ne savait toujours pas s'il pouvait l'appeler comme ça- d'Harry recula de quelque pas, le loup alla se placer derrière son maître. Remus se surprit à Gémir : la lune était proche et ses sens exacerbés le prévenait dans danger imminent.
« Monsieur Potter, je vous demanderez de vous calmez ! De plus, la peur d'un nom ne fait accroître la peur de la personne elle-même ! Voyez : Mademoiselle Evans et Black ainsi que moi-même n'avons pas peur de ce nom,… »
« D'accord pour vous monsieur, car vous êtes un grand sorcier et donc vous pouvez vous permettre cette acte de bravoure mais je pense que pour Lily et Black , ce n'est pas la même chose. Elles sont rester avec ce fils de pute beaucoup trop longtemps… »
Il ne put continuer car toutes les vitres de la grande salle venait d'exploser ainsi que la plupart des verres. Draco sursauta légèrement puis secoua la tête. Pff, les Potter ne sont pas des créatures des plus intelligents : insulter la mère d'un soi-disant fils d'un mage noir, ce n'est vraiment pas intelligent. Mais faire de la magie sans baguette deux fois dans une journée dans une école de magie, c'est encore plus con. Potter junior doit être bien crevé maintenant. Tant mieux, il fera un bon gros somme ce soir. Draco ricana et se tourna vers Harry. La vision qu'offrait Harry à ce moment était tel que la bouche de Draco se retrouva sur le sol. Tous comprirent d'après sa réaction que l'aspect du brun était tout sauf normal. Louna Gémit fréquemment et Remus devait se faire violence pour ne pas faire pareil. James déglutit, mais qu'est-ce qu'il lui a prit de provoquer un futur mage noir en puissance ? Peter, pleutre comme il l'était, alla se planquer sous la table. Les professeurs et surtout le directeur s'étaient levés et avaient sorti leur baguette pour parer à toute éventualité.
« Ainsi, Potter Tu veux connaître mon histoire ? » Demanda Harry d'une voix si éthéré que Draco eut du mal à la reconnaître. « Sache pour ta gouverne que je ne serais jamais un fils d'un connard comme ce décérébrés de Voldy. D'ailleurs, j'ai pour ordre de le tuer ! Et oui messieurs les Serpentards et futurs mangemorts, je fais partis de vos ennemis donc… désolé de vous décevoir, mais ma puissance n'est pas à votre service ! »
Lucius eut une grimace de dédain, comme une créature aussi frêle pouvait-elle cacher une très grande puissance capable de battre son maître ? A ce moment, un déchirement s'entendit et tous les élèves furent bouche bées : Harry avait maintenant deux grandes ailes dont l'une noir et l'autre d'un blanc aussi pur que la neige Dans le dos. Il semblait encore plus effrayant !
« Cornedrue, tu voulais mon histoire, la voici ! »
Le directeur essaya d'intervenir mais le hochement de Draco et de Blaise l'en dissuada. Quelque chose lui disait au fond de lui que les deux jeunes hommes avaient déjà du avoir à faire à la colère du jeune ange et qu'il valait mieux attendre que ça se tasse avant d'intervenir. James, lui se demandait comment, il avait pu découvrir son surnom car seuls les maraudeurs le savaient. Puis, il regarda du coin de l'œil Remus, cela devait être lui qui leur avait dit ! faux frère !
« Mon histoire commença lors de mes un ans, le soir d'halloween, comme cadeau je suppose »cracha Harry « Un mage noir, aussi terrible que votre putain de Lord, s'invita chez moi. Et devina quoi ? » (Dumbledore soupira d'aise, Harry même sous l'effet de la colère ne révélait aucun élément du futur) « Il les a tué tous les deux , et oui, je suis orphelin. Pas besoin de votre pitié ! » dit-il aux personnes qui avaient poussés des petits cris d'épouvante.
« Il chercha en plus de ça de me tuer aussi mais comme il est aussi doué qu'un manche à balais, il se loupa et me marqua à vie. » Harry souleva une mèche de cheveux et leur révéla la cicatrice qui parut si rouge sur sa peau pâle.
« A partir de ce jour ma vie fut un enfer, Tous les ans je du me battre contre lui sauf en troisième ou j'ai retrouvé un parrain. Cependant, il fallut que je joue les héros et qu'il meurt deux ans plus tard. Alors si je suis le fils de ce putain de salopard de merde, je préférerais me suicider ! Ca te conviens ? »
« Non, tu n'as toujours pas répondu quand au fait que tu étais fourchelangue ! » Draco ET Blaise eurent la même réaction : ils se prirent la tête entre les mains. Mais les Potter sont idiots ou ils le font exprès ?
Un roulement de tonnerre fit frissonner la salle
« Je suis fourchelangue parce que ce connard, ce fils de pute d'assassin m'as légué sans le vouloir une partie de ses pouvoirs ! Content, petit prétentieux de Maraudeurs ! »
Draco siffla, il devait vraiment être très en colère pour parler à son père sur ce ton. James parut rétrécir sur place. Mais il rétrécit vraiment ?
« Voilà, maintenant, tu as la taille et la voix de ton intelligence. C'est à dire celle d'un gosse de 5 ans. Soit content, Pomfresh pourra sûrement de redonner ta taille ce soir mais pour la voix, cela prendra plus de temps. Tel est pris qui croyait prendre. »
Wow, et de trois. Si il réussit à ne pas finir la nuit à l'infirmerie, Draco veux bien devenir prêtre et faire vœux d'abstinence pour le reste de sa vie.
Heureusement pour lui (et pour nous aussi lol), l'ange brun, au bout de sa tirade vacilla et tomba dans les pommes. Heureusement Draco, avec ses réflexes d'attrapeur même si Harry était meilleur que lui, il devait le reconnaître, le rattrapa avant u'il ne se fracassa le crâne contre le dallage de la grande salle. Plus d'une heure était passée depuis l'évènement du serpent et du loup. D'ailleurs, pourquoi celui-ci suivit le Veela sans jamais le quitter ?
« Monsieur Myzi, veuillez conduire monsieur Prince à l'infirmerie avant que monsieur Potter ne veuille l'étriper » demanda le directeur d'une voix très calme.
Draco se tourna vers la table des griffondors et s'aperçut que le directeur avait raison. Un petit James se débattait comme un beau diable pour s'échapper de la poigne d'un Sirius hilare. Si le regard pouvait tué, Harry serait mort dans d'atroces souffrances, encore pire, Draco pouvait le parier, que celles du lord que son père aimait tant. Rapidement car Sirius ne semblait plus pouvoir se retenir, le blond sortit avec son ange dans les bras mais juste avant qu'il ne sorte, le professeur Mc Gonagall l'interpella.
« Monsieur Myzi, je vous dispense de votre retenu pour ce soir, vous pouvez rester avec monsieur Prince à l'infirmerie mais demain soir à 8h30, je vous veux dans mon bureau. »
Draco hocha la tête et s'en fut avec son ange et son loup que le suivait de près. Les autres se dispersèrent sauf Lily, Narcissa et Blaise qui eux avaient leur retenue. Remus, alla lui dans la bibliothèque avec Sirius, Peter et un mini James qui était adorable avec sa moue boudeur. D'ailleurs, ils mirent plus de 20 minutes pour l'atteindre tant les filles semblaient adorer s'émouvoir devant James. Quand ils entrèrent dans la bibliothèque, James avait un énorme sourire, ce qui le rendait selon la gente féminine encore plus attirant. Tous le pensaient sauf Lily, la seule pour qui, il aurait voulut que cela fasse effet.
« Remus, promet-moi que tu ne leur dira pas ! » chuchotait inlassablement James
« Pourquoi voudrais-tu que je leur dise ? »
« parce que tu es leur amis maintenant et que tu leur as déjà parlé de nos surnoms de maraudeurs ! » dit Peter.
Bizarrement, Sirius ne disait rien et était plongé dans un recueil sur la magie Dryatique. N'entendant rien venant de sa part, ni commentaire salace ni blague idiote, les trois maraudeurs se tournèrent vers lui. Se sentant épié, il daignant lever la tête.
« Quoi ? » demanda-t-il, énervé d'être le centre d'attention des trois garçons.
« Rien, mais tu fais quoi avec ce livre ? » Demanda Peter avec un air idiot
« On est là pour faire une blague en représailles de l'ange, non ? (les trois garçons hochèrent la tête) Bien, je cherche un thème et une formule.
« Mais tu sais que c'est un livre sur la magie des Dryades ? »Continua Peter.
Oui, je sais je ne suis pas complètement idiot je te remercie Peter, dit sèchement Sirius avant de continuer plus calmement. Je cherche ce qui s'est passé avec Snape.
« Pourquoi, c'est que Snivellus après tout ? » dit James.
« Pour savoir. Bon on s'y met ? » répliqua Sirius.
Comme cette réplique n'attendait pas de réponse, les maraudeurs se mirent au travail. James pour la vengeance, Peter parce que c'est un suiveur. Sirius pour la gloire et Remus, pour tester la connaissance du Brun, ce qui savait de leur groupe. Car il en était sur les trois voyageurs (Lynara étant partit, il ne peut pas savoir) n'était pas de cette période-ci mais plutôt du futur, selon lui. Pourtant, il n'avait rien dit aux autres, de peur d'être traiter de fous et de perdre leur amitié.
Harry se sentait bizarre. Il se sentait comme vidé de toute sensation : la colère contre son père… Disparue. La tristesse de l'avoir comme ennemie… Disparue. La fatigue due à la magie sans baguette… Disparue.
Même la joie avait disparue. Il avait l'impression de flotter sur un nuage, sauf qu'il était couché sur le sol, la tête vide. Une sorte de transe en fait, pourtant il n'avait rien fait pour, seulement s'évanouir. Une odeur chaude et humide l'assaillit. Il huma l'air, dieu, qu'est-ce qu'il aimait cet odeur. Depuis cette visite au zoo pour l'anniversaire de Dudley, il avait associé cette odeur à la jungle tropical et à la superbe panthère noire qu'il avait vu là-bas.
Peu à peu, sa vision se fit plus nette. Il aperçut des grandes ombres vertes…Harry se trouvait maintenant couché sur de la mousse légèrement humide… des lianes s'étendaient au-dessus de sa têt, formant une sorte de hamac. Il était bien dans une forêt tropicale, cependant elle était beaucoup plus silencieuse que celle du zoo. En fait, Harry n'entendait rien hormis sa respiration.
Soudain, un bruissement le fit sursauter. Une ombre noire était sorti de la pénombre et lui tournait autour. Harry voulut se lever mais il n'avait plus le contrôle de son corps. Il ne put que rester allonger. Timidement, il se rapprocha de la main du survivant et la toucha. Quelle drôle de sensation ! C'est froid mais en même temps c'est chaud et doux. L'ombre sursauta et recula de quelques pas, peut-être est-ce due au frémissement qui avait parcourue Harry quand l'ombre l'eut touchée. Elle se rapprocha de nouveau et, avec audace, se coucha sur Harry. Celui-ci se plongea dans 2 orbes vert émeraude, si semblables aux siennes. Autour de l'une d'elle, il y avait un nuage blanc neige. C'est quand l'ombre ronronna qu'Harry comprit que l'ombre n'était autre qu'une panthère. UNE PANTHERE ! Harry voulut se lever mais il ne contrôlait toujours pas son corps.
« Calme, petit homme ! J'ai déjà mangé, quoique je ne suis pas contre un petit encas. Toi, tu es bien trop gros. »
(Pour une fois qu'on dit que je suis gros, il faut que ce soit une panthère ! pensa Harry)
« Bah ! Il faut une première fois pour tout ! et c'est un honneur pour moi d'être le premier messire. Hahaha !
Harry écarquilla les yeux. C'est la première fois qu'il entendait une panthère parler et rire. C'est déstabilisant.
« Et oui, je suis unique en mon genre ! Tout comme toi ! Avec moi, vous ne serez pas déçu, de plus je ne coûte pas cher : seulement un peu de magie. Achat garantit à la vie.
Harry sourire avant de rigoler. En voilà une bien drôle de panthère ? Mais pourquoi lui faut-il un peu de magie.
« T'es lent d'esprit mon vieux ! Je suis ton animagus. Mais si tu ne veux pas de moi, je peux aller vois ailleurs, si tu y es !
Sur ces mots, la panthère se leva et commença à partir. Mais Harry intervint avant : Il se redressa et hurla un non de plus convainquant.
« Je le savais : je suis indispensable. Ah oui, je crois que tu viens de réveiller toute l'infirmerie où on a était conduit. Ton corps réagit pareil ici et là-bas.
« Tu n'aurais pas put le dire avant ?
« Non, ce n'aurait pas été marrant ! » dit-elle avant de montrer les dents, ce que Harry pris pour un sourire.
Harry secoua la tête et leva les yeux au ciel. Il n'y avait que lui pour tomber sur de drôle de créatures : un hibou quelque peu caractériel, une face de serpent qui veut sa mort, un Veela mâle très jaloux et maintenant ça, une panthère ayant un sens de l'humour à ras les pâquerettes.
De plus, elle commence à peser lourd sur son estomac.
« Dit, ça te dirait de dégager de là ?
« Non, je suis bien, on t'a déjà dit que tu ferais un excellent coussin ?
Harry excédé, reprit le contrôle de ses membres et poussa de toutes ses forces la panthère qui planta ses griffes dans le sol. Il ne faudrait quand même pas abîmer ce corps d'accueil avec qui, il en sûr, il s'amusera bien.
« Bon, je t'explique ta venue et je me casse après. Donc plus tu m'interromps plus je resterais sur ton estomac. Ok d'acc ?
« Ok mais tu te Grouilles !
« Oh ! Tu te calmes. Bon je suis ton animagus mon gugusse. Hihi
Harry soupira de désespoir, l'humour de cette panthère est vraiment à revoir car là, c'est vraiment horrible.
« Je le savais déjà donc avance et s'il te plait par pitié ne rigole plus ?
« Pourquoi ? Je ne suis pas marrant ? Pourtant j'en connais une bien bonne tu veux l'entendre, donc c'est l'histoire d'un nain, une elfe et un gnome, ils étaient tous les trois dans une forêt quand soudain…
« Stoop ! Je veux les explications maintenant ou je te jure que je te transforme en bouillie. » hurla Harry à bout de nerf.
« Eh ! Reste calme, déjà que tu dois faire peur de l'autre côté
Harry devient livide. Et merde, déjà qu'on le considérait comme la pire des personnes existantes sur terre, il valait maintenant pour un fou. Il en avait vraiment marre. Une larme, aussi claire que le cristal, s'échappa de ses paupières et glissa sur sa joue. Elle voulut mourir sur ses lèvres mais une langue rappeuse la coupa dans son élan. Harry les yeux. Jamais il n'avait ressentit un tel réconfort, même dans les bras de Draco.
« Si tu te sens comme ça, c'est parce que tu m'as accepté comme une partie de toi à part entière. Répondit doucement la panthère.
« C'est quoi ton nom ?
« Baguera, tu sais la panthère dans le livre de la jungle.
« Pff, c'est débile le nom mais la sonorité est jolie. Finalement j'aime bien ! répliqua Harry avec un grand sourire.
« Normal, je suis une partie de toi, donc tu étais obligé d'aimer. De plus je suis trop sympa pour qu'on ne m'aime pas.
Fais pas ton Malefoy. Dis quand pourrais-je me transformer en toi ?
« D'ici deux à trois jours mais seulement sous le coup d'une émotion très forte. Et plutôt si l'émotion est vraiment très forte mais cela ne devrais pas arriver. Bon, je dois te laisser sois sage avec le petit Veela.
Harry sourit et rougit. Il regarda avec un pincement au cœur la panthère qui s'en allait d'un pas chaloupée dans les fourrés. Il ferma ensuite les yeux et sombra dans un sommeil qui fut cette fois réparateur.
coucou tous le monde merci pour vos message, ils font vraiment chaud au coeur. Dites moi si il a quelque chose qui ne va pas.
Gros bisou à tout le monde.
