Je m'excuse si je ne réponds pas toujours aux rewiews que vous m'envoyez mais je n'ai pas toujours le temps. Cependant, je tiens à vous dire que la situation entre nos deux compères s'améliore même beaucoup. Pour la fin du quatorze, je m'en excuse. D'habitude je ne fais pas ça mais là, c'est par fatigue.

Chapitre 15 : le voyage entre d'autres lieux.

James lui tira la langue et voulut continuer quand son regard fut attiré par un large cercle blanc qui continuait de grandir.

Stupéfait, il se leva brusquement.

« Wouah ! C'est quoi ça ? » dit-il en montrant le cercle du doigt.

Les autres, aussi stupéfaits que James, se levèrent.

# Ca ssssent une nouvelle époque. Cççççça sssssent vieux !#

#Vieux toi-même, maudit ssserpent. Bonjour Harry#

#Sssalazard ?#

« Mon dieu, vous avez vu la taille de ce serpent ? »

« Il a recommencé. Il a dit quoi ? »

« Tiens, ton loups est venu te rejoindre ! »

# SSSSILENCCCE !#

#Désssolé, Sssal', mais ils ne comprennent pas le fourchelangue. Merccci pour nos oreilles. #

# Une grande perte pour l'humanité !#

« Ils devraient l'apprendre. Une très bonne habitude. »

« Habitude ? »

#Cçççça exxxcite Rowena #

Harry rougit à un tel point qu'il ressemblait à une tomate bien mûre.

« Tu avais vraiment besoin de me dire ça ? »

« C'est toi qui a voulut savoir. Bon vous êtes prêt ? »

« Prêt pour quoi ? Qui êtes-vous ? » demanda Draco

# Nerveux, le blondinet. Mm, plutôt mignon, sssinon.#

# Pas touche, chassse garder, le vieux !#

# Vieux toi-même#

« Mais arrêtez de parler fourchemangue et répondez-moi. » hurla Draco excédé.

« Je suis Salazard Serpentard, le grand Salazard » répondit le serpent de tout son orgueil.

Tout le monde le regarda comme si il était sortit d'un asile de fou et éclata de rire.

« Je rêve où ils me croient pas ? » demanda Salazard vexé.

« Je vous ai oublié ! Donc, ils ne sont au courant de rien. »

« Quoi ? Que tu oublies Godric passe encore mais m'oublier ! Quel affront ! » dit Sal', de plus en plus vexé.

« Mais c'est qu'il s'y croit vraiment ! » dit Draco, mort de rire.

« Euh… Dray ? »

« Oui Harry. »

« C'est vraiment Salazard ! »

« Quoi ! » dirent les jeunes

« Pas le temps pour les explications. Le portail se ferme. Harry c'est l'heure ! »

Harry hocha la tête et le serpent repassa le cercle.

« Dray, tu me fais confiance ? »

« Oui mais… »

« Suis-moi sans poser de question. Promis, je te dit tout une fois arriver ! Au revoir. Je fus très heureux d'avoir pu vous rencontrer ! »

Sans attendre plus longtemps, Harry plongea dans le portail suivit de la louve de Draco. Celui-ci se mit devant le cercle mais hésita. Finalement, une main sortit du cercle et le tira de toutes ses forces. Draco disparut dans le cercle qui s'évanouit. Un grand flash de lumière éblouit les 'anciens', leur enlevant toute trace du passage des voyageurs du temps. Remus, Narcissa, Lily et Sirius étaient toujours au courant des sentiments du dernier vis-à-vis de Severus. Celui-ci savait qu'il devait apprendre l'occulmencie et la legimencie à cause de son père qui le forçait à devenir mangemort. Mais il comptait bien devenir le meilleur pour avoir la paix et pourvoir espionner pour Dumbledore en paix. Seul, James se souvenait vaguement d'un garçon aux cheveux noirs qui l'avait aider à évoluer au point de vue mentale. Le quartier des voyageurs du temps devint celui des amis pour la vie. Oh, bien sûr, il eut beaucoup de disputes mais personne ne se sépara.

De l'autre côté du portail, deux jeunes s'écroulèrent face contre terre. A côté d'eux, un loup et un homme d'une trentaine d'année. L'homme soupira. Les atterrissages ne sont toujours pas brillants. Et dire que ce sont des Serpentards dans l'âme. Aucune classe.

« 'Tain, Dray bouge ! Tu m'écrase ! »

« Dis que je suis lourd tant que tu y es ! »

« T'es lourd ! Alors tu bouges, oui ou merde ? »

« Merde ! »

« Aucune éducation. De vrais gamins, ils me font penser à Godric. » dit Sla'

« Moi un griffondor ? Jamais ! » dit Draco en se relevant rapidement

« Sal', tu parles dans le vide ? Tu deviens gâteux, fais gaffe ! »

« Sale morveux ! Je ne parle pas dans le vide. Je parle au loup. »

« D'accord ! Pas gâteux mais complètement fou, juste bon à enfermé. »

« Harry ! » s'écrièrent 5 voix.

« Tiens, il y a de l'écho par ici. » dit-il

Draco vit arrivé 2 femmes et un homme, sûrement le reste des fondateurs.

« Harry, mon chéri, qu'est-ce que tu fais par terres ? Tu ne t'es pas blesser ? »

« Helga, laisse-le respirer ! » dit l'homme, avant d'aider Harry à se relever.

« Merci God'. »

« God' ? Mm, je l'aime de plus en plus. Un bon petit, croyez-moi ! A partir de maintenant, je suis God' ! »

« Attention, ta tête va explosée. Harry, sois gentil. Ne lui jamais plus un tel compliment. Il en va de notre survie. » dit Rowena. Derrière elle, Godric clamait toujours qu'il était God.

« Bon, on y va. »

« Où » demanda Draco

« Harry t'y conduira. On vous y attendra. »

Les quatre fondateurs disparurent. Mais une voix résonna dans la plaine.

« Ne soyez pas en retard pour le repas. »

Harry sourit, exactement comme la mère de Ron. Il se tourna vers son ami qui semblait ailleurs. Il ne réalisait pas encore.

« Draco ? On y va ? »

Le blond hocha la tête. Harry se mit en face de lui, et avec sa ceinture s'attacha au blond. Ce geste réveilla Draco, surtout quand Harry le prit par les aisselles.

« Mais qu'est-ce que tu… »

« La compagnie Airangel vous souhaite la bienvenue sur notre vol. Attachez vos ceinture, nous décollons ! »

« Wouah ! Harry lâche moi tout de suite !... Euh, tout compte fait ne me lâche pas !'

« Dray arrête ! Déserre ton étreinte, je sais que tu m'aimes mais là tu m'étrangle. »

Ils furent silencieux pendant une bonne partie du vol avant que Draco n'engage la conversation. Il était curieux.

« Tu les a déjà rencontré ? » Le brun acquiesça. « Où ? »

« Tu te souviens du duel que nous avons fait ? Le premier dans l'époque de nos parents ? »

« Oui, tu es tombé dans les pommes. »

« Je suis venu ici alors que j'aurais pas dû. Putain, je n'étais vraiment pas rassuré ce jour-là ! »

« Je sais ! Grâce à toi, j'ai laissé mam marque dans le quartier. Mon sublime visage est incrusté dans le mur de ma chambre. »

« Ah, je vois mais en quoi est-ce ma faute ? »

« Ton bouclier m'a envoyé dire, par deux fois, bonjour au mur. »

« Oh, puissant ! Donc, par ma faute, tu as dû prendre cette laideur qui te sert de visage ? Aie ! Mais eeuh ! »

« Bien fait ! » dit Draco avec une moue enfantine qu'Harry trouva adorable.

Il ressentit une douleur dans le bas du dos mais cru que c'était dû au poids de Dray.

« Harry ? C'est normal, cette queue noire dans ton dos ? »

« Hein, mais qu'est-ce que tu racontes ? »

« Regarde par toi-même. »

Harry tourna la tête et découvrit une queue.

« Merde, baguéra ! »

« Quoi ? Pourquoi on descend ? Harry ? »

Les ailes du brun disparurent. Et comme la pomme de Newton, ils tombèrent. Draco se prit pas mal de branche dans le dos et dès l'impact avec le sol, il perdit connaissance. Harry resta sur lui, à se calmer sous les vagues de douleur que provoquait la transformation.

« Dray ? Draco ? »

Celui ne répondit pas. Il ne sentit même pas la langue râpeuse qui lui nettoya le visage et le sang qui coulait de son front. Il ne sentit pas non plus la douce chaleur qui se diffusait au niveau de son torse.

Un ronrement s'élevait dans la forêt. Baguera aimait l'odeur du blond. Il resta plus d'une heure là, sous cette forme. Il aurait bien voulu aller se balader mais préférait de beaucoup le faire en compagnie du blond mais celui-ci ne voulait pas se lever.

Puis Harry revint. Il était vidé, c'est crevant de se transformé. Mais il ne comprenait pas pourquoi. Dans le livre qu'il avait lu à la suite de sa vision, lui avait dit qu'il valait attendre un an ou avoir une émotion forte pour avoir une manifestation de son animagus. 'Une manifestation', pas une transformation complète ! Il regarda Draco qui était toujours inconscient et les alentours. Il créa un bouclier autour du blond et alla explorer.

Draco se réveille en sentant quelque chose d'humide sur son front. Cela descendait le long de sa joue et alla sur ses lèvres. Il les entrouvrit. Il avait si soif mais la sensation disparut aussitôt. Draco gémit à cette perte. Autre chose se posa sur ses lèvres, quelque chose de froid et humide mais si doux. Par réflexe, Draco entrouvrit ses lèvres et un liquide passa dans sa bouche. Jamais il n'avait goûté une eau avec un tel goût ! Il en voulait plus. Mais déjà la sensation le fuyait. Il leva la tête en douceur mais dû lâcher car son dos le fit mal. Il haleta sous le choc. Jamais il n'avait eu aussi mal. Il s'agita, ce n'était pas normal d'avoir aussi mal. Soudain, il sentit deux mains sur ses épaules. Une douce chaleur l'enveloppa. Elle était si douce qu'il finit par sommeler, rassuré par cette présence. Il sentit vaguement qu'on le bougeait puis sombra dans une douce torpeur.

Quand Draco se réveilla, il ne vit d'abord rien puis découvrit qu'il était allongé sur le ventre, la tête sur une étoffe mielleux. Mais où était-il ? Où était Harry ? Comment était-il arrivé ici ? Il se leva lentement et fut surpris de ne ressentir qu'un léger tiraillement dans son dos. Il avait été soigné mais par qui ? Il illumina les lieux avec sa baguette et découvrit qu'il était dans une grotte. Il fit rapidement un état des lieux, humide mais à peu près propre, puis vit Harry. Il dormait torse nu, en position fœtale. Draco sut alors que l'étoffe était le pull d'Harry. Il lui mit sur le dos, tel une couverture et sortit. La nuit était déjà tombée depuis un bon moment. Les fondateurs devaient s'inquiéter. Il ramassa du bois mort, aux abords de la grotte pour faire du feu. Quand il rentra dans la grotte, il déposa le tas de bois au milieu et alluma le feu. Il vit alors Harry, réveillé et recroquevillé dans un coin de la grotte. Il semblait passablement effrayé. Il tremblait, serrait convulsivement son pull et avait les yeux grands ouverts.

« Harry ? »

A son nom, l'ange essaya de se faire encore plus petit. Draco, inquiet, se rapprocha doucement pour ne pas l'effrayer davantage. Harry ne semblait pas avoir conscience de sa présence. Le blond posa une main sur son épaule et s'agenouilla à ses côtés. Harry sursauta, le regarda et puis, brusquement, l'enlaça. Draco sentit les épaules du brun trembler, il pleurait.

« Harry, dis-moi ce qui ne va pas. Parle-moi, ne garde pas ça pour toi. »

« Ca reviens depuis plusieurs jours, depuis le jours où il m'a fait cette proposition. Il me fait peur. Et maintenant, c'est encore pire ! Le cauchemar est de plus en plus réel. C'est de ma faute. »

« Qu'est-ce qui est de ta faute. » demanda-t-il avec douceur.

« Parce que je suis comme je suis. Il a voulu me violer. Pourtant, je ne suis même pas beau. »

Draco tremblait de rage. Promis, le fils de pute qui avait osé toucher son ange mourrait dans d'atroces souffrances.

« Heureusement James est arrivé à temps. »

Le blond se figea. Son père, son propre père, un violeur. Il ne pouvait y croire.

« Qui a osé te faire ça ? »

« Lucius. Je suis désolé, Dray. C'est de ma faute ! »

« Non, harry. C'est de sa faute si c'est un pervers de mes deux… »

Il avait eu sa confirmation. Il caressa les cheveux d'Harry pour le réconforter. Le brun releva la tête.

« Promis ? »

« Promis ! »

Comme pour confirmer sa promesse, il l'embrassa tendrement. Harry ne le repoussa pas, au contraire, il se rapprocha du blond. Dray, sa bouche sellé sur les lèvres d'Harry, se coucha et entoura la nuque de son amant de ses bras. Une main se perdit dans ses longs cheveux noirs. Harry lui caressa la lèvre inférieure pour demander l'accès de l'antre du blond, ce qui lui fut accordé. A ce moment-là, un combat des plus passionnelle débuta entre les deux. Ce fut Dray qui le remporta. D'un mouvement du bassin, il se retrouva sur Harry. Sa bouche dériva vers le cou en suivant la ligne de sa mâchoire, tandis que ses mains caressaient ses flancs. Harry caressait voluptueusement le dos du blond. Il gémit quand s'attaqua à sa carotide, la suçant, la mordant la marquant comme sienne. Il revint ensuite à la bouche d'Harry, la meurtrissant de ses baisers. Il caressa le torse du brun avec ses mains puis avec des baisers papillons. Harry, au contact des lèvres, se cambra légèrement. Il en voulait plus, beaucoup plus. Il était perdu dans un océan de plaisir. Il haleta, surtout quand les mains de son amant frôlèrent, par inadvertance, la bosse qui déformait son pantalon. Il eut carrément le souffle coupé quand Draco taquina ses tétons, durcis par le plaisir, ses mains perdues dans la chevelure du blond. Puis, après avoir rendu les bouts de chair rouge vive, sa langue descendit vers le nombril. Là, il mima l'acte tout en regardant Harry avec des yeux obscurcit par le désir. Harry déglutit, la respiration de plus en plus hératique. Les mains de Dray le libérèrent de sa prison de coton. Il se redressa pour contempler la splendide nudité de son amant. Mais Harry, impatient, se redressa et lui emprisonna les lèvres. Il lui enleva sa bague et la jeta dans ses vêtements. Ils étaient maintenant à égalité. Draco haussa un sourcil, provoquant un rire d'Harry qui s'était rallongé. A partir de là, leurs ébats se firent plus impatients et brutaux mais gardaient toute leur tendresse. Sans qu'ils s'en rendent compte, ils furent enveloppés par les ailes d'Harry, les gardant du regard du reste du monde et de la fraîcheur de la nuit. Dans le ciel, des étoiles brillèrent plus intensément ce soir-là.

Ils se réveillèrent qu'au petit matin. Draco, toujours sur Harry, voulut se lever mais fut vite rattraper par Harry qui l'embrassa.

« Voilà ma réponse ! Bonjour mon petit ange. »

« Quel réponse ? Et d'abord, je ne suis pas petit ! »

« Si tu regrettais. Mais tu as raison, tu es grand, là. »

Draco lui montra son cœur. Oui, jamais il avait ressentit ça pour quelqu'un.

« Dis, mon ange, tu serais partant pour une baignade ? »

« Bien sûr, tu prends ta bague et tu y vas. Je te rejoins ! »

« C'est où ? »

« Euh, tout de suite à droite. Tu es beau, comme ça ! »

« Merci mais tu es bien mieux. »

Draco l'embrassa et sortit, nu. Harry remit en vitesse ses vêtements, puis retira sa bague. Il sortit, seulement vêtu de ses ailes. Il ne mit pas longtemps à arriver au ruisseau. Là, il fut aspergé d'une eau glacée.

« Tricheur. Moi, je n'ai pas d'ailes pour me protéger du froid. »

Harry eut un grand sourire et rejoignit le blond dans l'eau. Il commença par s'immerger, 2 3 fois avant de disparaître sous l'eau.

« Harry ? Harry ? »

Draco inquiet se rapprocha de l'endroit où avait disparut son amant, quand celui-ci fit brutalement surface.

« Espéce de griffondor à la manque ! Me faire une peur pareille ! »

Draco lui tourna le dos, boudant. Harry comprit qu'il avait exagéré et pour se faire pardonner, lui fit des baisers dans le dos tout en descendant vers les fesses.

« Harry… » gémit Draco

« Oui ? » dit-il innocemment

« Qu'est-ce que tu fais ? »

« Rien ! Tu as une peau si douce. Tu me pardonnes ? »

« Mm, mais ne me fait plus jamais un coup pareil. »

Quand ils allaient reprendre leur activité, un borborygme se fit entendre.

« Toi ou moi ? »

« Moi, on y va ? »

Draco hocha la tête. Ils se dépêchèrent de se laver et de se vêtirent puis repartirent. Le voyage se fit beaucoup plus tranquillement, bien qu'Harry soit nerveux. Malgré la promesse de Draco, il avait toujours cette impression de culpabilité. Pourquoi cela changerait ? Il détruit tout ce qu'il touche. Toutes les personnes qui avaient un tant soient peu compter pour lui avaient souffert. Il ne voulait pas que ça recommence avec Draco.

« Harry ? C'est notre lieu de rendez-vous ? »

« Oui, c'est le manoir des fondateurs. Ils y vivent à quatre. »

« Mais et leur famille ? »

« Salazard est marié avec Rowena et Godric avec Helga. En fait, je suis leur descendant tout comme Voldemort est celui de Rowena et de Salazard. »

« Tu veux dire que tu es de la même famille que Voldemort ? Mais pourquoi, alors cherche-t-il à te tuer ? »

« C'est un cousin. Une querelle de famille en un peu plus compliqué. Mais c'est une autre histoire. »

« Mais pourquoi ils osnt encore envie ? Ils devraient être mort, sinon ils auraient plus de milles ans. C'est impossible ! »

« Le lieu où nous nous trouvons est une autre de leur création : ce lieu est hors du temps. Tu ne viellis pas mais le reste de l'espace temps continue sa route. »

« Cool ! Mais comment on va rentré chez nous ? »

« Tu vas dans la plaine et par un sortilège, que je ne connais pas, tu fais apparaître le même cercle qui celui responsable de notre arrivé et tu vas où tu veux dans l'espace temps. Attention, nous atterissons ! »

Une silhouette sortit du mânoir. C'était Helga. Ils touchèrent le sol.

« Vous voilà enfin ! Mais qu'est-ce-t-il passé ? On était mort d'inquiétude ! »